COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (3/4)
Ce qui m’arrive est incroyable.
Venue à Londres faire des études de communication et de lettres, voulant être parfaitement bilingue, je me trouve entraînée comme un tourbillon dans le monde de la luxure et de prostitution.
Après un premier client m’ayant enculé laissant ma chatte toujours vierge d’un pieu masculin, Victoria semble avoir mon numéro de portable qu’elle leur a donné me mettant sur une pente glissante.
- Victoria, qu’as-tu faite, je voulais simplement te rendre service.
- Mais tu me rends service.
Les clients sont trop nombreux et certains aiment le changement, tu ferras un merveilleux changement.
- Lord Hamilton, connais-tu, c’est Boby qui lui a donné le numéro que tu lui avais certainement donné quand tu m’as envoyée vers les ascenseurs.
- Oui, j’ignorais que ce serait Lord Hamilton que tu rencontrerais, tu verras c’est l’un de ces clients aimant le changement, mais des plus faciles à satisfaire.
Regardons ce que tu vas mettre dans cette valise à roulette.
C’est dans la valise apportée de Paris que je place ce qu’il va me falloir.
Je suis à l’heure au restaurant de l’hôtel où je sais que cet homme, la cinquantaine, habillé comme les gens de la City, jusqu’au chapeau melon et la canne à pommeau à ses armoiries, va me baiser pour une enveloppe conséquente.
J’ai droit à tout, jusqu’au baisemain à mon arrivée.
À ma chaise qu’un serveur avance pour que je sois parfaitement à table.
Mon lord me félicite pour mon Anglais presque parfait, me reprenant quand je fais quelques petites fautes de syntaxe.
Je travaille mon accent, là encore repris par le lord qui mange droit comme ce piquet semblant avoir un piquet dans le cul.
Vers la fin du repas, j’ai dû passer l’examen de passage favorablement quand le lord sort de l’intérieur de sa veste l’enveloppe avec les 3 000 £ prévues au contrat.
Je les glisse dans mon petit baise-en-ville.
Mon siège reculé, la robe qui me recouvre est celle d’un grand couturier londonien prêté par Victoria.
J’ai dans ma valise de quoi me transformer en ce que je dois être, la maman intransigeante de Lord Hamilton.
Comme avec Victoria, je sors de la salle de bains dans les lanières de cuir avec autour de mon cou le collier rouge dont elle s’est servie avec les jumeaux.
Ma chatte est dégagée et va connaître sa première verge.
Qui plus est, celle d’un lord de Sa Majesté britannique.
- Maman, avez-vous amené le talc et ma couche pour la nuit.
- Oui, mon bébé, mais vous devez me promettre que cette nuit votre petit zizi restera propre.
- Oui, maman je vous le promets.
Le lord est couché sur le dos, je m’approche, il lève ses jambes comme le ferait une maman voulant nettoyer les fesses de son enfant.
- Je suis prêt, talquez-moi !
Dans la valise de Victoria, j’ai trouvé le nécessaire, talc en poudre et des couches pour adultes.
Je talc les fesses que l’on me présente.
J’en étale bien sûr le fessier.
Mon client se met à bander.
Incroyable, je viens de rentrer dans un autre monde.
Comment un homme de son rang peut-il être aussi dépravé ?
Je prends la couche et la glisse sous ses fesses comme je l’ai fait une fois avec le fils d’une voisine qui venait d’accoucher et qui m’avait montré comment faire.
Du talc, ma main qui saisit cette verge et se met à la branler.
- Oh ! Maman, c’est mal ce que l’on fait, papa serait en colère s’il nous voyait.
Je dois être puni.
Tout est prévu, sur le lit à son côté est posée une cravache que je saisi.
Je lui tiens les pieds levés et je commence à faire tomber sur ses fesses quelques petits coups de la spatule de cuir.
- Maman, j’ai été méchant, vous devez taper plus fort comme papa le fait chaque fois que je suis un vilain garnement.
Je redouble de force mes coups, son fessier devient rubicond jusqu’à ce qu’il éjacule, maculant ma main.
- Maman, j’entends papa qui rentre, sauvez-vous vous cacher dans la salle de bain.
Je m’exécute et j’attends en me lavant la main.
Le temps tourne, je me demande ce que fait le lord.
J’ouvre la porte.
Personne sur le lit, que la couche avec le talc avec le sperme.
Je comprends que mon travail est terminé et que je peux rentrer.
Le chapeau melon et la tenue que portent les hommes d’affaires ont disparu.
