COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (145)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (145)
Christine nous a quittés le 22 mai 2017, alors qu’elle était à Moscou.
Pourquoi, bientôt cinq ans, c’était dans le chapitre 144 sur notre site HDS, je crois que nous allons la retrouver ?
• Ou suis-je ?
• Vous êtes à l’hôpital de Brie madame Christine !
• Qui êtes-vous et qu’est-ce que je fais là ?
Je viens d’ouvrir les yeux mes paupières pesant une tonne chacune.
J’ai du mal à parler, mais mon corps semble ailleurs.
J’ai du mal à aligner trois mots cohérents, mon cerveau ayant des ratés.
• Reposez-vous encore un peu, je suis votre doctoresse, mes services m’ont prévenu que vous étiez en phase de réveil et que vous sortiez du coma !
Je flotte, j’ai envie de rire, j’aime beaucoup rire, mais je suis incapable d’avoir le moindre souvenir de qui je suis.
Une nouvelle fois, j’ai l’impression de sortir d’un long tunnel.
• Christine, c’est moi Virginie ta marraine dans notre métier et voilà Katia, ta filleule, tu as été victime d’un attentat, il y a des mois à Moscou.
Il y a quelques semaines nous avons pu te ramener ici espérant que tu reviendrais à nous.
Virginie, Katia et même Christine, il faut que je secoue ma tête, car j’ai beau cherché, ces noms me sont inconnus.
Comment cette grande et jolie femme, m’a-t-elle appelée ?
Christine, elle aurait dit Valérie ça aurait été du pareil au même, pourtant Valérie, ça me dit vaguement quelque chose !
Et Katia, un joli petit cœur au visage d’ange et des yeux magnifiques.
• Madame Virginie, je vous avais prévenu, le coup à la tête reçu par votre amie peut laisser de graves séquelles allant même jusqu’à une amnésie définitive.
Souvent dans un traumatisme comme celui subi par votre amie, la vie reprend à partir de leur réveil sans jamais ce souvenir de ce qu’elle était avant.
C’est à vous d’essayer de réveiller son passé, vous semblez bien la connaitre.
Nous allons la garder en observation quelques jours avant de l’envoyer vers un centre de rééducation.
Il y en a un très bon non loin d’ici à Pontault-Combault, je fais le nécessaire pour les appeler et lui trouver une place.
Je connais Françoise l’une des doctoresses qui suivent les malades, je vais recommander votre amie, elle sera entre de bonnes mains.
J’ai fait mon doctorat à Paris avec elle, elle est d’une grande compétence.
Ces deux femmes qui semblent être mes amies viennent me voir tous les jours à l’hôpital et après mon transfert au centre de rééducation.
Parmi les patients, des traumatisés de la vie, souvent des AVC qui doivent réapprendre à parler et à marcher, mais des cas comme le mien, je suis la seule qui a un énorme trou dans son passé.
Virginie est là près de moi, j’ai des centaines de questions à lui poser.
Pour commencer qui je suis et pourquoi la doctoresse de l’hôpital a parlé de Moscou ?
Qu’est-ce que je faisais dans cette ville dont j’ignore où elle se trouve ?
• Vous êtes bien gentil, mais parlez-moi de Moscou, qu’est-ce que j’y faisais !
• Ce que je vais te dire va certainement te surprendre, tu étais à Moscou pour faire du fric avec tes protégées qui étaient là pour gagner du pognon en monnayant leurs charmes.
• J’ai du mal à comprendre, tu sais que j’ai une plaque sur le côté de la tête, mais dis-moi comment elle est venue là ?
• Tu réglais les détails du voyage de Katia, notre petite amie avec les jumeaux voulant l’emmener pour Saint-Pétersbourg.
Lorsque tu as retrouvé Igor, ton amant, maître de tout le fric que tu devais faire gagner à tes protégés, il t’a invité au restaurant et tu as accepté.
Vous veniez de sortir de l’hôtel lorsqu’une rafale de pistolet mitrailleur s’est fait entendre.
Au péril de sa vie, Igor t’a protégé arrêtant toutes les balles de son dos, sauf une qui est venue te frapper sur le côté de la tête.
Tu as été rapatrié après bien des mois, on te donnait peu de chances de survivre.
