COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (149)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (149)
Encore une ancienne connaissance, du moins par la voix, qui m’appelle dans ma chambre pour me souhaiter de me rétablir rapidement.
Iris, la personne qui s’occupe de gérer nos clients, vient de m’appeler.
Si j’ai reconnu l’intonation de la voix me semblant être connu dans un coin de ma tête, pour autant il m’est impossible de dire qui elle est.
Je passe une nuit apaisée, enfin j’ai baisé avec le jardinier du centre ou je dois me reposer, allant même jusqu’à l’éclatement de tout mon être.
Je regarde la télé, j’ai le droit à une heure par jour, après ce serait dangereux.
Que les gens sont cons, depuis que je suis dans le coma, les chaines d’information ont pullulé.
J’apprends que la guerre en Ukraine a été déclenchée et qu’ils nous seraient impossibles de nous rendre à Moscou comme nous avons pu le faire avec les filles à ce qui est dit.
Avec tout le respect que je dois au dirigeant de ce pays, il aurait déclaré la guerre plus tôt Igor dont on m’a parlé serait toujours de ce monde.
Comme prévu Virginie vient me voir.
Elle me trouve bien et est heureuse d’apprendre que j’ai fait l’amour avec le jardinier du centre et que j’y ai retrouvé un plaisir intégral à être pénétré.
J’ai perdu une partie de ma boîte crânienne et ma mémoire d’avant l’attentat, mais je réagis normalement aux léchages ou autres formes de pénétrations.
Viens, le moment fatidique de lui poser la question concernant la sodomie, avais-je l’habitude de me faire sodomiser ?
• Mais oui, ma chérie, mais depuis peu de temps, tout du moins avant l’attentat qui a failli te coûter la vie.
Tu as mis ton œillet aux enchères et c’est Igor qui a surenchéri au plus haut.
Nous sommes revenues alors que nous te laissions entre de bonnes mains à l’hôpital de Moscou avec une valise de billets contenant 10 000 € prix de ta défloraison de ton anus.
Certes bien loin des 500 000 € que les enchères ont rapportés à Katia pour sa virginité, mais c’est déjà une belle somme pour se prendre une bite dans le cul.
La messe est dite, une nouvelle fois, je prends conscience de la belle salope que j’étais.
Pourquoi « que j’étais » libre à moi de le redevenir et de reprendre ma quête du plaisir là où je l’ai laissé, même si à ce moment j’ai tout oublié ?
Je dois tout faire pour retrouver mon passé, mais présentement mon corps répondant aux sollicitations, je pense bientôt être prête à retourner vivre à Chennevières.
J’ai un peu hâte de retrouver cette maison, qui je l’espère, me rappelleront des souvenirs.
• J’ai une question à te poser, Valérie, as-tu des enfants et pour commencer es-tu mariée ?
J’ai eu un instant la vision d’une femme enceinte en te voyant passer la porte !
• Voyant que tu commençais à mieux aller, j’allais aborder le sujet avec toi.
Te souviens-tu de Vladimir ?
• Ça me dit vaguement quelque chose, mais pas assez pour dire que s’il existe qui il est !
• C’est le monsieur que nous avions rencontré la première fois sur la place rouge où nous sommes allés remplir nos bourses en vidant les bourses d’oligarques russes.
• Comme beaucoup de choses, je l’admets si tu le dis, mais avant d’aller plus loin que veut dire le mot « oligarque » !
• Des nouveaux riches qui ont fait fortune surtout dans le pétrole, les nouvelles communications ou les technologies après l’effondrement du mur de Berlin.
Un mur est tombé sans que je m’en souvienne, mais je sais maintenant ce qu’est un oligarque.
• C’est avec ces nouveaux riches dont Igor faisait partie que nous avions monnayé ta pénétration anale et le pucelage de Katia.
Lorsque les Kalachnikovs se sont fait entendre et d’Igor te protégeant est passé de vie à trépas, j’allais arriver de chez Vladimir en taxi.
Lorsque je t’ai vu la tête en sang, persuadée que tu étais morte, j’ai eu une grande douleur dans le ventre et j’ai fait une fosse couche.
