COLLECTION ESCORTE BOY. Un vrai démonte pneu (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE BOY. Un vrai démonte pneu (1/1)
- Bonjour Adrien près pour le grand jour ?
- Le grand jour, tu rigoles Sophie, si j’ai 7 à mon bac je me sentirais heureux, comment veux-tu avoir ton bac quand tu as glandé toute l’année.
- Tu aurais dû travailler et après choisir un métier lucratif pour te trouver une gentille fille comme moi.
Je m’appelle Adrien, j’ai 18 ans et c’est mon aventure que je vais vous narrer.
Tout a commencé à ma naissance quant à peine sortie du ventre de ma mère j’ai entendu les infirmières s’émerveiller.
- Dis donc celui-là, j’aimerais bien qu’il ait 20 ans de plus, t’as vu un vrai démonte pneu.
Bien sûr je braillais tellement que j’ai à peine entendu ces mots mais rapidement je me suis aperçu que j’en avais une hors du commun.
Une seule fois je me suis mis nu dans les douches devant d’autres garçons.
C’est le premier jour que je suis allé faire du foot.
À 6 ans, elle était déjà fort grande.
Entre enfants on est intraitable, ils ont tellement ri que ce fut le seul jour où je me suis déshabillé devant des tierces personnes.
J’ai prétexté avoir deux pieds gauches pour éviter de continuer à me retrouver dans cette situation.
Par chance à cet âge à part Julien qui m’appelait l’âne, les autres ont oublié ce qu’ils avaient vu.
Par chance en cours d’année, Julien a suivi ses parents à Bordeaux alors que j'habite en région parisienne.
Les années ont passé.
12 ans, âge de mes premiers émois.
Le matin, quand je me réveillais un drap recouvrant mon corps, Pinder était là.
J’ignore de combien les autres garçons montaient les couleurs mais moi, elle faisait déjà 30 centimètres.
C’est à cette époque que j’ai appris comme tous garçon normalement constitué à me masturber, mes mains d’adolescent ayant du mal à la saisir.
Maman m’amenait chez notre médecin de famille qui au grand jamais n'a dit que j’étais difforme.
Il est vrai que c’était un vieux croûton qui aurait eu du mal à me faire bander.
16 ans, premiers touches pipis et c’est là que ça a commencé.
Deux, elles furent deux à fuir devant mon engin.
Ce qui fait que le jour de mon bac, j’y suis arrivé vierge.
C’est ce jour que Sophie intervient.
- Je suis sûr de l’avoir, veux-tu le fêter avec moi, je te promets l’an prochain de t’aider à le passé et surtout à l’avoir.
Je veux être prof de math matière dont j’excelle.
Le soir au résultat, 7,5, un correcteur a dû m’avoir à la bonne sans me connaître.
Inutile d’aller en rattrapage, c’est l’Annapurna ou l’Everest qu’il faudrait que je gravisse.
Bien sûr sentant une ouverture avec Sophie, je suis là au résultat la recevant dans mes bras.
Sans aucune difficulté elle m’embrasse à pleine bouche.
Le soir, nous allons chez John fils d’un Américain et d’une danseuse de ballet qui se sont rencontrés à Broadway alors qu’il était producteur et elle danseuse étoile.
C’est sur les bords de Marne qu’il habite.
Nous allons nous promener dans les jardins aménagés par la mairie.
Il y a même de l’herbe fraîche.
Je m’assieds, elle a mes côtés et rapidement elle me met la main au paquet pendant que je l’embrasse et lui dénude les seins.
La lune éclairant la scène, nous donnes l'impression d'être en plein jour.
- Mon dieu, tu es fou, tu vas me défoncer avec ton machin et je vais rester infirme toute ma vie.
Voilà comment les choses se sont passées.
Ce soir-là, je rêvais jeter ma gourme, mais au matin, je me branlais dans mon lit comme à mon habitude.
Mois de juillet samedi 6 juillet 2019, Paul mon cousin épouse sa dulcinée.
Je suis son témoin.
