COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison I (2/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison I (2/8)
Je suis en train de retourner chez moi après que l’homme que je prenais pour un gentleman, m’eut sauté avant que j’aie eu le temps de dire si j’étais d’accord.
Il m’a fait boire moi qui suis toujours sobre et m’a littéralement viré en me mettant quelque chose dans la main et me disant de revenir quand j’aurais de nouveaux besoins.
À quelques mètres de chez moi, je me décide à regarder certaine de ce que j’allais découvrir, deux billets de 500 € presque la somme que me donnent mes parents.
Mon premier réflexe est de repartir chez cet homme qui m’a prise pour une pute, mais après dix mètres mes pas sont moins assurés, car je vois comment je vais pouvoir finir le mois après ce qu’il vient de me donner.
Je me rassure, je me mets dans la tête que cet argent est juste pour m’aider et que si je l’avais voulu, j’aurais pu partir en une ou deux occasions bien sûr sans le faire.
Je mets dans un coin de ma tête cet événement, étant sûr que je m’étais égarée.
Le lendemain en sortant de mes cours, je vais chez mon opérateur téléphonique.
Je récupère ma ligne téléphonique fermée dans les premiers jours de ma galère.
Le lendemain, je suis une femme, je vais au supermarché acheter des tampons hygiéniques, les billets me brûlant les doigts, j’achète plusieurs objets dont certains très futiles.
Rentrant dans ma chambre, il me reste exactement 542 € sur les 1000 que Louis m’a donné.
Je freine mes dépenses et grâce au chèque de mes parents j’arrive à tenir une semaine de plus que les autres mois avant de refermer mon chauffage.
J’essaye de fermer mon forfait téléphonique, mais ce que j’ai signé est avec un contrat d’un an et je suis bloquée.
Je tiens encore deux jours, mais je suis coincée, même les paquets de pâtes sont épuisés.
- Bonjour Guénaelle, j’étais sûr que tu reviendrais, une jeune fille comme toi à des besoins.
Je tiens à t’aider, entre et dirige-toi directement dans ma chambre.
Plus de champagne, plus de petits fours, juste un lit et des billets qu’il prend dans un tiroir dans son armoire.
- Tiens, voilà de quoi tenir quelques jours.
En prononçant ses mots, il ouvre sa braguette et me présente sa queue.
- Suce.
Ce seul mot me plonge directement dans le monde de la prostitution.
Quand j’ai connu le seul homme qui m’a dépucelé à la fête de Marie le 15 août dans notre village, j’étais consentante me trouvant déjà vieille par rapport à mes copines.
C’est naturellement que mon deuxième amant depuis que je suis devenue femme me la met dans ma bouche.
Il est incroyable que ce soit comme une professionnelle du sexe que je fasse ma première fellation à mon premier client car plus de doute, Louis en qui j’avais pu voir un homme de goût me venant en aide, vient de me plonger dans la stupeur quand il me confirme vouloir avoir des rapports sexuels contre monnaie.
Mais en revenant, avais-je encore des doutes.
Il me relève, me place sur le lit à sa convenance m’arrache une nouvelle fois mon string.
C’est en étant derrière moi que je reçois sa queue sans envie d’être pénétré, poussant pour l’introduire en moi.
Comme la première fois, il décharge rapidement et je suis contente de le sentir sortir de ma chatte.
Je sens son sperme couler le long de mes jambes au moment de me rajuster.
- Donne-moi ton numéro de téléphone, je t’appellerais moi-même la prochaine fois que j’aurais envie de te baiser.
- 06.00.00.00.00.
Je le vois qu’il prend un stylo et noter, il me donne mon argent avant que je tourne les talons pour retourner chez moi.
Contrairement à la première fois, je sens les deux billets dans ma main, je sais que pour Louis mon cul vaut 1 000 €.
Je suis tranquille chez moi, mais une chose a changé, au lieu d’un téléphone avec un petit forfait, je signe un contrat en illimité, dans ma tête, la jeune fille soumise à cet homme âgé pour moi est ingurgitée.
Un soir, il sonne alors que je travaille mes cours.
- Allo Guénaelle, tu peux m’appeler Pierre, Louis mon copain m’a donné ton numéro.
Je suis de passage à Paris, je t’attends chambre 322 à l’hôtel face à la gare de Lyon dans une heure, tu es sûr de trouver.
