COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (154)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (154)
Première mission comme escorte depuis mon retrait des putes actives suite à mon accident à la tête à Moscou.
Suis-je encore capable de m’occuper d’un client comme je le faisais avant que l’on me pose une plaque sur la tête cachée par ma perruque blonde.
J’ai embrassé Virginie avant de prendre le taxi.
J’en ai profité pour lui poser une question sur les filles à la minette à poils et moi ainsi qu’elle qui ont la chatte lisse comme la coquille d’un œuf de poule ?
Elle m’apprend que j’ai subi un traitement au laser, deux séances au début du tournant de ma vie à Royan, chez une spécialiste et nous sommes débarrassés de ces poils disgracieux.
Les autres elles viennent régulièrement à l’un des deux instituts que nous possédons avec Virginie, l’un près de l’opéra qu’elle a dirigé avant de passer la main à Odile et l’autre non loin d’ou je vais dans le Quartier Latin.
C’est drôle, je vais gagner du fric avec ma chatte avant de rejoindre Anne, la petite Anne qui pendant toutes ces années a fait tourner celui du Quartier Latin.
Cinq ans et un peu plus avec mon temps à l’hôpital et au centre de rééducation, c’est difficile de tout rattraper en quelques heures.
Mais me faire un puceau, ça me semble primordial pour faire voir aux autres filles que je suis encore capable de faire fructifier les avoirs de notre organisation que Virginie, non Valérie a créée.
Pourquoi ces deux noms me viennent toujours à l’esprit lorsque je parle de ma marraine, je l’ignore, là encore il va falloir que je lui pose la question ?
C’est moche ces trous de mémoire qui reviennent régulièrement, j’espère que cela va passer avec le temps, surtout que mon taxi arrive Boulevard Saint-Michel.
Je me fais déposer, j’ai le numéro du taxi, il travaille pour nous, je remonte jusqu’au petit journal Saint-Michel, je trouve porte close, une affiche, « ouverture 19 heures. »
Plus d’une heure à attendre, c’est à ce moment que la sonnerie de mon portable se met à vibrer dans mon sac, je le récupère et je décroche.
« Christine, c’est Iris, j’espère que vous êtes encore dans le taxi, Moché, le père d’Isaac vient de me rappeler.
Il s’est trompé, son fils lui a parlé du petit journal Saint-Michel, mais son fils se trouve au « Rollin's Pub » rue Rollin. »
Je la remercie, ça peut paraitre étrange, mais dans quelle galère me suis-je fourré ?
Je vois un métro, là ma mémoire marche en plein, je sais qu’il y a un plan, je récupère la rue Rollin, cette marche me fait du bien.
À part le parc depuis que, je suis rentrée, j’ai peu marché et ça me fait du bien au cerveau.
Au bar, il y a du monde, je repère ma proie, un garçon jeune, beau gosse avec des feuillets qu’il consulte devant lui.
Il y a une table libre à côté de la sienne, je retrouve mon instinct de chasseresse lorsque je convoite ma proie, lorsqu’il m’est arrivé d’avoir des contrats comme celui-là ou je dois feindre la rencontre inopinée.
• Bonjour, madame, vous pouvez-vous installer là, je vais venir prendre votre commande.
• Je m’excuse, puis-je m’installer à cette table, je préfère.
Ce con voulait me placer à trois tables d’Isaac, par chance il accepte que je rectifie le tir.
• Un cocktail maison surtout sans alcool.
Ce doit être l’instinct du temps où j’étais pute.
L’interdiction pour les filles de boire de l’alcool me revient à l’esprit, il me reste à attirer l’attention de mon beau client, même si à ce moment il ignore qu’il l’est.
• Avez-vous du feu ?
• Pardon, c’est interdit de fumer dans les bars depuis des années.
• Je sais surtout que j’ai arrêté depuis des mois, mais c’est un geste instinctif qu’il me reste de ces temps-là.
J’en ai toujours une dans mon sac à main, je la sors, je la regarde, mais je vous importune, vous sembler travailler malgré la musique !
• Oui, j’ai besoin d’ambiance comme celle-là.
Avant j’allais au petit Journal, mais ils ouvrent à 19 heures et je perdais du temps pour travailler.
Que le petit journal soit fermé, je suis à deux doigts de me trahir en lui disant que je l’ai vu avant que l’on change ma destination.
• Vous êtes étudiant, j’ai quelques moyens, je peux vous offrir un verre !