Il épouse Julia jolie blonde de 22 ans.
Inutile de fantasmer, la mariée je la respecte, bien que si elle m’avait dit oui, j’en aie fait de même.
Danse du tapis, celle que j’apprendrais s’appeler Odile me passe dans les bras quand la musique s’arrête.
La cinquantaine c’est la même que Julia trente ans plus tard.
Normal c’est la mère de la mariée.
Exactement 47 ans, là encore elle me l’apprendra plus tard.
Un slow démarre après cette danse rapide et naturellement elle vient se coller à moi.
- Je sens que tu as bien grandi Adrien, sais-tu que nous nous connaissons.
- Pardon, c’est la première fois que je vous vois.
- Avec tes yeux de jeune homme, mais on s’est vus quand tu avais tes yeux de bébé.
Je suis infirmière en maternité et je suis l’une des deux infirmières qui t’ont mise au monde.
C’est moi qui t’ai fait ta première toilette intime.
« Dis donc celui-là, j’aimerais bien qu’il ait 20 ans de plus, t’as vu un vrai démonte pneu. »
Il va de soi que mon cerveau est loin d’avoir retenu ces mots, mais ses seins que je voyais sous sa blouse d’infirmière même s’ils ont vieilli sont toujours volumineux.
Elle est blonde platinée, certainement une teinture pour cacher ses cheveux blancs.
- Que fais-tu samedi prochain, je suis de repos et Albert mon mari entre à l’hôpital pour se faire opérer du cœur, c’est pour cela qu’il est resté collé sur sa chaise toute la soirée ?
- Rien madame, je suis libre, j’ai loupé mon bac.
C’est ainsi que je sonne chez cette femme persuadée qu’aujourd’hui c’est le bon.
Une vieille, qu’importe le principal c’est de me faire dépuceler.
J’ai bien compris que son mari a arrêté de l’honorer et qu’elle est prête à se taper un jeune.
Je suis fainéant et loin d’être niais, si j’ai du mal à la baiser, je remplacerais sa tête dans ma tête par celle de Julia sa fille et ça devrait marcher.
- Entre, je sais que tu sais pourquoi nous sommes là.
Je t’ai facilité le travail, je viens de prendre mon bain, allons dans notre chambre d’amie.
Elle me prend par la main et m’entraîne dans le couloir.
Nous passons devant la chambre de Julia, la porte ouverte me montre une chambre de pucelle.
- Tu veux me faire plaisir, je voudrais que nous baisions dans la chambre de ta fille.
- Grand pervers, mais du moment que tu me montres ce que j’ai vu le jour de ta naissance, je suis entièrement d’accord.
Peu importe l’endroit si la bonbonnière de ma fille qui vogue sur les mers du sud est l’endroit où nous allons baiser, je suis d’accord.
Le tutoiement est de rigueur, c’est normal on se connaît depuis 18 ans et quelques jours.
Elle me met la main au paquet tout en m’embrassant.
- Je sens que tu as bien grandi, fait moi voir cette merveille.
Mon dieu, c’est un pic, un roc, je dirais même une péninsule.
Non, je me trompe, ça c’est Cyrano avec sa tirade et son nez.
C’était le sujet du bac où j’ai eu l’honneur d’avoir un zéro pointé.
Jusqu’au moment où je lui mets dans la chatte perdant mon pucelage.
- Ça valait le coup d’attendre 20 ans mon bébé.
Je suis dépucelé, la dame est contente quand la proposition tombe.
- Adrien voilà tes premiers 500 €.
J’ai de nombreuses amies qui elles aussi ont des amies qui ont encore des amies qui aimeraient rencontrer un garçon aussi bien monté que toi.
Si tu es d’accord, je commence par appeler Virginie, c’est l’autre infirmière qui t’a vu naitre.
Nous en parlions l'autre jour quand nous avons accouché un bébé aussi bien monté que toi.
Nous nous demandions où tu étais passé jusqu’à ce que j’apprenne que tu es le cousin du fiancé de ma fille et que nous dansions un slow à leur mariage.
