COLLECTION ESCORTE BOY. Mamy est gourmande (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE BOY. Mamy est gourmande (1/1)
- Alors, je peux faire ce que je veux, vous allez réaliser tous mes fantasmes ?
- Dans la mesure de la décence tous ce que tu veux.
Pour commencer, on se dit, « tu, » tu verras ce sera plus facile pour avoir des rapports harmonieux au plus près de tes envies.
- Qu’entends-tu par limite de la décence ?
- Pas de manche à balai dans le cul.
Ça m’est arrivé une fois, une femme dans tes âges a voulu me sodomiser avec son balai à chiotte.
- De quel côté, sinon ça doit faire mal.
- Veux-tu que j’aille chercher le tient ?
- Ça ne va pas, j’ai des fantasmes c’est pourquoi tu es là, mais les balais de chiotte dans le cul, à d'autres.
- Donne-moi l’un de tes fantasmes, je verrais ce que je peux faire !
- Le premier, tu viens déjà de le réaliser.
J’ai toujours fantasmé sur les noirs et tu es là.
- Ça c’est facile pour moi, grâce à papa et maman qui étaient aussi blacks que moi.
- Tu sais dans notre échange téléphonique que je souhaite que ta verge soit comme celle de certains noirs que j’ai vus sur Internet, grosse, je dirais même très grosse, longue très longue.
- Je vois que tes yeux brillent quand tu prononces grosse et longue.
- Puis-je la voir ?
- Bien sûr, dès que nous aurons réglé le petit problème de l’enveloppe que je t’ai demandé.
- C’est vrai, je manque à tous mes devoirs, elle est là sur la table du salon.
Si je te la donnais moi-même j’aurais l’impression d’être une salope.
Il prend l’enveloppe que j’ai posé et la place dans le poche intérieur de sa veste.
J’ai bien choisi l’homme que je souhaite m’offrir pour mes 60 ans dont cinq de veuvage.
Carrure d’athlète c’est ce qui m’avait séduit après que je me suis logée sur le site que Geneviève mon amie m’avait dit consulté et utilisé.
Je fantasmais sur les noirs, elle s’est sur les Maghrébins.
Elle a eu un amant après son mariage qui était marocain, il était venu leur construire un garage jouxtant leur villa.
C’est le troisième jour à ce qu’elle m’a raconté qu’elle lui a amené un thermos de café.
Elle était devenue folle, mais elle ne le regrettait pas.
Il l’avait baisé sur le tas de sable en lui enlevant simplement sa culotte.
Le soir, elle s’était couchée et malgré la douche qu’elle avait prise comme chaque soir, dans la nuit, Paul son mari s’était plein qu’il y avait du sable dans leur lit.
Ça ne l’avait pas arrêté, le lendemain elle avait pris soin de se faire prendre sur un tas de palettes qui avait servi à livrer les tuiles qu’il venait de placer sur le toit.
Pendant la semaine qui a suivi, tous ce qu’il voulait, elle le faisait.
Jusqu’à baiser sur la table de leur cuisine.
Le tas de sable avait disparu ayant servi à faire le ciment et le crépi et l’incident du sable ne s’était pas reproduit.
Les travaux terminés, à part le souvenir de son sexe qui la défonçait comme lui seul savait le faire, elle était revenue à des baises avec Paul pleine de rancœur car il ne savait pas y faire avec les femmes.
Il faut dire qu’ils étaient puceaux tous les deux et dans ce temps-là, les jeunes ne regardaient pas de film porno.
- Où veux-tu que nous fassions ça dans ton salon ou dans ta chambre ?
- Ma chambre, j’aurais l’impression de tromper Paul.
Je lui ai toujours dit qu’après lui, il n’y aurait pas d’autre homme.
Alors tu penses un noir lui qui était raciste, je veux éviter qu’il se retourne dans sa tombe.
- Geneviève, tu m’as dit t’appeler Geneviève, je ne suis pas un homme, je suis une simple bite qui va te donner du plaisir.
- Tu sembles avoir une réponse à chaque problème, tu sembles avoir fait des études.
- J’ai un diplôme supérieur en psychologie.
- Pourquoi ne cherches-tu pas à ouvrir un cabinet pour les gens qui ont besoin de s’épancher sur leurs malheurs ?
- Justement parce qu’il s’épanche et que ça me saoul.
En étant escorte boy, les femmes s’épanchent sur ma queue et ça me rapporte beaucoup plus.