Je sais la chambre payée, j’enlève les lanières et je vais nue dans cette très belle baignoire avec bain moussant.
Quand je quitte l’hôtel passant devant le réceptionniste, je lui glisse un billet de 50 £ qu’il s’empresse de glisser dans la poche de son gilet.
Un taxi me ramène à ma colocation.
Lorsque j’arrive, Victoria brille par son absence, elle aussi avait un rendez-vous.
Quand je me glisse dans mon lit les billets jonchant mon lit, ma chatte est toujours vierge de la bite d’un homme, mais je dois bien reconnaître que je suis devenue une petite pute londonienne.
Quand je réfléchis bien, j’adore ça.
À quand ma première bite, remplaçant mon gode ?
Ce gode que je récupère dans ma table de nuit étant la cause de la présence de ces billets.
Je me l’enfile me faisant rapidement hurler de plaisir, le lord a joui me laissant sur ma faim.
- Bonjour Véronique, je prépare le thé, tu sais que tu as cour dans une heure.
- Regarde ce que tu m’as fait gagner en peu de temps, tu avais raison c’était très facile.
Je pense que je vais sécher ce matin.
- Sors ton gode de ta chatte et prépare-toi, tu sais que j’ai fouet et martinet.
Je vois que Lord Hamilton a dû passer un bon moment, tu verras, il fera appel à toi quelques fois.
Sa maman le masturbe souvent.
Je me lève, je sais ce dont elle est capable avec sa cravache, avec les jumeaux, j’ai gouté.
- On continue, ce soir j’ai encore deux rendez-vous.
Voyons, Véronica, lesquels es-tu capable d’assumer.
John chez lui, oui, ça c’est facile.
Voilà c’est reparti, un nouveau client.
Véronique est devenue Véronica, petite salope faisant la pute.
John, homme la trentaine, prévenant du moment où il ouvre sa porte, me donne mon pognon et me conduit dans sa chambre.
Déshabillée, je m’agenouille et je suis prête à faire ma première fellation.
Un problème, sa verge, c’est tout juste si elle sort de son pubis.
Je la prends avec deux doigts, j’arrive à ce qu’elle se détende.
Je m’allonge sur le lit, ma première vraie bite dans ma chatte est d’à peine cinq centimètres.
Quand je quitte sa maison, je me demande si je peux prétendre avoir été dépucelé.
Bref, c’est au cinquième client que j’ouvre mon petit carnet avec les noms et les numéros de téléphone de ces hommes.
Je dois dire ces hommes et ces quelques femmes.
Eh oui, une pute doit savoir répondre à toutes sortes de sollicitations de ses clients.
Talc, on l’a déjà vu.
Position du kamasoutra, je sais qu’il existe, sans l’avoir consulté.
Les jumeaux de ma première passe, je les ai revus.
J’étais seule avec les deux.
Boby avait été le premier à me dépuceler l’anus, j’ignore lequel me prend par-derrière quand l’autre est dans ma chatte.
En un mot comme en cent, ils sont les deux premiers à me faire connaître la double pénétration.
Faisant le poirier, la bite de cet homme respectable planté en moi en la pliant vers le bas.
Mon cul qui a presque aussi vu, pardon, senti de bite que ma chatte.
J’apprends vite, que les Anglaises en plus d’être moche refusent ces pratiques multipliant nos heures de baise.
Et il y a Trudi, elle, elle est belle et est chef d’entreprise.
Elle est lesbienne et paye pour se gouiner sans prise de tête.
Je la vois souvent de 12 à 14 heures dans un hôtel près de sa boîte.
Je lui ai dit que j’ignorais, comment se faisait l’amour entre deux femmes.
Peu importe, je suis une bonne élève dans ma fac.
J’ai été une bonne élève quand Victoria a fait de moi une pute et en plus du fric qui gonfle mon compte en banque, cette expérience nouvelle m’a intrigué.
Depuis, je la caresse, elle me caresse, je la suce, elle me suce.
Chose différente de mes autres clients qui sont pressés de me faire voir les mâles dominants qu’ils pensent être, mes seins qu’elle caresse et qu’elle titille de sa langue m’apportant à la limite de jouir pendant de longues minutes.
Bien sûr, il y a Paris et papa qui continue à m’alimenter de ses 5 000 €.
Je le vois une seule fois par an depuis mon arrivée et les 24 ans que je viens de fêter.
