COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Fin de la saison II et de l’histoire (7/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Fin de la saison II et de l’histoire (7/7)
Celle qui croit être ma future belle-mère alors que je suis une escorte au service de Giselle, sa fille me donne 70 000 € pour la quitter.
Payé par la fille avec en prime une voiture de sport et par la mère pour l’oublier.
La situation est plus qu’ambiguë.
Marguerite que je tiens au bout de ma verge dans cette auberge où elle m’a invité à dîner pour me proposer ce marché semble aimer les petits jeunes.
Elle doit se servir d’escortes pour satisfaire ses appétits sexuels, bien qu’elle fasse sa mijaurée pour monter dans une chambre !
Elle m’apprend que Richard son mari est incapable de lui apporter le moindre plaisir.
Je lui ai promis qu’elle aboierait comme une gentille chienne à la fin de la nuit après lui avoir rempli tout ce qu’une femme, même légèrement âgée, peut apporter à une jeune pute comme moi.
J’ai déjà rempli sa bouche de foutre l’obligeant à avaler.
Je suis passé à la deuxième phase de mon plan en la fourrant comme l’on fait d’un éclair avec de la crème dans son vagin.
Je la nettoie comme elle a nettoyé ma verge avec sa langue.
J’ai gardé la bouteille de champagne et profitant de ses jambes relevées, je lui verse du liquide dans le calice ainsi formé.
Le liquide me permet de récupérer la totalité du gâteau et ainsi manger ma part du dessert.
Je l’aide à se redresser et je la pousse sur le lit où elle tombe inondant les draps par le liquide encore en elle, je monte aussi sur le lit.
Je sens ses jambes venir m’enserrer et elle jouit à la suite de mes allées et retours.
• Je voudrais que tu m’embrasses !
• Je suis une pute, c’est toi qui la dis.
Je réserve mes lèvres pour mon souteneur, ce sera celle que j’épouserais dommage cela aurait pu être Giselle.
Je finis par remplir de mes traits de spermes sa chatte accueillante, elle s’accroche tellement à moi que je suis à deux doigts de réaliser mon pari et qu’elle hurle comme une chienne.
• Tu m’as donné faim, nourri moi.
Elle se lève les jambes flageolantes et elle va sur la table récupérer du gâteau pour à son tour me le mettre dans ma bouche, j’en récupère une petite partie et je lui badigeonne les seins.
J’ai lâché la bouteille de champage qui s'est à moitié vidée sur le lit qui est tout poisseux.
Je tends de nouveau le bras et je récupère assez du gâteau pour la couvrir de grandes traînées de crème au chocolat.
• Mets-toi en levrette, l’heure est venue de te faire enculer.
• Je sens que je vais aimer, me faire enculer.
Je voulais l’asservir à ma bite par vengeance, mais c’est une femme qui semble avoir du sentiment pour moi qui tortille son cul devant mes yeux.
Je devrais en rester là par égard pour le minimum de trente ans qui nous sépare.
À quelques années près elle pourrait être ma mère, mais mon expérience presque neuve d’escorte m’a enlevé tous mes tabous.
Il est vrai qu’en y regardant bien à part Giselle qui passe son temps à faire du fric étant juste un peu plus âgé que moi, ce sont la plupart du temps des femmes sur le retour qui se payent mes services.
J’espérais la casser, mais je dois reconnaître qu’elle me bluff et que ma bite entre sans problème dans sa petite rosette.
• Ouaf, ouaf enfin je suis ta chienne, encule-moi bien profond, j’adore
La situation est tellement existante que malgré les deux décharges de spermes successifs, je suis tendu au maximum et je sens mon corps comme le sien exploser.
• Une jeune pute vient de trouver une vieille pute ma salope.
• Tu comprends enfin qu’à tout âge on peut aimer baiser ou se faire baiser. Tu as pris mon fric acceptant de quitter ma fille, mais je serais d’accord pour que nous ayons une liaison tarifée bien sûr.
• Y a-t-il un jour où ton mari est absent ?
• Les lundis, il va à sa réunion des anciens élèves de son lycée, une réunion de vieux comme lui.
• J’ai un appartement non loin de chez toi, je te propose que tu y viennes tous les premiers lundis du mois, pour 3 000 €, avec champagne et gâteau compris.
• À la crème ?
Nous éclatons de rire réconcilié après le mauvais départ que notre relation avait pris.
• Nous sommes le 28, à lundi prochain.