Ce n’est pas le tout, le temps c’est de l’argent et j’ai une femme qui m’attend après toi.
- Tu arrives à honorer combien de femmes par jour ?
- Suivant les moments, une le matin ainsi qu'une l’après-midi.
Le soir je m’occupe de ma fiancée.
- Sait-elle que tu te prostitues ?
- Elle est elle-même escorte girl, c’est aussi l’un des plus jolis mannequins de Paris !
- L’un et l’autre vous n’êtes pas jaloux ?
- Non, nous faisons ça pour accumuler de l’argent.
Nous souhaitons rentrer en Martinique.
Ses parents possèdent un hôtel qu’il faut rénover pour le mettre aux normes.
Chaque mois, 50 % de ce que l’on gagne nous leur envoyons.
Eux savent comment vous le gagnez ?
Bien sûr, pourquoi cacher ce qui est naturel, le sexe et l’argent ça a toujours marché ensemble.
La maman de Gloria était pute dans la basse ville de Toulon, avant de retourner au pays pour ouvrir leur hôtel, mais il y a bien longtemps.
Ce sont les marins qui la baisaient qui leur a permis de revenir au pays les poches pleines !
- Son père savait que sa femme se prostituait ?
- En France, il a été arrêté pour proxénétisme, par chance s’était quelque temps après avoir acheté leur hôtel au pays.
Le juge a été magnanime, ils se sont expliqués et il est reparti libre avec une simple amande de 5 000 francs.
- À oui, c’était encore en Franc.
- Oui et ma belle-mère est restée six mois de plus seule pour sucer des bites et récupérer l’argent bêtement perdu par un cocu qui les avait donnés au flic.
- Viens, nous allons dans la chambre d’amis, c’est un endroit neutre avec Paul, il n’y mettait jamais les pieds.
Incroyable pute femelle et maintenant pute mâle de mère en fille, que sera la prochaine génération je préfère ne pas y penser.
Dans la chambre il me déshabille s’occupant de mes seins.
- Que veux-tu me faire ?
- La voir et la sucer, je n’ai jamais fait de fellation à mon homme, je trouvais ça dégoutant.
Depuis Internet, je sais que j’avais tort.
Il sort sa queue, au repos elle est gigantesque.
Je me demande où il la cachait dans son pantalon.
- Prends-la en bouche, aucune femme n’a réussi à la mettre à l’intérieur.
Je suis voué à ce que l’on me suce de mon prépuce à mes couilles.
Caresse-les, attention, tu n’as le droit qu’à une éjaculation.
- C’est très restreignant.
- Non, c’est ma fiancée elle veut avoir sa part le soir quand je rentre.
Vous les femmes vous pouvez avoir plusieurs orgasmes et elle ne s’en prive pas, mais nous il faut recharger notre sperme.
C’est bien, si c’est la première fois tu es douée.
Arrête, je vais te prendre, je parie que sur Internet, la levrette était la position favorite qui te faisait fantasmer.
- Tu as tout compris, je dois dire que j’ai un peu peur.
- Nous allons faire ça tranquillement, doucement, ça va t’écarter au début mais dès que le chemin se sera ouvert, je suis sûr de te faire jouir rapidement.
Toutes mes clientes et ma fiancée je les fais jouir rapidement.
Je me place à quatre pattes comme j’ai vu de nombreuses femmes le faire dans les films cochons que je regarde.
Avec Paul, toujours dans la position du missionnaire et il pesait 152 kilos.
Bonjours le plaisir.
- Geneviève regarde, une araignée sur le mur.
- Où ça ?
- C’est fait, je suis rentré, tu as eu plus peur d’une éventuelle araignée que ma bite que j’ai rentrée aux trois quarts d’un seul coup.
Quels mots sortent de ma bouche quand la jouissance me prend.
Pendant combien de temps me lime-t-il, je ne sais le dire.
Ce qui est sûr c’est que j’ai un orgasme dévastateur juste à l’heure de ma naissance et qu’il me remplit la chatte semblant ne jamais arrêter d’éjaculer.
Je reprends mon souffle et se lève pour se rhabiller.
Mon souffle retrouvé, je veux recommencer prochainement.
- Dis-moi, ta femme elle va avec les femmes ?
- Si on la paye oui, aucun tabou, si tu connais un homme qui veut m’enculer, je suis partant.
Chaque passe nous rapproche de notre île.
- Sans aller jusque-là, tu es trop gros, je ferais appel à vous dans les plus brefs délais avant que vous nous quittiez !
