COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (156)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (156) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (156)
• Christine, te voilà, as-tu bien dormi ?
Les filles, voici notre nouvelle vedette, elle a battu tous les records de connexion de clients se connectant aux webcams !

Que me dît-on, je suis la nouvelle vedette, les webcams, c’est vrai de retour du Quartier latin, je me suis connecté et je me suis un peu exhibée.
J’ai même discuté avec des gars, de Roumanie, Autriche et un Italie qui voulait m’épouser.
J’ai eu du mal au début, car il me fallait parler principalement en anglais et mon accident me faisait buter sur certains mots.
Avec l’Italien, tout a été plus facile, il était venu en France pour son travail, il parlait un bon Français.
Chose extraordinaire, il avait été l’un de mes clients dans les premiers temps où Virginie a commencé à me prostituer pour l’intérêt de son organisation.
En ce temps-là, j’ignorais que c’était elle qui tirait les ficelles toute en se prostituant, elle aussi.
Avec Lorenzo, nous avons fait plusieurs fois des shows privés, je mouillais comme une folle en pensant à ces gars qui me regardaient jouer avec des godemichets.
Dual71 un Français, certainement de la région de notre ami Chris71, Duduche888888, pourquoi ce nom avec autant de 8 et comme dernier exemple, Sissy6969.
Là on comprend de quoi Sissy veut parler avec les 69.
J’aurais pu leur demander, mais ces pseudos sont un peu l’arbre qui cache la forêt, j’ai fini par m’endormir les caméras tournant toujours.

• Christine, que fais-tu aujourd’hui !
• J’ai rendez-vous à l’hôpital de Brie pour un contrôle de mon état avec Amandine, la doctoresse qui s’est occupée de moi lors de mon retour.

Virginie est là, en maîtresse de maison, la table est sous la verrière de la piscine.
Dix, douze paires de seins tous nus comme moi je le suis sont autour de la table.

• Amandine, la Roumaine, une magnifique jeune femme était venue en France après ses études à Bucarest pour remplacer le manque de médecin dans notre pays.

Je sais, à son intonation, que la dénommé Amandine a dû taper dans l’œil de mon amie Virginie, ma mémoire en partie revenue me rappelle des moments passés entre nous et d’autres filles.
Souvenons-nous de Françoise, elle s’est dit son amie lorsqu’elle m’a trouvé une place dans le centre de rééducation de Pontault-Combault.
Françoise avec qui j’ai passé une nuit entre fille, ça s’est après mettre réveiller avec une mémoire toute neuve.
Amie, Amante, j’ai bien compris que moi-même je fais partie de ces catégories de filles lesbiennes à ses heures et moi plutôt bisexuelle.
Françoise a qui ayant confié que j’étais une pute, m’a expliqué qu’il me fallait être discrète sur la vie que je vivais avant l’attentat.
Amandine, drôle de prénom pour une doctoresse, lui ai-je dit, lorsque Virginie m’a avoué que j’étais une pute ?
On voit que mon cerveau s’embrouille et que je suis encore convalescente.
La doctoresse est à l’heure avec un retard de cinq minutes, chose habituelle chez un médecin malgré que ma santé m’ait permis de peu aller les voir.

• Madame Christine permettez de vous faire un compliment, vous avez une magnifique perruque brune.
• C’est mon amie Odile, j’ai découvert depuis peu le nombre d’amies que j’avais en ayant en partie retrouvée ma mémoire.
Vous aviez dit que je devais vous appeler si ça se produisait, c’est en partie le cas aujourd’hui.
• Mon service et plus particulièrement Roxana ma secrétaire vous a prévenu que j’étais dans ma famille à Bucarest.
J’y retourne de temps en temps, hélas, là c’était pour enterrer une grand-tante du côté de ma mère.
• Toutes mes condoléances !
• Vous savez, elle aurait eu cent ans aujourd’hui, nous étions prévenues que cela allait arriver.
• Je vais me permettre de vous raser d’un coup vos cheveux, pour vérifier le travail que nous avons fait avec mon équipe.
• Je me rase tous les jours le côté qui pousse encore pour pouvoir lettre ma perruque.
• C’est d’elle que je parlais, votre perruque, pouvez-vous l’enlever ?
• Je vois que vous avez de l’humour, j’adore les gens qui font preuve d’humour, surtout lorsque comme moi on a failli tout perdre.
J’ai décidé de vivre la vie à pleines dents.

J’enlève ma perruque, comme Amandine m’a dit, j’ai mis la brune, j’aime trancher avec les mèches blondes que je rase tous les matins.

• Voyons cette plaque, c’est parfait, j’avais peur d’une légère compression de votre cerveau, mais le retour de votre mémoire me montre qu’elle est parfaitement à sa place.
La seule chose, c’est qu’il faut éviter de vous taper la tête contre les murs si vous vous mettez en colère.

Encore son humour, elle est si près de moi pour me regarder la tête que son parfum m’enivre, doux et capiteux, il me fait mouiller.

