COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (155)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (155)
Comme je l’ai dit, mon impétuosité semble m’entraîner dans des galères impossibles.
C’est encore le cas cette fois lorsque je décide de reprendre du service comme escorte en acceptant de dépuceler un jeune homme dans le Quartier Latin.
Mission au demeurant classique pour une pro comme moi, même si j’ai coupé pendant cinq ans après avoir failli mourir à Moscou.
Il faut croire que dans le milieu de la prostitution, même si nous faisons le plus vieux métier au monde en toute légalité puisque grâce à Internet, le racolage sur la voix publique, est en grande partie terminé.
Nous payons des impôts, comme tout le monde, même si grâce à notre travail à l’étranger, nous avons des facilités de gruger le fisc.
Ce soir, c’est 1 000 € que ma prestation doit me rapporter, après que l’organisation créée par Virginie ma marraine, est retenue une partie pour les frais.
Valérie, Virginie, je me rends compte que j’emploie ce même prénom pour la même personne au gré de mon histoire.
Quand j’ai demandé à Virginie, pour nos chattes rasées, pourquoi dans ma tête ces deux noms semblaient intimement liés ?
Sa réponse a été claire, au début de la création de son réseau d’escorte, elle avait peur de la police des mœurs.
En changeant leur identité auprès de leurs clients, elle pensait empêcher les problèmes avec cette police.
Elle avait elle-même commencé avant Internet et elle devait être encore fichée aux moeurs comme c’était le cas dans le passé.
Tout ceci ayant disparu, sauf si une de nos filles essaye de monnayer ses charmes sans suivrent nos consignes, elle aurait une fiche qui lui serait notifiée mettant notre organisation en danger.
Je me souviens d’un ordre qu’elle a donné au téléphone de virer une fille ayant transgressé les directives.
J’apprends de sa bouche, ce qui me fait bien rire que de Christine je sois devenue Magali, Annie Arum, petit oiseau des îles que je retrouve au matin après avoir quitté la chambre mansardée d’Isaac et de Paula.
Les explications concernant Moché, le père d’Isaac se termine, j’avais en main tous les éléments dont j’aurais besoin pour le rencontrer et j’ai voulu aller plus loin dans mes relations avec les jeunes.
J’étais un peu frustrée après que Paula nous ait interrompus, brisant par là même la liaison entre nos deux corps.
J'étais là pour dépuceler un jeune boutonneux, c’est sa petite copine qui l’a été.
Voici comment ceci c’est passé.
• Tu sais Christine, je savais le rejet du père d’Isaac, car j’étais une goy comme ils disent.
Isaac lorsque nous nous sommes embrassés la première fois, m’a expliqué le rejet que nous risquions d’avoir de sa famille.
Je lui ai dit que ma première fois, ce serait lorsqu’il m’aurait passé la bague au doigt, jusque-là je voulais rester pure, si notre amour échouait et que je dusse, hélas, trouver un autre parti.
Attention, je connaissais l’empire que sa famille représente et je lui ai dit que j’étais prête à l’épouser même si ses parents le déshéritais.
Je fais des études grâce à ma maman qui en est tombée malade et je suis prête à travailler pour aider mon mari à gagner notre vie et celle de nos enfants.
Je connais trop la situation des femmes qui se donnent par amour et qui tout le restant de leur vie assume seule la progéniture qu’elles ont récoltée neuf mois plus tôt.
Maman est passé par là, je sais qu’il y a la contraception.
Elle fonctionne avec un taux de réussite presque de cent pour cent.
Là encore ça a été le cas pour maman, mais la capote était défectueuse et elle s’est retrouvée enceinte contre son gré.
Je récupère mon sac et je sors les capotes qu’il renferme lorsque j’ai rendez-vous avec un client.
Dans ma chambre, j’ai même retrouvé la valise dont je me servais avant mon accident.
Godes, mon martinet, mes boules à bouches, des pinces croco pour les pointes de seins de mes clients, j’ai retrouvé tout cela dont la boîte de capotes.
Il était hors de question de me promener boulevard Saint-Michel avec une telle valise et de rentrer dans le bar où j’ai retrouvé Isaac là trainant derrière moi, même si elle a des roulettes.