Il raccroche me laissant sans voix mon téléphone à l’oreille.
Ce coup de fil arrive au moment où mes finances sont au point bas.
J’en arrivais même à me demander quand Louis allait m’appeler.
Il faut dire que cet argent facilement gagné, en écartant mes cuisses, a tendance à me brûler les doigts.
Comme toute personne ayant souffert de la faim, même si c’est huit jours, j’adore faire les grands restaurants de Paris.
J’ai le choix y aller ou rester à travailler mes cours.
Je me change, je mets une mini qui dégage le galbe de mes fesses avec des chaussures hélas sans talons hauts, il faudra que j’en achète.
Pour la première fois, je me sers de mes produits de beauté achetés avec mes premiers 1 000 € en choisissant des teintes provocantes.
Dans le métro un homme aussi bien mis que Louis sentant la pute qui va à son rendez-vous me met carrément la main aux fesses.
La baffe qu’il se prend doit lui faire penser qu’il s’est trompé et que je suis une femme bon chic bon genre qui aime se maquiller outrageusement.
À l’hôtel je vais à la réception, je signale que je monte chambre 322, le réceptionniste me regarde d’un regard étonné.
- L’ascenseur est là.
Il me montre ce que je vois moi-même, mais étant bien élevé maman m’ayant toujours dit que lorsque l'on entre chez les gens on se présente.
Au moment où l’ascenseur arrive, je vois le réceptionniste sortir de derrière son comptoir après avoir parlé à son collègue et venir à ma hauteur quand les portes s’ouvrent.
- Je voudrais vous dire, vous êtes débutante dans le métier.
- Quel métier ?
- Allons ma belle à l’heure où tu arrives, fringuée comme une pute, maquillée comme une pute et qui dit aller à la chambre 322, tu es tout sauf une ménagère de bonne famille mariée avec trois mouflets.
J’ai plus de 20 ans d’expérience comme réceptionniste, alors fait moi confiance, je vous renifle à des kilomètres.
- Que voulez-vous ?
- Moi rien, mes clients eux me demandent de temps en temps un oreiller et dans notre monde, un oreiller, c’est une pute qu’il désire que je leur procure.
Si tu sais te montrer généreuse chaque fois que je te ferais appeler, quand tu redescendras, tu passeras vers moi avec un joli billet dans la main, tu vas faire banco roulé comme tu es.
- Tu veux me baiser ?
- Surtout pas, je suis marié, mais ma femme a des goûts de luxe et son joli petit cul me coûte cher.
À toi de voir, voici mon numéro, réfléchi bien rappelle-moi ou fait toi faire des cartes avec comme profession masseuse et bien sûr le numéro où l’on peut te joindre.
Bonne nuit à toi, pour la première fois, c’est gratuit.
Gratuit pour lui mais pas pour le client.
- Louis m’a dit qu’il te donnait 1 000 €.
Il se fiche de toi avec ta classe certes un peu voyante à mon goût !
Je retiens la leçon, ce qui est étrange avec ce deuxième client, c’est que mon cerveau déconnecte de l’acte sexuel tant qu’il s’agite en moi.
Je tortille du cul, je pousse des soupirs même si ma jouissance est loin de venir et mon seul plaisir, c’est d’ouvrir l’enveloppe qu’il me tend, vérifiant que la somme demandée est bien là.
Encore un troisième homme dans ma vie qui cherche les fantasmes que leur refusent leurs femmes et qu’ils ont du mal à leur demander.
Le copain de Louis c’est ma rosette qui l’intéresse, mais je suis vierge de l’anus, sachant pourtant que la sodomie existe.
Il m’a donné 1 000 € comme il me l’a dit au téléphone, j’apprends vite, et si je veux réussir mes concours, il faudra que j’aie un esprit vif.
- Attends, on arrête, ma rondelle je veux bien, mais c’est 1 000 de plus.
- Je regarde j’ai pris de l’argent, mais je me suis payé un café avec un des billets de 200, il me reste 996 €.
- Je vais faire une exception, c’est d’accord, je te fais cadeau des 4 €, mais dis-moi, le café est cher à Paris.
C’est comme ça qu’il m’encule me faisant mal.
Il faut savoir souffrir dans mon nouveau métier, même si c’est le premier, une phrase entendue un jour, me revient en mémoire, faire la pute, c’est le plus vieux métier du monde.