• Je...
• Je...

C’est ensemble que nous prononçons ce débit de phrase, ses seins sont tout près de mon nez, sa vallée est si profonde que j’ai envie de plonger dedans.
Hélas, elle se recule pour mieux me voir.

• Je commence, vu l’heure avancée puisque je vous ai reçu après mes rendez-vous habituels, je voudrais vous demander si vous êtes libre ce soir.
Je connais un petit resto sympa sur les bords de Marnes et j’avais envie de vous inviter.
• Je continue, je voulais dire, vu l’heure avancée si tu as fini ta journée, je voulais t’inviter au restaurant.
Si tu connais un petit resto, je te suis-je voulais avoir ton autorisation de reprendre le volant, là je suis venue en taxi.
• Tu as raison, disons-nous « tu », j’aime le tutoiement français, chez nous nous sommes plus grindés et il nous est difficile de se servir du « tu » !
Viens, passons par mon secrétariat puis le vestiaire afin que je récupère ma tenue de ville, même si j’aime beaucoup ma blouse avec autour de mon cou mon stéthoscope.

Nous passons par le secrétariat, Roxana est là, j’adore cet univers féminin.

• Je vous dois combien ?
• Rien, vous avez donné votre carte vitale, la sécu se remboursera, la voici.
• Roxana, vous êtes de permanence ce soir, je prends mon « bip », vous m’appelez si une urgence se fasse jour.
• Oui, madame, procédure habituelle.

Nous quittons le secrétariat, pourquoi ai-je une multitude de chattes que j’aimerais visiter dans cet univers presque exclusivement féminin.
Amandine ouvre un placard et ôte sa blouse, comme je le présentais me trompant légèrement, pensant que ses seins étaient libres, elle a un soutien-gorge pigeonnant libérant le haut de ses seins.
Un string lui cachant le strict minimum.
Je suis derrière elle, je m’avance et l’embrassant dans le cou, mes mains empoignent chacun de ses seins.
Elle tourne la tête, ses cheveux balayent ma joue.

• Toi, tu es directe, j’aime ça !

Et directement nos bouches se trouvent, elle se retourne et j’adore sa main gauche venant prendre mon sein droit.
Elle me faisait mouiller, je commence à ruisseler.
Combien de temps dure notre premier baiser, je l’ignore, sa langue virevolte dans ma bouche et tout autour de ma langue.

• Allons diner, la journée a été longue et ce midi, j’ai fait ceinture, impossible pour moi d’aller à la cafétaria de l’hôpital.

Ma main a libéré un de ses seins, j’ai la possibilité de la plaquer sur son string, mais je suis respectueuse de la faim de celle qui rapidement devrait devenir ma prochaine maîtresse.
Je la libère, je sais que c’est gagné, je vais vivre une nouvelle aventure, celle-là féminine.
Un instant la vision de Véronique ex de Pierre, mon mari.
Que tout ceci est loin, malgré que cela fait moins de dix ans, dont cinq dans le coma.
La vision de sa crinière rousse me traverse l’esprit, mais moi aussi j’ai faim alors je la laisse enfiler robe et manteau.
Lorsque l’on me voit, qui peut croire que je suis devenue une péripatéticienne, tient ce mot me remonte à l’esprit.
Pour Amandine, qui peut croire que cette jolie femme est une championne dans son domaine et que c’est elle qui a su me redonner forme humaine.
Nous prenons sa voiture, une simple petite coccinelle des années 60, mais qui a été recustomisée.
Ce mot, je le découvre, contrairement à péripatéticienne, c’est amandine qui me dévoile son existence.
Nous nous rendons sur les bords de Marne, hélas, il pleut, cette guiguette doit être fort agréable l’été par beau temps.

C’est à table, près de la baie vitrée, voyant de l’autre côté de la rue, la rivière ayant un gros débit, que je prends la main d’Amandine sur la table et que la regardant, je lui pose cette question.

• J’ignorais qu’Amandine était un nom à consonnance roumaine, ta secrétaire Roxana, c’est plus plausible !
• Tu as raison Roxana comme moi nous sommes venues de Roumanie.
Pour ma part, mon père était un médecin français venu faire une conférence à Bucarest et a rencontré maman qui est, elle aussi médecin.
Il est resté juste le temps de laisser sa petite graine dans le ventre de maman et est retourné en France.
C’est par téléphone qu’il a imposé mon nom, c’est pour cela qu’il est de consonance française.
Tu le connais, il est directeur de l’hôpital de Brie, le manque de médecin l’a obligé de me faire venir ici.

Le repas se termine, il est l’heure de se séparer.

• Je te raccompagne chez toi, ou tu viens chez moi, j’habite à quelques pas d’ici.
• Tu connais déjà la réponse.

Je prends sa main, je retourne son poignet et je lui pose un baiser, comme je viens de le dire, « tu connais déjà la réponse. »...

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