COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (2/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (2/4)
C’est deux jours après mes 18 ans que j’ai fêtés avec papa par téléphone que j’accepte de venir faire la pute de remplacement de ma coloc.
Victoria s’avère être une travailleuse du sexe pour arrondir ses fins de mois pendant ses études d’art à Londres.
Pour ma part, ce sont les lettres et la communication en langue anglaise espérant devenir bilingue avant mon retour en France que je suis dans une autre université londonienne.
Sexuellement ma seule expérience, c’est seulement un gode avec lequel je me suis dépucelée.
C’est empalé dessus que me surprenant dans une posture équivoque, que Victoria me propose de remplacer sa collègue pour une soirée dans un hôtel avec des jumeaux.
Dans cette posture, elle croit que je me fais sauter par des hommes, d’où sa proposition.
Nous venons d’arriver à l’hôtel.
L’enveloppe dans son sac, Victoria m’entraîne dans la salle de bains et ouvre sa mystérieuse valise.
- Enlève tes vêtements, à partir de maintenant tu fais exactement ce que je te demanderais de faire.
Je me mets nue avec un brin d’anxiété.
Moi la petite Française sage, encore pucelle hors mon gode, ce sont deux verges que je vais voir de près pour la première fois, sans que mon amie puisse s’en douter.
Elle se déshabille.
Quand elle s’est préparée dans notre salle de bains, elle m’avait caché ses sangles de cuir qui se trouve autour de son corps et le collier rouge qui tient l’ensemble.
Elle me passe un collier de cuir noir autour du cou qu’elle m’attache.
- Je sens que tu es anxieuse, c’est un jeu, certes, de sexe, mais un jeu tout de même.
Tu vas être ma petite chienne qui va rencontrer son mâle pour ta première saillie et avoir de beaux petits chiots.
Je manque d’éclater de rire, mais comme elle ouvre la porte, à sa demande, je me mets à quatre pattes comme elle me le suggère.
Elle m’attache à ma laisse et prenant une cravache, me fait entrer dans cette chambre que je devrais fuir.
Dans la chambre, les jumeaux sont dans la même situation que nous, à poil et en tenue sadomaso faite de cuir, de colliers et de lanières pour l’un.
L’autre est à quatre pattes comme moi et dès que Victoria me fait avancer frétille de la croupe.
J’en fais de même comme si j’étais une petite chienne en chaleur.
Le jeu m’amuse surtout quand je vois leurs deux queues, l’une pendante devant lui, celle du maître.
L’autre pendante aussi, mais sous le ventre de ce beau toutou qui va féconder sa femelle.
- Merci d’avoir amené votre petite chienne en chaleur, Boby va bien s’amuser avec.
J’ai fait contrôler le pedigree que vous m’avez envoyé par Internet, tout est en ordre.
Boby occupe-toi de cette jolie petite chienne.
Victoria m’ôte ma laisse, l’autre jumeau en faisant de même avec Boby.
Les deux maîtres de ces jolis toutous s’asseyent sur le lit nous regardant.
Je suis un peu anxieuse, mais je veux tenir mon rôle jusqu’au bout.
Je me persuade que je suis dans un film, le seul problème, c’est qu’il va devenir porno et que je suis vierge.
Boby s’approche, grogne.
J’en fais de même, relevant ma lèvre montrant mes jolies dents blanches.
Mon mâle est face à moi et sortant sa langue me lèche le visage.
Je sors ma langue et j’en fais de même.
Boby se déplace et méthodiquement me lèche comme s’il voulait prendre possession de mon corps.
Je frétille une nouvelle fois de la croupe, mais comme l’autre couple est dans mon dos, je tourne sur moi-même.
- Vous avez vu, elle minaude.
Boby tu croyais qu’il te serait facile de la baiser, mais il va falloir que tu t’emploies pour la saillir.
Sur le lit, Victoria se lève se place entre les jambes de son client et commence à le sucer.
Mon chien m’a suivi dans mon mouvement et c’est contre toute attente que je sens la langue de Boby commencer à me lécher l’anus et descendant jusqu’à ma chatte.
