COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (153)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (153)
Il me semble que j’ai une grande facilité à me compliquer la vie.
Tomber amoureuse, d’un mafioso russe, la plaque de métal dans ma tête se trouvant là pour me le rappeler, surtout quand j’enlève la perruque qu’Odile est venue m’apporter à l’hôpital.
Sans oublier qu’Igor, c’est ce russe qui m’a pris pour une conne, paix à son âme.
Il m’a tout de même sauver la vie, mais vouloir faire de moi une bigame, ça j’ai du mal à le digérer.
Certains diront que lui ce sont les balles tirées d’une Kalachnikov qu’il a eue du mal à digérer.
Lorsque je dis ça, c’est en préparant notre voyage à Berlin.
Lieu ou vit Grégorie avec Vladimir cet homme rencontré sur la place rouge au temps, ou les gens pouvaient encore faire du tourisme, même si pour nous, il était plutôt sexuel.
La course aux pétro-dollars pour des putes comme nous étant des sources de gros paquets de pognons.
Katia en a été la principale bénéficiaire, en se faisant dépuceler comme moi j’en ai croqué en vendant mon anus au plus offrant.
Bien sûr, celui qui a mis le plus, c’est une nouvelle fois Igor, mais sans le savoir nous devions servir à blanchir de l’argent sale.
À y bien y regarder, notre organisation pratique le même système, les logements que nous achetons pour y mettre des locataires exhibitionnistes matés par des voyeurs qui payent pour eux aussi satisfaire leur addiction.
J’ai promis à mon amie de faire le nécessaire de l’aider à régler son problème.
Un nom me revient en mémoire, il va falloir que je regarde sur le portable qui va mettre installer dans ma chambre, j’ai compris qu’en cinq ans, la planète avait fait un bon phénoménal dans la communication.
On frappe à la porte de ma chambre, j’autorise d’entrer après avoir passé un peignoir.
Au matin de la visite de ma marraine, elle s’est levée nue et est retournée chez elles de l’autre côté du mur, comme j’apprends que nous l’avons toujours fait lorsque nous rentrions à Chennevières.
La nudité étant la règle, je remets en service cette règle depuis deux jours, mais lorsque l’on frappe je me couvre.
• Bonjours Christine, je viens te livrer ton ordinateur portable et t’installer les caméras pour que tu puisses travailler pour notre organisation sans trop de fatigue.
• Monsieur qui êtes-vous, on se connaît, puisque vous venez de me dire, tu !
• Katia m’avait prévenu que vous aviez des manques de mémoires de temps en temps, je suis Jean, le mari de Sonia, nous avions une boutique de vente de matériel informatique et de sécurité.
C’est moi qui ai installé le système de sécurité des portails de vos maisons à Valérie et à toi lorsque tu as acheté cette maison.
Notre boutique se trouvait au bas de la côte de Champigny, nous l’avons fermée, nous bossons exclusivement pour l’organisation, nous installons les caméras qui servent à Chloé pour faire fonctionner le système, « Réalité caméra ».
Sonia est chez nous, elle fait les plans de la prochaine installation, ce sera en Côte d’Ivoire, le comité veut chercher à s’introduire en Afrique.
C’est là qu’est l’avenir de bien des choses, les matières premières de ces pays vont développer des échanges entre eux et nous.
(Note de Chris71, voici la difficulté de reprendre une série, je me suis souvenu de ce couple qui s’occupait des affaires de Christine au bas de la côte de Chamigny.
J’ai regardé mes notes, impossible de retrouver traces de leur nom.
J’ai relu des chapitres et des chapitres sans retrouver leur trace, je perds trop de temps dans mes écrits, donc, ils s’appellent maintenant Jean et Sonia avec mes plus plates excuses.)
• Merci Jean, je m’excuse si nous nous connaissons de cette mémoire un peu défaillante, je pense qu’entre le présent et le passé, tout va se remettre en place au fil des jours.
Jean doit être un bon professionnel, car après m’avoir donné un magnifique portable orné d’une pomme, must de ce genre d’appareil d’après ce qu’il m’en dit.
Il installe des caméras, vient à côté de moi et d’une main experte, il me montre le site de voyeur et le site où les filles s’exhibent.
