COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Saison II (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE BOY. Le bal des vieilles. Saison II (6/7)
Incroyable, Giselle l’une de mes clientes m'a contacté et payé pour jouer un jeu devant ses parents.
Tout a bien fonctionné au point que sa mère croie dure comme fer que j’essaye de gruger sa fille pour me faire épouser.
Je décide de jouer le jeu, Marguerite me donne du pognon, pourquoi le refuser.
J’ai été correcte avec Giselle ayant respecté notre contrat même si la voiture qu’elle m’a offerte doit valoir un paquet de fric.
• C’est dommage belle maman, quand nous dansions le slow, j’avais l’impression que le courant passait entre nous.
Comment avez-vous trouvé mon site grâce auquel je trouve des femmes souvent comme vous ?
• Je fais ce que je veux et je trouve ce que je trouve sur Internet, que voulez-vous dire par « femme souvent comme vous » ?
• Des salopes qui trompent leur mari avec des jeunots refusant à leur fille les mêmes envies.
J’ai compris, vous cherchiez des escortes pour prendre du plaisir avec des jeunes et vous êtes tombée sur Bruno.
• C’est un peu cela, Richard mon mari avec l’âge est impuissant alors que j’ai une sexualité encore assez débordante.
Je dois reconnaître qu’un petit jeune de temps en temps, c’est fait pour me plaire et me satisfaire.
Il gagne de l’argent, il est normal que je le dépense, en voilà la preuve.
Je prends l’enveloppe que je glisse dans l’intérieur de ma veste.
• Tu vois, j’ai pris l’argent, ce qui veut dire que je ferrais ce que tu souhaites ?
J’ai vu en arrivant à la réception qu’il y avait un tableau de clefs.
Ils doivent avoir des chambres, si je suis à ton goût, je suis une pute prête à te servir.
Montons et je te ferais grimper aux rideaux, tu payes la chambre il va de soi.
• Comment me parlez-vous ?
• Comme à une salope qui bave devant moi et qui va me suivre à l’étage, malgré tes airs de dame patronnesse, tu transpires la femelle en chaleur.
• Mais...
La responsable de l’auberge passe pour apporter l’addition à un couple d’amoureux.
• Pardon madame, avez-vous une chambre à mettre à notre disposition.
Nous prendrons le dessert dans l’une d’elles !
Vous nous servirez votre meilleur champagne, madame souhaite retrouver sa jeunesse.
• La chambre nuptiale est libre, passez à la réception je vous donnerais la clef de notre plus belle chambre.
Madame bonne fin de soirée.
• Vous pouvez dire « de nuit » je suis en pleine forme ma chère.
Marguerite est rouge de confusion.
Cette couleur sur ses joues doit être nouvelle pour elle depuis le temps de ses vingt ans ou ce rouge a dû apparaître le jour ou un garçon l’a dépucelé.
Pourquoi pas Richard le jour de leur mariage les filles restant vierges en vue de cette nuit qui neuf fois sur dix finissait par un fiasco ?
Maman a raconté le mariage de la fille de leur charcutier s’étant mariée en grande pompe avec plus de 200 invités.
Huit jours plus tard, les parents demandaient l’annulation du mariage, car le marié était incapable de tendre le bras.
Il était pédé comme un phoque et la chatte de sa compagne le laissaient de marbre.
Ils auraient mieux fait d’essayer avant, ils auraient économisé et évité le ridicule.
Comme elle me l’a proposé sans attendre l’accord de Marguerite, je me lève.
Galant je recule sa chaise et sous le regard des quelques derniers clients dans la salle, j’entraîne belle maman vers la réception.
Elle aurait pu partir, mais je crois que je l’ai mouché, elle est dans un état second dont j’espère bien la faire sortir.
Mine de rien cette nuit d’amour va lui coûter 70 000 €, alors je dois faire un effort.
Les quelques marches qui nous séparent du couloir où se trouve les chambres doivent être un calvaire surtout que je la pousse en lui mettant la main sur son joli petit cul.