J’ai été hospitalisé deux jours non loin de toi dans une autre aile du bâtiment.
Mais tu savais mon envie d’enfant et d’arrêter de me prostituer, Vladimir a été patient et nous avons un fils de deux ans.
• Ou est-il, je voudrais le voir ?
• En Allemagne avec son papa, je le vois pour les vacances, la vie de couple est quelquefois difficile et nous nous sommes séparés avec son père.
Il a demandé et obtenu la garde de notre fils mon dossier étant assez épais sur mon immoralité.
Il est prof dans un lycée de Berlin, je vais l’avoir en juillet, vous ferez connaissance.
Puisque nous en sommes à ce type de confidence, j’en ai une autre à te faire, je t’ai dit qu’Igor avait une bague sur lui lorsqu’il t’emmenait au restaurant.
Je lui ai donné le beau rôle lorsque je t’ai dit que c’était certainement une bague de fiançailles.
Les filles et moi avons assisté à son enterrement dans son village natal au nord de Moscou non loin de la frontière avec l’Ukraine.
Il y avait là, une femme genre grosse rombière avec cinq gosses accrochés à sa robe.
Nous nous sommes discrètement renseignées, il était marié et s’il en avait fait de même avec toi, tu serais bigame aujourd’hui.
J’ai compris que certains mots t’échappent, un bigame est un homme qui a deux femmes et deux foyers dans des endroits différents, ce qui est strictement interdit dans nos pays et même en Russie.
• Je comprends, c’est pour cela qu’il existe des putes comme nous pour éviter à ces messieurs de tous être bigame.
• Tu as tout compris ma chérie, viens dans mes bras que je t’embrasse.
Valérie étant auprès de moi, nous nous enlaçons, ses lèvres ont un parfum de connaissance, mais de façon si diffuse que ça s’arrête là.
• Viens, nous allons aller dans le parc, je voudrais te présenter quelqu’un, un ami de ma nouvelle vie.
Je conduis Valérie près du banc où j’ai masturbé ma première queue hors Alain à qui j’ai fait une fellation en présence d’Odile, sa femme espérant par ce geste retrouver ce qui me servait de mémoire.
Le gars est là toujours aussi perdu dans ses pensées, nous passons à ses côtés sans nous arrêter et que lui semble me reconnaitre.
Je pourrais être vexé, c’était pourtant une belle branlette, mais je sais que certaines personnes sont dans ce centre pour soigner des AVC et lutter contre leur cerveau atteint par des caillots sanguins.
De mon côté, je suis amnésique d’avant mon réveil, mais je comprends parfaitement ce qui m’arrive maintenant.
Je frappe à la porte de la cabane, le parc est grand, mais elle est au plus loin par rapport à la porte de sortie que nous venons d’emprunter et s’il travaillait dehors nous l’aurions vu.
La porte s’ouvre, Wiliam est là toujours aussi beau que la dernière fois ou l’orage nous a contraints à nous réfugier à l’intérieur.
• Madame Christine, je suis heureux que vous veniez me rendre visite.
Je vois que vous êtes avec une amie, que cherchez-vous ?
• Vous ?
Je croyais que lorsque nous baisions tu me disais « tu », c’est Valérie, ma marraine qui te fait me vouvoyer ?
• Pardon, tu as raison, tu as dit à ton amie, que nous avons passé un agréable moment ensemble en attendant la fin de l’orage !
Wiliam s’efface pour nous laisser passer, nous pénétrons dans cette pièce où se trouve un canapé où j’ai appris que mon corps réagissait aux sollicitations de sa bite.
• Oui, j’ai pris conscience que notre relation était partie avec de mauvaises bases.
C’est Françoise la doctoresse qui m’a dit d’éviter de dire ce que je semblais être avant mon accident à la tête.
Voilà, avec marraine, nous étions des putes qui se servaient de nos corps pour gagner notre vie.
À mes propos, Wiliam éclate de rire, je suis légèrement vexée.
• Ça te fait rigoler !
• Évite de le prendre mal, j’ai, moi aussi caché certains moments de ma vie, j’ai été quelques années un escortboy pour femmes délaissées.