Nous sommes sur mon lit, il a installé une caméra face à moi, elle est réservée pour les voyeurs payants, je vois très bien à quel endroit de mon anatomie il la règle.
Aucune barrière, car lorsqu’il règle l’inclinaison, on voit ma chatte en gros plan sur mon écran de portable.
Une chose m’interpelle, j’ai croisé les filles nues depuis mon retour dans ma maison, certaines avaient des poils, d’autres pas.
Il va falloir que je demande à marraine pour qu’elle m’explique, depuis que j’ai pris pied de nouveau sur terre, je dois constater que j’ai toujours été sans et elle aussi.
Jean est assis un pied replié sous lui, j’ai bien envie de prendre un peu de bon temps avec, mais le portable se met à crépiter.
• Je suis passé sur le site d’exhibition, tu as déjà des personnes qui se sont connectées, tu peux converser avec eux.
Ils te voient par cette petite caméra là qui est sur le portable.
Jumbo, il a mis une question en anglais, je suis à l’aise pour lui répondre.
• Tu es nouvelle, tu peux nous montrer ta chatte, si elle me convient, je passe en priver avec toi.
J’avais compris aux explications d’Ophélie, que les gars cherchent à nous mater sans payer restant seulement dans le réseau libre.
Ça sonne.
• Cinquante, « Christine » si tu ouvres ton peignoir.
• Ok pour cinquante, « Christine ».
J’ouvre mon peignoir, Jean semble fasciné par ma poitrine, ai-je déjà couché avec lui ou sa femme, voire les deux, mon cerveau reste muet à mon interrogation.
• Je vois que ça fonctionne, là si tu as un message qui s’affiche sur le côté, c’est que quelqu’un cherche à te joindre, tu seras en visioconférence avec cette personne.
Je te laisse Sonia doit m’appeler dans une heure et je dois voir avec elle si elle a rencontré des problèmes.
Il vient de quitter ma chambre lorsqu’un message arrive.
Comme il vient de me le dire, une femme apparait à l’écran, mince c’est Iris, avant mon accident, nous parlions seulement par téléphone sans se voir.
Bien sûr, je reconnais une nouvelle fois la voix, Iris depuis qu’elle m’a appelée à la maison de repos.
Pour la première fois, je la vois, j’ai peu connu ma grand-mère, mais elle devait ressembler à cette femme, ce qui me marque, ce sont ses yeux.
Ils sont fascinants, d’un bleu profond, avec des cheveux blancs.
• Madame Christine, mademoiselle Katia m’a demandé de vous joindre maintenant que vous êtes remise sur pied.
Elle m’a dit que vous avez presque retrouvé votre mémoire, mes prières ont été efficaces, dès que nous aurons fini notre conversation, j’irai remercier pour ce miracle.
Je suis surprise, bigote et gestionnaire de putes, quel contraste.
Je m’aperçois que mon peignoir est ouvert sur mes seins et ma chatte, je suis confuse, madame Iris me voit, je rajuste les pans autour de mon corps.
• Vous pouvez rester découverte, depuis que je vois mes interlocutrices, j’en ai vu d’autres et je dois dire que j’y prends du plaisir.
Voyeur, comment, dit-on, voyeuse, je comprends que pourquoi le site de Chloé rapporte tant d’argent à notre organisation.
• Qu’avez-vous à demander à Katia, Iris ?
• Avez-vous une fille disponible pour tenter un dépucelage ?
• On peut voir, quel profil ?
• Ni trop jeune ni trop âgé, c’est un père, l’un de nos clients fidèles qui a appelé pour son fils.
Il a peur d’avoir un garçon homo et il veut que l’une de nos filles le prenne en main, ça le rassurerait qu’on lui dise qu’il aime les femmes.
• Iris, dites-moi, il me revient en mémoire que lorsque l’on tombe en vélo, on se relève et on repart le plus vite possible.
• Oui, c’est une phrase que l’on dit, mais moi je l’ai entendu avec un cheval et non un vélo.
• Je suis tombée à Moscou, je vais me relever, si cela convient, je vais y aller !
• Comment vous refuser ce petit moment ?
• Ou dois-je me rendre ?
• Au bar, « le petit journal Saint-Michel », après ses cours à la Sorbonne.