Ça m’excite, je sens que ma cyprine humidifie mon conduit vaginal.
J’ai envie de cette queue qui doit bander comme celle de son frère, mais à part frétiller une nouvelle fois, je me dois d’attendre.
- Regardez, elle se rend, il va lui sauter sur le dos.
Quand je vous avais dit que c’était un serial baiseur.
Venez-vous empaler sur moi.
C’est surprenant.
À part le frère avec Victoria, nous jouons les chiens en chaleurs sans un mot que des grognements.
Victoria voulant certainement voir si je me comporte comme il faut se retourne, passe sa jambe par-dessus celle du garçon et prenant sa verge bandée en main se la fourre dans le vagin.
- C’est bien ma fifille, tu vas aimer te faire sauter comme moi je le fais avec mon mâle.
Pour la première fois, depuis que nous sommes sorties de la salle de bains, elle me donne un ordre.
- Prends-la.
Je sens Boby monter, sur mon dos, chercher son chemin sans les mains et m’enculer.
- Boby, ce sont des chiots que nous voulons, prend l’autre chemin.
L’autre chemin, je voudrais bien qu’il le prenne, mon gode m’ayant moins fait mal que le sexe de ce garçon dans mon anus.
À la façon dont il commence à bouger en moi et le sourire ironique de Victoria, montant et descendant sur la verge de l’autre garçon, je sais qu’elle m’a piégé.
Il était prévu que ce soi mon anus qui devait y passer.
Je veux lui montrer que son petit stratagème est une bonne chose pour moi.
C’est moi qui bouge mon corps pour que la verge qui me défonce le fasse jusqu’aux couilles.
La douleur ayant manqué de me faire hurler s’estompe et sans avoir un grand plaisir, jusqu’à ce qu’il décharge m’inondant mes intestins, j’aime et la position et ce que je subis.
Dans le même temps, le jumeau décharge, lui aussi dans la chatte épilée de mon amie.
- C’est bien les filles, vous êtes de vrais pros.
Je finis par me lever avec du mal surtout aux genoux plus qu’à ma rosette.
Retournant vers la salle de bains, nous nous rhabillions.
Au moment de quitter les deux garçons ayant remis leurs peignoirs, Victoria me confie sa valise et me demande de l’attendre près de l’ascenseur.
Sans me méfier, je le fais et elle me rejoint cinq minutes après.
Nous quittons l’hôtel et après avoir pris un taxi, je retrouve notre chez-nous.
Seul mon cul se souvenant de ce que je venais de subir.
- Victoria, tu savais que j’allais me faire enculer ?
- Oui, nous avions déjà joué ce jeu avec Rebecca.
C’est moi qui avais fait la chienne et je savais que le plaisir de ce client était porté vers la sodomie.
Mais, dis-moi, c’était la première fois ?
- Pourquoi ?
- La sodomie ?
Comment lui dire que chatte et anus, c’était du pareil au même ?
Bizarrement j’ai fait la pute et je suis toujours vierge de la bite d’un homme dans mon vagin.
- Oui.
- Pardon, j’ai été relous.
- J’étais d’accord de t’aider et un jour, il aurait bien fallu que je le fasse.
- Je suis contente que tu le prennes bien, j’étais un peu anxieuse.
Tient voilà pour toi.
Elle me donne une liasse de livre sterling.
- Tient, 3 000 £.
- Tu m’avais dit 2 000, as-tu des remords ?
- Non, moi aussi j’ai 3 000.
La sodo, c’est 1 000 de plus, tu les as bien gagnés.
Pendant trois jours, on s’est fait un peu la gueule.
Un matin, je sors de la salle de cours et j’allume mon portable.
« Lord Hamilton, pouvez-vous rappeler le… »
Je suis intriguée, peu de gens ici en Angleterre ont mon numéro de portable.
Qui plus est un lord.
- Lord Hamilton, vous avez demandé que je vous rappelle.
C’est à quel sujet.
- Mon ami Boby m’a parlé de vous.
Jeune femme nouvelle sur le marché mais déjà fort expérimenté.
Pourrions-nous nous voir demain 17 heures.
Je devrais raccrocher, mais j’accepte.