• Et maintenant vous êtes jardinier, quel étrange parcours !
Ça c’est Valérie, ma marraine qui vient lui poser cette question, tout aussi surprise d’apprendre que William un moment de sa vie était une escorte.
• À dix-huit ans je voulais faire une école d’horticulture à Vincennes, mais j’étais trop nul à l’école, mais j’avais de gros bras.
J’ai postulé pour les pompiers de Paris ou je suis rentré.
Avec ma belle gueule, un copain m’a entraîné dans le milieu des escortes.
Parmi mes clientes, j’avais la vieille directrice de ce centre de rééducation.
Elle est partie à la retraite, ayant la moyenne d’âge des femmes que je satisfaisais les soirs ou week-ends ou j’étais de repos.
Cette place de jardinier était libre et elle me l’a proposée, m’occuper de fleurs et occasionnellement de sa chatte, arrivant en fin de contrat avec les pompiers, j’ai saisi l’occasion.
• Et quand l’occasion t’est donnée de sauter mon amie, tu as sauté sur l’occasion et je te comprends très bien.
J’ai, moi aussi arrêté d’aller voir des clients, mais je gère l’organisation que j’ai mise en place.
Fais-moi voir ce que tu sais faire, depuis que mon mari m’a quitté pour aller en Allemagne avec mon fils, les bites me manquent un peu et c’est un doux euphémisme.
Égale à elle-même, joignant le geste à la parole, Valérie lui met la main au paquet tout en tirant sur les glissières de sa combinaison.
• Tu devais être une bonne escorte, à ce que je vois, tu as largement ce qu’il faut pour satisfaire ces dames, Christine, tu permets !
Sans attendre de réponse, sa bouche commence à lui faire une fellation, sans demander la permission je m’agenouille de l’autre côté de sa verge et c’est dans un parfait duo que nous léchons cette verge bien proportionnée.
Du moins, à part Alain, mon degré de comparaison est encore restreint depuis mon réveil dans les calibres de ce que les hommes peuvent nous proposer.
En sortant, j’espère bien multiplier les expériences sexuelles.
Si j’ai perdu la mémoire de nombreuses expériences si elles sont sans conséquence sur mon amnésie, contribueront à m’en faire de nouvelles...
Iris, la personne qui s’occupe de gérer nos clients, vient de m’appeler.
Si j’ai reconnu l’intonation de la voix me semblant être connu dans un coin de ma tête, pour autant il m’est impossible de dire qui elle est.
Je passe une nuit apaisée, enfin j’ai baisé avec le jardinier du centre ou je dois me reposer, allant même jusqu’à l’éclatement de tout mon être.
Je regarde la télé, j’ai le droit à une heure par jour, après ce serait dangereux.
Que les gens sont cons, depuis que je suis dans le coma, les chaines d’information ont pullulé.
J’apprends que la guerre en Ukraine a été déclenchée et qu’ils nous seraient impossibles de nous rendre à Moscou comme nous avons pu le faire avec les filles à ce qui est dit.
Avec tout le respect que je dois au dirigeant de ce pays, il aurait déclaré la guerre plus tôt Igor dont on m’a parlé serait toujours de ce monde.
Comme prévu Virginie vient me voir.
Elle me trouve bien et est heureuse d’apprendre que j’ai fait l’amour avec le jardinier du centre et que j’y ai retrouvé un plaisir intégral à être pénétré.
J’ai perdu une partie de ma boîte crânienne et ma mémoire d’avant l’attentat, mais je réagis normalement aux léchages ou autres formes de pénétrations.
Viens, le moment fatidique de lui poser la question concernant la sodomie, avais-je l’habitude de me faire sodomiser ?
• Mais oui, ma chérie, mais depuis peu de temps, tout du moins avant l’attentat qui a failli te coûter la vie.
Tu as mis ton œillet aux enchères et c’est Igor qui a surenchéri au plus haut.
Nous sommes revenues alors que nous te laissions entre de bonnes mains à l’hôpital de Moscou avec une valise de billets contenant 10 000 € prix de ta défloraison de ton anus.
