COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (160)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (160)
Mon plan a marché, je semble avoir réussi, Isaac va pouvoir continuer à vivre avec Paula sa petite goy.
Une goy, moi aussi j’en suis une, puisque j’ignore tout des rites de la religion juive.
J’ai entendu quelques-uns de mes clients dire que le vendredi, c’est...
Tien le nom m’échappe, est-ce dû à mon amnésie ayant duré cinq ans ou, car il est trop complexe pour que je m’en souvienne !
• « On peut se revoir, je suis à Paris pour une semaine !
• Attendez, je regarde le planning de mes prochains jours !
Vendredi, c’est possible à 21 heures.
• Non, vendredi, c’est... »
Ça bloque vraiment, mais je sais que ce client dinait en famille avec son fils sa femme et ses enfants.
À oui, pour ce jour spécial, toute la famille était réunie.
Moi aussi, j’ai été de mon côté baptisé, je me suis même mariée à l’église avec Pierre, ça je m’en souviens.
Je me rappelle aussi que c’est maman qui voulait que je me marie avec une robe blanche.
Mais que cela est si loin, surtout quand je me souviens de la fin mémorable de ce que j’appelle « mes bondieuseries. »
Si un paradis, un purgatoire ou un enfer existe, après, la pute que je suis devenue toujours prête à rendre service, ira-t-elle au purgatoire ou directement au paradis.
Non, paradis impossible, purgatoire ou enfer.
En attendant, revenue de nulle part, même si c’était de Moscou, ce que je vois, me fait pencher pour la possibilité d’aller au paradis.
J’ai eu beau essayer de rentrer sans faire de bruit, Quiqui ou la porte que j’ai dû refermer aurait dû déranger Agathe et Moché.
Ils sont à poil tous les deux, Moché sexant Agathe en levrette.
J’ignore la religion d’Agathe, pardon elle est catholique, dans mon champ de vision, une croix avec un Christ semble assister à leurs ébats.
Je suis dans l’incapacité de dire ce qu’il a vu depuis l’heure où je me suis absentée, mais présentement la verge qui rentre là où elle veut aller se pratique bien dans une magnifique levrette.
• Moché, t’es fou, qu’est-ce que tu me fais faire, ah ! ah ! ah ! ouiiiii.
Ça, ces propos je connais !
La dernière fois que j’ai prononcé ce genre de phrase, c’était un étage plus haut dans la mansarde d’Isaac, le fils de Moché, avant que Paula entre me voyant livrer à celui qu’elle aime.
Je me garde bien de rentrer, l’abandon de mon amant et client m’ayant moi-même un peu traumatisés.
J’ai horreur d’être dérangé lorsque je me fais baiser, mais j’ai envie de voir de plus près jusqu’à où Agathe est prête à aller dans son renouveau.
Presque une heure, qu’ils baisent, elle peut bien m’en laisser un peu, surtout que ces « Ah ! Ouiiii », sont ceux d’une femme venant de jouir.
J’ai laissé mes paquets dans l’entrée.
Quiqui semble avoir compris qu’un chien, ça ferme sa gueule lorsque sa maîtresse s’envoie en l’air.
J’ôte mes vêtements et comme l’enfant qui vient de naitre, je rejoins le couple dont je suis en partie coupable de sa formation.
• Christine, te voilà, Moché m’a dit que tu t’appelais Christine et que tu étais une prostituée.
• Escorte si tu veux bien, c’est nettement plus distingué dans la bouche d’une femme comme toi.
Je suis contente de voir que pendant mon absence vous vous êtes très bien entendus, j’en ai pour preuve tes cris de plaisir et la façon dont tu lui tendais ton cul dans cette bonne levrette.
• Au début, elle était résistante, j’avais l’impression de baiser ma première pucelle, il y a plus de vingt ans.
Mais lorsque le couvercle de la cocotte a sauté, elle était prête à tout pour que mon sexe fasse d’elle ce que je voulais.
Un ma salope, qui est-ce qui t’a fait découvrir les plaisirs du sexe ?
Agathe semble ailleurs, je connais là encore ce genre de torpeur lorsque la bite d’un de mes clients m’éclate sans oublier il y a peu celle de William à la maison de repos.
Je profite de son manque de défense et je viens m’agenouiller à leurs côtés.