Voilà, j’ai remis le couvert avec Odile, j’ai beaucoup aimé la prendre, mais j’ai été un peu rapide.
- Virginie ?
- Oui, entre Adrien.
Odile, Virginie deux fois, une autre de mes clientes a le même prénom.
Pour faire cour, dans mon premier mois je fais 5 000 €.
Le deuxième presque le double.
Je les baise toutes, même Julia la fille d’Odile, la mariée un an après ses noces.
Mon cousin, aime plus sortir boire des canons que de la baiser.
C’est sur mon site d’escorte qu’elle a vu que je me prostituais pour mon plus grand plaisir mais surtout de mon portefeuille.
C’est dans sa chambre de jeune fille que je l’ai baisé comme j’avais baisé sa mère un jour où elle était de service à la maternité où j’étais né.
Bien sûr les devoirs avec Sophie sont tombés à l’eau et mon bac avec.
Ce mois-ci, j’ai fait une belle gratte ayant été invité par un couple à venir sauter madame pendant tout le mois d’août au bord de leur piscine au-dessus de Canne.
Je baisais madame dont je tairais le nom quand son mari m’a présenté sa bite.
Loin d’être PD, cette gratte dont je parlais je l’ai accepté.
Sucer une bite ou sucer une chatte pour du pognon, pour moi aucune différence quand on a un démonte pneu pourquoi avoir des principes à la con.
J’ai appris à les contourner.
Parlons de Sophie.
Me jetant comme un mal propre, elle a épousé John le fils de l’Américain et de la ballerine riche à millions.
- Bonjour Sophie, tu connais mes tarifs ?
- Oui Adrien 1 000 € l’après-midi.
Je voulais m’excuser pour la fois où j’ai pris peur avec ton engin.
John en a une de moins de 10 centimètres, je suis sûr que toi tu vas me faire jouir pas comme cet impuissant.
Oui, 1 000 € mes tarifs ont doublé un démonte pneu comme le mien depuis Canal et Rocco, les femmes fantasment sur les grosses et grandes bites.
Je suis là pour les satisfaire même Sophie.
- Le grand jour, tu rigoles Sophie, si j’ai 7 à mon bac je me sentirais heureux, comment veux-tu avoir ton bac quand tu as glandé toute l’année.
- Tu aurais dû travailler et après choisir un métier lucratif pour te trouver une gentille fille comme moi.
Je m’appelle Adrien, j’ai 18 ans et c’est mon aventure que je vais vous narrer.
Tout a commencé à ma naissance quant à peine sortie du ventre de ma mère j’ai entendu les infirmières s’émerveiller.
- Dis donc celui-là, j’aimerais bien qu’il ait 20 ans de plus, t’as vu un vrai démonte pneu.
Bien sûr je braillais tellement que j’ai à peine entendu ces mots mais rapidement je me suis aperçu que j’en avais une hors du commun.
Une seule fois je me suis mis nu dans les douches devant d’autres garçons.
C’est le premier jour que je suis allé faire du foot.
À 6 ans, elle était déjà fort grande.
Entre enfants on est intraitable, ils ont tellement ri que ce fut le seul jour où je me suis déshabillé devant des tierces personnes.
J’ai prétexté avoir deux pieds gauches pour éviter de continuer à me retrouver dans cette situation.
Par chance à cet âge à part Julien qui m’appelait l’âne, les autres ont oublié ce qu’ils avaient vu.
Par chance en cours d’année, Julien a suivi ses parents à Bordeaux alors que j'habite en région parisienne.
Les années ont passé.
12 ans, âge de mes premiers émois.
Le matin, quand je me réveillais un drap recouvrant mon corps, Pinder était là.
J’ignore de combien les autres garçons montaient les couleurs mais moi, elle faisait déjà 30 centimètres.
C’est à cette époque que j’ai appris comme tous garçon normalement constitué à me masturber, mes mains d’adolescent ayant du mal à la saisir.