Je note l’hôtel ou je dois me rendre.
Un lord pour me dépuceler que demander de plus…
Victoria s’avère être une travailleuse du sexe pour arrondir ses fins de mois pendant ses études d’art à Londres.
Pour ma part, ce sont les lettres et la communication en langue anglaise espérant devenir bilingue avant mon retour en France que je suis dans une autre université londonienne.
Sexuellement ma seule expérience, c’est seulement un gode avec lequel je me suis dépucelée.
C’est empalé dessus que me surprenant dans une posture équivoque, que Victoria me propose de remplacer sa collègue pour une soirée dans un hôtel avec des jumeaux.
Dans cette posture, elle croit que je me fais sauter par des hommes, d’où sa proposition.
Nous venons d’arriver à l’hôtel.
L’enveloppe dans son sac, Victoria m’entraîne dans la salle de bains et ouvre sa mystérieuse valise.
- Enlève tes vêtements, à partir de maintenant tu fais exactement ce que je te demanderais de faire.
Je me mets nue avec un brin d’anxiété.
Moi la petite Française sage, encore pucelle hors mon gode, ce sont deux verges que je vais voir de près pour la première fois, sans que mon amie puisse s’en douter.
Elle se déshabille.
Quand elle s’est préparée dans notre salle de bains, elle m’avait caché ses sangles de cuir qui se trouve autour de son corps et le collier rouge qui tient l’ensemble.
Elle me passe un collier de cuir noir autour du cou qu’elle m’attache.
- Je sens que tu es anxieuse, c’est un jeu, certes, de sexe, mais un jeu tout de même.
Tu vas être ma petite chienne qui va rencontrer son mâle pour ta première saillie et avoir de beaux petits chiots.
Je manque d’éclater de rire, mais comme elle ouvre la porte, à sa demande, je me mets à quatre pattes comme elle me le suggère.
Elle m’attache à ma laisse et prenant une cravache, me fait entrer dans cette chambre que je devrais fuir.
Dans la chambre, les jumeaux sont dans la même situation que nous, à poil et en tenue sadomaso faite de cuir, de colliers et de lanières pour l’un.
L’autre est à quatre pattes comme moi et dès que Victoria me fait avancer frétille de la croupe.
J’en fais de même comme si j’étais une petite chienne en chaleur.
Le jeu m’amuse surtout quand je vois leurs deux queues, l’une pendante devant lui, celle du maître.
L’autre pendante aussi, mais sous le ventre de ce beau toutou qui va féconder sa femelle.
- Merci d’avoir amené votre petite chienne en chaleur, Boby va bien s’amuser avec.
J’ai fait contrôler le pedigree que vous m’avez envoyé par Internet, tout est en ordre.
Boby occupe-toi de cette jolie petite chienne.
Victoria m’ôte ma laisse, l’autre jumeau en faisant de même avec Boby.
Les deux maîtres de ces jolis toutous s’asseyent sur le lit nous regardant.
Je suis un peu anxieuse, mais je veux tenir mon rôle jusqu’au bout.
Je me persuade que je suis dans un film, le seul problème, c’est qu’il va devenir porno et que je suis vierge.
Boby s’approche, grogne.
J’en fais de même, relevant ma lèvre montrant mes jolies dents blanches.
Mon mâle est face à moi et sortant sa langue me lèche le visage.
Je sors ma langue et j’en fais de même.
Boby se déplace et méthodiquement me lèche comme s’il voulait prendre possession de mon corps.
Je frétille une nouvelle fois de la croupe, mais comme l’autre couple est dans mon dos, je tourne sur moi-même.
- Vous avez vu, elle minaude.
Boby tu croyais qu’il te serait facile de la baiser, mais il va falloir que tu t’emploies pour la saillir.
Sur le lit, Victoria se lève se place entre les jambes de son client et commence à le sucer.
Mon chien m’a suivi dans mon mouvement et c’est contre toute attente que je sens la langue de Boby commencer à me lécher l’anus et descendant jusqu’à ma chatte.
Ça m’excite, je sens que ma cyprine humidifie mon conduit vaginal.