C’est le moment où Moché en profite pour lui asséner une grande claque sur son fessier un peu flasque, mais il est vrai qu’elle a plus de cinquante ans.
• C’est très bien ma salope, tu en veux encore, dis-moi, elle est bonne la bite au père Moché.
• Christine, je vais te dire, c’est le premier jour de ma vie de femme, mais tu peux prendre le relais, je crois que mon cœur va s’arrêter de battre.
On sait la salope que j’ai été et que je cherche à redevenir, bien que dans un coin de ma tête encore un peu malade, William le jardinier de mon centre de remise en forme me manque un peu.
Je dois rester raisonnable, je me suis enflammée pour Igor et ça a failli me conduire six pieds sous terre.
Mais la vue de ce couple copulant me chamboule l’intérieur et me rappelle, nos exploits avec Virginie.
Un de mes clients avant les évènements, ça je m’en souviens, m’avais évoqué vouloir être une femme un seul jour espérant ressentir ce que ressentent les femmes lorsqu’un sexe d’homme, les pénètre
Il est vrai, comme homme, lorsqu’il a envie d’une femme, sa verge se tend et ça se voit.
Le temps de ces pensées, digne d’un sujet du bac, je me redresse et j’attrape, la croix et son mateur que je laisse tomber sur la carpette.
À sa place, j’ai un moment de panique, même si ce que pouvait voir Jésus a disparu, sa croix est toujours là, marquée par le soleil sur le papier peint.
Dans mon mouvement pour l’attraper, Agathe tend sa main et je sens ses doigts venir caresser ma fente.
Je me rapproche, présentant mon sexe et surtout mon clito à la bouche de cette cochonne qui il y a peu, ignorait qu’elle en était une.
Il faut peu de chose pour nous révéler nous les femmes, Virginie avec moi en est le parfait exemple.
Agathe tourne la tête, il faut savoir perdre de temps en temps.
J’ai déjà réussi à ce qu’elle accepte de reprendre sa vie sexuelle avec Moché.
C’est lui qui m’aide à retrouver du plaisir avec sa main et sa verge qu’il sort du sexe d’Agathe et qu’il me commande à mon tour de me mettre en levrette.
Je me laisse prendre, je retrouve les moments d’avant ou même si je suis pute, j’aime que mon corps prenne du plaisir.
• Et si, nous allions voir, ce que je suis allée acheter pendant que tu redécouvrais la verge d’un homme !
• Si tu savais Christine, depuis le début de ma vie, le temps que nous avons passé avec Moché est la plus pharaonique que j’ai ressenti.
Je dois reconnaitre qu’avec Paul, alors que je pensais que c’était un bon amant, tu m’as apporté des élans de plaisirs jamais atteint.
Nous nous retrouvons nus dans la salle nos vêtements sous le bras.
Sur la cheminée trône un homme en uniforme d’apparat de la garde républicaine.
Même si Agathe semble dire qu’il était un piètre amant, la paire de moustaches qu’il aborde aurait pu me caresser la chatte et me donner du plaisir.
Un guidon de vélo pointant vers le haut.
J’ai vu des photos ou des films de cavaleries dans le temps napoléonien, ils avaient les mêmes.
• Il est beau mon garde républicain, cette photo a été prise le lendemain de notre rencontre.
Tout en remettant mes vêtements, Moché en faisant de même laissant Agathe seule nue, je lui réponds.
• Agathe, vivre dans le passé, ça évite d’avancer, regarde le chemin que tu as parcouru cette après-midi.
Alors essaye cette nuisette et passe ce peignoir en soie du Japon, cache-nous cette horrible touffe, mais tu peux être sûr que je vais m’en occuper.
• C’est très beau, mais ça a dû te couter très chère, je vais te rembourser.
• Va plutôt nous préparer du café, je vais te donner une adresse.
Anne qui s’occupe de mon institut de beauté te donnera un rendez-vous et elle te redonnera un coup de jeune.
• Tu as un institut de beauté, je croyais que tu te prostituais.
• Moché, contente-toi de l’accord que nous avons passé.
Ma vie est bien plus complexe que le moment que nous avons passé ensemble depuis midi.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se rappelle à nous.
• Je vais voir, après je vous ferais un café.
La porte est très près de la salle, Agathe ouvre.