Je change de siège sans attendre une réponse, ça semble cavalier, mais plus vite, je ferre ma proie, plus vite je pourrais le coucher dans son lit et le dépuceler.
• Serveur, amenez un autre coca à ce jeune homme, le sien doit commencer à être chaud.
Le serveur doit avoir l’habitude à notre époque que des salopes dragues de beaux petits minets, car il a un petit sourire ironique lorsqu’il vient nous servir.
• Je peux vous demander quelle étude vous faite !
• Études de commerce, mes parents travaillent dans ce milieu et espèrent que je vais pouvoir les rejoindre après l’obtention de mes diplômes.
Je sais que je dois éviter d’en dire trop, mais juste assez pour au bout d’un moment payer l’addition avec la carte et de le suivre jusque chez lui ayant obtenu une invitation.
Entre-temps, j’ai réussi à lui faire comprendre que son petit cul m’intéressait en étant au bord des larmes lorsque je lui dis qu’en me trompant mon mari me néglige.
J’ai compris que c’était dans la poche lorsque je lui ai mis ma main sur la cuisse sentant qu’il bandait.
• Non, l’ascenseur est réservé pour les gens de l’immeuble, nous devons monter à pied jusqu’au 8ème, l’ascenseur s’arrêtant au 7ème.
• Monte à pied, je prends l’ascenseur, le premier arrivé attend l’autre.
Un étage à pied, j’ai déjà marché entre le boulevard Saint-Michel et la rue Rollin, il me fait pénétrer dans son antre.
Je veux éviter qu’il puisse en profiter pour s’échapper, je me colle à lui et je l’embrasse.
Sa langue est agile, loin de celle d’un puceau, il est vrai qu’il est possible qu’il ait embrassé des filles sans pour autant les baisers.
Il me plaque contre la porte l’ayant refermé d’un coup de pied.
Mon débardeur s’envole ce qui me permet de reprendre mon souffle, son attaque étant fulgurante.
C’est mon futal qui me quitte, avec mon expérience, surtout depuis que j’ai reprouvé partiellement ma mémoire, un puceau doit avoir regardé des heures de films pornographiques pour maitriser son sujet.
Je décide que c’est moi qui suis là pour gagner mon argent, je lui enlève son propre jean, sa queue est bien raide.
J’aime sucer, avec William, j’en ai retrouvé le goût, je le masturbe en le suçant étant descendue à l’étage inférieur.
C’est lui qui me redresse, la pièce est étroite et surtout avec une soupente, un lit tout de même un peu moins large que le mien et pouvant tout de même nous recevoir tous les deux.
Lorsqu’il me pénètre, si mon impression est la bonne, sa pénétration sera prise pour un dépucelage.
Comme ni moi ni lui nous irons raconter à monsieur Moché, comment les choses se sont passées de ce côté, je suis tranquille.
Comment un puceau peut-il avoir l’idée de me faire mettre en levrette gagnant du temps pour me pénétrer plus longtemps ?
Je suis face à la porte lorsqu’au moment où le plaisir me gagne, elle s’ouvre, une jeune femme entre et nous voit copuler.
• Isaac, salopard, tu profites de ce que je suis allée soigner maman pour sauter une vieille pute.
Elle tourne les talons et essaye d’ouvrir la porte, elle est tellement en colère, qu’elle loupe la poignée, ce qui sauve la situation.
Je saute du lit, nos sexes en ce séparant font un « flop » tellement nous étions emboités.
• Attendez les enfants, je crois que nous sommes partis sur un mauvais pied, je vais tout vous expliquer.
• Salope, que veux-tu m’expliquer, je m’absente quelques jours et à mon retour, je vous trouve en train de baiser.
Je la balance sur le lit d’une main maintenant la porte qu’elle avait réussi à entrouvrir.
• J’ignore à qui j’ai affaire, mais lorsque tu es entrée, tu m’as traité de « vieille pute. »
Pute, oui j’en suis une, mais vieille, là tu exagères.
Isaac, c’est ton père qui m’a payé nous donnant les renseignements ou te trouver sous couvert de te dépuceler.
Je l’ai cru jusqu’au moment où nous nous sommes retrouvés ici, j’ai bien senti que j’avais affaire à un garçon ayant déjà fait des galipettes avec des filles.
• Isaac, elle a raison, j’ai moi-même reçu un message de sa part sous couvert que tu avais eu un accident et que tu étais dans ta chambre à te morfondre. J’ignore pourquoi il a monté ce stratagème.