Je sais, mais comment lui dire que la fille à son papa est devenue l’une des plus grandes putes d’Angleterre…
Venue à Londres faire des études de communication et de lettres, voulant être parfaitement bilingue, je me trouve entraînée comme un tourbillon dans le monde de la luxure et de prostitution.
Après un premier client m’ayant enculé laissant ma chatte toujours vierge d’un pieu masculin, Victoria semble avoir mon numéro de portable qu’elle leur a donné me mettant sur une pente glissante.
- Victoria, qu’as-tu faite, je voulais simplement te rendre service.
- Mais tu me rends service.
Les clients sont trop nombreux et certains aiment le changement, tu ferras un merveilleux changement.
- Lord Hamilton, connais-tu, c’est Boby qui lui a donné le numéro que tu lui avais certainement donné quand tu m’as envoyée vers les ascenseurs.
- Oui, j’ignorais que ce serait Lord Hamilton que tu rencontrerais, tu verras c’est l’un de ces clients aimant le changement, mais des plus faciles à satisfaire.
Regardons ce que tu vas mettre dans cette valise à roulette.
C’est dans la valise apportée de Paris que je place ce qu’il va me falloir.
Je suis à l’heure au restaurant de l’hôtel où je sais que cet homme, la cinquantaine, habillé comme les gens de la City, jusqu’au chapeau melon et la canne à pommeau à ses armoiries, va me baiser pour une enveloppe conséquente.
J’ai droit à tout, jusqu’au baisemain à mon arrivée.
À ma chaise qu’un serveur avance pour que je sois parfaitement à table.
Mon lord me félicite pour mon Anglais presque parfait, me reprenant quand je fais quelques petites fautes de syntaxe.
Je travaille mon accent, là encore repris par le lord qui mange droit comme ce piquet semblant avoir un piquet dans le cul.
Vers la fin du repas, j’ai dû passer l’examen de passage favorablement quand le lord sort de l’intérieur de sa veste l’enveloppe avec les 3 000 £ prévues au contrat.
Je les glisse dans mon petit baise-en-ville.
Mon siège reculé, la robe qui me recouvre est celle d’un grand couturier londonien prêté par Victoria.
J’ai dans ma valise de quoi me transformer en ce que je dois être, la maman intransigeante de Lord Hamilton.
Comme avec Victoria, je sors de la salle de bains dans les lanières de cuir avec autour de mon cou le collier rouge dont elle s’est servie avec les jumeaux.
Ma chatte est dégagée et va connaître sa première verge.
Qui plus est, celle d’un lord de Sa Majesté britannique.
- Maman, avez-vous amené le talc et ma couche pour la nuit.
- Oui, mon bébé, mais vous devez me promettre que cette nuit votre petit zizi restera propre.
- Oui, maman je vous le promets.
Le lord est couché sur le dos, je m’approche, il lève ses jambes comme le ferait une maman voulant nettoyer les fesses de son enfant.
- Je suis prêt, talquez-moi !
Dans la valise de Victoria, j’ai trouvé le nécessaire, talc en poudre et des couches pour adultes.
Je talc les fesses que l’on me présente.
J’en étale bien sûr le fessier.
Mon client se met à bander.
Incroyable, je viens de rentrer dans un autre monde.
Comment un homme de son rang peut-il être aussi dépravé ?
Je prends la couche et la glisse sous ses fesses comme je l’ai fait une fois avec le fils d’une voisine qui venait d’accoucher et qui m’avait montré comment faire.
Du talc, ma main qui saisit cette verge et se met à la branler.
- Oh ! Maman, c’est mal ce que l’on fait, papa serait en colère s’il nous voyait.
Je dois être puni.
Tout est prévu, sur le lit à son côté est posée une cravache que je saisi.
Je lui tiens les pieds levés et je commence à faire tomber sur ses fesses quelques petits coups de la spatule de cuir.
- Maman, j’ai été méchant, vous devez taper plus fort comme papa le fait chaque fois que je suis un vilain garnement.
Je redouble de force mes coups, son fessier devient rubicond jusqu’à ce qu’il éjacule, maculant ma main.
- Maman, j’entends papa qui rentre, sauvez-vous vous cacher dans la salle de bain.
Je m’exécute et j’attends en me lavant la main.
Le temps tourne, je me demande ce que fait le lord.
J’ouvre la porte.
Personne sur le lit, que la couche avec le talc avec le sperme.
Je comprends que mon travail est terminé et que je peux rentrer.
Le chapeau melon et la tenue que portent les hommes d’affaires ont disparu.