• Florentin, c’est vous, vous m’amenez votre loyer.
• Madame, je peux vous donner la moitié, c’est tout ce que j’ai pu réunir, je vais arrêter mes études, car j’ai de gros problèmes financiers pour les finir, votre loyer y contribue.
Je reconnais la voix du garçon que j’ai rencontré en arrivant chez Isaac.
Il a un petit accent très caractéristique, Florentin, j’apprends que c’est son petit nom.
• Pouvez-vous repasser, j’ai des invités, je vous verrais après, il est hors de question que vous me priviez de la moitié de votre loyer.
Je rejoins Agathe qui est surprise que je vienne aux nouvelles, pourtant même si ça fait peu de temps que nous connaissons, elle devrait savoir que je suis incontrôlable.
Même Quiqui l'a compris restant dans sa chambre évitant de s’approcher de mes pieds.
• Entrer, Florentin, j’ai entendu que mon amie Agathe vous a donné ce nom.
Venez nous expliquer les problèmes que vous avez, il y a toujours une solution à chaque problème.
• Merci madame, je vais vous dire ce qu’il m’arrive.
Agathe s’efface et Florentin entre jusqu’à la salle.
• Florentin, arrête avec tes mesdames, je m’appelle Christine, là c’est Moché, le papa d’Isaac l’un de tes voisins du 8ème.
Agathe va nous faire ce café et si tu as quelques biscuits, apportent les, notre ami semble blanc, il a dû oublier de manger, pour te payer son loyer.
Agathe part vers la cuisine, Florentin enlève son cache-nez à là, là, la...
Encore un trou de mémoire.
• Explique-nous ce qu’il t’arrive...
Une goy, moi aussi j’en suis une, puisque j’ignore tout des rites de la religion juive.
J’ai entendu quelques-uns de mes clients dire que le vendredi, c’est...
Tien le nom m’échappe, est-ce dû à mon amnésie ayant duré cinq ans ou, car il est trop complexe pour que je m’en souvienne !
• « On peut se revoir, je suis à Paris pour une semaine !
• Attendez, je regarde le planning de mes prochains jours !
Vendredi, c’est possible à 21 heures.
• Non, vendredi, c’est... »
Ça bloque vraiment, mais je sais que ce client dinait en famille avec son fils sa femme et ses enfants.
À oui, pour ce jour spécial, toute la famille était réunie.
Moi aussi, j’ai été de mon côté baptisé, je me suis même mariée à l’église avec Pierre, ça je m’en souviens.
Je me rappelle aussi que c’est maman qui voulait que je me marie avec une robe blanche.
Mais que cela est si loin, surtout quand je me souviens de la fin mémorable de ce que j’appelle « mes bondieuseries. »
Si un paradis, un purgatoire ou un enfer existe, après, la pute que je suis devenue toujours prête à rendre service, ira-t-elle au purgatoire ou directement au paradis.
Non, paradis impossible, purgatoire ou enfer.
En attendant, revenue de nulle part, même si c’était de Moscou, ce que je vois, me fait pencher pour la possibilité d’aller au paradis.
J’ai eu beau essayer de rentrer sans faire de bruit, Quiqui ou la porte que j’ai dû refermer aurait dû déranger Agathe et Moché.
Ils sont à poil tous les deux, Moché sexant Agathe en levrette.
J’ignore la religion d’Agathe, pardon elle est catholique, dans mon champ de vision, une croix avec un Christ semble assister à leurs ébats.
Je suis dans l’incapacité de dire ce qu’il a vu depuis l’heure où je me suis absentée, mais présentement la verge qui rentre là où elle veut aller se pratique bien dans une magnifique levrette.
• Moché, t’es fou, qu’est-ce que tu me fais faire, ah ! ah ! ah ! ouiiiii.
Ça, ces propos je connais !
La dernière fois que j’ai prononcé ce genre de phrase, c’était un étage plus haut dans la mansarde d’Isaac, le fils de Moché, avant que Paula entre me voyant livrer à celui qu’elle aime.
Je me garde bien de rentrer, l’abandon de mon amant et client m’ayant moi-même un peu traumatisés.
J’ai horreur d’être dérangé lorsque je me fais baiser, mais j’ai envie de voir de plus près jusqu’à où Agathe est prête à aller dans son renouveau.
