COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (4/4)
C’est vrai, moi la petite Française venue étudier l’anglais pour devenir parfaitement bilingue, je le suis à ce jour.
Plutôt bi-langue, car je suce aussi bien des Anglais que des Anglaises dans des moments rémunérés sans que personne dans le pays sache mes origines parisiennes.
J’ai bien évolué toutes ces années.
Victoria, ma colocataire m’a quitté pour partir épouser un Australien.
Elle l’avait rencontré alors qu’il faisait un voyage pour son travail.
Seul, il l’avait contacté par l’intermédiaire d’un de ces amis.
C’est drôle comment les hommes ont des facilités à échanger nos numéros quand ils se sentent seuls.
Quand elle est partie, l’appartement a été mis en vente par la proprio.
Au lieu de déménager et bousculer mes habitudes, je l’ai acheté.
Je suis maintenant chez moi.
L’an passé, j’ai réussi mes examens, ce qui m’a permis de faire croire à papa que je restais à Londres ayant trouvé un travail dans l’une des plus grandes agences de communication de la ville.
C’est un demi-mensonge, être prostitué à temps complet dans cette ville, est certainement l’une des agences de baise les plus importantes du royaume.
J’ai commencé un petit carnet après mon cinquième client.
Je suis dans l’Eurostar en direction de Paris.
J’ai reçu une mauvaise nouvelle.
Papa a été victime d’une attaque et est à l’hôpital.
Le médecin que j’ai eu m’a dit que les heures lui étaient comptées.
J’ai sorti mon carnet pour passer le temps et je compte ma vie depuis les jumeaux.
100, 200, incroyable.
300, 400, c’est impossible.
Eh si, 499 numéros multipliés par plusieurs soirées avec les uns et les autres.
499 à un des 500, ça fait des kilomètres de bites qui m’ont défoncé sans que jamais l’une d’elles soit sans intérêt pécuniaire.
J’ignore ce que baiser simplement par plaisir veut dire.
Aucun garçon ou fille par coup de cœur, toutes des relations tarifées.
J’arrive à l’hôpital pour serrer papa dans mes bras sans que je sache s’il m’a reconnu.
Mais je l’ai vu.
- Nos condoléances.
- J’ai bien connu votre père, c’était un gentil garçon.
Bref, les condoléances classiques après le décès d’un proche.
Nous sommes au crématorium, papa a souhaité être incinéré.
- Bonjours Véronique, j’étais une amie proche de ton papa, il me parlait toujours de toi avec amour.
Je te présente Charles-Henri, mon fils.
Je sais ce que c’est que de perdre un être cher.
Je suis veuve depuis presque dix ans.
La perte de ton papa, pour moi c’est comme si je venais de devenir veuve une nouvelle fois.
C’est bon, j’ai compris, tu étais une veuve joyeuse avec papa qui devait sauter ton petit cul de bourgeoise.
Charles-Henri m’invite rapidement au café de Flore et me déclare sa flamme.
Belle-maman est fière de marier son fils à cette jolie femme ayant pignon sur rue et ayant réussi dans la perfide Albione.
Charles-Henri est un garçon bien mis de sa personne dans sa trentième année et est l’un des hommes d’avenir de la Banque de France où il a été engagé après ses études.
Il a son appartement hérité de feu son père lui aussi dans la banque.
Je voulais éviter de coiffer Sainte Catherine et ses chapeaux ridicules.
- Oui, je te veux pour épouse Véronique.
- Et moi aussi Charles-Henri, je te veux comme époux.
Belle-maman y va de sa petite larme, elle est contente, car j’ai démissionné de mon travail anglais.
Le virtuel, l’autre étant loin de Londres, je range les clefs de mon appartement avec mon petit carnet.
Il restera à 499 clients, Véronica étant redevenue Véronique.
- Chéri regarde ce test.
- Je vais être papa, je suis le plus heureux des hommes.
Moi un peu moins, non pas de ma grossesse, mais parce que pour concevoir mon fils, je me suis carrément emmerdé au lit.
Comment faire pour lui apprendre à être un mâle dominant au risque qu’il pense avoir épousé une salope ?
Alors, je me résigne à attendre que monsieur daigne s’occuper de moi dans la position du missionnaire avec seulement de ma part, mes jambes qui lui enserrent la taille.
Nuit de noces, et rapidement disparition de mes règles jusqu’à mon accouchement d’un magnifique garçon Henri-Charles faisant honneur à son père et à ma belle-mère.
Abby arrive rapidement d’une des meilleures écoles de nurses anglaises pour élever mon fils.
Je suis oisive avec rapidement du vague à l’âme.
Je sors dans Paris comme je le veux et il me serait facile de prendre un amant.
Mais cette solution est trop simple pour moi.