Je gagne rapidement beaucoup de monnaies, grâce au réceptionniste à qui dans un premier temps, j’ai donné mon numéro de téléphone et les cartes que j’ai fait confectionner comme il me l’a demandé.
Mes études dans tout cela, le premier trimestre est parfait, j’étudie le jour sauf client d’exception.
Je travaille la nuit surtout dans les hôtels où trois réceptionnistes ont mes cartes et accepte toujours le billet que je leur glisse en redescendant.
- Allo, Guénaelle, c’est Louis.
- Vous vous trompez, Guénaelle est la jeune fille qui devait avoir ce numéro avant je m’appelle Anabella.
- J’ai compris Anabella, mais il est étrange que vous ayez la même voie que la sienne, dans une heure chez moi.
- Pourquoi pas, 2 000 € le massage ?
- Une fois de plus j’ai compris, tu es devenue une vraie pro grâce à moi, j’espère que tu as une belle vie.
Je peux avoir une remise, je suis ton premier, je t’ai mis le pied à l’étrier, on reste à deux billets de 500.
- Au revoir monsieur, heureuse de vous avoir connu.
Et je raccroche, son copain m’a bien briffé, 2 000 la nuit ou rien.
Le téléphone sonne de nouveau, il avait raison un de quitter un autre de retrouver.
- Allo, Anabella, je suis d’accord 2 000.
- Trop tard mes tarifs pour mes massages viennent de subir l’inflation et c’est 2 500 que vous aurez à payer.
- C’est bon tu as gagné, je pense que tu refuses les chèques alors à demain soir si tu es libre, j’aurais ton liquide.
- Attendez, je regarde.
Je sais que ma soirée du demain est libre, mais je le fais baver d’envie d’avoir la pute qu’il a décelé en moi dans son lit.
Je me suis améliorée au fil de mes rencontres bien que j’aie commencé il y a à peine trois mois.
Le lendemain, je suis habillée avec une tenue moins provocante et moins maquillée qu’à mon premier hôtel.
Je fais rouler derrière moi une valise où au fil des demandes, j’ai accumulé des objets qui me servent, pour mes passes.
Le taxi qui m’attend à une courte course à faire, mais le billet que je lui glisse en pourboire aplani son mécontentement.
Aujourd’hui, même si je vais prendre son fric, je réserve une petite surprise à Louis…
Il m’a fait boire moi qui suis toujours sobre et m’a littéralement viré en me mettant quelque chose dans la main et me disant de revenir quand j’aurais de nouveaux besoins.
À quelques mètres de chez moi, je me décide à regarder certaine de ce que j’allais découvrir, deux billets de 500 € presque la somme que me donnent mes parents.
Mon premier réflexe est de repartir chez cet homme qui m’a prise pour une pute, mais après dix mètres mes pas sont moins assurés, car je vois comment je vais pouvoir finir le mois après ce qu’il vient de me donner.
Je me rassure, je me mets dans la tête que cet argent est juste pour m’aider et que si je l’avais voulu, j’aurais pu partir en une ou deux occasions bien sûr sans le faire.
Je mets dans un coin de ma tête cet événement, étant sûr que je m’étais égarée.
Le lendemain en sortant de mes cours, je vais chez mon opérateur téléphonique.
Je récupère ma ligne téléphonique fermée dans les premiers jours de ma galère.
Le lendemain, je suis une femme, je vais au supermarché acheter des tampons hygiéniques, les billets me brûlant les doigts, j’achète plusieurs objets dont certains très futiles.
Rentrant dans ma chambre, il me reste exactement 542 € sur les 1000 que Louis m’a donné.
Je freine mes dépenses et grâce au chèque de mes parents j’arrive à tenir une semaine de plus que les autres mois avant de refermer mon chauffage.
J’essaye de fermer mon forfait téléphonique, mais ce que j’ai signé est avec un contrat d’un an et je suis bloquée.
Je tiens encore deux jours, mais je suis coincée, même les paquets de pâtes sont épuisés.
- Bonjour Guénaelle, j’étais sûr que tu reviendrais, une jeune fille comme toi à des besoins.
Je tiens à t’aider, entre et dirige-toi directement dans ma chambre.
Plus de champagne, plus de petits fours, juste un lit et des billets qu’il prend dans un tiroir dans son armoire.
- Tiens, voilà de quoi tenir quelques jours.