• Impossible, j’aurais du mal à rassembler 3 000 € en si peu de temps sans attirer les soupçons de Richard.
• Tu en as bien réuni 70 000, 3 000, ce doit être facile, allée file te laver les fesses, je serais capable de te violer.
• Chiche.
Je lui claque les fesses au passage, ma main récupère quelques bribes de gâteau, je le lèche comme j’ai léché sa chatte et surtout son cul.
Trois mille, pour sauter cette salope sans compter l’enveloppe que j’ai dans ma poche et le contact de ma voiture, cette famille aura été d’une très bonne qualité-prix.
Dans les jours suivants, je continue ma vie d’escorte, c’est le samedi que je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
• Gisèle, que me vaut, cet appel !
• J’ai encore besoin de tes services, tu as tellement plus à mon père qu’il nous invite à une partie de chasse dans notre maison de Sologne.
Soit prêt à 6 heures, je passerais te chercher, il aura tenu et fusil à ta disposition.
Elle raccroche avant que j’aie le temps de lui dire que c’est impossible, surtout si sa mère est là.
Je suis à l’heure, elle me fait monter dans sa voiture et nous prenons la route, elle s’arrête devant une propriété au bout d’un grand étang.
Gisèle me fait entrer dans la propriété qui semble vide.
• Assieds-toi, je reviens, je vais nous faire un café.
Elle s’éclipse, j’entends le bruit des grains qui se broient et elle revient avec deux tasses sur un plateau avec un pot de sucre.
• Tes parents vont arriver !
• Non, on sera seul jusqu’à ce soir, je sais tout, ma salope de mère t’a payé pour me quitter, ce qu’elle a oublié de me dire, c’est si elle a profité de la belle petite salope que tu es.
• Lorsque tu la verras tu lui demanderas où elle a retrouvé du gâteau en rentrant chez elle.
• Inutile de m’en dire plus, je connais ma mère, elle se tape tout ce qui bouge.
Veux-tu m’épouser ?
Le ciel me tomberait sur la tête, qu’il en serait de même.
• Explique-toi, tu sais qui je suis, que j’ai baisé ta mère et tu veux m’épouser, tout ceci est complètement incohérent.
• Je le conçois, mais il y a des choses que j’ai apprises depuis notre dernière rencontre, pendant que tu étais avec ma mère, ce que tu as fait avec t’appartient.
Nous avons dîner ensemble, il m’a annoncé une chose qui m’a fait très mal.
Il va mourir, cancer fulgurant du côlon avec échéance à six mois.
Il sait l’inconscience de sa femme envers de jeunes garçons comme toi.
Il m’a parlé de 70 000 € qu’elle a retirés de son Codevi sans savoir à quoi cela avait servi.
Je la connais, moi aussi et je t’ai dit que je l’ai mis devant le fait accompli. Elle m’a expliqué que tu étais une escorte et que tu en voulais à leur argent en m’épousant, c’était le monde à l’envers.
• J’ai bien ri aussi, notre arrangement ayant parfaitement fonctionné.
• Le problème pour mon père, c’est elle.
Il veut nous confier ses biens, nous laissant sa tutelle qu’il va organiser.
C’est nous qui devrons lui donner de quoi vivre.
Lui aussi a gobé notre subterfuge et tu l’as époustouflé de tant de maturité.
Que décides-tu ?
Toi seul peut changer ta vie comme moi, je vais la changer en acceptant de t’épouser ce qui va contre mes convictions profondes.
À oui, avant que tu me répondes, sache que la chasse, c’est mon truc lorsqu’elle est ouverte, ce qui est le cas en ce moment.
En saison, je viens me resourcer ici, les dimanches, tu peux rester ici à regarder la télé ou venir avec moi.
Quelle réponse ai-je donnée ?
• Richard, reste sur le chemin, ici nous sommes en sécurité.
Richard notre fils nom de son grand-père qui est décédé avant sa naissance, commence à marcher, j’ai terminé de me prostituer, ayant largement de quoi vivre.
Les mariages de raison, ça existe dans ce monde de l’argent.
• Bonjour Benoît, voici tes 3 000 € pour que nous passions notre après-midi ensemble.
• Merci Marguerite, ma femme te les a donnés sans te poser de questions !
• Non, j’ai accepté votre mariage contre son silence, elle ignore que tu es une petite pute.
• C’est bien, viens me sucer, j’ai acheté des éclaires au café, je sais que tu en raffoles.
3 000 dans ma poche, 3 000 qui rentreront dans notre coffre à ma femme et à moi, tout le monde y trouve son compte, pour le meilleur des mondes.