Ma vie d’avant en Angleterre me manque jusqu’au jour où nous sommes invités à un repas pour un hôte africain Charles-Henri et moi au Palais de l’Élysée.
Lorsque je rentre dans un salon où un buffet d’apéritif est monté, je suis dans une magnifique robe longue blanche.
Je retrouve une amie d’enfance de mon père qui me permet d’éviter de faire tapisserie, car mon mari une coupe de champagne à la main parle avec un groupe d’hommes d’affaires oubliant ma présence.
Je demande les toilettes à un serveur où je vais refaire mon maquillage.
Je reviens quand ce que j’ai peur depuis mon mariage se produit, rencontrer un de mes clients anglais.
Lord Hamilton est là devant moi.
- Je vous ai vue sortir, madame et j’ai cru reconnaître une amie Anglaise.
Véronica ?
- Vous vous trompez, monsieur, je m’appelle Véronique et non Véronica.
- Avez-vous vécu à Londres jusqu’à ces dernières années ?
- Non, vous devez faire erreur, j’ai toujours vécu à Paris depuis ma naissance.
- Dommage, vous revoir ici à Paris aurait été une joie.
- Vous m’excusez, je vois mon mari qui me cherche, je vais le rejoindre.
Heureuse de vous avoir rencontré même si c’est une autre que moi qui vous a subjuguée.
Je m’échappe de ce risque majeur d’apparaître à tous comme la pute de la soirée.
Le reste du temps, j’ai la chance d’être à un bout de la table avec Charles-Henri et lui a l’autre.
Le repas est excellent.
Normal au prix de nos impôts Français comparé à ceux que je paye en Angleterre.
Que je payais, car à part les impôts pour mon pied-à-terre, je suis sans revenu là-bas.
De retour chez nous, je vais embrasser Henri-Charles qui dort.
La porte de communication avec la chambre d’Abby est ouverte.
La jeune fille est allongée nue, dans une pose qui me donne envie de lui sucer la chatte.
Mais outre mon mari, partir dans une relation lesbienne avec cette jeune Anglaise serait prendre des risques inutiles, je me suis rangée de toutes ces perversions.
Trois mois, je tiens encore trois mois avant un matin de prendre une décision.
Il fait soleil, il fait chaud.
Je vois mon mari allongé ronflant légèrement dans son pyjama strict qu’il garde quand il me fait l’amour sortant simplement son sexe par la fente qui lui sert aussi pour pisser.
Trois mois avant de parler à celui à qui j’ai juré fidélité ce matin.
- Charles-Henri, j’ai décidé de reprendre du travail !
- Si vous pensez que pour ton équilibre, vous devez retravailler, je vais me renseigner auprès de nos amis pour vous trouver quelque chose.
- Inutile, c’est déjà fait, mais il y a un petit inconvénient.
C’est à Londres.
La boîte de com qui m’employait m’a envoyé un message me disant que leur chiffre d’affaires avait fortement baissé depuis mon départ.
Ils me font un pont d’or pour que je revienne et j’ai accepté.
Si je le peux, je rentrerais par l’Eurostar, sinon je coucherais dans mon appartement que j’ai gardé après notre mariage.
- Je vois que tu es très bien organisée, j’adore ce trait de ton caractère, tu as mon feu vert.
Feu vert, mais avant je vois qu’il sort sa queue.
Je sais ce qu’il me reste à faire pour être une épouse parfaite du moins à Paris.
Une nouvelle fois, je suis frustrée, cinq minutes après il part vers la salle de bains.
Le lundi, j’arrive à Londres.
C’est avec délice que j’ouvre la porte de mon ancienne colocation.
Je sens un peu le parfum de Victoria.
Je retrouve mon portable d’escorte.
Des centaines d’appels.
- Lord Hamilton, c’est Véronique, peut-on se voir ?
- Véronique, laquelle, celle de Paris ?
- Celle de Paris et aussi Véronica la Londonienne.
- Je savais que j’avais bien vu, le petit grain de beauté sur le dessus de votre lèvre vous a trahi.
Ma valise en main avec mon flacon de talc et la couche pour adultes est à l’intérieur, je rejoins mon lord.
La différence avec ma première fois, c’est que ma main quand je le punis est bien plus forte au grand plaisir de cet homme ayant baisé la main de la reine.
De retour je revis quand je jette l’enveloppe sur mon lit.
Les livres sterling sortent me permettant de me rouler dedans.
- Vous êtes monsieur Nelson !
Dix-sept heures, j’ai noté le nom de l’hôtel et le numéro de votre hôtel.
J’ai légèrement augmenté mes tarifs.
Aucun problème, alors à dix-sept heures.
Le lendemain, de retour, je prends mon carnet des numéros.
500e, Nelson et je note son numéro.
500e, direction les 600 bites Anglaises, vu le nombre de numéros nouveaux dans le portable m’ayant appelé pendant mon absence.