Certes bien loin des 500 000 € que les enchères ont rapportés à Katia pour sa virginité, mais c’est déjà une belle somme pour se prendre une bite dans le cul.
La messe est dite, une nouvelle fois, je prends conscience de la belle salope que j’étais.
Pourquoi « que j’étais » libre à moi de le redevenir et de reprendre ma quête du plaisir là où je l’ai laissé, même si à ce moment j’ai tout oublié ?
Je dois tout faire pour retrouver mon passé, mais présentement mon corps répondant aux sollicitations, je pense bientôt être prête à retourner vivre à Chennevières.
J’ai un peu hâte de retrouver cette maison, qui je l’espère, me rappelleront des souvenirs.
• J’ai une question à te poser, Valérie, as-tu des enfants et pour commencer es-tu mariée ?
J’ai eu un instant la vision d’une femme enceinte en te voyant passer la porte !
• Voyant que tu commençais à mieux aller, j’allais aborder le sujet avec toi.
Te souviens-tu de Vladimir ?
• Ça me dit vaguement quelque chose, mais pas assez pour dire que s’il existe qui il est !
• C’est le monsieur que nous avions rencontré la première fois sur la place rouge où nous sommes allés remplir nos bourses en vidant les bourses d’oligarques russes.
• Comme beaucoup de choses, je l’admets si tu le dis, mais avant d’aller plus loin que veut dire le mot « oligarque » !
• Des nouveaux riches qui ont fait fortune surtout dans le pétrole, les nouvelles communications ou les technologies après l’effondrement du mur de Berlin.
Un mur est tombé sans que je m’en souvienne, mais je sais maintenant ce qu’est un oligarque.
• C’est avec ces nouveaux riches dont Igor faisait partie que nous avions monnayé ta pénétration anale et le pucelage de Katia.
Lorsque les Kalachnikovs se sont fait entendre et d’Igor te protégeant est passé de vie à trépas, j’allais arriver de chez Vladimir en taxi.
Lorsque je t’ai vu la tête en sang, persuadée que tu étais morte, j’ai eu une grande douleur dans le ventre et j’ai fait une fosse couche.
J’ai été hospitalisé deux jours non loin de toi dans une autre aile du bâtiment.
Mais tu savais mon envie d’enfant et d’arrêter de me prostituer, Vladimir a été patient et nous avons un fils de deux ans.
• Ou est-il, je voudrais le voir ?
• En Allemagne avec son papa, je le vois pour les vacances, la vie de couple est quelquefois difficile et nous nous sommes séparés avec son père.
Il a demandé et obtenu la garde de notre fils mon dossier étant assez épais sur mon immoralité.
Il est prof dans un lycée de Berlin, je vais l’avoir en juillet, vous ferez connaissance.
Puisque nous en sommes à ce type de confidence, j’en ai une autre à te faire, je t’ai dit qu’Igor avait une bague sur lui lorsqu’il t’emmenait au restaurant.
Je lui ai donné le beau rôle lorsque je t’ai dit que c’était certainement une bague de fiançailles.
Les filles et moi avons assisté à son enterrement dans son village natal au nord de Moscou non loin de la frontière avec l’Ukraine.
Il y avait là, une femme genre grosse rombière avec cinq gosses accrochés à sa robe.
Nous nous sommes discrètement renseignées, il était marié et s’il en avait fait de même avec toi, tu serais bigame aujourd’hui.
J’ai compris que certains mots t’échappent, un bigame est un homme qui a deux femmes et deux foyers dans des endroits différents, ce qui est strictement interdit dans nos pays et même en Russie.
• Je comprends, c’est pour cela qu’il existe des putes comme nous pour éviter à ces messieurs de tous être bigame.
• Tu as tout compris ma chérie, viens dans mes bras que je t’embrasse.
Valérie étant auprès de moi, nous nous enlaçons, ses lèvres ont un parfum de connaissance, mais de façon si diffuse que ça s’arrête là.
• Viens, nous allons aller dans le parc, je voudrais te présenter quelqu’un, un ami de ma nouvelle vie.
Je conduis Valérie près du banc où j’ai masturbé ma première queue hors Alain à qui j’ai fait une fellation en présence d’Odile, sa femme espérant par ce geste retrouver ce qui me servait de mémoire.