Je sais, c’est complètement immoral.
Payé par la fille avec en prime une voiture de sport et par la mère pour l’oublier.
La situation est plus qu’ambiguë.
Marguerite que je tiens au bout de ma verge dans cette auberge où elle m’a invité à dîner pour me proposer ce marché semble aimer les petits jeunes.
Elle doit se servir d’escortes pour satisfaire ses appétits sexuels, bien qu’elle fasse sa mijaurée pour monter dans une chambre !
Elle m’apprend que Richard son mari est incapable de lui apporter le moindre plaisir.
Je lui ai promis qu’elle aboierait comme une gentille chienne à la fin de la nuit après lui avoir rempli tout ce qu’une femme, même légèrement âgée, peut apporter à une jeune pute comme moi.
J’ai déjà rempli sa bouche de foutre l’obligeant à avaler.
Je suis passé à la deuxième phase de mon plan en la fourrant comme l’on fait d’un éclair avec de la crème dans son vagin.
Je la nettoie comme elle a nettoyé ma verge avec sa langue.
J’ai gardé la bouteille de champagne et profitant de ses jambes relevées, je lui verse du liquide dans le calice ainsi formé.
Le liquide me permet de récupérer la totalité du gâteau et ainsi manger ma part du dessert.
Je l’aide à se redresser et je la pousse sur le lit où elle tombe inondant les draps par le liquide encore en elle, je monte aussi sur le lit.
Je sens ses jambes venir m’enserrer et elle jouit à la suite de mes allées et retours.
• Je voudrais que tu m’embrasses !
• Je suis une pute, c’est toi qui la dis.
Je réserve mes lèvres pour mon souteneur, ce sera celle que j’épouserais dommage cela aurait pu être Giselle.
Je finis par remplir de mes traits de spermes sa chatte accueillante, elle s’accroche tellement à moi que je suis à deux doigts de réaliser mon pari et qu’elle hurle comme une chienne.
• Tu m’as donné faim, nourri moi.
Elle se lève les jambes flageolantes et elle va sur la table récupérer du gâteau pour à son tour me le mettre dans ma bouche, j’en récupère une petite partie et je lui badigeonne les seins.
J’ai lâché la bouteille de champage qui s'est à moitié vidée sur le lit qui est tout poisseux.
Je tends de nouveau le bras et je récupère assez du gâteau pour la couvrir de grandes traînées de crème au chocolat.
• Mets-toi en levrette, l’heure est venue de te faire enculer.
• Je sens que je vais aimer, me faire enculer.
Je voulais l’asservir à ma bite par vengeance, mais c’est une femme qui semble avoir du sentiment pour moi qui tortille son cul devant mes yeux.
Je devrais en rester là par égard pour le minimum de trente ans qui nous sépare.
À quelques années près elle pourrait être ma mère, mais mon expérience presque neuve d’escorte m’a enlevé tous mes tabous.
Il est vrai qu’en y regardant bien à part Giselle qui passe son temps à faire du fric étant juste un peu plus âgé que moi, ce sont la plupart du temps des femmes sur le retour qui se payent mes services.
J’espérais la casser, mais je dois reconnaître qu’elle me bluff et que ma bite entre sans problème dans sa petite rosette.
• Ouaf, ouaf enfin je suis ta chienne, encule-moi bien profond, j’adore
La situation est tellement existante que malgré les deux décharges de spermes successifs, je suis tendu au maximum et je sens mon corps comme le sien exploser.
• Une jeune pute vient de trouver une vieille pute ma salope.
• Tu comprends enfin qu’à tout âge on peut aimer baiser ou se faire baiser. Tu as pris mon fric acceptant de quitter ma fille, mais je serais d’accord pour que nous ayons une liaison tarifée bien sûr.
• Y a-t-il un jour où ton mari est absent ?
• Les lundis, il va à sa réunion des anciens élèves de son lycée, une réunion de vieux comme lui.
• J’ai un appartement non loin de chez toi, je te propose que tu y viennes tous les premiers lundis du mois, pour 3 000 €, avec champagne et gâteau compris.
• À la crème ?
Nous éclatons de rire réconcilié après le mauvais départ que notre relation avait pris.
• Nous sommes le 28, à lundi prochain.
• Impossible, j’aurais du mal à rassembler 3 000 € en si peu de temps sans attirer les soupçons de Richard.
• Tu en as bien réuni 70 000, 3 000, ce doit être facile, allée file te laver les fesses, je serais capable de te violer.