Je sais la chambre payée, j’enlève les lanières et je vais nue dans cette très belle baignoire avec bain moussant.
Quand je quitte l’hôtel passant devant le réceptionniste, je lui glisse un billet de 50 £ qu’il s’empresse de glisser dans la poche de son gilet.
Un taxi me ramène à ma colocation.
Lorsque j’arrive, Victoria brille par son absence, elle aussi avait un rendez-vous.
Quand je me glisse dans mon lit les billets jonchant mon lit, ma chatte est toujours vierge de la bite d’un homme, mais je dois bien reconnaître que je suis devenue une petite pute londonienne.
Quand je réfléchis bien, j’adore ça.
À quand ma première bite, remplaçant mon gode ?
Ce gode que je récupère dans ma table de nuit étant la cause de la présence de ces billets.
Je me l’enfile me faisant rapidement hurler de plaisir, le lord a joui me laissant sur ma faim.
- Bonjour Véronique, je prépare le thé, tu sais que tu as cour dans une heure.
- Regarde ce que tu m’as fait gagner en peu de temps, tu avais raison c’était très facile.
Je pense que je vais sécher ce matin.
- Sors ton gode de ta chatte et prépare-toi, tu sais que j’ai fouet et martinet.
Je vois que Lord Hamilton a dû passer un bon moment, tu verras, il fera appel à toi quelques fois.
Sa maman le masturbe souvent.
Je me lève, je sais ce dont elle est capable avec sa cravache, avec les jumeaux, j’ai gouté.
- On continue, ce soir j’ai encore deux rendez-vous.
Voyons, Véronica, lesquels es-tu capable d’assumer.
John chez lui, oui, ça c’est facile.
Voilà c’est reparti, un nouveau client.
Véronique est devenue Véronica, petite salope faisant la pute.
John, homme la trentaine, prévenant du moment où il ouvre sa porte, me donne mon pognon et me conduit dans sa chambre.
Déshabillée, je m’agenouille et je suis prête à faire ma première fellation.
Un problème, sa verge, c’est tout juste si elle sort de son pubis.
Je la prends avec deux doigts, j’arrive à ce qu’elle se détende.
Je m’allonge sur le lit, ma première vraie bite dans ma chatte est d’à peine cinq centimètres.
Quand je quitte sa maison, je me demande si je peux prétendre avoir été dépucelé.
Bref, c’est au cinquième client que j’ouvre mon petit carnet avec les noms et les numéros de téléphone de ces hommes.
Je dois dire ces hommes et ces quelques femmes.
Eh oui, une pute doit savoir répondre à toutes sortes de sollicitations de ses clients.
Talc, on l’a déjà vu.
Position du kamasoutra, je sais qu’il existe, sans l’avoir consulté.
Les jumeaux de ma première passe, je les ai revus.
J’étais seule avec les deux.
Boby avait été le premier à me dépuceler l’anus, j’ignore lequel me prend par-derrière quand l’autre est dans ma chatte.
En un mot comme en cent, ils sont les deux premiers à me faire connaître la double pénétration.
Faisant le poirier, la bite de cet homme respectable planté en moi en la pliant vers le bas.
Mon cul qui a presque aussi vu, pardon, senti de bite que ma chatte.
J’apprends vite, que les Anglaises en plus d’être moche refusent ces pratiques multipliant nos heures de baise.
Et il y a Trudi, elle, elle est belle et est chef d’entreprise.
Elle est lesbienne et paye pour se gouiner sans prise de tête.
Je la vois souvent de 12 à 14 heures dans un hôtel près de sa boîte.
Je lui ai dit que j’ignorais, comment se faisait l’amour entre deux femmes.
Peu importe, je suis une bonne élève dans ma fac.
J’ai été une bonne élève quand Victoria a fait de moi une pute et en plus du fric qui gonfle mon compte en banque, cette expérience nouvelle m’a intrigué.
Depuis, je la caresse, elle me caresse, je la suce, elle me suce.
Chose différente de mes autres clients qui sont pressés de me faire voir les mâles dominants qu’ils pensent être, mes seins qu’elle caresse et qu’elle titille de sa langue m’apportant à la limite de jouir pendant de longues minutes.
Bien sûr, il y a Paris et papa qui continue à m’alimenter de ses 5 000 €.
Je le vois une seule fois par an depuis mon arrivée et les 24 ans que je viens de fêter.
Je sais, mais comment lui dire que la fille à son papa est devenue l’une des plus grandes putes d’Angleterre…
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