Enfin, je suis une femme comblée.
Plutôt bi-langue, car je suce aussi bien des Anglais que des Anglaises dans des moments rémunérés sans que personne dans le pays sache mes origines parisiennes.
J’ai bien évolué toutes ces années.
Victoria, ma colocataire m’a quitté pour partir épouser un Australien.
Elle l’avait rencontré alors qu’il faisait un voyage pour son travail.
Seul, il l’avait contacté par l’intermédiaire d’un de ces amis.
C’est drôle comment les hommes ont des facilités à échanger nos numéros quand ils se sentent seuls.
Quand elle est partie, l’appartement a été mis en vente par la proprio.
Au lieu de déménager et bousculer mes habitudes, je l’ai acheté.
Je suis maintenant chez moi.
L’an passé, j’ai réussi mes examens, ce qui m’a permis de faire croire à papa que je restais à Londres ayant trouvé un travail dans l’une des plus grandes agences de communication de la ville.
C’est un demi-mensonge, être prostitué à temps complet dans cette ville, est certainement l’une des agences de baise les plus importantes du royaume.
J’ai commencé un petit carnet après mon cinquième client.
Je suis dans l’Eurostar en direction de Paris.
J’ai reçu une mauvaise nouvelle.
Papa a été victime d’une attaque et est à l’hôpital.
Le médecin que j’ai eu m’a dit que les heures lui étaient comptées.
J’ai sorti mon carnet pour passer le temps et je compte ma vie depuis les jumeaux.
100, 200, incroyable.
300, 400, c’est impossible.
Eh si, 499 numéros multipliés par plusieurs soirées avec les uns et les autres.
499 à un des 500, ça fait des kilomètres de bites qui m’ont défoncé sans que jamais l’une d’elles soit sans intérêt pécuniaire.
J’ignore ce que baiser simplement par plaisir veut dire.
Aucun garçon ou fille par coup de cœur, toutes des relations tarifées.
J’arrive à l’hôpital pour serrer papa dans mes bras sans que je sache s’il m’a reconnu.
Mais je l’ai vu.
- Nos condoléances.
- J’ai bien connu votre père, c’était un gentil garçon.
Bref, les condoléances classiques après le décès d’un proche.
Nous sommes au crématorium, papa a souhaité être incinéré.
- Bonjours Véronique, j’étais une amie proche de ton papa, il me parlait toujours de toi avec amour.
Je te présente Charles-Henri, mon fils.
Je sais ce que c’est que de perdre un être cher.
Je suis veuve depuis presque dix ans.
La perte de ton papa, pour moi c’est comme si je venais de devenir veuve une nouvelle fois.
C’est bon, j’ai compris, tu étais une veuve joyeuse avec papa qui devait sauter ton petit cul de bourgeoise.
Charles-Henri m’invite rapidement au café de Flore et me déclare sa flamme.
Belle-maman est fière de marier son fils à cette jolie femme ayant pignon sur rue et ayant réussi dans la perfide Albione.
Charles-Henri est un garçon bien mis de sa personne dans sa trentième année et est l’un des hommes d’avenir de la Banque de France où il a été engagé après ses études.
Il a son appartement hérité de feu son père lui aussi dans la banque.
Je voulais éviter de coiffer Sainte Catherine et ses chapeaux ridicules.
- Oui, je te veux pour épouse Véronique.
- Et moi aussi Charles-Henri, je te veux comme époux.
Belle-maman y va de sa petite larme, elle est contente, car j’ai démissionné de mon travail anglais.
Le virtuel, l’autre étant loin de Londres, je range les clefs de mon appartement avec mon petit carnet.
Il restera à 499 clients, Véronica étant redevenue Véronique.
- Chéri regarde ce test.
- Je vais être papa, je suis le plus heureux des hommes.
Moi un peu moins, non pas de ma grossesse, mais parce que pour concevoir mon fils, je me suis carrément emmerdé au lit.
Comment faire pour lui apprendre à être un mâle dominant au risque qu’il pense avoir épousé une salope ?
Alors, je me résigne à attendre que monsieur daigne s’occuper de moi dans la position du missionnaire avec seulement de ma part, mes jambes qui lui enserrent la taille.
Nuit de noces, et rapidement disparition de mes règles jusqu’à mon accouchement d’un magnifique garçon Henri-Charles faisant honneur à son père et à ma belle-mère.
Abby arrive rapidement d’une des meilleures écoles de nurses anglaises pour élever mon fils.
Je suis oisive avec rapidement du vague à l’âme.
Je sors dans Paris comme je le veux et il me serait facile de prendre un amant.
Mais cette solution est trop simple pour moi.
Ma vie d’avant en Angleterre me manque jusqu’au jour où nous sommes invités à un repas pour un hôte africain Charles-Henri et moi au Palais de l’Élysée.
