COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (147)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (147) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (147)
Hôpital de Brie, centre de rééducation de Pontault-Combault, je suis bien entourée et les nombreuses personnes avec qui j’ai vécu et avec lesquelles j’ai eu des rapports sexuels m’aide à retrouver la mémoire.
Je dois me rendre à l’évidence, j’ai meilleur temps à comprendre les mots que nous employons depuis mon réveil qu’à rechercher ceux de mon passé.
Même le mot de pute, je dois l’admettre, j’ai perdu le souvenir du temps où je me vendais pour de beaux billets dans toutes les monnaies du monde.
Surtout que j’ai plus facile à admettre et comprendre la masturbation, le léchage de ma chatte par une assistante de nuit lesbienne.
Sans compter le branlage du sexe d’un brave type dans le parc, montrant ma propension d’aimer le sexe, voir le pratiquer professionnellement.
Prostitué dans le passé, salope cherchant comment le sexe fonctionne entre homme et femme, si je veux retrouver la mémoire, chaque piste est bonne à suivre.

La nuit suivante, mes exploits dans le parc, m’ayant remis en confiance, je décide de retrouver Lauriane pour approfondir ma soif de sexe féminin.
Tout est calme dans les couloirs, je passe le coin de celui où se trouve ma chambre et je me retrouve devant la salle des assistantes.
Lauriane doit être en tournée, alors, je vais pour rentrer dans mes appartements.
Face à moi, une autre porte, dessus est marquée « Salle de repos. »
Je clenche, sans frapper si le docteur Françoise est en train de se reposer, je repartirais sans faire le moindre bruit.
Dans la pièce, la lumière est allumée, en face de moi, un lit, deux femmes, tête opposée.
J’ai beau avoir perdu la mémoire, je comprends très vite que ces deux femmes se donnent du plaisir en maitrisant le risque d’un appel d’un ou d’une, patient du centre.
Elles sont habillées, leurs blouses ouvertes et leurs petites culottes au sol.

• Christine non reste, nous profitions d’un moment de pose pour nous apporter un peu de plaisir !
Lauriane m’a mise au courant pour le moment d’intimité que vous avez passé ensemble hier, soit sans crainte, j’ignore la jalousie.
Je suis moi-même adepte de Saphos depuis ma tendre jeunesse, fais-nous voir de quoi tu es capable.

Je laisse tomber peignoir au sol et tee-shirt cachant à peine ma chatte.
Au début de mon réveil, mémoire perdu, j’aurais aimé être nue, j’en ai parlé avec Virginie, chez nous, j’avais l’habitude de vivre déshabillée dès que je rentrais du bout du monde, les poches pleines de billets.
J’ai fait la concession de ce tee-shirt, tant que je serais dans ce centre.
Me retrouver à poil même devant ces deux femmes me procure un bien-être, même si dans les nuits je dors nue.
Lauriane en a fait l’expérience en découvrant la jouissance personnelle que j’ai redécouverte, semble-t-il en me caressant.
Françoise, pourquoi dire docteur à tout bout de champ, Françoise fait tomber Lauriane sur le côté et me tend ses bras.
Pour la première fois, surement depuis mon réveil, la bouche d’une femme se retrouve sur ma bouche.
Avant, lorsque sa langue vient titiller la mienne, je comprends comment un baiser se donne et se reçoit, surtout que Lauriane s’était retournée et que la sienne vient participer à la fête.
Françoise, Lauriane, Lauriane, le sein de Françoise, c’est moi qui prends en bouche cette excroissance dont je vais avoir à découvrir le nom.
Mes seins, que je vois dans la glace de la salle de bains de ma chambre, ceux de Lauriane qu’à son tour je lèche avec délice et ceux de Françoise.
J’ai devant mes yeux trois exemplaires des formes féminines.
Nous sommes serrées dans ce lit à une place, je comprends que les personnes qui s’occupent de cette salle de repos ont oublié d’y mettre un lit plus grand.

• Oui, Christine, lèche-moi bien mes mamelons, j’adore lorsque mes fraises bandent.

Comme je vous le disais-je, je dois avoir de la patience, nous avons des mamelons, petits pour Lauriane et plus important pour Françoise.
Ce midi en dessert, nous avons eu des fraises, de plus bien sucré, la grosse boule de chair, qui frémit lorsque je le suce, doit être les fraises dont elle parle.
Sans interrompt ce moment de plaisir, je viens d’apprendre ou de retrouver bien des choses sur le corps féminin.
Cette après-midi, il faudra que je demande à Virginie de me montrer les siens, ceux de Katia aussi.
Non, Katia, c’est impossible, lors de leur dernière visite, elles m’ont dit que la petite était en partance pour le Canada chasser l’élan avec l’un de ses clients.
Je leur ai demandé qui était ce client, elles m’ont dit que c’était un homme très riche marié avec deux enfants, qui voulait se payer du bon temps avec une jolie petite poulette.
J’ai réfréné le mouvement de mon corps, j’ignore si c’est bien ou mal de coucher avec un homme marié.
De plus, ayant compris ce qu’était une pute ou une escorte si vous préférez, moi-même j’ai dû faire l’amour avec de tels hommes pour de l’argent.
Lauriane, jeune et souple fait évoluer la situation, elle se glisse au pied du lit et je sens sa langue écarter les lèvres de mon vagin.
Françoise se redresse, à mon tour, ma langue s’insinue dans sa chatte qu’elle écarte avec ses doigts.
Je vais faire jouir la doctoresse du centre, combien des patients qu’elle a traités ont eu ce privilège.
Elle se tortille rapidement jusqu’à ce qu’une chose phénoménale se produise, ça gicle de partout, j’ai crié hier, faisant entrer Lauriane dans ma chambre.
Mes yeux voient le haut de sa tête et ses yeux se révulser, mais je comprends qu’elle retient ses cris, voulant certainement éviter d’ameuter et de réveiller tout l’étage.
Plus ma langue s’active, plus le lit reçoit ce que ma bouche est incapable d’avaler.
J’ai laissé couler le sperme d’Alain dans ma gorge, le liquide que j’avale est légèrement différent, mais j’aime aussi.