• Aller dépêche-toi, ma queue trépigne de se retrouver dans ta bouche.
Je pense que tu dois adorer te faire tringler dans ta chatte de vieille salope à moins que ton anus préfère se faire enculer.
Tu vas voir, je suis un spécialiste.
Je te rappelle sur mon site, il est stipulé « Toute pratique sexuelle sans aucun tabou. »
Ma provoque est maximum, mais elle semble vivre ailleurs.
À la dernière marche sa cheville flanche et elle me tombe dans les bras.
• Dans le couloir tu veux te faire tringler dans le couloir.
Dommage si j’avais su j’aurais emmené un collier pour chienne en chaleur et la laisse qui va avec.
Je te promets qu’avant la fin de la nuit tu aboieras comme un gentil toutou à sa mémère.
Je vois une larme au bord de ses yeux qui malgré son âge et quelques cernes sont d’un bleu très profond.
En d’autres temps, je l’aurais cajolé comme je le fais avec mes conquêtes pécuniaires bien que certaines aiment la méthode forte !
Si je fouille bien dans les tiroirs de mon appartement je retrouverai le martinet qu’une d’elles avait apporté et qui voulait que je m’en serve chaque fois qu’elle prenait rendez-vous.
Le martinet, les bracelets pour immobiliser ses mains et une boule que je lui mettais dans la bouche évitant aux voisins de demander que l’on m’expulse.
Quand je suis venu au rendez-vous de belle-maman, j’étais loin de me douter ce qu’il m’arrive et que je lui donnerais l’ordre qui fuse de ma bouche.
• Ouvre la porte ou tu vas connaître la meilleure soirée de ta putain de vie.
Je te laisserais quand tu viendras devant moi en rampant demandant d’arrêter de te défoncer.
Je viens de lui tendre la clef dans un dernier geste lui permettant de refuser que celui qu’elle prend pour l’amant de sa fille avant qu’elle devienne la mienne, mais elle ouvre.
• À poil, non attend tu dois savoir faire un strip fait moi voir, comment tu tortille ton cul.
La chambre est cossue avec un lit qui m’est inutile présentement.
Un fauteuil est suffisant pour que je sois placé à la hauteur de la chatte de cette fausse belle-mère.
J’adore avec Giselle nous voulions faire croire à notre mariage et en prime je vais baiser belle-maman.
• Danses, tu m’as fait voir ce que tu aimais chez ta fille.
• Mais, non, pourquoi ai-je accepté de venir dans cette chambre ?
Marguerite semble revenir sur terre, mais j’ai protégé mes arrières en fermant la porte à clef que j’ai placée dans ma veste à côté de l'enveloppe rebondie qu’elle m’a donnée et que j’ai accepté.
J’ai compris qu’elle aime être troublée, aussi je continue à l’agresser verbalement.
Je sors le portable offert par sa fille et je cherche les programmes de musique qui résonne dans la chambreElle comment a se dénuder sans pour autant risquer de faire fortune à Pigalle dans les boîtes à strip.
• Chauffe bébé, chauffe.
Je me tortille dans mon fauteuil au rythme de la musique jusqu’au moment où elle veut enlever sa petite culotte, elle est bien foutue même si ses seins sont attirés avec l’âge vers les Chinois.
• Sors-moi la queue, je vais commencer par me masturber dans ta bouche.
Elle s’agenouille matée répondant sans sourciller à mes sollicitations.
Sa fille m’a sucé avant elle, alors que le Zip de la fermeture se fait entendre malgré la musique qui continue à emplir la chambre.
Elle me la sort et veut la prendre en bouche.
• Attends.
La table avec un magnifique gâteau à la crème ainsi qu’une bouteille de champagne avec deux coupes sont à la portée de ma main.
J’en prends un morceau avec ma main et je m’en badigeonne.
• Maintenant, tu peux manger ton dessert, il est près.