J’ai envie de cette queue qui doit bander comme celle de son frère, mais à part frétiller une nouvelle fois, je me dois d’attendre.
- Regardez, elle se rend, il va lui sauter sur le dos.
Quand je vous avais dit que c’était un serial baiseur.
Venez-vous empaler sur moi.
C’est surprenant.
À part le frère avec Victoria, nous jouons les chiens en chaleurs sans un mot que des grognements.
Victoria voulant certainement voir si je me comporte comme il faut se retourne, passe sa jambe par-dessus celle du garçon et prenant sa verge bandée en main se la fourre dans le vagin.
- C’est bien ma fifille, tu vas aimer te faire sauter comme moi je le fais avec mon mâle.
Pour la première fois, depuis que nous sommes sorties de la salle de bains, elle me donne un ordre.
- Prends-la.
Je sens Boby monter, sur mon dos, chercher son chemin sans les mains et m’enculer.
- Boby, ce sont des chiots que nous voulons, prend l’autre chemin.
L’autre chemin, je voudrais bien qu’il le prenne, mon gode m’ayant moins fait mal que le sexe de ce garçon dans mon anus.
À la façon dont il commence à bouger en moi et le sourire ironique de Victoria, montant et descendant sur la verge de l’autre garçon, je sais qu’elle m’a piégé.
Il était prévu que ce soi mon anus qui devait y passer.
Je veux lui montrer que son petit stratagème est une bonne chose pour moi.
C’est moi qui bouge mon corps pour que la verge qui me défonce le fasse jusqu’aux couilles.
La douleur ayant manqué de me faire hurler s’estompe et sans avoir un grand plaisir, jusqu’à ce qu’il décharge m’inondant mes intestins, j’aime et la position et ce que je subis.
Dans le même temps, le jumeau décharge, lui aussi dans la chatte épilée de mon amie.
- C’est bien les filles, vous êtes de vrais pros.
Je finis par me lever avec du mal surtout aux genoux plus qu’à ma rosette.
Retournant vers la salle de bains, nous nous rhabillions.
Au moment de quitter les deux garçons ayant remis leurs peignoirs, Victoria me confie sa valise et me demande de l’attendre près de l’ascenseur.
Sans me méfier, je le fais et elle me rejoint cinq minutes après.
Nous quittons l’hôtel et après avoir pris un taxi, je retrouve notre chez-nous.
Seul mon cul se souvenant de ce que je venais de subir.
- Victoria, tu savais que j’allais me faire enculer ?
- Oui, nous avions déjà joué ce jeu avec Rebecca.
C’est moi qui avais fait la chienne et je savais que le plaisir de ce client était porté vers la sodomie.
Mais, dis-moi, c’était la première fois ?
- Pourquoi ?
- La sodomie ?
Comment lui dire que chatte et anus, c’était du pareil au même ?
Bizarrement j’ai fait la pute et je suis toujours vierge de la bite d’un homme dans mon vagin.
- Oui.
- Pardon, j’ai été relous.
- J’étais d’accord de t’aider et un jour, il aurait bien fallu que je le fasse.
- Je suis contente que tu le prennes bien, j’étais un peu anxieuse.
Tient voilà pour toi.
Elle me donne une liasse de livre sterling.
- Tient, 3 000 £.
- Tu m’avais dit 2 000, as-tu des remords ?
- Non, moi aussi j’ai 3 000.
La sodo, c’est 1 000 de plus, tu les as bien gagnés.
Pendant trois jours, on s’est fait un peu la gueule.
Un matin, je sors de la salle de cours et j’allume mon portable.
« Lord Hamilton, pouvez-vous rappeler le… »
Je suis intriguée, peu de gens ici en Angleterre ont mon numéro de portable.
Qui plus est un lord.
- Lord Hamilton, vous avez demandé que je vous rappelle.
C’est à quel sujet.
- Mon ami Boby m’a parlé de vous.
Jeune femme nouvelle sur le marché mais déjà fort expérimenté.
Pourrions-nous nous voir demain 17 heures.
Je devrais raccrocher, mais j’accepte.
Je note l’hôtel ou je dois me rendre.
Un lord pour me dépuceler que demander de plus…
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