Ils t’ont opéré et poser cette plaque le morceau d’os enlevé par la balle étant trop important.
Dans la poche d’Igor, ils ont retrouvé une bague dans son écrin, nous supputons qu’il t’emmenait pour te demander en mariage.
• Cet Igor, qu’est-il devenu ?
• J’ai le regret de te dire qu’il est mort, il avait reçu plus de vingt balles qui l’ont déchiqueté.
• J’ai du mal à comprendre, tu me parles d’argent que les filles que j’accompagnais devaient gagner avec leurs charmes, qu’est-ce que cela veut dire ?
• Dois-je te dire ce que j’avais fait de toi, comme tu l’as fait pour Katia ?
• Si tu veux que je retrouve la mémoire, il serait de bon ton que je sache qui j’étais.
• Tu as raison, tu étais mariée à Pierre et insatisfaite sexuellement lorsque je t’ai rencontré.
Je me prostituais et je t’ai entraîné sur cette voie.
• Prostituait, tu vas, penser que je me moque, ce mot m’est inconnu !
• Une prostituée ou une escorte est une femme qui se sert de ses avantages et vend son corps pour gagner de l’argent.
Tu étais la plus douée parmi toutes les filles que je connais et tu gagnais des sommes folles.
Avec tout cet argent, tu as acheté une villa voisine de la mienne que nous avons fini de rénover grâce à Katia qui a continué ton œuvre.
De plus, tu as hérité de tes parents d’une villa au-dessus de la plage de Saint-Palais sur mer en Charente-Maritime.
Nous y allions tous les étés, même là-bas tu faisais travailler des femmes dans la région.
• Mon dieu, je suis un monstre, j’aurais dû mourir devant cet hôtel à Moscou, c’est drôle, j’emploie des mots inconnus, « Dieu » par exemple.
• Si je dois t’expliquer « Dieu », ce serait trop long pour tout te dire.
À l'hôpital, au départ les médecins pensaient que tu resterais toujours dans le coma, il faut croire que Dieu a refusé de te recevoir près de lui.
• Tout ceci est bien confus, mais je vais m’attacher à redevenir celle que j’étais sans vendre le corps de ces filles, mais à qui au fait ?
• Aux puissants du monde qui ont les moyens de se payer tes et leurs services.
Prends le cas de Katia t’a protégé, tu as monnayé son pucelage aux enchères et ce sont deux jeunes musiciens russes qui les ont emportés.
150 000 €, une fortune pour démarrer sa vie, depuis cinq ans elle a continué de voir des clients et sa fortune dépasse le million.
• Je prends tes dires comme argent comptant, ma mémoire me faisant défaut sur ce que ces sommes représentent.
Je crois ce que tu dis, mais comment je leur faisais gagner ces sommes que tu dis folles.
• Je vois que je dois tout te réapprendre, maintenant que tu es plus autonome, tes drains t’ayant été enlevé, que fais-tu lorsque tu vas aux toilettes !
• Moi aussi tu me mets mal à l’aise, je baisse ma culotte et je fais pipi, ça je me souviens.
• Et si je te disais que ton sexe à double fonction, pipi et plaisir !
• Tu me parles une langue inconnue, j’ai bien eu des petits picotements l’autre jour, j’ai failli me mettre mes doigts, mais j’ai trouvé cela inconvenant.
• De quoi parlez-vous, lorsque j’ai frappé avant d’entrée, j’ai entendu quelques mots de votre conversation.
La thérapie par le sexe, mesdames vous explorez là une partie de la vie nouvelle pour moi, madame Virginie, veuillez nous laisser que je consulte ma patiente.
• Bien sûr docteur Françoise, je vais partir, je reviendrais demain, je dois récupérer mon fils à son école.
Valérie m’embrasse, sur le coin des lèvres, une fraction de seconde, j’ai eu l’impression que si elle m’avait embrassée sur la bouche, j’aurais répondu à son baiser malgré la présence de la doctoresse.
• Alors, maintenant que votre amie est partie, de quoi vous parliez, j’ai entendu des doigts fripons partant pour des caresses ?
• Virginie m’a dit que je me prostituais et que j’étais à Moscou pour monnayer les charmes de jeunes filles avec des hommes pleins de fric.
