COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (151)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (151) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (151)
La maison de repos d’Ormesson aurait pu être une perte de temps, lorsque de retour chez moi, j’ai l’impression que des bribes de ma mémoire reviennent.
Perte de temps, que nenni lorsque la rencontre avec William me parait pleine d’opportunisme.
William a pris mon adresse et a promis de sortir de son fond de parc pour venir me rendre visite.
Il m’a redonné goût au sexe ou tout au moins, il m’a permis d’apprendre à me servir du mien pour me satisfaire ou se satisfaire.
Ce séjour m’a fait prendre conscience de la salope que j’étais alors que me promenant dans le parc, sous sa couverture posée sur ses genoux, j’ai fait une petite branlette à l’un des convalescents.
Presque en public, il faut être sacrément immorale pour faire ce genre de chose, même si ma vie d’avant Moscou semblait trépidante.
Faire ce genre de chose dans un parc alors que des personnes se promènent, c’est loin d’être moral.
C’est lorsque je rentre à ma maison, là où des filles sont devant moi, que le brouillard a tendance à se dissiper.
La vue des colliers qu’elles ont autour du cou, me fait penser à un collier blanc du même ordre qu’une chose identique que j’aurais reçue.
C’est lorsque Katia me ramène du coffre ce collier avec des diamants que cette impression de déjà-vu se confirme.
Quelle femme résisterait à un rang de diamant même s’il est accompagné d’une laisse qui est attachée au mousqueton servant de fermoir.
Katia, ma filleule que je regarde maintenant d’un autre œil.
S’il est vrai que j’avais emmené en Russie, une jeune fille, cinq ans après je découvre une femme épanouie que je serre dans mes bras.
Ses seins qui viennent se coller aux miens ont pris de la consistance, les jumeaux musiciens qui lui ont acheté son pucelage pour 500 000 € à ce qu’il me semble en avaient des moins consistants à s’occuper.
Quel âge a-t-elle, dix-huit lors de notre voyage, son anniversaire et sa majorité me reviennent, eux aussi en mémoire, cinq ans de coma, ça fait ?
Voilà, ou les impressions sont diffuses, certains ou certaines auraient donné le résultat, mais là j’ai encore tout oublié de ce que je me rappelle être des opérations.
Je prends conscience que j’ai retrouvé partiellement ma mémoire.
À oui, dix-huit plus cinq donne vingt-trois, il m’a fallu un peu plus de temps, mais je crois qu’elle a cet âge au jour d’aujourd’hui.

• Me permets-tu de te le mettre ?

J’avance mon cou, elle me l’attache.

• Je t’enlève ta laisse, elle t’est définitivement inutile marraine, à moins qu’un jour un autre la prenne en main et te la replace à la place d’où je viens de te l’ôter.

J’ai compris qu’Igor était loin d’être franc du collier, étant déjà marié, alors je souhaite garder le collier.
Mais j’irais acheter une nouvelle laisse si un homme sait de nouveau faire vibrer mon cœur, l’une d’elles doit bien savoir où on les trouve.

• Lorsque je vous dis que j’ai partiellement retrouvé la mémoire, les filles !
Dites-moi si je me trompe.
Tu es Véronique, une ex-hôtesse de l’air et celle qui m’a pris mon ex, Pierre, devenues plus qu’amie, tu m’as suivi dans mes délires sexuels !
Ce collier de Rubis rouge est celui que je portais à mes débuts comme prostitués avec Virginie et qu’elle m’avait offert.
Je te l’ai offert en gage de notre fidélité.
Toi, tu es Anne, ton collier bleu claire possèdes des aigues-marines.
Véronique, mon amie, collier vert en émeraude.
Vous voyez, je me souviens partiellement de nombreuses choses.
On dirait qu’Igor sortant d’outre-tombe, malgré ses défauts, dont celui d’avoir des ennemies capables de l’attaquer à la Kalachnikov, a su me rendre une partie de ma mémoire par ce collier blanc serti de diamant.
Ma maison semble une véritable ruche, je vois que ça entre et que ça sort de partout.
• Marraine, cette ruche, c’est moi qui la gère avec Virginie, mais elle me conseille simplement lorsque je lui demande.
• Katia, qui est cette jeune femme qui vient de rentrer dans la cuisine, je suis à peu près sûr de la voir pour la première fois ?
• C’est Chloé, le bras droit d’Ophélie, mon amie, te souviens-tu d’elle ?
• Elle porte un collier, je me souviens de celle qui en porte, mais pas des autres, celles sans.
• Viens, marraine, Ophélie est à l’étage, voyons, que je te rafraichisse la mémoire.
Ophélie est très forte dans les systèmes informatiques.
Après Moscou tu devais aller au siège de l’organisation défendre un projet qu’elle avait imaginé pour nous faire gagner énormément de fric.
J’y suis allée à ta place avec Virginie, ta marraine, nos associés ont trouvé son idée forte intéressante et ont validé son projet.
Notre organisation a payé sa mise en place et comme cela faisait fureur, nous avons doublé nos bénéfices.
• Ça consiste en quoi !
• Se servir des fuseaux horaires pour faire s’exhiber nos filles devant leur portable.
• Ça les fait bander !
• Les clients ?
• Non, les portables.
• Marraine, je vois que tu as retrouvé ton humour, je reprends.
Les filles travaillent avec leur portable, les clients achètent, tu vas encore rire « des Christine », une sorte de monnaie parallèle.
Les clients qui regardent leurs exhibitions les achètent dans la monnaie de leur pays, ils les offrent aux filles qui leur font des exhibitions personnelles.
Nous payons les filles au prorata des Christine qu’elles se font offrir.
Elles sont majeures, car elles doivent nous faire parvenir par mail, une pièce d’identité.
En ce moment, c’est l’Europe qui est réveillée, bientôt ce sera l’Amérique avant de passer au Japon et ainsi de suite.
Je pense que tu ignores que la Russie est entrée en conflit avec l’Ukraine, si tu savais, une partie du monde boycote le pays d’Igor !
Or depuis le début du conflit, les filles qui travaillent pour nous ont doublé certainement cherchant du fric.
Les conflits sont des sources de profits pour les gens malins comme nous.
J’ai lu un livre parlant des bordels en Allemagne et en France pendant la dernière guerre mondiale.
L’auteur disait que la guerre était une source de peur et de besoin de sexe pour la faire disparaitre.
Avec les moyens modernes, c’est un peu ce que l’on leur apporte.