• Paula, je sais trop pourquoi il a fait ça, tu es une goy et il refuse que je puisse épouser une fille autre qu’une jeune femme juive.
Il voudrait que j’épouse Sarah, nous sommes cousins, certes, au troisième degré.
En te faisant revenir, sous un faux motif, il espérait, ce qui a failli arriver, te voir partir et qu’entre nous tout aurait pris fin, je suis tombé dans son piège.
• Isaac, Paula, je sais comment arranger tout cela et faire qu’il accepte que vous vous aimiez.
Moché, vient-il ici de temps en temps ?
• Ici non, mais il lui arrive de m’inviter au restaurant lorsqu’il est sur Paris.
Mes parents sont propriétaires de la chaîne de magasins « Records » bien connus en France.
C’est pour cela que je fais des études de commerce, je dois leur succéder.
• Appelle le, dit-lui que tu l’invites à déjeuner ici ce mercredi, as-tu une autre clef de cette chambre ?
• Oui, dans ce tiroir.
• Ayez confiance, mercredi soir sera certainement le plus beau jour de votre vie.
J’ignore si avant mon accident j’eusse autant d’impétuosité, ce devait être le cas pour accepter de me prostituer.
Là devant ces jeunes se serrant dans les bras, je me sens pousser des ailes, que ce mec pour garder son fric se soit foutu de notre gueule, j’ai beaucoup de mal à l’accepter...
Suis-je encore capable de m’occuper d’un client comme je le faisais avant que l’on me pose une plaque sur la tête cachée par ma perruque blonde.
J’ai embrassé Virginie avant de prendre le taxi.
J’en ai profité pour lui poser une question sur les filles à la minette à poils et moi ainsi qu’elle qui ont la chatte lisse comme la coquille d’un œuf de poule ?
Elle m’apprend que j’ai subi un traitement au laser, deux séances au début du tournant de ma vie à Royan, chez une spécialiste et nous sommes débarrassés de ces poils disgracieux.
Les autres elles viennent régulièrement à l’un des deux instituts que nous possédons avec Virginie, l’un près de l’opéra qu’elle a dirigé avant de passer la main à Odile et l’autre non loin d’ou je vais dans le Quartier Latin.
C’est drôle, je vais gagner du fric avec ma chatte avant de rejoindre Anne, la petite Anne qui pendant toutes ces années a fait tourner celui du Quartier Latin.
Cinq ans et un peu plus avec mon temps à l’hôpital et au centre de rééducation, c’est difficile de tout rattraper en quelques heures.
Mais me faire un puceau, ça me semble primordial pour faire voir aux autres filles que je suis encore capable de faire fructifier les avoirs de notre organisation que Virginie, non Valérie a créée.
Pourquoi ces deux noms me viennent toujours à l’esprit lorsque je parle de ma marraine, je l’ignore, là encore il va falloir que je lui pose la question ?
C’est moche ces trous de mémoire qui reviennent régulièrement, j’espère que cela va passer avec le temps, surtout que mon taxi arrive Boulevard Saint-Michel.
Je me fais déposer, j’ai le numéro du taxi, il travaille pour nous, je remonte jusqu’au petit journal Saint-Michel, je trouve porte close, une affiche, « ouverture 19 heures. »
Plus d’une heure à attendre, c’est à ce moment que la sonnerie de mon portable se met à vibrer dans mon sac, je le récupère et je décroche.
« Christine, c’est Iris, j’espère que vous êtes encore dans le taxi, Moché, le père d’Isaac vient de me rappeler.
Il s’est trompé, son fils lui a parlé du petit journal Saint-Michel, mais son fils se trouve au « Rollin's Pub » rue Rollin. »
Je la remercie, ça peut paraitre étrange, mais dans quelle galère me suis-je fourré ?
Je vois un métro, là ma mémoire marche en plein, je sais qu’il y a un plan, je récupère la rue Rollin, cette marche me fait du bien.
À part le parc depuis que, je suis rentrée, j’ai peu marché et ça me fait du bien au cerveau.
Au bar, il y a du monde, je repère ma proie, un garçon jeune, beau gosse avec des feuillets qu’il consulte devant lui.
Il y a une table libre à côté de la sienne, je retrouve mon instinct de chasseresse lorsque je convoite ma proie, lorsqu’il m’est arrivé d’avoir des contrats comme celui-là ou je dois feindre la rencontre inopinée.