Maman m’amenait chez notre médecin de famille qui au grand jamais n'a dit que j’étais difforme.
Il est vrai que c’était un vieux croûton qui aurait eu du mal à me faire bander.
16 ans, premiers touches pipis et c’est là que ça a commencé.
Deux, elles furent deux à fuir devant mon engin.
Ce qui fait que le jour de mon bac, j’y suis arrivé vierge.
C’est ce jour que Sophie intervient.
- Je suis sûr de l’avoir, veux-tu le fêter avec moi, je te promets l’an prochain de t’aider à le passé et surtout à l’avoir.
Je veux être prof de math matière dont j’excelle.
Le soir au résultat, 7,5, un correcteur a dû m’avoir à la bonne sans me connaître.
Inutile d’aller en rattrapage, c’est l’Annapurna ou l’Everest qu’il faudrait que je gravisse.
Bien sûr sentant une ouverture avec Sophie, je suis là au résultat la recevant dans mes bras.
Sans aucune difficulté elle m’embrasse à pleine bouche.
Le soir, nous allons chez John fils d’un Américain et d’une danseuse de ballet qui se sont rencontrés à Broadway alors qu’il était producteur et elle danseuse étoile.
C’est sur les bords de Marne qu’il habite.
Nous allons nous promener dans les jardins aménagés par la mairie.
Il y a même de l’herbe fraîche.
Je m’assieds, elle a mes côtés et rapidement elle me met la main au paquet pendant que je l’embrasse et lui dénude les seins.
La lune éclairant la scène, nous donnes l'impression d'être en plein jour.
- Mon dieu, tu es fou, tu vas me défoncer avec ton machin et je vais rester infirme toute ma vie.
Voilà comment les choses se sont passées.
Ce soir-là, je rêvais jeter ma gourme, mais au matin, je me branlais dans mon lit comme à mon habitude.
Mois de juillet samedi 6 juillet 2019, Paul mon cousin épouse sa dulcinée.
Je suis son témoin.
Il épouse Julia jolie blonde de 22 ans.
Inutile de fantasmer, la mariée je la respecte, bien que si elle m’avait dit oui, j’en aie fait de même.
Danse du tapis, celle que j’apprendrais s’appeler Odile me passe dans les bras quand la musique s’arrête.
La cinquantaine c’est la même que Julia trente ans plus tard.
Normal c’est la mère de la mariée.
Exactement 47 ans, là encore elle me l’apprendra plus tard.
Un slow démarre après cette danse rapide et naturellement elle vient se coller à moi.
- Je sens que tu as bien grandi Adrien, sais-tu que nous nous connaissons.
- Pardon, c’est la première fois que je vous vois.
- Avec tes yeux de jeune homme, mais on s’est vus quand tu avais tes yeux de bébé.
Je suis infirmière en maternité et je suis l’une des deux infirmières qui t’ont mise au monde.
C’est moi qui t’ai fait ta première toilette intime.
« Dis donc celui-là, j’aimerais bien qu’il ait 20 ans de plus, t’as vu un vrai démonte pneu. »
Il va de soi que mon cerveau est loin d’avoir retenu ces mots, mais ses seins que je voyais sous sa blouse d’infirmière même s’ils ont vieilli sont toujours volumineux.
Elle est blonde platinée, certainement une teinture pour cacher ses cheveux blancs.
- Que fais-tu samedi prochain, je suis de repos et Albert mon mari entre à l’hôpital pour se faire opérer du cœur, c’est pour cela qu’il est resté collé sur sa chaise toute la soirée ?
- Rien madame, je suis libre, j’ai loupé mon bac.
C’est ainsi que je sonne chez cette femme persuadée qu’aujourd’hui c’est le bon.
Une vieille, qu’importe le principal c’est de me faire dépuceler.
J’ai bien compris que son mari a arrêté de l’honorer et qu’elle est prête à se taper un jeune.
Je suis fainéant et loin d’être niais, si j’ai du mal à la baiser, je remplacerais sa tête dans ma tête par celle de Julia sa fille et ça devrait marcher.
