COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (162)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2396 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 992 261 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 710 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (162)
Encore une fois, je me suis fait baiser.
Devant la fenêtre regardant les ouvriers démonter l’échafaudage qui entourait la flèche reconstruite à l’identique, après qu’elle ait été précipitée dans les flammes sans que je le sache étant dans le coma à cette époque.
À deux titres, j’ai une situation privilégiée, la vue sur Notre-Dame de Paris en pleine rénovation et par la bite de Brian, jeune notaire, que j’étais venue consulter pour mettre au point les transactions avec Moché pour l’installation de son fils avec celle qui va devenir sa belle-fille.
Je sais certains de mes lecteurs, surtout certaines, vont dire que je suis une pute, une salope capable de passer des bras de William, premier garçon qui a refait de moi une femme à ceux de ce beau gosse de Brian.
Je pourrais essayer de les réunir pour qu’ils me prennent tous les deux.
Surtout que depuis mon réveil, mon cul a été visité par la queue de William dans sa cabane de jardiner alors que j’étais venue avec Virginie ma marraine, m’apprenant que pour 10 000 € je m’étais laissé enculer.
Paris la nuit, car libre d’esprit et de corps, nous avons fait la dinette avec Brian sur son lit en mettant plein les draps.
Combien de fois m’a-t-il baisé, sans pour autant se servir de mon cul ?
William était une escorte avant de devenir jardinier, avec la résistance qu’il me montre, Brian aurait pu largement le devenir s’il avait fait autre chose que des études.
Il est vrai qu’il est difficile pour certains de faire l’amour à des centenaires, même pour de beaux billets dans toutes les monnaies du monde.
J’exagère un peu, moi qui suis une jeune femme ayant un peu plus de la trentaine.
De mon côté, j’ai la vision claire d’homme mure se payant la pute que ma marraine a faite de moi sans que leurs âges aient été un obstacle.
Je quitte Brian repus de sexe, lorsque mon portable sonne alors que j’attends un taxi.
• Christine c’est Iris, comment te sens-tu ce matin ?
• À ta façon de me dire cela, je pense que tu as un client pour moi !
Je suis insatiable, ma chatte s’est fait éclater une partie de l’après-midi et toute la nuit et j’ai encore faim de bite et de billets.
Il est vrai que pendant ces longues années de coma, elle est restée sage, je pissais même par une sonde.
• Hôtel du vieux Paris, chambre 32, à deux pas de la cathédrale Notre-Dame, tu demandes Marcel.
Avec un tel prénom, il doit avoir l’âge d’être ton père, mais je sais que l’âge de tes clients, tu t’en fiche royalement.
Incroyable, j’attendais un taxi pour qu’il me ramène à Chennevières, lorsqu’il arrive après l’avoir remercié d’un billet, c’est à pied que je longe la Seine, avant de trouver grâce à mon portable, l’hôtel du vieux Paris.
J’ai du temps, je me promène dans le quartier, je me suis douché sans me mouiller la tête évitant d’enlever ma perruque, j’ai la chatte propre, libre de toute entrave.
Ce fut l’occasion de faire une dernière fois l’amour avec Brian une nouvelle fois évitant de me sodomiser.
Au moment d’enfiler mon string trouvé dans l’armoire de ma chambre, je l’ai mis dans mon sac à main véritable rangement de tout ce qu’il faut pour me maquiller discrètement.
Je retrouve mes habitudes lorsque je me rends dans un hôtel rencontrer un client.
Surtout que c’est la première fois que j’ai un rendez-vous dans cet hôtel.
Les souvenirs qui me sont revenus de mon monde d’avant, j’avais mes habitudes auprès des réceptionnistes, un billet glissé discrètement et les portes des ascenseurs s’ouvraient.
Lorsque j’arrive, par chance, l’ascenseur est devant mes yeux, la réceptionniste est une femme, parlant et montrant un plan, certainement de Paris, à des gens aux yeux bridés.