Presque une heure, qu’ils baisent, elle peut bien m’en laisser un peu, surtout que ces « Ah ! Ouiiii », sont ceux d’une femme venant de jouir.
J’ai laissé mes paquets dans l’entrée.
Quiqui semble avoir compris qu’un chien, ça ferme sa gueule lorsque sa maîtresse s’envoie en l’air.
J’ôte mes vêtements et comme l’enfant qui vient de naitre, je rejoins le couple dont je suis en partie coupable de sa formation.
• Christine, te voilà, Moché m’a dit que tu t’appelais Christine et que tu étais une prostituée.
• Escorte si tu veux bien, c’est nettement plus distingué dans la bouche d’une femme comme toi.
Je suis contente de voir que pendant mon absence vous vous êtes très bien entendus, j’en ai pour preuve tes cris de plaisir et la façon dont tu lui tendais ton cul dans cette bonne levrette.
• Au début, elle était résistante, j’avais l’impression de baiser ma première pucelle, il y a plus de vingt ans.
Mais lorsque le couvercle de la cocotte a sauté, elle était prête à tout pour que mon sexe fasse d’elle ce que je voulais.
Un ma salope, qui est-ce qui t’a fait découvrir les plaisirs du sexe ?
Agathe semble ailleurs, je connais là encore ce genre de torpeur lorsque la bite d’un de mes clients m’éclate sans oublier il y a peu celle de William à la maison de repos.
Je profite de son manque de défense et je viens m’agenouiller à leurs côtés.
C’est le moment où Moché en profite pour lui asséner une grande claque sur son fessier un peu flasque, mais il est vrai qu’elle a plus de cinquante ans.
• C’est très bien ma salope, tu en veux encore, dis-moi, elle est bonne la bite au père Moché.
• Christine, je vais te dire, c’est le premier jour de ma vie de femme, mais tu peux prendre le relais, je crois que mon cœur va s’arrêter de battre.
On sait la salope que j’ai été et que je cherche à redevenir, bien que dans un coin de ma tête encore un peu malade, William le jardinier de mon centre de remise en forme me manque un peu.
Je dois rester raisonnable, je me suis enflammée pour Igor et ça a failli me conduire six pieds sous terre.
Mais la vue de ce couple copulant me chamboule l’intérieur et me rappelle, nos exploits avec Virginie.
Un de mes clients avant les évènements, ça je m’en souviens, m’avais évoqué vouloir être une femme un seul jour espérant ressentir ce que ressentent les femmes lorsqu’un sexe d’homme, les pénètre
Il est vrai, comme homme, lorsqu’il a envie d’une femme, sa verge se tend et ça se voit.
Le temps de ces pensées, digne d’un sujet du bac, je me redresse et j’attrape, la croix et son mateur que je laisse tomber sur la carpette.
À sa place, j’ai un moment de panique, même si ce que pouvait voir Jésus a disparu, sa croix est toujours là, marquée par le soleil sur le papier peint.
Dans mon mouvement pour l’attraper, Agathe tend sa main et je sens ses doigts venir caresser ma fente.
Je me rapproche, présentant mon sexe et surtout mon clito à la bouche de cette cochonne qui il y a peu, ignorait qu’elle en était une.
Il faut peu de chose pour nous révéler nous les femmes, Virginie avec moi en est le parfait exemple.
Agathe tourne la tête, il faut savoir perdre de temps en temps.
J’ai déjà réussi à ce qu’elle accepte de reprendre sa vie sexuelle avec Moché.
C’est lui qui m’aide à retrouver du plaisir avec sa main et sa verge qu’il sort du sexe d’Agathe et qu’il me commande à mon tour de me mettre en levrette.
Je me laisse prendre, je retrouve les moments d’avant ou même si je suis pute, j’aime que mon corps prenne du plaisir.
• Et si, nous allions voir, ce que je suis allée acheter pendant que tu redécouvrais la verge d’un homme !
• Si tu savais Christine, depuis le début de ma vie, le temps que nous avons passé avec Moché est la plus pharaonique que j’ai ressenti.
Je dois reconnaitre qu’avec Paul, alors que je pensais que c’était un bon amant, tu m’as apporté des élans de plaisirs jamais atteint.
