COLLECTION ESCORTE. De mère en fille (4/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. De mère en fille (4/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. De mère en fille (4/5)
Quelle grand-mère prostituerait sa petite fille ?
La mienne, Sonia, la propre mère de ma mère Mia.
Sous couvert de remplacer une de ses escortes absente, elle m’a demandé de m’occuper d’un client pendant qu’elle se gouinait avec Marie l’organisatrice de la soirée.
À oui, c’est au moment de nous séparer pour retrouver Courbevoie que je lui ai demandée ou elle avait passé la nuit une fois les filles en mains.
J’ai eu la réponse dans la phrase précédente.
3 000 € moins les charges, 3 000 € pour me faire mettre par un homme un peu bedonnant.
3 000 € pour faire la cavalière sur le dos de ces hommes avec Wafae marocaine et pute elle aussi qui a la particularité de seulement se faire enculer pour garder sa virginité.
Wafae est une jeune fille souhaitant réussir et qui sait comment faire avec les hommes.
Sa cravache lui sert pour ses clients, mais pour elle aussi.
Sur sa fiche, j’ai vu qu’elle était sadomaso.
On frappe à la porte de ma chambre.

- Je peux entrer !
- Oui, maman.
- Ou étais-tu et ce tailleur, tu te prends pour une femme du monde.
- Pourquoi m’as-tu caché que ma grand-mère était toujours vivante.
- Car elle a ruiné ma vie.
Je vois qu’elle a dû te joindre.
J’étais une jeune fille sage quand j’ai compris que ta grand-mère était une pute.
Fais attention, elle serait capable de te faire tomber dans ses pattes et de te faire travailler dans son réseau de call-girls !
- C’est fait, maman, regarde mon nouveau look, cette nuit j’ai gagné 3 000 € en satisfaisant un homme dans l’hôtel où elle nous a conduits avec les autres filles.
Mais tu es extraordinaire, c’est toi qui t’attaques à ta mère, regarde cette photoTu reconnais la fille et où elle ait ?
- La photo est trop petite, on voit mal la femme dans cette vitrine.

Le ton était rapidement monté entre moi et maman, j’ai écarté la photo pour l’agrandir.

- Alors, regarde bien, certes, tu étais plus jeune, mais c’est toi qui tapinais dans cette vitrine d’Amsterdam.
Et celle-là !
Un homme une femme, un bébé.
Que fait l’homme ?

Maman était tombée en pleure, je savais ce que ma mamy m’avait montrée était la réalité.
Je trouve une des photos sorties de sa boîte.

- Il me pique le bras, car j’avais des allergies.
- Alors que tu as un garrot pour trouver ta veine et la cuillère qu’il chauffe, les vitamines, c’est comme ça que l’on se l’administrait dans ces années-là.
Regarde, j’étais à tes côtés dans la poussette.
Tu te droguais, maman, celui qui te pique, c’était ton maquereau, celui à qui elle a fait donner de l’argent pour nous racheter, maman et moi.
- C’est faux elle te ment, j’avais rencontré un homme qui avait le béguin pour moi, c’est lui qui a donné de l’argent pour nous faire revenir en France.
- C’est ce qu’il t’a fait croire alors que c’était ta mère qui nous a sauvés avec de l’argent qu’elle gagnait avec son cul.
Elle a même payé ta boutique après ta cure de désintoxication non pas à cause de tes foutues vitamines, mais de la coke que mon père t’enfilait dans les veines.

Maman est tombée en pleurs, mais je voulais percer l’abcès définitivement, car au fur et à mesure de mon récit, des images traversaient mon esprit.

- Parlons de ce monsieur Charles.
J’ai l’impression qu’il a su profiter de l’argent de mamy.
Tu te souviens des soirées quand nous sommes arrivées ici.
Certes, quand tu as été présentable, il te baisait allègrement.
Il aurait eu tort de s’en priver, il avait une pute à sa disposition.
Mais ce que tu ignores c’est quand il me faisait asseoir sur ses genoux.
Il me pelotait les fesses et je sentais un bâton dur se tendre sous moi.
Depuis j’ai grandi et je sais qu’il me mettait sa bite au cul maman.
- T’a-t-il fait autre chose de plus grave ?
- Appelons un chat un chat, c’est Adrien, un jeune garçon qui est là sur la photo qui m’a dépucelé, le deuxième à droite.
- Adrien, le fils de Françoise, l’une de mes clientes.