• Bonjour, madame, vous pouvez-vous installer là, je vais venir prendre votre commande.
• Je m’excuse, puis-je m’installer à cette table, je préfère.
Ce con voulait me placer à trois tables d’Isaac, par chance il accepte que je rectifie le tir.
• Un cocktail maison surtout sans alcool.
Ce doit être l’instinct du temps où j’étais pute.
L’interdiction pour les filles de boire de l’alcool me revient à l’esprit, il me reste à attirer l’attention de mon beau client, même si à ce moment il ignore qu’il l’est.
• Avez-vous du feu ?
• Pardon, c’est interdit de fumer dans les bars depuis des années.
• Je sais surtout que j’ai arrêté depuis des mois, mais c’est un geste instinctif qu’il me reste de ces temps-là.
J’en ai toujours une dans mon sac à main, je la sors, je la regarde, mais je vous importune, vous sembler travailler malgré la musique !
• Oui, j’ai besoin d’ambiance comme celle-là.
Avant j’allais au petit Journal, mais ils ouvrent à 19 heures et je perdais du temps pour travailler.
Que le petit journal soit fermé, je suis à deux doigts de me trahir en lui disant que je l’ai vu avant que l’on change ma destination.
• Vous êtes étudiant, j’ai quelques moyens, je peux vous offrir un verre !
Je change de siège sans attendre une réponse, ça semble cavalier, mais plus vite, je ferre ma proie, plus vite je pourrais le coucher dans son lit et le dépuceler.
• Serveur, amenez un autre coca à ce jeune homme, le sien doit commencer à être chaud.
Le serveur doit avoir l’habitude à notre époque que des salopes dragues de beaux petits minets, car il a un petit sourire ironique lorsqu’il vient nous servir.
• Je peux vous demander quelle étude vous faite !
• Études de commerce, mes parents travaillent dans ce milieu et espèrent que je vais pouvoir les rejoindre après l’obtention de mes diplômes.
Je sais que je dois éviter d’en dire trop, mais juste assez pour au bout d’un moment payer l’addition avec la carte et de le suivre jusque chez lui ayant obtenu une invitation.
Entre-temps, j’ai réussi à lui faire comprendre que son petit cul m’intéressait en étant au bord des larmes lorsque je lui dis qu’en me trompant mon mari me néglige.
J’ai compris que c’était dans la poche lorsque je lui ai mis ma main sur la cuisse sentant qu’il bandait.
• Non, l’ascenseur est réservé pour les gens de l’immeuble, nous devons monter à pied jusqu’au 8ème, l’ascenseur s’arrêtant au 7ème.
• Monte à pied, je prends l’ascenseur, le premier arrivé attend l’autre.
Un étage à pied, j’ai déjà marché entre le boulevard Saint-Michel et la rue Rollin, il me fait pénétrer dans son antre.
Je veux éviter qu’il puisse en profiter pour s’échapper, je me colle à lui et je l’embrasse.
Sa langue est agile, loin de celle d’un puceau, il est vrai qu’il est possible qu’il ait embrassé des filles sans pour autant les baisers.
Il me plaque contre la porte l’ayant refermé d’un coup de pied.
Mon débardeur s’envole ce qui me permet de reprendre mon souffle, son attaque étant fulgurante.
C’est mon futal qui me quitte, avec mon expérience, surtout depuis que j’ai reprouvé partiellement ma mémoire, un puceau doit avoir regardé des heures de films pornographiques pour maitriser son sujet.
Je décide que c’est moi qui suis là pour gagner mon argent, je lui enlève son propre jean, sa queue est bien raide.
J’aime sucer, avec William, j’en ai retrouvé le goût, je le masturbe en le suçant étant descendue à l’étage inférieur.
C’est lui qui me redresse, la pièce est étroite et surtout avec une soupente, un lit tout de même un peu moins large que le mien et pouvant tout de même nous recevoir tous les deux.
Lorsqu’il me pénètre, si mon impression est la bonne, sa pénétration sera prise pour un dépucelage.
Comme ni moi ni lui nous irons raconter à monsieur Moché, comment les choses se sont passées de ce côté, je suis tranquille.
Comment un puceau peut-il avoir l’idée de me faire mettre en levrette gagnant du temps pour me pénétrer plus longtemps ?