Nettoie là, je veux qu’elle soit nickel et si tu me pompes bien tu récupéreras de grandes quantités de chantilly.
Elle prend ma hampe dans sa main se maculant de crème.
Elle commence à me sucer, je prends la bouteille de champagne le versant sur ma queue.
Le liquide se mélangeant aux morceaux de gâteau que j’ai arrachés.
Elle lèche me nettoyant tout en me pompant, elle semble apprécier son dessert et je dois dire que moi aussi.
Il y a longtemps que ma verge est aussi propre qu’un sou neuf, quand mon corps se tend et que je crache de longs jets de sperme tout au fond de sa gorge.
• C’est bien belle salope, j’ai bien joui dans ta gorge, avale tout.
Elle déglutit et tombe en arrière sur la moquette les cuisses écartelées qu’elle tient avec ses mains à hauteur de ses genoux.
Elle me montre son âge, les poils de sa chatte sont d’un blanc immaculé, les vraies neiges du Kilimandjaro.
• Je t’en supplie, baise-moi, je veux sentir ton sexe en moi.
• Et moi mon dessert, j’y ai droit.
• Au oui !
Je récupère une grosse poignée de gâteau que je fais entrer dans son vagin, il y en a partout, jusque dans le bas de sa raie.
Afin que la crème pénètre je fais entrer trois doigts et avec mon pouce je caresse son clitoris.
• Continu, espèce de salopard, tu aimes que je sois ta chienne alors je le suis, j’ai des frissons en attendant que toi aussi tu manges notre dessert.
• Tu te souviens, j’ai promis de t’enculer, le moment est venu, mais avant je vais décharger dans ta chatte après t’avoir bien fouillée.
Je la lèche à mon tour récupérant la crème en en mettant partout.
Je lui relève les jambes et ainsi je peux la lécher de son anus à son clito.
Malgré son âge, Marguerite doit s’entretenir, j’ai essayé avec une cliente, mais ça m’a été impossible, c’était loin de plaisir qu’elle criait.
Marguerite est presque prête, je fais entrer de la crème dans sa rosette…
Tout a bien fonctionné au point que sa mère croie dure comme fer que j’essaye de gruger sa fille pour me faire épouser.
Je décide de jouer le jeu, Marguerite me donne du pognon, pourquoi le refuser.
J’ai été correcte avec Giselle ayant respecté notre contrat même si la voiture qu’elle m’a offerte doit valoir un paquet de fric.
• C’est dommage belle maman, quand nous dansions le slow, j’avais l’impression que le courant passait entre nous.
Comment avez-vous trouvé mon site grâce auquel je trouve des femmes souvent comme vous ?
• Je fais ce que je veux et je trouve ce que je trouve sur Internet, que voulez-vous dire par « femme souvent comme vous » ?
• Des salopes qui trompent leur mari avec des jeunots refusant à leur fille les mêmes envies.
J’ai compris, vous cherchiez des escortes pour prendre du plaisir avec des jeunes et vous êtes tombée sur Bruno.
• C’est un peu cela, Richard mon mari avec l’âge est impuissant alors que j’ai une sexualité encore assez débordante.
Je dois reconnaître qu’un petit jeune de temps en temps, c’est fait pour me plaire et me satisfaire.
Il gagne de l’argent, il est normal que je le dépense, en voilà la preuve.
Je prends l’enveloppe que je glisse dans l’intérieur de ma veste.
• Tu vois, j’ai pris l’argent, ce qui veut dire que je ferrais ce que tu souhaites ?
J’ai vu en arrivant à la réception qu’il y avait un tableau de clefs.
Ils doivent avoir des chambres, si je suis à ton goût, je suis une pute prête à te servir.
Montons et je te ferais grimper aux rideaux, tu payes la chambre il va de soi.
• Comment me parlez-vous ?
• Comme à une salope qui bave devant moi et qui va me suivre à l’étage, malgré tes airs de dame patronnesse, tu transpires la femelle en chaleur.