Nous nous retrouvons nus dans la salle nos vêtements sous le bras.
Sur la cheminée trône un homme en uniforme d’apparat de la garde républicaine.
Même si Agathe semble dire qu’il était un piètre amant, la paire de moustaches qu’il aborde aurait pu me caresser la chatte et me donner du plaisir.
Un guidon de vélo pointant vers le haut.
J’ai vu des photos ou des films de cavaleries dans le temps napoléonien, ils avaient les mêmes.
• Il est beau mon garde républicain, cette photo a été prise le lendemain de notre rencontre.
Tout en remettant mes vêtements, Moché en faisant de même laissant Agathe seule nue, je lui réponds.
• Agathe, vivre dans le passé, ça évite d’avancer, regarde le chemin que tu as parcouru cette après-midi.
Alors essaye cette nuisette et passe ce peignoir en soie du Japon, cache-nous cette horrible touffe, mais tu peux être sûr que je vais m’en occuper.
• C’est très beau, mais ça a dû te couter très chère, je vais te rembourser.
• Va plutôt nous préparer du café, je vais te donner une adresse.
Anne qui s’occupe de mon institut de beauté te donnera un rendez-vous et elle te redonnera un coup de jeune.
• Tu as un institut de beauté, je croyais que tu te prostituais.
• Moché, contente-toi de l’accord que nous avons passé.
Ma vie est bien plus complexe que le moment que nous avons passé ensemble depuis midi.
C’est à ce moment que la sonnette de la porte d’entrée se rappelle à nous.
• Je vais voir, après je vous ferais un café.
La porte est très près de la salle, Agathe ouvre.
• Florentin, c’est vous, vous m’amenez votre loyer.
• Madame, je peux vous donner la moitié, c’est tout ce que j’ai pu réunir, je vais arrêter mes études, car j’ai de gros problèmes financiers pour les finir, votre loyer y contribue.
Je reconnais la voix du garçon que j’ai rencontré en arrivant chez Isaac.
Il a un petit accent très caractéristique, Florentin, j’apprends que c’est son petit nom.
• Pouvez-vous repasser, j’ai des invités, je vous verrais après, il est hors de question que vous me priviez de la moitié de votre loyer.
Je rejoins Agathe qui est surprise que je vienne aux nouvelles, pourtant même si ça fait peu de temps que nous connaissons, elle devrait savoir que je suis incontrôlable.
Même Quiqui l'a compris restant dans sa chambre évitant de s’approcher de mes pieds.
• Entrer, Florentin, j’ai entendu que mon amie Agathe vous a donné ce nom.
Venez nous expliquer les problèmes que vous avez, il y a toujours une solution à chaque problème.
• Merci madame, je vais vous dire ce qu’il m’arrive.
Agathe s’efface et Florentin entre jusqu’à la salle.
• Florentin, arrête avec tes mesdames, je m’appelle Christine, là c’est Moché, le papa d’Isaac l’un de tes voisins du 8ème.
Agathe va nous faire ce café et si tu as quelques biscuits, apportent les, notre ami semble blanc, il a dû oublier de manger, pour te payer son loyer.
Agathe part vers la cuisine, Florentin enlève son cache-nez à là, là, la...
Encore un trou de mémoire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je continue cette série et un épisode de temps en temps car chaque fois c'est beaucoup de recherche pour retrouver ce qui se passait c'est pour cela que je me sers d'amnésie pour la suite, simplement pour vous faire plaisir cher lecteur.
Seulement mois de 600 lecteurs pour des heures de travail souvent de nuit alors que les autres sont souvent dépassant les milliers...
Amitiés Chris71
Seulement mois de 600 lecteurs pour des heures de travail souvent de nuit alors que les autres sont souvent dépassant les milliers...
Amitiés Chris71
Bonjour,
Vous ne pouvez pas vous arrêter comme ça, il y a forcement une suite : l'explication de Florentinen premier lieu ; la suite de cette histoire avec le film fait a Saint Palais sur Mer par Biroute le cameremen et son assistante Audrey .
Cordialement.
Vous ne pouvez pas vous arrêter comme ça, il y a forcement une suite : l'explication de Florentinen premier lieu ; la suite de cette histoire avec le film fait a Saint Palais sur Mer par Biroute le cameremen et son assistante Audrey .
Cordialement.