- Entre, je sais que tu sais pourquoi nous sommes là.
Je t’ai facilité le travail, je viens de prendre mon bain, allons dans notre chambre d’amie.
Elle me prend par la main et m’entraîne dans le couloir.
Nous passons devant la chambre de Julia, la porte ouverte me montre une chambre de pucelle.
- Tu veux me faire plaisir, je voudrais que nous baisions dans la chambre de ta fille.
- Grand pervers, mais du moment que tu me montres ce que j’ai vu le jour de ta naissance, je suis entièrement d’accord.
Peu importe l’endroit si la bonbonnière de ma fille qui vogue sur les mers du sud est l’endroit où nous allons baiser, je suis d’accord.
Le tutoiement est de rigueur, c’est normal on se connaît depuis 18 ans et quelques jours.
Elle me met la main au paquet tout en m’embrassant.
- Je sens que tu as bien grandi, fait moi voir cette merveille.
Mon dieu, c’est un pic, un roc, je dirais même une péninsule.
Non, je me trompe, ça c’est Cyrano avec sa tirade et son nez.
C’était le sujet du bac où j’ai eu l’honneur d’avoir un zéro pointé.
Jusqu’au moment où je lui mets dans la chatte perdant mon pucelage.
- Ça valait le coup d’attendre 20 ans mon bébé.
Je suis dépucelé, la dame est contente quand la proposition tombe.
- Adrien voilà tes premiers 500 €.
J’ai de nombreuses amies qui elles aussi ont des amies qui ont encore des amies qui aimeraient rencontrer un garçon aussi bien monté que toi.
Si tu es d’accord, je commence par appeler Virginie, c’est l’autre infirmière qui t’a vu naitre.
Nous en parlions l'autre jour quand nous avons accouché un bébé aussi bien monté que toi.
Nous nous demandions où tu étais passé jusqu’à ce que j’apprenne que tu es le cousin du fiancé de ma fille et que nous dansions un slow à leur mariage.
Voilà, j’ai remis le couvert avec Odile, j’ai beaucoup aimé la prendre, mais j’ai été un peu rapide.
- Virginie ?
- Oui, entre Adrien.
Odile, Virginie deux fois, une autre de mes clientes a le même prénom.
Pour faire cour, dans mon premier mois je fais 5 000 €.
Le deuxième presque le double.
Je les baise toutes, même Julia la fille d’Odile, la mariée un an après ses noces.
Mon cousin, aime plus sortir boire des canons que de la baiser.
C’est sur mon site d’escorte qu’elle a vu que je me prostituais pour mon plus grand plaisir mais surtout de mon portefeuille.
C’est dans sa chambre de jeune fille que je l’ai baisé comme j’avais baisé sa mère un jour où elle était de service à la maternité où j’étais né.
Bien sûr les devoirs avec Sophie sont tombés à l’eau et mon bac avec.
Ce mois-ci, j’ai fait une belle gratte ayant été invité par un couple à venir sauter madame pendant tout le mois d’août au bord de leur piscine au-dessus de Canne.
Je baisais madame dont je tairais le nom quand son mari m’a présenté sa bite.
Loin d’être PD, cette gratte dont je parlais je l’ai accepté.
Sucer une bite ou sucer une chatte pour du pognon, pour moi aucune différence quand on a un démonte pneu pourquoi avoir des principes à la con.
J’ai appris à les contourner.
Parlons de Sophie.
Me jetant comme un mal propre, elle a épousé John le fils de l’Américain et de la ballerine riche à millions.
- Bonjour Sophie, tu connais mes tarifs ?
- Oui Adrien 1 000 € l’après-midi.
Je voulais m’excuser pour la fois où j’ai pris peur avec ton engin.
John en a une de moins de 10 centimètres, je suis sûr que toi tu vas me faire jouir pas comme cet impuissant.
Oui, 1 000 € mes tarifs ont doublé un démonte pneu comme le mien depuis Canal et Rocco, les femmes fantasment sur les grosses et grandes bites.
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