Avoir une expérience lesbienne, c’est le dernier fantasme que je dois réaliser.
- Dans la mesure de la décence tous ce que tu veux.
Pour commencer, on se dit, « tu, » tu verras ce sera plus facile pour avoir des rapports harmonieux au plus près de tes envies.
- Qu’entends-tu par limite de la décence ?
- Pas de manche à balai dans le cul.
Ça m’est arrivé une fois, une femme dans tes âges a voulu me sodomiser avec son balai à chiotte.
- De quel côté, sinon ça doit faire mal.
- Veux-tu que j’aille chercher le tient ?
- Ça ne va pas, j’ai des fantasmes c’est pourquoi tu es là, mais les balais de chiotte dans le cul, à d'autres.
- Donne-moi l’un de tes fantasmes, je verrais ce que je peux faire !
- Le premier, tu viens déjà de le réaliser.
J’ai toujours fantasmé sur les noirs et tu es là.
- Ça c’est facile pour moi, grâce à papa et maman qui étaient aussi blacks que moi.
- Tu sais dans notre échange téléphonique que je souhaite que ta verge soit comme celle de certains noirs que j’ai vus sur Internet, grosse, je dirais même très grosse, longue très longue.
- Je vois que tes yeux brillent quand tu prononces grosse et longue.
- Puis-je la voir ?
- Bien sûr, dès que nous aurons réglé le petit problème de l’enveloppe que je t’ai demandé.
- C’est vrai, je manque à tous mes devoirs, elle est là sur la table du salon.
Si je te la donnais moi-même j’aurais l’impression d’être une salope.
Il prend l’enveloppe que j’ai posé et la place dans le poche intérieur de sa veste.
J’ai bien choisi l’homme que je souhaite m’offrir pour mes 60 ans dont cinq de veuvage.
Carrure d’athlète c’est ce qui m’avait séduit après que je me suis logée sur le site que Geneviève mon amie m’avait dit consulté et utilisé.
Je fantasmais sur les noirs, elle s’est sur les Maghrébins.
Elle a eu un amant après son mariage qui était marocain, il était venu leur construire un garage jouxtant leur villa.
C’est le troisième jour à ce qu’elle m’a raconté qu’elle lui a amené un thermos de café.
Elle était devenue folle, mais elle ne le regrettait pas.
Il l’avait baisé sur le tas de sable en lui enlevant simplement sa culotte.
Le soir, elle s’était couchée et malgré la douche qu’elle avait prise comme chaque soir, dans la nuit, Paul son mari s’était plein qu’il y avait du sable dans leur lit.
Ça ne l’avait pas arrêté, le lendemain elle avait pris soin de se faire prendre sur un tas de palettes qui avait servi à livrer les tuiles qu’il venait de placer sur le toit.
Pendant la semaine qui a suivi, tous ce qu’il voulait, elle le faisait.
Jusqu’à baiser sur la table de leur cuisine.
Le tas de sable avait disparu ayant servi à faire le ciment et le crépi et l’incident du sable ne s’était pas reproduit.
Les travaux terminés, à part le souvenir de son sexe qui la défonçait comme lui seul savait le faire, elle était revenue à des baises avec Paul pleine de rancœur car il ne savait pas y faire avec les femmes.
Il faut dire qu’ils étaient puceaux tous les deux et dans ce temps-là, les jeunes ne regardaient pas de film porno.
- Où veux-tu que nous fassions ça dans ton salon ou dans ta chambre ?
- Ma chambre, j’aurais l’impression de tromper Paul.
Je lui ai toujours dit qu’après lui, il n’y aurait pas d’autre homme.
Alors tu penses un noir lui qui était raciste, je veux éviter qu’il se retourne dans sa tombe.
- Geneviève, tu m’as dit t’appeler Geneviève, je ne suis pas un homme, je suis une simple bite qui va te donner du plaisir.
- Tu sembles avoir une réponse à chaque problème, tu sembles avoir fait des études.
- J’ai un diplôme supérieur en psychologie.
- Pourquoi ne cherches-tu pas à ouvrir un cabinet pour les gens qui ont besoin de s’épancher sur leurs malheurs ?
- Justement parce qu’il s’épanche et que ça me saoul.
En étant escorte boy, les femmes s’épanchent sur ma queue et ça me rapporte beaucoup plus.
Ce n’est pas le tout, le temps c’est de l’argent et j’ai une femme qui m’attend après toi.