Il y va tous les jours faire ses devoirs en écoutant de la musique.
Occasionnellement son père m’a dit qu’il s’appelait Isaac, son père chaque fois qu’il demande une fille, il m’a dit s’appeler Moché.
Isaac, Moché, quel drôle de nom, là encore mon cerveau fait un blocage.
• Il habite deux pâtés de maisons plus loin, il a demandé que la fille se fasse inviter chez lui, il la suivrait difficilement dans un hôtel.
Il a été élevé de façon assez stricte dans les valeurs qui sont les leurs.
Christine, allez-y, Moché a tout règlé, l’argent qui vous revient va être versé sur votre compte.
• Iris, pouvez-vous joindre ce monsieur Moché et lui demander la couleur des cheveux de sa femme ?
Là encore, je me souviens que l’on dit que les fils aiment leur maman, mais j’ai oublié le mot exact.
• On parle du complexe d’Œdipe, vous avez raison, mais pourquoi cette question ?
• Odile m’a fait une panoplie de perruques de couleurs différentes, suivant celle de sa mère, je mettrais celle dans les mêmes tons, comme vous venez de le dire Œdipe fera le reste.
BCBG, dans mes armoires des vêtements stricts que je m’étais du temps de ma splendeur, un jeune, Iris m’a dit qu’il venait d’avoir ses dix-huit ans.
Elle me récupère la couleur de la maman, ma perruque sera blonde.
Jean et pull amples sur des baskets blanches avec un sac Louis Vuitton, jeune sans trop.
Devant notre maison m’attend un chauffeur de taxi, commandé par Iris, Christine part pour une nouvelle mission comme escorte girl.
Va-t-elle être à la hauteur de celle qu’elle a été avant ce putain de voyage à Moscou.
Les heures prochaines nous le dirons...
Tomber amoureuse, d’un mafioso russe, la plaque de métal dans ma tête se trouvant là pour me le rappeler, surtout quand j’enlève la perruque qu’Odile est venue m’apporter à l’hôpital.
Sans oublier qu’Igor, c’est ce russe qui m’a pris pour une conne, paix à son âme.
Il m’a tout de même sauver la vie, mais vouloir faire de moi une bigame, ça j’ai du mal à le digérer.
Certains diront que lui ce sont les balles tirées d’une Kalachnikov qu’il a eue du mal à digérer.
Lorsque je dis ça, c’est en préparant notre voyage à Berlin.
Lieu ou vit Grégorie avec Vladimir cet homme rencontré sur la place rouge au temps, ou les gens pouvaient encore faire du tourisme, même si pour nous, il était plutôt sexuel.
La course aux pétro-dollars pour des putes comme nous étant des sources de gros paquets de pognons.
Katia en a été la principale bénéficiaire, en se faisant dépuceler comme moi j’en ai croqué en vendant mon anus au plus offrant.
Bien sûr, celui qui a mis le plus, c’est une nouvelle fois Igor, mais sans le savoir nous devions servir à blanchir de l’argent sale.
À y bien y regarder, notre organisation pratique le même système, les logements que nous achetons pour y mettre des locataires exhibitionnistes matés par des voyeurs qui payent pour eux aussi satisfaire leur addiction.
J’ai promis à mon amie de faire le nécessaire de l’aider à régler son problème.
Un nom me revient en mémoire, il va falloir que je regarde sur le portable qui va mettre installer dans ma chambre, j’ai compris qu’en cinq ans, la planète avait fait un bon phénoménal dans la communication.
On frappe à la porte de ma chambre, j’autorise d’entrer après avoir passé un peignoir.
Au matin de la visite de ma marraine, elle s’est levée nue et est retournée chez elles de l’autre côté du mur, comme j’apprends que nous l’avons toujours fait lorsque nous rentrions à Chennevières.
La nudité étant la règle, je remets en service cette règle depuis deux jours, mais lorsque l’on frappe je me couvre.
• Bonjours Christine, je viens te livrer ton ordinateur portable et t’installer les caméras pour que tu puisses travailler pour notre organisation sans trop de fatigue.
• Monsieur qui êtes-vous, on se connaît, puisque vous venez de me dire, tu !