J’ai éclaté de rire, aux yeux que faisait, maman, c’était incroyable.

- Il t’a baisé !
- Non, c’est moi qui l’ai dépucelé.

Merci mamy, en revenant dans ma vie, elle m’a permis de trouver de nombreuses réponses aux questions que je pouvais me poser.
C’était le cas pour Adrien avant son départ.
Je l’avais vu sortir du salon de coiffure de maman un lundi.
La porte s’était ouverte puis refermée rapidement sans que je puisse voir qui était là.
Il m’avait dépucelée le samedi et se faisait Mia, ma mère le lundi.

- Maman, je suis revenue chercher des affaires et te dire que je vais aller habiter avenue Victor-Hugo dans l’immeuble personnel de ma grand-mère.
Elle va m’initier à ses affaires.
Que tu le veuilles ou non, je t’aime maman.

J’ai préparé deux sacs de sport en prenant surtout Bourriquet mon doudou depuis que je suis petite.
C’est Charles qui me l’avait acheté dès que nous avons emménagé au-dessus de la boutique qu’il venait d’acheter à ma mère.

- Alfred, venez me chercher.

C’est comme ça que j’ai quitté maman pour ma nouvelle vie.
Je dormais jusqu’à 8 heures avec mon petit déjeuner servi par Angelle.
Je rejoignais mamy qui dormait peu, avait-elle mal, jusqu’à son dernier souffle, certaines dans sa situation se serait plainte, elle non.
Je travaillais le site et le book.
Leila, « S. » « Enceinte ».

- Mamy, Leila est au repos pendant sa grossesse.

Son rire me faisait chaud au cœur.

- C’est une des filles qui travaillent le plus.
Elle accouche dans trois mois, si tu savais le nombre d’hommes qui aiment sortir et baiser avec une jeune fille dans son état.
Avant que tu descendes le téléphone as sonné, ce soir elle travaille à l’hôtel Montparnasse à 21 heures.
Dans son état, le mec paye 2 000 € de plus pour l’avoir, je lui ai fait croire que je décalais un de ses rendez-vous.
Ce sont nos petites grattes pour faire tourner la boîte.
Tient, un autre coup de fil, la journée commence.
Réponds.
- Oui, une fille boulevard Pereire à 19 heures.
Vous avez vu une fille à votre goût.
Aucune, permettez-moi de vous faire une suggestion.
Julie, elle débute dans notre agence, un vrai canon, mais elle est un peu chère.
En temps normal, je la réserve pour les émirs ou les politiques de haut niveau.
Combien.
10 000 pour la nuit.
C’est d’accord ?
Je vous passe ma secrétaire pour le paiement.
Nous sommes une agence moderne, nous avons tout ce qu’il faut pour les paiements à distance par carte bancaire.

J’ai passé le portable à mamy.

- Julie, très bon choix, un morceau de roi.
Dans l’agence, nous l’appelons la Kim Kardashian de notre profession.
Julie sera chez vous à l’heure demandée.
Si je peux me permettre, les filles aiment bien un petit pourboire en liquide après leur prestation.
Combien ?
Mille euros, ce serait bien.
Sans problème, vous les aurez.
Passez une bonne soirée et rappelez notre agence quand vous le voudrez.

Elle a raccroché.

- Bien jouer Julie, crois-tu que ce soit nécessaire de te faire des clients avec l’héritage que tu vas toucher.
- Mamy, tu as des glandes, moi aussi et qui cracheraient sur 10 000 €.
- 11 000, il y a le pourboire net d’impôt.

Le soir, j’ai pris la valise avec cravache.
Je serais hors du book comme mamy, choisissant mes clients.
Je suis la Kim Kardashian de notre agence.

- Veux-tu que je te fouette ?
- Oh oui maîtresse !
- Allez, baise-moi.

Je la fais courte, je l’ai fouettée, j’ai accepté quelques coups sur mes fesses et il m’a baisé cinq petites minutes avant de décharger.
Il s’est endormi dans cet appartement vieux style avec des meubles d’époque.
Au matin, je l’ai sucé, il a aimé ma prestation et m’a filé 1 500 € de pourboire net d’impôts.
11 500 € pour avoir si peu donné de moi, je suis partante quand et qui le veut.

- Bonjour Alfred, vous êtes ponctuelle, rentrons avenue Victor-Hugo.
Mamy va bien !
- Oui, Madame, elle semblait l’être quand je l’ai vu ce matin…

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