Nous parlions de cet endroit entre nos jambes qui avaient eu tendance à se réveiller l’autre nuit et où j’avais eu un instant envie d’y porter mes doigts.
• Je vois que vous êtes cash dans vos propos, ça arrive quelquefois dans des cas comme le vôtre, vous avez perdu la notion du bien ou du mal.
Vous venez de découvrir que vous vous prostituée et votre cerveau reçoit ces informations de façon brutale.
La prostitution se pratique depuis qu’Adam et Éve se sont rencontrés et qu’Éve a croqué la pomme.
Mais, ça se pratique sans que votre voisine soit au courant de vos jeux d’adultes, évitez de le dire directement à tout le monde.
Quant à la masturbation féminine, je vais vous faire une confidence, cette nuit j’étais de service au centre et comme nos patients ont été sages, j’ai pu me coucher quelques heures.
J’ai fait un remplacement à l’hôpital hier dans le service géré par Amandine la doctoresse qui vous a confié à moi.
Je suis célibataire, plutôt divorcé et cette nuit, je me suis masturbée, car mon sexe me démangeait.
J’adore me masturber, ça commence à la puberté pour les garçons et les filles, les garçons ont leur verge qui se développe, leurs couilles descendantes et les filles se caressent là où les hommes viennent mettre leur verge.
Je prends les explications du docteur Françoise, de façon directe, je viens principalement d’apprendre que les filles ont des fentes et les garçons des verges.
Ce beau jardinier que je vois ramasser les feuilles dans le parc depuis ma fenêtre doit en avoir une dans son pantalon.
Dès que j’aurais l’occasion de sortir, j’irais le voir s’il veut me la sortir pour voir à quoi ça ressemble.
C’est un peu bête d’avoir oublié tout ça.
Dans la nuit, je fais glisser ma main, mes doigts sentent mon vagin complètement dégoulinant d’envie.
Je me caresse et je découvre le plaisir de la masturbation, une boule monte du fond de mes entrailles, elle éclate, je pousse un cri.
• Que vous arrive-t-il madame Christine, je passais dans le couloir et je vous ai entendu crier.
Mais vous êtes en eau, recouvrez-vous, même si vous avez une jolie chatte...
Pourquoi, bientôt cinq ans, c’était dans le chapitre 144 sur notre site HDS, je crois que nous allons la retrouver ?
• Ou suis-je ?
• Vous êtes à l’hôpital de Brie madame Christine !
• Qui êtes-vous et qu’est-ce que je fais là ?
Je viens d’ouvrir les yeux mes paupières pesant une tonne chacune.
J’ai du mal à parler, mais mon corps semble ailleurs.
J’ai du mal à aligner trois mots cohérents, mon cerveau ayant des ratés.
• Reposez-vous encore un peu, je suis votre doctoresse, mes services m’ont prévenu que vous étiez en phase de réveil et que vous sortiez du coma !
Je flotte, j’ai envie de rire, j’aime beaucoup rire, mais je suis incapable d’avoir le moindre souvenir de qui je suis.
Une nouvelle fois, j’ai l’impression de sortir d’un long tunnel.
• Christine, c’est moi Virginie ta marraine dans notre métier et voilà Katia, ta filleule, tu as été victime d’un attentat, il y a des mois à Moscou.
Il y a quelques semaines nous avons pu te ramener ici espérant que tu reviendrais à nous.
Virginie, Katia et même Christine, il faut que je secoue ma tête, car j’ai beau cherché, ces noms me sont inconnus.
Comment cette grande et jolie femme, m’a-t-elle appelée ?
Christine, elle aurait dit Valérie ça aurait été du pareil au même, pourtant Valérie, ça me dit vaguement quelque chose !
Et Katia, un joli petit cœur au visage d’ange et des yeux magnifiques.
• Madame Virginie, je vous avais prévenu, le coup à la tête reçu par votre amie peut laisser de graves séquelles allant même jusqu’à une amnésie définitive.
Souvent dans un traumatisme comme celui subi par votre amie, la vie reprend à partir de leur réveil sans jamais ce souvenir de ce qu’elle était avant.
C’est à vous d’essayer de réveiller son passé, vous semblez bien la connaitre.
Nous allons la garder en observation quelques jours avant de l’envoyer vers un centre de rééducation.
Il y en a un très bon non loin d’ici à Pontault-Combault, je fais le nécessaire pour les appeler et lui trouver une place.