- Tu arrives à honorer combien de femmes par jour ?
- Suivant les moments, une le matin ainsi qu'une l’après-midi.
Le soir je m’occupe de ma fiancée.
- Sait-elle que tu te prostitues ?
- Elle est elle-même escorte girl, c’est aussi l’un des plus jolis mannequins de Paris !
- L’un et l’autre vous n’êtes pas jaloux ?
- Non, nous faisons ça pour accumuler de l’argent.
Nous souhaitons rentrer en Martinique.
Ses parents possèdent un hôtel qu’il faut rénover pour le mettre aux normes.
Chaque mois, 50 % de ce que l’on gagne nous leur envoyons.
Eux savent comment vous le gagnez ?
Bien sûr, pourquoi cacher ce qui est naturel, le sexe et l’argent ça a toujours marché ensemble.
La maman de Gloria était pute dans la basse ville de Toulon, avant de retourner au pays pour ouvrir leur hôtel, mais il y a bien longtemps.
Ce sont les marins qui la baisaient qui leur a permis de revenir au pays les poches pleines !
- Son père savait que sa femme se prostituait ?
- En France, il a été arrêté pour proxénétisme, par chance s’était quelque temps après avoir acheté leur hôtel au pays.
Le juge a été magnanime, ils se sont expliqués et il est reparti libre avec une simple amande de 5 000 francs.
- À oui, c’était encore en Franc.
- Oui et ma belle-mère est restée six mois de plus seule pour sucer des bites et récupérer l’argent bêtement perdu par un cocu qui les avait donnés au flic.
- Viens, nous allons dans la chambre d’amis, c’est un endroit neutre avec Paul, il n’y mettait jamais les pieds.
Incroyable pute femelle et maintenant pute mâle de mère en fille, que sera la prochaine génération je préfère ne pas y penser.
Dans la chambre il me déshabille s’occupant de mes seins.
- Que veux-tu me faire ?
- La voir et la sucer, je n’ai jamais fait de fellation à mon homme, je trouvais ça dégoutant.
Depuis Internet, je sais que j’avais tort.
Il sort sa queue, au repos elle est gigantesque.
Je me demande où il la cachait dans son pantalon.
- Prends-la en bouche, aucune femme n’a réussi à la mettre à l’intérieur.
Je suis voué à ce que l’on me suce de mon prépuce à mes couilles.
Caresse-les, attention, tu n’as le droit qu’à une éjaculation.
- C’est très restreignant.
- Non, c’est ma fiancée elle veut avoir sa part le soir quand je rentre.
Vous les femmes vous pouvez avoir plusieurs orgasmes et elle ne s’en prive pas, mais nous il faut recharger notre sperme.
C’est bien, si c’est la première fois tu es douée.
Arrête, je vais te prendre, je parie que sur Internet, la levrette était la position favorite qui te faisait fantasmer.
- Tu as tout compris, je dois dire que j’ai un peu peur.
- Nous allons faire ça tranquillement, doucement, ça va t’écarter au début mais dès que le chemin se sera ouvert, je suis sûr de te faire jouir rapidement.
Toutes mes clientes et ma fiancée je les fais jouir rapidement.
Je me place à quatre pattes comme j’ai vu de nombreuses femmes le faire dans les films cochons que je regarde.
Avec Paul, toujours dans la position du missionnaire et il pesait 152 kilos.
Bonjours le plaisir.
- Geneviève regarde, une araignée sur le mur.
- Où ça ?
- C’est fait, je suis rentré, tu as eu plus peur d’une éventuelle araignée que ma bite que j’ai rentrée aux trois quarts d’un seul coup.
Quels mots sortent de ma bouche quand la jouissance me prend.
Pendant combien de temps me lime-t-il, je ne sais le dire.
Ce qui est sûr c’est que j’ai un orgasme dévastateur juste à l’heure de ma naissance et qu’il me remplit la chatte semblant ne jamais arrêter d’éjaculer.
Je reprends mon souffle et se lève pour se rhabiller.
Mon souffle retrouvé, je veux recommencer prochainement.
- Dis-moi, ta femme elle va avec les femmes ?
- Si on la paye oui, aucun tabou, si tu connais un homme qui veut m’enculer, je suis partant.
Chaque passe nous rapproche de notre île.
- Sans aller jusque-là, tu es trop gros, je ferais appel à vous dans les plus brefs délais avant que vous nous quittiez !
Avoir une expérience lesbienne, c’est le dernier fantasme que je dois réaliser.
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