Katia ouvre la porte d’une des chambres, une jeune femme que j’ai l’impression de connaître est sur le lit, les jambes écartées montrant sa chatte épilée, à son ordinateur.

• Christine, je savais que tu rentrais aujourd’hui, mais j’étais en train de surveiller les potentiels dysfonctionnements, tout en gagnant quelques Christine !
• Ophélie montre à Christine, comment fonctionne ton système, tu es mieux placé que moi pour l’expliquer.

Je sors de la chambre d’Ophélie un peu moins bêtes, j’ai principalement compris qu’avec le système mis au point par Ophélie, que l’argent arrive à l’organisation du monde entier nous rendant vingt-quatre heures sur vingt-quatre plus riche.
Ophélie m’a mis son site sur mon portable, j’aurais eu le droit à me servir d’un portable dès que je me suis réveillée, je me serais, moi aussi, inscris à son système.
C’est ma tête qui a été touchée et non ma chatte, avec William il a su me faire l’amour malgré ce qui aurait pu être un handicap.

• Marraine, j’ai un client en vidéo direct, je te laisse, je te retrouverais tout à l’heure.

Je l’entends parler en anglais, autour d’elle des espèces de bites comme les dernières que j’ai vues et même masturbées sous sa couverture.

• Katia, qu’est-ce que c’est que ces machins qu’Ophélie avait autour d’elle, j’ai eu le temps d’en voir un gros et noir ?
• Ce sont des objets phallique que les filles s’enfilent dans leurs orifices et qui fait bander ceux qui nous regardent.
Plus les gars payent et plus elles leur montrent ce qu’ils veulent voir !
• On termine la tournée et tu me montres comment ça fonctionne, moi aussi j’ai une chatte et je veux participer à enrichir notre communauté.
• Que Virginie a créé et que tu as aidé à développer avant ton accident.

Dans la chambre voisine, sortant de la pièce où se trouve Ophélie, je vois celle qui s’appelle Chloé entrer.

• Elle aussi, elle va s’exhiber !
• Non, Chloé a mis au point un autre système financé par l’organisation.
Viens, on va lui demander de te l’expliquer !

Nous entrons dans une pièce où l’a encore, il y a des ordinateurs.
Chloé est assise devant eux et appuie sur une manette, l’image d’avant, montrait juste une cuisine vide.
La nouvelle un couple dans un lit, l’homme jeune prenant une jeune femme en levrette.
C’est drôle comme le retour de ma mémoire, m’apporte des mots comme « levrette » que j’étais incapable de prononcer du temps de mon amnésie.

• Chloé, voici Christine notre marraine un peu à toutes, je t’en ai parlé lorsque je t’ai embauchée !
• Qui ici ignore qui est Christine, la reine du réseau d’escorte girl aimant les voyages à Moscou, pardon, inutile de vous rappeler des souvenirs douloureux.
• C’est sans importance, Chloé, pour te le prouver commence par me tutoyer, sinon j’aurais l’impression d’être une centenaire revenue de l’au-delà.
Explique-moi ce que vous avez inventé.

Si la petite savait, ou se trouve Igor dans le peu de pensée qui me revient en rapport de William qui me manque déjà.

• L’idée est un peu la même que celle de nos copines qui s’exhibent devant leur portable, mais là, ce sont des couples libertins qui ont des caméras chez eux et qui vivent normalement.
Ils mangent, ils baisent, ils baisent entre amis surtout les soirs dans leur pays.
Les caméras placées chez eux nous envoient les images que nous revendons à des voyeurs qui nous donnent des monnaies de leur pays contre les mêmes « Christine » que ceux qu’Ophélie nous fait gagner.

Mon dieu, j’avais quitté une petite organisation, c’est une pieuvre que je retrouve en reprenant pied sur terre...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,
Ou là, il va falloir que je relise une ou deux fois pour comprendre tout ... Il faut dire que je suis agé et que je ne suis pas "tombé dans la marmite" quand j'étais petit.
L'ordinateur est un bel outil mais complexe ... ,Mais c'est passionnant.



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