Un petit sac genre baise en ville en bandoulière avec quelques capotes, il m’en reste assez pour tenter quelque chose.
• Regarde Paula, comme tu l’as dit en entrant, je suis une pute, je fais aussi travailler des filles dont certaines de ton âge.
Nous avons testé ces capotes des milliers de fois, pas une de nos filles s’est retrouvée dans la situation de ta mère.
Tu aimes Isaac, il t’aime, ce serait idiot que tu lui refuses les plaisirs de la vie.
Je te l’ai dit, mercredi, j’ai la certitude que je vais faire changer la position de Moché, ton futur beau-père, j’ai bien compris la situation.
• Isaac, tu veux, si tu savais comment le faite de te refuser d’être tienne me pèse.
À partir de ce moment je savais que c’était gagné, j’allais faire de cette pucelle une femme entièrement libérée comme moi je le suis.
Lorsque j’emploie ces mots, je sais dans quelle limite je les emploie, nombreuses sont celles qui se donnent par amour, rare celles comme moi allant jusqu’à se prostituer.
• Christine a raison, je suis malade d’attendre que nous soyons mariés.
Il me semble que nous avons raison de nous mettre entre les mains de cette femme, ayant une grande expérience de la vie afin qu’elle nous aide à lutter contre mon père.
Embrasse-moi.
Les jeunes s’embrassent, je suis de l’autre côté du corps de cette fille alors j’avance ma main, la place est prise en même temps, Paula vient de poser sa main sur la queue d’Isaac.
Comme il bande un peu déjà, certainement aidé par la situation, nous avons de la place pour deux.
Avant qu’elle nous interrompe, j’avais remarqué la belle longueur de sa verge sans pour autant qu’elle soit trop grosse.
Je suis appuyée sur un coude soutenant ma tête, je lâche la queue, pour caresser sa chatte.
Elle est encore habillée, mais sa culotte est trempée.
• Enlève-moi tout ça, je veux voir tes seins !
• Elle me les a montrés, tu verras, ils sont beaux, en forme de poire.
Nus, comme nous, je me souviens de ma première fois.
J’étais seule avec Pierre qui venait de m’épouser, même si j’ai des manques, se faire dépuceler à trois dont une autre femme, je sais que ce jour sera unique pour elle.
Revenue à notre côté, c’est près de moi qu’elle se faufile Isaac se poussant pour qu’elle tienne entre nous.
À partir de cet instant, elle est la reine de la soirée, je lui mange un sein pendant qu’Isaac s’occupe de l’autre.
Nous levons nos têtes, Paula a les yeux fermés, nous nous sourions et il m’embrasse.
La coquine, elle fait semblant de dormir, sa main se glisse dans ma chatte alors que son amant, lui caresse la sienne.
Je parlais des femmes à poils, comparés aux femmes sans poils comme moi et Virginie, elle sa toison brune est taillée en triangle.
J’embrasse tout son corps d’un côté pendant qu’Isaac en fait de même de l’autre.
Je me souviens d’une phrase avec ses mots !
À tout seigneur tout honneur, c’est sa bouche qui vient la caresser en premier avant qu’il me laisse la place retrouvant sa cyprine sous ma langue, la jeune fille continuant de mouiller.
Je regarde Isaac et je m’entends dire.
• Oui, prends-la, je sens qu’elle est prête !
Mais va très doucement, il faut que Paula ait une belle image de sa première fois, l’homme qui m’a dépucelé la fait comme un soudard.
Si j’étais restée avec lui, surtout qu’il avait une petite bite, j’aurais été frustré tout le restant de ma vie.
Heureusement, j’ai rencontré Virginie qui a fait de moi la femme que je suis aujourd’hui, même si je me prostitue.
Attends, je t’enfile ta capote.
Il est sur elle, je l’aide à enfiler sa protection, elle écarte ses cuisses, je prends son sexe en main.
Je le guide vers la fente qui baye d’envie, je caresse la chatte de la petite avec, je sens qu’elle s’ouvre, même si ça résiste.