• Katia m’avait prévenu que vous aviez des manques de mémoires de temps en temps, je suis Jean, le mari de Sonia, nous avions une boutique de vente de matériel informatique et de sécurité.
C’est moi qui ai installé le système de sécurité des portails de vos maisons à Valérie et à toi lorsque tu as acheté cette maison.
Notre boutique se trouvait au bas de la côte de Champigny, nous l’avons fermée, nous bossons exclusivement pour l’organisation, nous installons les caméras qui servent à Chloé pour faire fonctionner le système, « Réalité caméra ».
Sonia est chez nous, elle fait les plans de la prochaine installation, ce sera en Côte d’Ivoire, le comité veut chercher à s’introduire en Afrique.
C’est là qu’est l’avenir de bien des choses, les matières premières de ces pays vont développer des échanges entre eux et nous.
(Note de Chris71, voici la difficulté de reprendre une série, je me suis souvenu de ce couple qui s’occupait des affaires de Christine au bas de la côte de Chamigny.
J’ai regardé mes notes, impossible de retrouver traces de leur nom.
J’ai relu des chapitres et des chapitres sans retrouver leur trace, je perds trop de temps dans mes écrits, donc, ils s’appellent maintenant Jean et Sonia avec mes plus plates excuses.)
• Merci Jean, je m’excuse si nous nous connaissons de cette mémoire un peu défaillante, je pense qu’entre le présent et le passé, tout va se remettre en place au fil des jours.
Jean doit être un bon professionnel, car après m’avoir donné un magnifique portable orné d’une pomme, must de ce genre d’appareil d’après ce qu’il m’en dit.
Il installe des caméras, vient à côté de moi et d’une main experte, il me montre le site de voyeur et le site où les filles s’exhibent.
Nous sommes sur mon lit, il a installé une caméra face à moi, elle est réservée pour les voyeurs payants, je vois très bien à quel endroit de mon anatomie il la règle.
Aucune barrière, car lorsqu’il règle l’inclinaison, on voit ma chatte en gros plan sur mon écran de portable.
Une chose m’interpelle, j’ai croisé les filles nues depuis mon retour dans ma maison, certaines avaient des poils, d’autres pas.
Il va falloir que je demande à marraine pour qu’elle m’explique, depuis que j’ai pris pied de nouveau sur terre, je dois constater que j’ai toujours été sans et elle aussi.
Jean est assis un pied replié sous lui, j’ai bien envie de prendre un peu de bon temps avec, mais le portable se met à crépiter.
• Je suis passé sur le site d’exhibition, tu as déjà des personnes qui se sont connectées, tu peux converser avec eux.
Ils te voient par cette petite caméra là qui est sur le portable.
Jumbo, il a mis une question en anglais, je suis à l’aise pour lui répondre.
• Tu es nouvelle, tu peux nous montrer ta chatte, si elle me convient, je passe en priver avec toi.
J’avais compris aux explications d’Ophélie, que les gars cherchent à nous mater sans payer restant seulement dans le réseau libre.
Ça sonne.
• Cinquante, « Christine » si tu ouvres ton peignoir.
• Ok pour cinquante, « Christine ».
J’ouvre mon peignoir, Jean semble fasciné par ma poitrine, ai-je déjà couché avec lui ou sa femme, voire les deux, mon cerveau reste muet à mon interrogation.
• Je vois que ça fonctionne, là si tu as un message qui s’affiche sur le côté, c’est que quelqu’un cherche à te joindre, tu seras en visioconférence avec cette personne.
Je te laisse Sonia doit m’appeler dans une heure et je dois voir avec elle si elle a rencontré des problèmes.
Il vient de quitter ma chambre lorsqu’un message arrive.
Comme il vient de me le dire, une femme apparait à l’écran, mince c’est Iris, avant mon accident, nous parlions seulement par téléphone sans se voir.
Bien sûr, je reconnais une nouvelle fois la voix, Iris depuis qu’elle m’a appelée à la maison de repos.
Pour la première fois, je la vois, j’ai peu connu ma grand-mère, mais elle devait ressembler à cette femme, ce qui me marque, ce sont ses yeux.
Ils sont fascinants, d’un bleu profond, avec des cheveux blancs.
• Madame Christine, mademoiselle Katia m’a demandé de vous joindre maintenant que vous êtes remise sur pied.