• Chiche.
Je lui claque les fesses au passage, ma main récupère quelques bribes de gâteau, je le lèche comme j’ai léché sa chatte et surtout son cul.
Trois mille, pour sauter cette salope sans compter l’enveloppe que j’ai dans ma poche et le contact de ma voiture, cette famille aura été d’une très bonne qualité-prix.
Dans les jours suivants, je continue ma vie d’escorte, c’est le samedi que je reçois un coup de téléphone sur mon portable.
• Gisèle, que me vaut, cet appel !
• J’ai encore besoin de tes services, tu as tellement plus à mon père qu’il nous invite à une partie de chasse dans notre maison de Sologne.
Soit prêt à 6 heures, je passerais te chercher, il aura tenu et fusil à ta disposition.
Elle raccroche avant que j’aie le temps de lui dire que c’est impossible, surtout si sa mère est là.
Je suis à l’heure, elle me fait monter dans sa voiture et nous prenons la route, elle s’arrête devant une propriété au bout d’un grand étang.
Gisèle me fait entrer dans la propriété qui semble vide.
• Assieds-toi, je reviens, je vais nous faire un café.
Elle s’éclipse, j’entends le bruit des grains qui se broient et elle revient avec deux tasses sur un plateau avec un pot de sucre.
• Tes parents vont arriver !
• Non, on sera seul jusqu’à ce soir, je sais tout, ma salope de mère t’a payé pour me quitter, ce qu’elle a oublié de me dire, c’est si elle a profité de la belle petite salope que tu es.
• Lorsque tu la verras tu lui demanderas où elle a retrouvé du gâteau en rentrant chez elle.
• Inutile de m’en dire plus, je connais ma mère, elle se tape tout ce qui bouge.
Veux-tu m’épouser ?
Le ciel me tomberait sur la tête, qu’il en serait de même.
• Explique-toi, tu sais qui je suis, que j’ai baisé ta mère et tu veux m’épouser, tout ceci est complètement incohérent.
• Je le conçois, mais il y a des choses que j’ai apprises depuis notre dernière rencontre, pendant que tu étais avec ma mère, ce que tu as fait avec t’appartient.
Nous avons dîner ensemble, il m’a annoncé une chose qui m’a fait très mal.
Il va mourir, cancer fulgurant du côlon avec échéance à six mois.
Il sait l’inconscience de sa femme envers de jeunes garçons comme toi.
Il m’a parlé de 70 000 € qu’elle a retirés de son Codevi sans savoir à quoi cela avait servi.
Je la connais, moi aussi et je t’ai dit que je l’ai mis devant le fait accompli. Elle m’a expliqué que tu étais une escorte et que tu en voulais à leur argent en m’épousant, c’était le monde à l’envers.
• J’ai bien ri aussi, notre arrangement ayant parfaitement fonctionné.
• Le problème pour mon père, c’est elle.
Il veut nous confier ses biens, nous laissant sa tutelle qu’il va organiser.
C’est nous qui devrons lui donner de quoi vivre.
Lui aussi a gobé notre subterfuge et tu l’as époustouflé de tant de maturité.
Que décides-tu ?
Toi seul peut changer ta vie comme moi, je vais la changer en acceptant de t’épouser ce qui va contre mes convictions profondes.
À oui, avant que tu me répondes, sache que la chasse, c’est mon truc lorsqu’elle est ouverte, ce qui est le cas en ce moment.
En saison, je viens me resourcer ici, les dimanches, tu peux rester ici à regarder la télé ou venir avec moi.
Quelle réponse ai-je donnée ?
• Richard, reste sur le chemin, ici nous sommes en sécurité.
Richard notre fils nom de son grand-père qui est décédé avant sa naissance, commence à marcher, j’ai terminé de me prostituer, ayant largement de quoi vivre.
Les mariages de raison, ça existe dans ce monde de l’argent.
• Bonjour Benoît, voici tes 3 000 € pour que nous passions notre après-midi ensemble.
• Merci Marguerite, ma femme te les a donnés sans te poser de questions !
• Non, j’ai accepté votre mariage contre son silence, elle ignore que tu es une petite pute.
• C’est bien, viens me sucer, j’ai acheté des éclaires au café, je sais que tu en raffoles.
3 000 dans ma poche, 3 000 qui rentreront dans notre coffre à ma femme et à moi, tout le monde y trouve son compte, pour le meilleur des mondes.
Je sais, c’est complètement immoral.
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