Poussant doucement je l’aide à la dépuceler, les cris que j’entends étant des cris bien connus pour moi, elle commence à jouir.
• Voilà tu es femme, tu vas pouvoir commencer ta nouvelle vie.
Il l’a baisé, les draps s’en souviennent, lorsque nous buvons un café tous les trois nus, je vois le drap où des petites taches de sang jalonnent l’endroit ou son sexe reposait.
Isaac a été à la hauteur, j’ai eu assez de capote pour qu’il les remplace chaque fois qu’il changeait de partenaire.
Dans ma valise, j’ai vu que j’en avais une boîte de cent, là dans mon petit sac j’en avais mis six ou sept, à l’avenir il faudra que je fasse attention ça aurait pu être catastrophique.
• Les enfants, on se voit mercredi pour que vous m’ouvriez et que je reçoive ton père Isaac.
Hier en cherchant le bar où je savais pouvoir rencontrer ma proie, je suis passé devant l’institut qui est ma propriété.
Lorsque j’y entre ce matin, c’est une volée de moineaux qui volent de toute part, la patronne est de retour, Anne est là qui me saute au cou.
Je suis fatiguée après cette longue nuit, je laisse les filles travailler leur promettant de revenir très vite avant de rentrer en taxi à Chennevières.
Je m’affale sur mon lit, ce que j’ignore c’est que les caméras tournent, même dans le peu de lumière qui passe par le côté des stores.
En fin de matinée, ayant repris pied après ma soirée, première vraie sortie hors des murs de ma propriété depuis mon retour à la vie.
Je devrais dire, notre propriété à part mon nom sur les papiers, suis-je vraiment chez moi ?
Je dois savoir rester à ma place surtout que je dois penser à ma rencontre avec le papa de mes deux jeunes.
Je descends, ayant repris nos bonnes habitudes, je suis nue.
Je suis seule, j’ouvre la porte, j’entends des rires du côté de chez marraine, je passe le mur.
Ils sont combien autour de la table garçons, mais surtout filles ?
• Christine, te voilà, as-tu bien dormi ?
Les filles, voici notre nouvelle vedette, elle a battu tous les records de connexion de client se connectant à ses webcams !...
C’est encore le cas cette fois lorsque je décide de reprendre du service comme escorte en acceptant de dépuceler un jeune homme dans le Quartier Latin.
Mission au demeurant classique pour une pro comme moi, même si j’ai coupé pendant cinq ans après avoir failli mourir à Moscou.
Il faut croire que dans le milieu de la prostitution, même si nous faisons le plus vieux métier au monde en toute légalité puisque grâce à Internet, le racolage sur la voix publique, est en grande partie terminé.
Nous payons des impôts, comme tout le monde, même si grâce à notre travail à l’étranger, nous avons des facilités de gruger le fisc.
Ce soir, c’est 1 000 € que ma prestation doit me rapporter, après que l’organisation créée par Virginie ma marraine, est retenue une partie pour les frais.
Valérie, Virginie, je me rends compte que j’emploie ce même prénom pour la même personne au gré de mon histoire.
Quand j’ai demandé à Virginie, pour nos chattes rasées, pourquoi dans ma tête ces deux noms semblaient intimement liés ?
Sa réponse a été claire, au début de la création de son réseau d’escorte, elle avait peur de la police des mœurs.
En changeant leur identité auprès de leurs clients, elle pensait empêcher les problèmes avec cette police.
Elle avait elle-même commencé avant Internet et elle devait être encore fichée aux moeurs comme c’était le cas dans le passé.
Tout ceci ayant disparu, sauf si une de nos filles essaye de monnayer ses charmes sans suivrent nos consignes, elle aurait une fiche qui lui serait notifiée mettant notre organisation en danger.
Je me souviens d’un ordre qu’elle a donné au téléphone de virer une fille ayant transgressé les directives.
J’apprends de sa bouche, ce qui me fait bien rire que de Christine je sois devenue Magali, Annie Arum, petit oiseau des îles que je retrouve au matin après avoir quitté la chambre mansardée d’Isaac et de Paula.