Le gars est là toujours aussi perdu dans ses pensées, nous passons à ses côtés sans nous arrêter et que lui semble me reconnaitre.
Je pourrais être vexé, c’était pourtant une belle branlette, mais je sais que certaines personnes sont dans ce centre pour soigner des AVC et lutter contre leur cerveau atteint par des caillots sanguins.
De mon côté, je suis amnésique d’avant mon réveil, mais je comprends parfaitement ce qui m’arrive maintenant.
Je frappe à la porte de la cabane, le parc est grand, mais elle est au plus loin par rapport à la porte de sortie que nous venons d’emprunter et s’il travaillait dehors nous l’aurions vu.
La porte s’ouvre, Wiliam est là toujours aussi beau que la dernière fois ou l’orage nous a contraints à nous réfugier à l’intérieur.
• Madame Christine, je suis heureux que vous veniez me rendre visite.
Je vois que vous êtes avec une amie, que cherchez-vous ?
• Vous ?
Je croyais que lorsque nous baisions tu me disais « tu », c’est Valérie, ma marraine qui te fait me vouvoyer ?
• Pardon, tu as raison, tu as dit à ton amie, que nous avons passé un agréable moment ensemble en attendant la fin de l’orage !
Wiliam s’efface pour nous laisser passer, nous pénétrons dans cette pièce où se trouve un canapé où j’ai appris que mon corps réagissait aux sollicitations de sa bite.
• Oui, j’ai pris conscience que notre relation était partie avec de mauvaises bases.
C’est Françoise la doctoresse qui m’a dit d’éviter de dire ce que je semblais être avant mon accident à la tête.
Voilà, avec marraine, nous étions des putes qui se servaient de nos corps pour gagner notre vie.
À mes propos, Wiliam éclate de rire, je suis légèrement vexée.
• Ça te fait rigoler !
• Évite de le prendre mal, j’ai, moi aussi caché certains moments de ma vie, j’ai été quelques années un escortboy pour femmes délaissées.
• Et maintenant vous êtes jardinier, quel étrange parcours !
Ça c’est Valérie, ma marraine qui vient lui poser cette question, tout aussi surprise d’apprendre que William un moment de sa vie était une escorte.
• À dix-huit ans je voulais faire une école d’horticulture à Vincennes, mais j’étais trop nul à l’école, mais j’avais de gros bras.
J’ai postulé pour les pompiers de Paris ou je suis rentré.
Avec ma belle gueule, un copain m’a entraîné dans le milieu des escortes.
Parmi mes clientes, j’avais la vieille directrice de ce centre de rééducation.
Elle est partie à la retraite, ayant la moyenne d’âge des femmes que je satisfaisais les soirs ou week-ends ou j’étais de repos.
Cette place de jardinier était libre et elle me l’a proposée, m’occuper de fleurs et occasionnellement de sa chatte, arrivant en fin de contrat avec les pompiers, j’ai saisi l’occasion.
• Et quand l’occasion t’est donnée de sauter mon amie, tu as sauté sur l’occasion et je te comprends très bien.
J’ai, moi aussi arrêté d’aller voir des clients, mais je gère l’organisation que j’ai mise en place.
Fais-moi voir ce que tu sais faire, depuis que mon mari m’a quitté pour aller en Allemagne avec mon fils, les bites me manquent un peu et c’est un doux euphémisme.
Égale à elle-même, joignant le geste à la parole, Valérie lui met la main au paquet tout en tirant sur les glissières de sa combinaison.
• Tu devais être une bonne escorte, à ce que je vois, tu as largement ce qu’il faut pour satisfaire ces dames, Christine, tu permets !
Sans attendre de réponse, sa bouche commence à lui faire une fellation, sans demander la permission je m’agenouille de l’autre côté de sa verge et c’est dans un parfait duo que nous léchons cette verge bien proportionnée.
Du moins, à part Alain, mon degré de comparaison est encore restreint depuis mon réveil dans les calibres de ce que les hommes peuvent nous proposer.
En sortant, j’espère bien multiplier les expériences sexuelles.
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