• Mais...
La responsable de l’auberge passe pour apporter l’addition à un couple d’amoureux.
• Pardon madame, avez-vous une chambre à mettre à notre disposition.
Nous prendrons le dessert dans l’une d’elles !
Vous nous servirez votre meilleur champagne, madame souhaite retrouver sa jeunesse.
• La chambre nuptiale est libre, passez à la réception je vous donnerais la clef de notre plus belle chambre.
Madame bonne fin de soirée.
• Vous pouvez dire « de nuit » je suis en pleine forme ma chère.
Marguerite est rouge de confusion.
Cette couleur sur ses joues doit être nouvelle pour elle depuis le temps de ses vingt ans ou ce rouge a dû apparaître le jour ou un garçon l’a dépucelé.
Pourquoi pas Richard le jour de leur mariage les filles restant vierges en vue de cette nuit qui neuf fois sur dix finissait par un fiasco ?
Maman a raconté le mariage de la fille de leur charcutier s’étant mariée en grande pompe avec plus de 200 invités.
Huit jours plus tard, les parents demandaient l’annulation du mariage, car le marié était incapable de tendre le bras.
Il était pédé comme un phoque et la chatte de sa compagne le laissaient de marbre.
Ils auraient mieux fait d’essayer avant, ils auraient économisé et évité le ridicule.
Comme elle me l’a proposé sans attendre l’accord de Marguerite, je me lève.
Galant je recule sa chaise et sous le regard des quelques derniers clients dans la salle, j’entraîne belle maman vers la réception.
Elle aurait pu partir, mais je crois que je l’ai mouché, elle est dans un état second dont j’espère bien la faire sortir.
Mine de rien cette nuit d’amour va lui coûter 70 000 €, alors je dois faire un effort.
Les quelques marches qui nous séparent du couloir où se trouve les chambres doivent être un calvaire surtout que je la pousse en lui mettant la main sur son joli petit cul.
• Aller dépêche-toi, ma queue trépigne de se retrouver dans ta bouche.
Je pense que tu dois adorer te faire tringler dans ta chatte de vieille salope à moins que ton anus préfère se faire enculer.
Tu vas voir, je suis un spécialiste.
Je te rappelle sur mon site, il est stipulé « Toute pratique sexuelle sans aucun tabou. »
Ma provoque est maximum, mais elle semble vivre ailleurs.
À la dernière marche sa cheville flanche et elle me tombe dans les bras.
• Dans le couloir tu veux te faire tringler dans le couloir.
Dommage si j’avais su j’aurais emmené un collier pour chienne en chaleur et la laisse qui va avec.
Je te promets qu’avant la fin de la nuit tu aboieras comme un gentil toutou à sa mémère.
Je vois une larme au bord de ses yeux qui malgré son âge et quelques cernes sont d’un bleu très profond.
En d’autres temps, je l’aurais cajolé comme je le fais avec mes conquêtes pécuniaires bien que certaines aiment la méthode forte !
Si je fouille bien dans les tiroirs de mon appartement je retrouverai le martinet qu’une d’elles avait apporté et qui voulait que je m’en serve chaque fois qu’elle prenait rendez-vous.
Le martinet, les bracelets pour immobiliser ses mains et une boule que je lui mettais dans la bouche évitant aux voisins de demander que l’on m’expulse.
Quand je suis venu au rendez-vous de belle-maman, j’étais loin de me douter ce qu’il m’arrive et que je lui donnerais l’ordre qui fuse de ma bouche.
• Ouvre la porte ou tu vas connaître la meilleure soirée de ta putain de vie.
Je te laisserais quand tu viendras devant moi en rampant demandant d’arrêter de te défoncer.
Je viens de lui tendre la clef dans un dernier geste lui permettant de refuser que celui qu’elle prend pour l’amant de sa fille avant qu’elle devienne la mienne, mais elle ouvre.
• À poil, non attend tu dois savoir faire un strip fait moi voir, comment tu tortille ton cul.