Les explications concernant Moché, le père d’Isaac se termine, j’avais en main tous les éléments dont j’aurais besoin pour le rencontrer et j’ai voulu aller plus loin dans mes relations avec les jeunes.
J’étais un peu frustrée après que Paula nous ait interrompus, brisant par là même la liaison entre nos deux corps.
J'étais là pour dépuceler un jeune boutonneux, c’est sa petite copine qui l’a été.
Voici comment ceci c’est passé.
• Tu sais Christine, je savais le rejet du père d’Isaac, car j’étais une goy comme ils disent.
Isaac lorsque nous nous sommes embrassés la première fois, m’a expliqué le rejet que nous risquions d’avoir de sa famille.
Je lui ai dit que ma première fois, ce serait lorsqu’il m’aurait passé la bague au doigt, jusque-là je voulais rester pure, si notre amour échouait et que je dusse, hélas, trouver un autre parti.
Attention, je connaissais l’empire que sa famille représente et je lui ai dit que j’étais prête à l’épouser même si ses parents le déshéritais.
Je fais des études grâce à ma maman qui en est tombée malade et je suis prête à travailler pour aider mon mari à gagner notre vie et celle de nos enfants.
Je connais trop la situation des femmes qui se donnent par amour et qui tout le restant de leur vie assume seule la progéniture qu’elles ont récoltée neuf mois plus tôt.
Maman est passé par là, je sais qu’il y a la contraception.
Elle fonctionne avec un taux de réussite presque de cent pour cent.
Là encore ça a été le cas pour maman, mais la capote était défectueuse et elle s’est retrouvée enceinte contre son gré.
Je récupère mon sac et je sors les capotes qu’il renferme lorsque j’ai rendez-vous avec un client.
Dans ma chambre, j’ai même retrouvé la valise dont je me servais avant mon accident.
Godes, mon martinet, mes boules à bouches, des pinces croco pour les pointes de seins de mes clients, j’ai retrouvé tout cela dont la boîte de capotes.
Il était hors de question de me promener boulevard Saint-Michel avec une telle valise et de rentrer dans le bar où j’ai retrouvé Isaac là trainant derrière moi, même si elle a des roulettes.
Un petit sac genre baise en ville en bandoulière avec quelques capotes, il m’en reste assez pour tenter quelque chose.
• Regarde Paula, comme tu l’as dit en entrant, je suis une pute, je fais aussi travailler des filles dont certaines de ton âge.
Nous avons testé ces capotes des milliers de fois, pas une de nos filles s’est retrouvée dans la situation de ta mère.
Tu aimes Isaac, il t’aime, ce serait idiot que tu lui refuses les plaisirs de la vie.
Je te l’ai dit, mercredi, j’ai la certitude que je vais faire changer la position de Moché, ton futur beau-père, j’ai bien compris la situation.
• Isaac, tu veux, si tu savais comment le faite de te refuser d’être tienne me pèse.
À partir de ce moment je savais que c’était gagné, j’allais faire de cette pucelle une femme entièrement libérée comme moi je le suis.
Lorsque j’emploie ces mots, je sais dans quelle limite je les emploie, nombreuses sont celles qui se donnent par amour, rare celles comme moi allant jusqu’à se prostituer.
• Christine a raison, je suis malade d’attendre que nous soyons mariés.
Il me semble que nous avons raison de nous mettre entre les mains de cette femme, ayant une grande expérience de la vie afin qu’elle nous aide à lutter contre mon père.
Embrasse-moi.
Les jeunes s’embrassent, je suis de l’autre côté du corps de cette fille alors j’avance ma main, la place est prise en même temps, Paula vient de poser sa main sur la queue d’Isaac.
Comme il bande un peu déjà, certainement aidé par la situation, nous avons de la place pour deux.
Avant qu’elle nous interrompe, j’avais remarqué la belle longueur de sa verge sans pour autant qu’elle soit trop grosse.
Je suis appuyée sur un coude soutenant ma tête, je lâche la queue, pour caresser sa chatte.
Elle est encore habillée, mais sa culotte est trempée.
• Enlève-moi tout ça, je veux voir tes seins !