Elle m’a dit que vous avez presque retrouvé votre mémoire, mes prières ont été efficaces, dès que nous aurons fini notre conversation, j’irai remercier pour ce miracle.
Je suis surprise, bigote et gestionnaire de putes, quel contraste.
Je m’aperçois que mon peignoir est ouvert sur mes seins et ma chatte, je suis confuse, madame Iris me voit, je rajuste les pans autour de mon corps.
• Vous pouvez rester découverte, depuis que je vois mes interlocutrices, j’en ai vu d’autres et je dois dire que j’y prends du plaisir.
Voyeur, comment, dit-on, voyeuse, je comprends que pourquoi le site de Chloé rapporte tant d’argent à notre organisation.
• Qu’avez-vous à demander à Katia, Iris ?
• Avez-vous une fille disponible pour tenter un dépucelage ?
• On peut voir, quel profil ?
• Ni trop jeune ni trop âgé, c’est un père, l’un de nos clients fidèles qui a appelé pour son fils.
Il a peur d’avoir un garçon homo et il veut que l’une de nos filles le prenne en main, ça le rassurerait qu’on lui dise qu’il aime les femmes.
• Iris, dites-moi, il me revient en mémoire que lorsque l’on tombe en vélo, on se relève et on repart le plus vite possible.
• Oui, c’est une phrase que l’on dit, mais moi je l’ai entendu avec un cheval et non un vélo.
• Je suis tombée à Moscou, je vais me relever, si cela convient, je vais y aller !
• Comment vous refuser ce petit moment ?
• Ou dois-je me rendre ?
• Au bar, « le petit journal Saint-Michel », après ses cours à la Sorbonne.
Il y va tous les jours faire ses devoirs en écoutant de la musique.
Occasionnellement son père m’a dit qu’il s’appelait Isaac, son père chaque fois qu’il demande une fille, il m’a dit s’appeler Moché.
Isaac, Moché, quel drôle de nom, là encore mon cerveau fait un blocage.
• Il habite deux pâtés de maisons plus loin, il a demandé que la fille se fasse inviter chez lui, il la suivrait difficilement dans un hôtel.
Il a été élevé de façon assez stricte dans les valeurs qui sont les leurs.
Christine, allez-y, Moché a tout règlé, l’argent qui vous revient va être versé sur votre compte.
• Iris, pouvez-vous joindre ce monsieur Moché et lui demander la couleur des cheveux de sa femme ?
Là encore, je me souviens que l’on dit que les fils aiment leur maman, mais j’ai oublié le mot exact.
• On parle du complexe d’Œdipe, vous avez raison, mais pourquoi cette question ?
• Odile m’a fait une panoplie de perruques de couleurs différentes, suivant celle de sa mère, je mettrais celle dans les mêmes tons, comme vous venez de le dire Œdipe fera le reste.
BCBG, dans mes armoires des vêtements stricts que je m’étais du temps de ma splendeur, un jeune, Iris m’a dit qu’il venait d’avoir ses dix-huit ans.
Elle me récupère la couleur de la maman, ma perruque sera blonde.
Jean et pull amples sur des baskets blanches avec un sac Louis Vuitton, jeune sans trop.
Devant notre maison m’attend un chauffeur de taxi, commandé par Iris, Christine part pour une nouvelle mission comme escorte girl.
Va-t-elle être à la hauteur de celle qu’elle a été avant ce putain de voyage à Moscou.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Capo je pense que je me suis bien amélioré depuis 2014
10 ans à écrire
Je m'amuse depuis des années à écrire avec aucun "ne" ou "n'" dans mes textes aucune phrase négative ça donne de la force à mes texte
"Je n'aime pas cette femme" "aimer cette femme est un problème"...
10 ans à écrire
Je m'amuse depuis des années à écrire avec aucun "ne" ou "n'" dans mes textes aucune phrase négative ça donne de la force à mes texte
"Je n'aime pas cette femme" "aimer cette femme est un problème"...
Toutes histoires son top , merci , tu es un très bon conteurs.j'aimerais t'arriver à la cheville lors de mes narattions 👌👍mais je n'en ai pas les capacités.
Merci à toi
Merci à toi