• Oh ! pardon Christine, je t’en ai mis partout, ma cyprine a giclé en femme fontaine.
Il y a des mois que cela m’est arrivé avec toi, Lauriane, vous me faits tellement défait que vous déclencher en moi ces trombes sortant de mes glandes qui se vident.

Nouvelle leçon sans avoir eu le besoin de poser des questions, ma langue retournant fouiller l’intimité de cette belle femme, redéclenchant de nouveau les grandes eaux.
J’apprends que nous pouvons être femmes fontaines et, ce qui sort de son corps est de la cyprine.
C’est à ce moment qu’une sonnette et qu’une lumière s’allume près de la porte.

• Mince, Lauriane va voir, c’est madame Louise qui est réveillée, demande-lui ce qu’elle veut, bip moi si nécessaire.

Lauriane saute du lit, lorsque Françoise me libère, la petite a déjà passé la porte.
À son tour, Françoise reprend des allures de doctoresse lorsque dans sa poche de blouse, j’entends un bip sonner.

• Reste, je reviens, je vais voir ce que Lauriane me veut, madame Louise a eu des problèmes de respiration hier.

La pièce se vide, seules deux petites culottes montrent la nuit que... que...
Elles sont parties dans les couloirs la chatte à l’air, que... que... car le mot de notre nuit est dans l’incapacité d’arriver jusqu’à mon cerveau.

• Christine, réveille-toi, il faut que je change les draps avant l’arrivée de l’équipe de jour.

J’ai dû m’endormir, lorsque Lauriane me secoue gentiment, mon visage me tire.
Je récupère mes vêtements et le plus rapidement possible, je rejoins ma chambre, ou je me douche avant de me recoucher, cette belle salope m’en a mis partout.

Sans suit dans les jours suivants, les visites d’autres de mes anciennes amies.
Je vais être franche, leurs histoires sont proches les unes des autres, mais mes idées refusent de se remettre en place.
Madeleine, gentille fille, profitant du jour de fermeture de sa librairie dans le quartier dont le nom m’a échappé.
J’ai des manques sur le passé, mais aussi j’ai du mal à retenir mon attention lorsque les explications sont trop longues.
Elle a dans ses mains un livre très rare et très ancien qu’elle m’offre, je comprends certaines de ses explications.
Elle a été la servante de Virginie remplacé par Anne la maman de Katia, dont les parents sont revenus d’un état sortant de la guerre, la maman ayant les yeux bridés.
J’avais bien remarqué les yeux de la petite la dernière fois qu’elle est venue sans savoir l’histoire de ses grands-parents.
Du moins, j’ai dû le savoir, mais tout ceci s’est évaporé lorsque la balle m’a frappé.
Je l’ai aidé à acheter sa boutique, malgré sa laideur, elle a trouvé des clients pour lui fournir à sortir du cash et de vivre son rêve.

Un autre jour, j’ai vu débouler, j’allais dire une jeune femme.
Non, un objet non identifié qui s’est avéré être une jeune femme lorsqu’elle a enlevé son casque et que ses magnifiques boucles blondes sont tombées sur ses épaules.
Que puis-je dire sur ce que me révèle cette bombe me montrant ses seins dont les mamelons et les fraises sortent du tee-shirt qu’elle porte sous sa combinaison ?
J’ai fait de la moto avec elle, étant une folle de la bécane et de la vitesse.
C’est dans une écurie de courses professionnelle de moto qu’elle a trouvé sa place auprès de son mari depuis deux ans.
Eh oui, elle est mariée alors qu’elle était lesbienne comme Lauriane ou Françoise.
Je dois attirer ce genre de fille comme un aimant, à ma demande, elle me dit qu’elle s’est mariée avec Lionel prête défroqué.
C’est année, après ce qu’elle appelle le covid, il est devenu champion du monde, c’est elle qui a tout coordonné.
Enfin, je crois que c’est comme cela que les choses se sont passé, car un certain Corentin vient ce mêler de tout ça.
J’étais bien protégée pendant cette période étant dans le coma qui a dû être terrible, les instituts étaient fermés.
Les voyages en avions étaient impossibles et Internet s’est tellement développé qu’il était plus facile de demander leurs papiers par le net que par des courses folles dans Paris.
Livia semble avoir été l’une des seules que la prostitution a épargnées, elle nous servait seulement d’intermédiaire.

• Christine, j’ai toujours ta combinaison blanche chez moi.
Je vais te l’apporter et lorsque tu l’auras enfilé, je t’emmènerais sur le circuit de Nevers ou je te ferais tourner à pleine vitesse.
Tu jouissais sur la selle de ta moto, mais je pense que tu pourrais retrouver la mémoire avec la frousse que je vais te mettre.
Demande une autorisation de sortie.

Je semble bien aimer Livia, mais pour le moment, je veux éviter un nouveau passage dans le coma, j’ai d’autres verges à fouetter.

Cette après-midi, promenade dans le parc, à la réception, ils me préviendront si j’ai une visite.
Je vais vers le banc, dommage l’homme que j’ai aimé masturber est absent.
Ça fait deux heures que je lis, ou plutôt j’essaye de lire, attendez, je regarde.
« Les misérables d’un certain Victor Hugo ».
Un orage gronde, c’est à ce moment que je le vois...

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