La chambre est cossue avec un lit qui m’est inutile présentement.
Un fauteuil est suffisant pour que je sois placé à la hauteur de la chatte de cette fausse belle-mère.
J’adore avec Giselle nous voulions faire croire à notre mariage et en prime je vais baiser belle-maman.
• Danses, tu m’as fait voir ce que tu aimais chez ta fille.
• Mais, non, pourquoi ai-je accepté de venir dans cette chambre ?
Marguerite semble revenir sur terre, mais j’ai protégé mes arrières en fermant la porte à clef que j’ai placée dans ma veste à côté de l'enveloppe rebondie qu’elle m’a donnée et que j’ai accepté.
J’ai compris qu’elle aime être troublée, aussi je continue à l’agresser verbalement.
Je sors le portable offert par sa fille et je cherche les programmes de musique qui résonne dans la chambreElle comment a se dénuder sans pour autant risquer de faire fortune à Pigalle dans les boîtes à strip.
• Chauffe bébé, chauffe.
Je me tortille dans mon fauteuil au rythme de la musique jusqu’au moment où elle veut enlever sa petite culotte, elle est bien foutue même si ses seins sont attirés avec l’âge vers les Chinois.
• Sors-moi la queue, je vais commencer par me masturber dans ta bouche.
Elle s’agenouille matée répondant sans sourciller à mes sollicitations.
Sa fille m’a sucé avant elle, alors que le Zip de la fermeture se fait entendre malgré la musique qui continue à emplir la chambre.
Elle me la sort et veut la prendre en bouche.
• Attends.
La table avec un magnifique gâteau à la crème ainsi qu’une bouteille de champagne avec deux coupes sont à la portée de ma main.
J’en prends un morceau avec ma main et je m’en badigeonne.
• Maintenant, tu peux manger ton dessert, il est près.
Nettoie là, je veux qu’elle soit nickel et si tu me pompes bien tu récupéreras de grandes quantités de chantilly.
Elle prend ma hampe dans sa main se maculant de crème.
Elle commence à me sucer, je prends la bouteille de champagne le versant sur ma queue.
Le liquide se mélangeant aux morceaux de gâteau que j’ai arrachés.
Elle lèche me nettoyant tout en me pompant, elle semble apprécier son dessert et je dois dire que moi aussi.
Il y a longtemps que ma verge est aussi propre qu’un sou neuf, quand mon corps se tend et que je crache de longs jets de sperme tout au fond de sa gorge.
• C’est bien belle salope, j’ai bien joui dans ta gorge, avale tout.
Elle déglutit et tombe en arrière sur la moquette les cuisses écartelées qu’elle tient avec ses mains à hauteur de ses genoux.
Elle me montre son âge, les poils de sa chatte sont d’un blanc immaculé, les vraies neiges du Kilimandjaro.
• Je t’en supplie, baise-moi, je veux sentir ton sexe en moi.
• Et moi mon dessert, j’y ai droit.
• Au oui !
Je récupère une grosse poignée de gâteau que je fais entrer dans son vagin, il y en a partout, jusque dans le bas de sa raie.
Afin que la crème pénètre je fais entrer trois doigts et avec mon pouce je caresse son clitoris.
• Continu, espèce de salopard, tu aimes que je sois ta chienne alors je le suis, j’ai des frissons en attendant que toi aussi tu manges notre dessert.
• Tu te souviens, j’ai promis de t’enculer, le moment est venu, mais avant je vais décharger dans ta chatte après t’avoir bien fouillée.
Je la lèche à mon tour récupérant la crème en en mettant partout.
Je lui relève les jambes et ainsi je peux la lécher de son anus à son clito.
Malgré son âge, Marguerite doit s’entretenir, j’ai essayé avec une cliente, mais ça m’a été impossible, c’était loin de plaisir qu’elle criait.
Marguerite est presque prête, je fais entrer de la crème dans sa rosette…
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