Je connais Françoise l’une des doctoresses qui suivent les malades, je vais recommander votre amie, elle sera entre de bonnes mains.
J’ai fait mon doctorat à Paris avec elle, elle est d’une grande compétence.
Ces deux femmes qui semblent être mes amies viennent me voir tous les jours à l’hôpital et après mon transfert au centre de rééducation.
Parmi les patients, des traumatisés de la vie, souvent des AVC qui doivent réapprendre à parler et à marcher, mais des cas comme le mien, je suis la seule qui a un énorme trou dans son passé.
Virginie est là près de moi, j’ai des centaines de questions à lui poser.
Pour commencer qui je suis et pourquoi la doctoresse de l’hôpital a parlé de Moscou ?
Qu’est-ce que je faisais dans cette ville dont j’ignore où elle se trouve ?
• Vous êtes bien gentil, mais parlez-moi de Moscou, qu’est-ce que j’y faisais !
• Ce que je vais te dire va certainement te surprendre, tu étais à Moscou pour faire du fric avec tes protégées qui étaient là pour gagner du pognon en monnayant leurs charmes.
• J’ai du mal à comprendre, tu sais que j’ai une plaque sur le côté de la tête, mais dis-moi comment elle est venue là ?
• Tu réglais les détails du voyage de Katia, notre petite amie avec les jumeaux voulant l’emmener pour Saint-Pétersbourg.
Lorsque tu as retrouvé Igor, ton amant, maître de tout le fric que tu devais faire gagner à tes protégés, il t’a invité au restaurant et tu as accepté.
Vous veniez de sortir de l’hôtel lorsqu’une rafale de pistolet mitrailleur s’est fait entendre.
Au péril de sa vie, Igor t’a protégé arrêtant toutes les balles de son dos, sauf une qui est venue te frapper sur le côté de la tête.
Tu as été rapatrié après bien des mois, on te donnait peu de chances de survivre.
Ils t’ont opéré et poser cette plaque le morceau d’os enlevé par la balle étant trop important.
Dans la poche d’Igor, ils ont retrouvé une bague dans son écrin, nous supputons qu’il t’emmenait pour te demander en mariage.
• Cet Igor, qu’est-il devenu ?
• J’ai le regret de te dire qu’il est mort, il avait reçu plus de vingt balles qui l’ont déchiqueté.
• J’ai du mal à comprendre, tu me parles d’argent que les filles que j’accompagnais devaient gagner avec leurs charmes, qu’est-ce que cela veut dire ?
• Dois-je te dire ce que j’avais fait de toi, comme tu l’as fait pour Katia ?
• Si tu veux que je retrouve la mémoire, il serait de bon ton que je sache qui j’étais.
• Tu as raison, tu étais mariée à Pierre et insatisfaite sexuellement lorsque je t’ai rencontré.
Je me prostituais et je t’ai entraîné sur cette voie.
• Prostituait, tu vas, penser que je me moque, ce mot m’est inconnu !
• Une prostituée ou une escorte est une femme qui se sert de ses avantages et vend son corps pour gagner de l’argent.
Tu étais la plus douée parmi toutes les filles que je connais et tu gagnais des sommes folles.
Avec tout cet argent, tu as acheté une villa voisine de la mienne que nous avons fini de rénover grâce à Katia qui a continué ton œuvre.
De plus, tu as hérité de tes parents d’une villa au-dessus de la plage de Saint-Palais sur mer en Charente-Maritime.
Nous y allions tous les étés, même là-bas tu faisais travailler des femmes dans la région.
• Mon dieu, je suis un monstre, j’aurais dû mourir devant cet hôtel à Moscou, c’est drôle, j’emploie des mots inconnus, « Dieu » par exemple.
• Si je dois t’expliquer « Dieu », ce serait trop long pour tout te dire.
À l'hôpital, au départ les médecins pensaient que tu resterais toujours dans le coma, il faut croire que Dieu a refusé de te recevoir près de lui.
• Tout ceci est bien confus, mais je vais m’attacher à redevenir celle que j’étais sans vendre le corps de ces filles, mais à qui au fait ?
• Aux puissants du monde qui ont les moyens de se payer tes et leurs services.