J’ai failli dire Japonnais, mais il semble que plusieurs pays où les habitants ont les yeux bridés viennent visiter la France, Chinois en tête.
Je suis presque bousculé par un homme d’âge mûr, combien pèse-t-il 100, 120 kilos je l’ignore.
Il me prend le bras pour éviter qu’avec mes talons hauts, je fasse une entrée fracassante dans ce hall, moi qui voulais le faire discrètement.
• Excusez, j’ai un rendez-vous et je risque d’être en retard.
Ces mots me permettant de le suivre, il appelle l’ascenseur qui par change est au rez-de-chaussée, je m’y engouffre suivi de l’homme, à nous deux la cabine est entièrement remplie.
• Vous montez à quel étage ?
Coincé, j’aurais dû m’adresser à la réceptionniste.
Même si mon cerveau me joue des tours de temps en temps, je me souviens que le 3 de la chambre 32 peut être l’étage où elle se trouve.
Surtout lorsque je vois que sur le tableau de commande, qu’il y a trois étages.
• Troisième, s’il vous plait !
• Comme moi.
Il appuie sur le bouton et rapidement nous nous élevons, la cabine est petite, l’ascenseur a dû être construit bien après l'hôtel.
Sans pour autant puer, l’homme sent la sueur.
Je suis satisfaite de descendre et de constater qu’à la sortie, deux plaques sont au mur.
Celle de droite 30 à 34 et celle de gauche 35 à 38.
Sans regarder je me dirige vers la droite, 30, 31 en face et 32 après le 30.
Je m’arrête et je frappe.
• À c’est avec vous que j’ai mon rendez-vous, j’avais peur de le louper !
Attendez, j’ouvre.
C’est bien ma chance, le gros bonhomme c’est celui que je dois satisfaire sexuellement.
Lorsque je vois comment Brian était beau et comment ses sous de bras sentaient le déshonorant corporelle, je me dis que j’aurais dû refuser le contrat qu’Iris m’a proposé.
Il ouvre avec sa carte, me fait entrer dans cette chambre, elle, très propre et fonctionnelle.
Un lit, un bureau une télé au mur et deux chevets avec une porte qui va me sauver.
• Vous êtes déçu, vous espériez peut-être rencontrer un Adonis.
Adonis, ce nom me dit quelque chose, mais oui, l’ami d’Anne la petite qui tient mon salon de beauté en y faisant des massages avec son corps.
Adonis, j’ai un vague souvenir d’un beau noir qu’Anne avait rencontré, ou, là je dois dire que j’ai un trou, un yacht de milliardaires, mais ça s’arrête là.
• Cinq cents, c’est un peu cher, mais je dois dire que j’ai de la chance, si vous voyez ma femme, vous êtes plutôt top-modèle alors que Germaine est aussi grosse que mon taureau ayant failli me mettre en retard à notre rendez-vous.
Je me frotte à lui, passant ma main sur sa braguette.
• Et si pour commencer, nous nous dévêtions et que nous allions prendre un bon bain ensemble.
Moi aussi j’ai dû me dépêcher et je suis toute en sueur !
J’adore jouer dans l’eau, tu pourras m’expliquer ce taureau et Germaine, bien que j’aie compris que c’est ton épouse !
Venant à Paris, tu as décidé de faire un petit break dans ton couple !
Je lui prends la main et je le guide vers la salle de bains.
Une fraction de seconde, j’ai peur, la chambre est-elle seulement avec douche.
Ouf, une baignoire, que je commence à remplir.
• Pendant que la baignoire ce remplie, qu’elle est ton petit nom, moi c’est Christine.
• Armand.
• Je t’intimide, c’est la première fois que tu profites de ta venue à Paris pour passer un moment avec une belle fille comme moi !
Germaine, est une grosse vache se faisant monter par un taureau, tu as une ferme !