• Elle me les a montrés, tu verras, ils sont beaux, en forme de poire.
Nus, comme nous, je me souviens de ma première fois.
J’étais seule avec Pierre qui venait de m’épouser, même si j’ai des manques, se faire dépuceler à trois dont une autre femme, je sais que ce jour sera unique pour elle.
Revenue à notre côté, c’est près de moi qu’elle se faufile Isaac se poussant pour qu’elle tienne entre nous.
À partir de cet instant, elle est la reine de la soirée, je lui mange un sein pendant qu’Isaac s’occupe de l’autre.
Nous levons nos têtes, Paula a les yeux fermés, nous nous sourions et il m’embrasse.
La coquine, elle fait semblant de dormir, sa main se glisse dans ma chatte alors que son amant, lui caresse la sienne.
Je parlais des femmes à poils, comparés aux femmes sans poils comme moi et Virginie, elle sa toison brune est taillée en triangle.
J’embrasse tout son corps d’un côté pendant qu’Isaac en fait de même de l’autre.
Je me souviens d’une phrase avec ses mots !
À tout seigneur tout honneur, c’est sa bouche qui vient la caresser en premier avant qu’il me laisse la place retrouvant sa cyprine sous ma langue, la jeune fille continuant de mouiller.
Je regarde Isaac et je m’entends dire.
• Oui, prends-la, je sens qu’elle est prête !
Mais va très doucement, il faut que Paula ait une belle image de sa première fois, l’homme qui m’a dépucelé la fait comme un soudard.
Si j’étais restée avec lui, surtout qu’il avait une petite bite, j’aurais été frustré tout le restant de ma vie.
Heureusement, j’ai rencontré Virginie qui a fait de moi la femme que je suis aujourd’hui, même si je me prostitue.
Attends, je t’enfile ta capote.
Il est sur elle, je l’aide à enfiler sa protection, elle écarte ses cuisses, je prends son sexe en main.
Je le guide vers la fente qui baye d’envie, je caresse la chatte de la petite avec, je sens qu’elle s’ouvre, même si ça résiste.
Poussant doucement je l’aide à la dépuceler, les cris que j’entends étant des cris bien connus pour moi, elle commence à jouir.
• Voilà tu es femme, tu vas pouvoir commencer ta nouvelle vie.
Il l’a baisé, les draps s’en souviennent, lorsque nous buvons un café tous les trois nus, je vois le drap où des petites taches de sang jalonnent l’endroit ou son sexe reposait.
Isaac a été à la hauteur, j’ai eu assez de capote pour qu’il les remplace chaque fois qu’il changeait de partenaire.
Dans ma valise, j’ai vu que j’en avais une boîte de cent, là dans mon petit sac j’en avais mis six ou sept, à l’avenir il faudra que je fasse attention ça aurait pu être catastrophique.
• Les enfants, on se voit mercredi pour que vous m’ouvriez et que je reçoive ton père Isaac.
Hier en cherchant le bar où je savais pouvoir rencontrer ma proie, je suis passé devant l’institut qui est ma propriété.
Lorsque j’y entre ce matin, c’est une volée de moineaux qui volent de toute part, la patronne est de retour, Anne est là qui me saute au cou.
Je suis fatiguée après cette longue nuit, je laisse les filles travailler leur promettant de revenir très vite avant de rentrer en taxi à Chennevières.
Je m’affale sur mon lit, ce que j’ignore c’est que les caméras tournent, même dans le peu de lumière qui passe par le côté des stores.
En fin de matinée, ayant repris pied après ma soirée, première vraie sortie hors des murs de ma propriété depuis mon retour à la vie.
Je devrais dire, notre propriété à part mon nom sur les papiers, suis-je vraiment chez moi ?
Je dois savoir rester à ma place surtout que je dois penser à ma rencontre avec le papa de mes deux jeunes.
Je descends, ayant repris nos bonnes habitudes, je suis nue.
Je suis seule, j’ouvre la porte, j’entends des rires du côté de chez marraine, je passe le mur.
Ils sont combien autour de la table garçons, mais surtout filles ?
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