En prononçant ses mots, il ouvre sa braguette et me présente sa queue.
- Suce.
Ce seul mot me plonge directement dans le monde de la prostitution.
Quand j’ai connu le seul homme qui m’a dépucelé à la fête de Marie le 15 août dans notre village, j’étais consentante me trouvant déjà vieille par rapport à mes copines.
C’est naturellement que mon deuxième amant depuis que je suis devenue femme me la met dans ma bouche.
Il est incroyable que ce soit comme une professionnelle du sexe que je fasse ma première fellation à mon premier client car plus de doute, Louis en qui j’avais pu voir un homme de goût me venant en aide, vient de me plonger dans la stupeur quand il me confirme vouloir avoir des rapports sexuels contre monnaie.
Mais en revenant, avais-je encore des doutes.
Il me relève, me place sur le lit à sa convenance m’arrache une nouvelle fois mon string.
C’est en étant derrière moi que je reçois sa queue sans envie d’être pénétré, poussant pour l’introduire en moi.
Comme la première fois, il décharge rapidement et je suis contente de le sentir sortir de ma chatte.
Je sens son sperme couler le long de mes jambes au moment de me rajuster.
- Donne-moi ton numéro de téléphone, je t’appellerais moi-même la prochaine fois que j’aurais envie de te baiser.
- 06.00.00.00.00.
Je le vois qu’il prend un stylo et noter, il me donne mon argent avant que je tourne les talons pour retourner chez moi.
Contrairement à la première fois, je sens les deux billets dans ma main, je sais que pour Louis mon cul vaut 1 000 €.
Je suis tranquille chez moi, mais une chose a changé, au lieu d’un téléphone avec un petit forfait, je signe un contrat en illimité, dans ma tête, la jeune fille soumise à cet homme âgé pour moi est ingurgitée.
Un soir, il sonne alors que je travaille mes cours.
- Allo Guénaelle, tu peux m’appeler Pierre, Louis mon copain m’a donné ton numéro.
Je suis de passage à Paris, je t’attends chambre 322 à l’hôtel face à la gare de Lyon dans une heure, tu es sûr de trouver.
Il raccroche me laissant sans voix mon téléphone à l’oreille.
Ce coup de fil arrive au moment où mes finances sont au point bas.
J’en arrivais même à me demander quand Louis allait m’appeler.
Il faut dire que cet argent facilement gagné, en écartant mes cuisses, a tendance à me brûler les doigts.
Comme toute personne ayant souffert de la faim, même si c’est huit jours, j’adore faire les grands restaurants de Paris.
J’ai le choix y aller ou rester à travailler mes cours.
Je me change, je mets une mini qui dégage le galbe de mes fesses avec des chaussures hélas sans talons hauts, il faudra que j’en achète.
Pour la première fois, je me sers de mes produits de beauté achetés avec mes premiers 1 000 € en choisissant des teintes provocantes.
Dans le métro un homme aussi bien mis que Louis sentant la pute qui va à son rendez-vous me met carrément la main aux fesses.
La baffe qu’il se prend doit lui faire penser qu’il s’est trompé et que je suis une femme bon chic bon genre qui aime se maquiller outrageusement.
À l’hôtel je vais à la réception, je signale que je monte chambre 322, le réceptionniste me regarde d’un regard étonné.
- L’ascenseur est là.
Il me montre ce que je vois moi-même, mais étant bien élevé maman m’ayant toujours dit que lorsque l'on entre chez les gens on se présente.
Au moment où l’ascenseur arrive, je vois le réceptionniste sortir de derrière son comptoir après avoir parlé à son collègue et venir à ma hauteur quand les portes s’ouvrent.
- Je voudrais vous dire, vous êtes débutante dans le métier.
- Quel métier ?
- Allons ma belle à l’heure où tu arrives, fringuée comme une pute, maquillée comme une pute et qui dit aller à la chambre 322, tu es tout sauf une ménagère de bonne famille mariée avec trois mouflets.
J’ai plus de 20 ans d’expérience comme réceptionniste, alors fait moi confiance, je vous renifle à des kilomètres.
- Que voulez-vous ?
- Moi rien, mes clients eux me demandent de temps en temps un oreiller et dans notre monde, un oreiller, c’est une pute qu’il désire que je leur procure.