• Attends Christine, je te montre et je t’explique, mais tu as peut-être peu de temps à me consacrer ou alors il faudra que je paye un supplément !
Je commence à m’amuser, je lui réponds.
• J’ai tout mon temps, tu as dû réserver la chambre jusqu’à demain matin, le supplément ce sera un petit pourboire, si tu es satisfait de mes services, sinon les 500 couvrent toutes mes prestations.
• Je te montre, regarde ces photos, lui c’est mimosa, mon taureau champion de mon élevage dans le Charolais à côté de Paray-le-Monial en Saône et Loire.
Mimosa pèse 1850 kilos, 20 kilos de moins que le taureau le plus lourd présent au salon de l’agriculture de 2018 à la porte de Versailles.
C’était le taureau de mon cousin et j’espère bien le battre cette année.
Mon commis l’a amené ce matin avec notre bétaillère et il m’a appelé, car il stressait, c’est mauvais pour la viande.
Je suis allé le voir, dès que je suis arrivée par le train, j’ai réussi à le calmer et je suis revenu à ma chambre.
• Porte de Versailles, c’est loin d’ici, tu aurais dû prendre un hôtel plus près !
• C’est vrai, mais mes parents m’ont conçu dans cet hôtel lors de leur voyage de noces à Paris.
Maman était porté sur les curés et elle voulait être près de la cathédrale et depuis trois ans où je viens au salon, c’est comme un pèlerinage.
• Et ou tu rencontres les petites femmes de Paris, pour passer un bon moment et Germaine !
Après Mimosa jolie bête de presque deux tonnes, il me sort une autre photo d’un couple, lui en costume et Germaine en robe de mariée.
• Là, c’est moi et là c’est ma Germaine le jour de nos noces, il y a dix ans.
Elle devait peser environ 80 kilos, hier lorsque je l’ai quitté elle doit en faire plus de 120.
À ce poids, elle bloque la balance, tu comprends que pour la première fois, je souhaite passer un moment agréable avec une jolie fille comme toi !
Qui autre que sœur Teresa peut comprendre qui du taureau, qui de sa femme, il monte lorsqu’il lui fait l’amour.
Je lui détache la ceinture de son pantalon, il a enlevé sa veste après avoir remis ses photos dans sa poche.
J’ôte ma robe, apparaissant nue.
• Putain, tu te promènes la chatte à l’air et tu es épilée, Germaine a une vraie forêt vierge, je peux te sucer !
• Chaque chose en son temps, commençons par entrer dans l’eau, le bain est prêt à la bonne température...
Devant la fenêtre regardant les ouvriers démonter l’échafaudage qui entourait la flèche reconstruite à l’identique, après qu’elle ait été précipitée dans les flammes sans que je le sache étant dans le coma à cette époque.
À deux titres, j’ai une situation privilégiée, la vue sur Notre-Dame de Paris en pleine rénovation et par la bite de Brian, jeune notaire, que j’étais venue consulter pour mettre au point les transactions avec Moché pour l’installation de son fils avec celle qui va devenir sa belle-fille.
Je sais certains de mes lecteurs, surtout certaines, vont dire que je suis une pute, une salope capable de passer des bras de William, premier garçon qui a refait de moi une femme à ceux de ce beau gosse de Brian.
Je pourrais essayer de les réunir pour qu’ils me prennent tous les deux.
Surtout que depuis mon réveil, mon cul a été visité par la queue de William dans sa cabane de jardiner alors que j’étais venue avec Virginie ma marraine, m’apprenant que pour 10 000 € je m’étais laissé enculer.
Paris la nuit, car libre d’esprit et de corps, nous avons fait la dinette avec Brian sur son lit en mettant plein les draps.
Combien de fois m’a-t-il baisé, sans pour autant se servir de mon cul ?
William était une escorte avant de devenir jardinier, avec la résistance qu’il me montre, Brian aurait pu largement le devenir s’il avait fait autre chose que des études.