Prends le cas de Katia t’a protégé, tu as monnayé son pucelage aux enchères et ce sont deux jeunes musiciens russes qui les ont emportés.
150 000 €, une fortune pour démarrer sa vie, depuis cinq ans elle a continué de voir des clients et sa fortune dépasse le million.
• Je prends tes dires comme argent comptant, ma mémoire me faisant défaut sur ce que ces sommes représentent.
Je crois ce que tu dis, mais comment je leur faisais gagner ces sommes que tu dis folles.
• Je vois que je dois tout te réapprendre, maintenant que tu es plus autonome, tes drains t’ayant été enlevé, que fais-tu lorsque tu vas aux toilettes !
• Moi aussi tu me mets mal à l’aise, je baisse ma culotte et je fais pipi, ça je me souviens.
• Et si je te disais que ton sexe à double fonction, pipi et plaisir !
• Tu me parles une langue inconnue, j’ai bien eu des petits picotements l’autre jour, j’ai failli me mettre mes doigts, mais j’ai trouvé cela inconvenant.
• De quoi parlez-vous, lorsque j’ai frappé avant d’entrée, j’ai entendu quelques mots de votre conversation.
La thérapie par le sexe, mesdames vous explorez là une partie de la vie nouvelle pour moi, madame Virginie, veuillez nous laisser que je consulte ma patiente.
• Bien sûr docteur Françoise, je vais partir, je reviendrais demain, je dois récupérer mon fils à son école.
Valérie m’embrasse, sur le coin des lèvres, une fraction de seconde, j’ai eu l’impression que si elle m’avait embrassée sur la bouche, j’aurais répondu à son baiser malgré la présence de la doctoresse.
• Alors, maintenant que votre amie est partie, de quoi vous parliez, j’ai entendu des doigts fripons partant pour des caresses ?
• Virginie m’a dit que je me prostituais et que j’étais à Moscou pour monnayer les charmes de jeunes filles avec des hommes pleins de fric.
Nous parlions de cet endroit entre nos jambes qui avaient eu tendance à se réveiller l’autre nuit et où j’avais eu un instant envie d’y porter mes doigts.
• Je vois que vous êtes cash dans vos propos, ça arrive quelquefois dans des cas comme le vôtre, vous avez perdu la notion du bien ou du mal.
Vous venez de découvrir que vous vous prostituée et votre cerveau reçoit ces informations de façon brutale.
La prostitution se pratique depuis qu’Adam et Éve se sont rencontrés et qu’Éve a croqué la pomme.
Mais, ça se pratique sans que votre voisine soit au courant de vos jeux d’adultes, évitez de le dire directement à tout le monde.
Quant à la masturbation féminine, je vais vous faire une confidence, cette nuit j’étais de service au centre et comme nos patients ont été sages, j’ai pu me coucher quelques heures.
J’ai fait un remplacement à l’hôpital hier dans le service géré par Amandine la doctoresse qui vous a confié à moi.
Je suis célibataire, plutôt divorcé et cette nuit, je me suis masturbée, car mon sexe me démangeait.
J’adore me masturber, ça commence à la puberté pour les garçons et les filles, les garçons ont leur verge qui se développe, leurs couilles descendantes et les filles se caressent là où les hommes viennent mettre leur verge.
Je prends les explications du docteur Françoise, de façon directe, je viens principalement d’apprendre que les filles ont des fentes et les garçons des verges.
Ce beau jardinier que je vois ramasser les feuilles dans le parc depuis ma fenêtre doit en avoir une dans son pantalon.
Dès que j’aurais l’occasion de sortir, j’irais le voir s’il veut me la sortir pour voir à quoi ça ressemble.
C’est un peu bête d’avoir oublié tout ça.
Dans la nuit, je fais glisser ma main, mes doigts sentent mon vagin complètement dégoulinant d’envie.
Je me caresse et je découvre le plaisir de la masturbation, une boule monte du fond de mes entrailles, elle éclate, je pousse un cri.
• Que vous arrive-t-il madame Christine, je passais dans le couloir et je vous ai entendu crier.
Mais vous êtes en eau, recouvrez-vous, même si vous avez une jolie chatte...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
MPerci, surtout que c'est un grand effort pour retrouver les noms des protagonistes
Quel plaisir de retrouver cette saga !!!
Éric
Éric