Je suis face à la porte lorsqu’au moment où le plaisir me gagne, elle s’ouvre, une jeune femme entre et nous voit copuler.
• Isaac, salopard, tu profites de ce que je suis allée soigner maman pour sauter une vieille pute.
Elle tourne les talons et essaye d’ouvrir la porte, elle est tellement en colère, qu’elle loupe la poignée, ce qui sauve la situation.
Je saute du lit, nos sexes en ce séparant font un « flop » tellement nous étions emboités.
• Attendez les enfants, je crois que nous sommes partis sur un mauvais pied, je vais tout vous expliquer.
• Salope, que veux-tu m’expliquer, je m’absente quelques jours et à mon retour, je vous trouve en train de baiser.
Je la balance sur le lit d’une main maintenant la porte qu’elle avait réussi à entrouvrir.
• J’ignore à qui j’ai affaire, mais lorsque tu es entrée, tu m’as traité de « vieille pute. »
Pute, oui j’en suis une, mais vieille, là tu exagères.
Isaac, c’est ton père qui m’a payé nous donnant les renseignements ou te trouver sous couvert de te dépuceler.
Je l’ai cru jusqu’au moment où nous nous sommes retrouvés ici, j’ai bien senti que j’avais affaire à un garçon ayant déjà fait des galipettes avec des filles.
• Isaac, elle a raison, j’ai moi-même reçu un message de sa part sous couvert que tu avais eu un accident et que tu étais dans ta chambre à te morfondre. J’ignore pourquoi il a monté ce stratagème.
• Paula, je sais trop pourquoi il a fait ça, tu es une goy et il refuse que je puisse épouser une fille autre qu’une jeune femme juive.
Il voudrait que j’épouse Sarah, nous sommes cousins, certes, au troisième degré.
En te faisant revenir, sous un faux motif, il espérait, ce qui a failli arriver, te voir partir et qu’entre nous tout aurait pris fin, je suis tombé dans son piège.
• Isaac, Paula, je sais comment arranger tout cela et faire qu’il accepte que vous vous aimiez.
Moché, vient-il ici de temps en temps ?
• Ici non, mais il lui arrive de m’inviter au restaurant lorsqu’il est sur Paris.
Mes parents sont propriétaires de la chaîne de magasins « Records » bien connus en France.
C’est pour cela que je fais des études de commerce, je dois leur succéder.
• Appelle le, dit-lui que tu l’invites à déjeuner ici ce mercredi, as-tu une autre clef de cette chambre ?
• Oui, dans ce tiroir.
• Ayez confiance, mercredi soir sera certainement le plus beau jour de votre vie.
J’ignore si avant mon accident j’eusse autant d’impétuosité, ce devait être le cas pour accepter de me prostituer.
Là devant ces jeunes se serrant dans les bras, je me sens pousser des ailes, que ce mec pour garder son fric se soit foutu de notre gueule, j’ai beaucoup de mal à l’accepter...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu es extrêmement prolifique et chaque lecture réserve son lot de surprises...
C'est passionnant et excitant...
Merci Chris...
Cyrille
C'est passionnant et excitant...
Merci Chris...
Cyrille
En reprennant cette série j'ai voulu faire plaisir à un grand nombre de personnes me le demandant.
C'est très dur de reprendre 5 ans après beaucoup de relecture pour retrouver certaines situations.
C'est pour ça que je l'ai fait revenir après avoir failli mourir et ça me permet de lui apporter des trous de mémoires dans certaines situations.
Aujourd'hui j'ai commencé à publier une histoire dont j'ai déjà écrit 19 chapitres, de 5 en cinq ça me donne du temps d'écrire la suite et d'autres histoires déjà commencé.
Pour BCBG j'ai déjà le numéro 161 d'écris la encore ca me donne du temps.
Bref, merci et continuez à me lire, ça me stimule...
C'est très dur de reprendre 5 ans après beaucoup de relecture pour retrouver certaines situations.
C'est pour ça que je l'ai fait revenir après avoir failli mourir et ça me permet de lui apporter des trous de mémoires dans certaines situations.
Aujourd'hui j'ai commencé à publier une histoire dont j'ai déjà écrit 19 chapitres, de 5 en cinq ça me donne du temps d'écrire la suite et d'autres histoires déjà commencé.
Pour BCBG j'ai déjà le numéro 161 d'écris la encore ca me donne du temps.
Bref, merci et continuez à me lire, ça me stimule...
Merci, d'avoir repris cette série