Lorsque je rentre dans un salon où un buffet d’apéritif est monté, je suis dans une magnifique robe longue blanche.
Je retrouve une amie d’enfance de mon père qui me permet d’éviter de faire tapisserie, car mon mari une coupe de champagne à la main parle avec un groupe d’hommes d’affaires oubliant ma présence.
Je demande les toilettes à un serveur où je vais refaire mon maquillage.
Je reviens quand ce que j’ai peur depuis mon mariage se produit, rencontrer un de mes clients anglais.
Lord Hamilton est là devant moi.
- Je vous ai vue sortir, madame et j’ai cru reconnaître une amie Anglaise.
Véronica ?
- Vous vous trompez, monsieur, je m’appelle Véronique et non Véronica.
- Avez-vous vécu à Londres jusqu’à ces dernières années ?
- Non, vous devez faire erreur, j’ai toujours vécu à Paris depuis ma naissance.
- Dommage, vous revoir ici à Paris aurait été une joie.
- Vous m’excusez, je vois mon mari qui me cherche, je vais le rejoindre.
Heureuse de vous avoir rencontré même si c’est une autre que moi qui vous a subjuguée.
Je m’échappe de ce risque majeur d’apparaître à tous comme la pute de la soirée.
Le reste du temps, j’ai la chance d’être à un bout de la table avec Charles-Henri et lui a l’autre.
Le repas est excellent.
Normal au prix de nos impôts Français comparé à ceux que je paye en Angleterre.
Que je payais, car à part les impôts pour mon pied-à-terre, je suis sans revenu là-bas.
De retour chez nous, je vais embrasser Henri-Charles qui dort.
La porte de communication avec la chambre d’Abby est ouverte.
La jeune fille est allongée nue, dans une pose qui me donne envie de lui sucer la chatte.
Mais outre mon mari, partir dans une relation lesbienne avec cette jeune Anglaise serait prendre des risques inutiles, je me suis rangée de toutes ces perversions.
Trois mois, je tiens encore trois mois avant un matin de prendre une décision.
Il fait soleil, il fait chaud.
Je vois mon mari allongé ronflant légèrement dans son pyjama strict qu’il garde quand il me fait l’amour sortant simplement son sexe par la fente qui lui sert aussi pour pisser.
Trois mois avant de parler à celui à qui j’ai juré fidélité ce matin.
- Charles-Henri, j’ai décidé de reprendre du travail !
- Si vous pensez que pour ton équilibre, vous devez retravailler, je vais me renseigner auprès de nos amis pour vous trouver quelque chose.
- Inutile, c’est déjà fait, mais il y a un petit inconvénient.
C’est à Londres.
La boîte de com qui m’employait m’a envoyé un message me disant que leur chiffre d’affaires avait fortement baissé depuis mon départ.
Ils me font un pont d’or pour que je revienne et j’ai accepté.
Si je le peux, je rentrerais par l’Eurostar, sinon je coucherais dans mon appartement que j’ai gardé après notre mariage.
- Je vois que tu es très bien organisée, j’adore ce trait de ton caractère, tu as mon feu vert.
Feu vert, mais avant je vois qu’il sort sa queue.
Je sais ce qu’il me reste à faire pour être une épouse parfaite du moins à Paris.
Une nouvelle fois, je suis frustrée, cinq minutes après il part vers la salle de bains.
Le lundi, j’arrive à Londres.
C’est avec délice que j’ouvre la porte de mon ancienne colocation.
Je sens un peu le parfum de Victoria.
Je retrouve mon portable d’escorte.
Des centaines d’appels.
- Lord Hamilton, c’est Véronique, peut-on se voir ?
- Véronique, laquelle, celle de Paris ?
- Celle de Paris et aussi Véronica la Londonienne.
- Je savais que j’avais bien vu, le petit grain de beauté sur le dessus de votre lèvre vous a trahi.
Ma valise en main avec mon flacon de talc et la couche pour adultes est à l’intérieur, je rejoins mon lord.
La différence avec ma première fois, c’est que ma main quand je le punis est bien plus forte au grand plaisir de cet homme ayant baisé la main de la reine.
De retour je revis quand je jette l’enveloppe sur mon lit.
Les livres sterling sortent me permettant de me rouler dedans.
- Vous êtes monsieur Nelson !
Dix-sept heures, j’ai noté le nom de l’hôtel et le numéro de votre hôtel.
J’ai légèrement augmenté mes tarifs.
Aucun problème, alors à dix-sept heures.
Le lendemain, de retour, je prends mon carnet des numéros.
500e, Nelson et je note son numéro.
500e, direction les 600 bites Anglaises, vu le nombre de numéros nouveaux dans le portable m’ayant appelé pendant mon absence.
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