Si tu sais te montrer généreuse chaque fois que je te ferais appeler, quand tu redescendras, tu passeras vers moi avec un joli billet dans la main, tu vas faire banco roulé comme tu es.
- Tu veux me baiser ?
- Surtout pas, je suis marié, mais ma femme a des goûts de luxe et son joli petit cul me coûte cher.
À toi de voir, voici mon numéro, réfléchi bien rappelle-moi ou fait toi faire des cartes avec comme profession masseuse et bien sûr le numéro où l’on peut te joindre.
Bonne nuit à toi, pour la première fois, c’est gratuit.
Gratuit pour lui mais pas pour le client.
- Louis m’a dit qu’il te donnait 1 000 €.
Il se fiche de toi avec ta classe certes un peu voyante à mon goût !
Je retiens la leçon, ce qui est étrange avec ce deuxième client, c’est que mon cerveau déconnecte de l’acte sexuel tant qu’il s’agite en moi.
Je tortille du cul, je pousse des soupirs même si ma jouissance est loin de venir et mon seul plaisir, c’est d’ouvrir l’enveloppe qu’il me tend, vérifiant que la somme demandée est bien là.
Encore un troisième homme dans ma vie qui cherche les fantasmes que leur refusent leurs femmes et qu’ils ont du mal à leur demander.
Le copain de Louis c’est ma rosette qui l’intéresse, mais je suis vierge de l’anus, sachant pourtant que la sodomie existe.
Il m’a donné 1 000 € comme il me l’a dit au téléphone, j’apprends vite, et si je veux réussir mes concours, il faudra que j’aie un esprit vif.
- Attends, on arrête, ma rondelle je veux bien, mais c’est 1 000 de plus.
- Je regarde j’ai pris de l’argent, mais je me suis payé un café avec un des billets de 200, il me reste 996 €.
- Je vais faire une exception, c’est d’accord, je te fais cadeau des 4 €, mais dis-moi, le café est cher à Paris.
C’est comme ça qu’il m’encule me faisant mal.
Il faut savoir souffrir dans mon nouveau métier, même si c’est le premier, une phrase entendue un jour, me revient en mémoire, faire la pute, c’est le plus vieux métier du monde.
Je gagne rapidement beaucoup de monnaies, grâce au réceptionniste à qui dans un premier temps, j’ai donné mon numéro de téléphone et les cartes que j’ai fait confectionner comme il me l’a demandé.
Mes études dans tout cela, le premier trimestre est parfait, j’étudie le jour sauf client d’exception.
Je travaille la nuit surtout dans les hôtels où trois réceptionnistes ont mes cartes et accepte toujours le billet que je leur glisse en redescendant.
- Allo, Guénaelle, c’est Louis.
- Vous vous trompez, Guénaelle est la jeune fille qui devait avoir ce numéro avant je m’appelle Anabella.
- J’ai compris Anabella, mais il est étrange que vous ayez la même voie que la sienne, dans une heure chez moi.
- Pourquoi pas, 2 000 € le massage ?
- Une fois de plus j’ai compris, tu es devenue une vraie pro grâce à moi, j’espère que tu as une belle vie.
Je peux avoir une remise, je suis ton premier, je t’ai mis le pied à l’étrier, on reste à deux billets de 500.
- Au revoir monsieur, heureuse de vous avoir connu.
Et je raccroche, son copain m’a bien briffé, 2 000 la nuit ou rien.
Le téléphone sonne de nouveau, il avait raison un de quitter un autre de retrouver.
- Allo, Anabella, je suis d’accord 2 000.
- Trop tard mes tarifs pour mes massages viennent de subir l’inflation et c’est 2 500 que vous aurez à payer.
- C’est bon tu as gagné, je pense que tu refuses les chèques alors à demain soir si tu es libre, j’aurais ton liquide.
- Attendez, je regarde.
Je sais que ma soirée du demain est libre, mais je le fais baver d’envie d’avoir la pute qu’il a décelé en moi dans son lit.
Je me suis améliorée au fil de mes rencontres bien que j’aie commencé il y a à peine trois mois.
Le lendemain, je suis habillée avec une tenue moins provocante et moins maquillée qu’à mon premier hôtel.
Je fais rouler derrière moi une valise où au fil des demandes, j’ai accumulé des objets qui me servent, pour mes passes.
Le taxi qui m’attend à une courte course à faire, mais le billet que je lui glisse en pourboire aplani son mécontentement.
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