Il est vrai qu’il est difficile pour certains de faire l’amour à des centenaires, même pour de beaux billets dans toutes les monnaies du monde.
J’exagère un peu, moi qui suis une jeune femme ayant un peu plus de la trentaine.
De mon côté, j’ai la vision claire d’homme mure se payant la pute que ma marraine a faite de moi sans que leurs âges aient été un obstacle.
Je quitte Brian repus de sexe, lorsque mon portable sonne alors que j’attends un taxi.
• Christine c’est Iris, comment te sens-tu ce matin ?
• À ta façon de me dire cela, je pense que tu as un client pour moi !
Je suis insatiable, ma chatte s’est fait éclater une partie de l’après-midi et toute la nuit et j’ai encore faim de bite et de billets.
Il est vrai que pendant ces longues années de coma, elle est restée sage, je pissais même par une sonde.
• Hôtel du vieux Paris, chambre 32, à deux pas de la cathédrale Notre-Dame, tu demandes Marcel.
Avec un tel prénom, il doit avoir l’âge d’être ton père, mais je sais que l’âge de tes clients, tu t’en fiche royalement.
Incroyable, j’attendais un taxi pour qu’il me ramène à Chennevières, lorsqu’il arrive après l’avoir remercié d’un billet, c’est à pied que je longe la Seine, avant de trouver grâce à mon portable, l’hôtel du vieux Paris.
J’ai du temps, je me promène dans le quartier, je me suis douché sans me mouiller la tête évitant d’enlever ma perruque, j’ai la chatte propre, libre de toute entrave.
Ce fut l’occasion de faire une dernière fois l’amour avec Brian une nouvelle fois évitant de me sodomiser.
Au moment d’enfiler mon string trouvé dans l’armoire de ma chambre, je l’ai mis dans mon sac à main véritable rangement de tout ce qu’il faut pour me maquiller discrètement.
Je retrouve mes habitudes lorsque je me rends dans un hôtel rencontrer un client.
Surtout que c’est la première fois que j’ai un rendez-vous dans cet hôtel.
Les souvenirs qui me sont revenus de mon monde d’avant, j’avais mes habitudes auprès des réceptionnistes, un billet glissé discrètement et les portes des ascenseurs s’ouvraient.
Lorsque j’arrive, par chance, l’ascenseur est devant mes yeux, la réceptionniste est une femme, parlant et montrant un plan, certainement de Paris, à des gens aux yeux bridés.
J’ai failli dire Japonnais, mais il semble que plusieurs pays où les habitants ont les yeux bridés viennent visiter la France, Chinois en tête.
Je suis presque bousculé par un homme d’âge mûr, combien pèse-t-il 100, 120 kilos je l’ignore.
Il me prend le bras pour éviter qu’avec mes talons hauts, je fasse une entrée fracassante dans ce hall, moi qui voulais le faire discrètement.
• Excusez, j’ai un rendez-vous et je risque d’être en retard.
Ces mots me permettant de le suivre, il appelle l’ascenseur qui par change est au rez-de-chaussée, je m’y engouffre suivi de l’homme, à nous deux la cabine est entièrement remplie.
• Vous montez à quel étage ?
Coincé, j’aurais dû m’adresser à la réceptionniste.
Même si mon cerveau me joue des tours de temps en temps, je me souviens que le 3 de la chambre 32 peut être l’étage où elle se trouve.
Surtout lorsque je vois que sur le tableau de commande, qu’il y a trois étages.
• Troisième, s’il vous plait !
• Comme moi.
Il appuie sur le bouton et rapidement nous nous élevons, la cabine est petite, l’ascenseur a dû être construit bien après l'hôtel.
Sans pour autant puer, l’homme sent la sueur.
Je suis satisfaite de descendre et de constater qu’à la sortie, deux plaques sont au mur.
Celle de droite 30 à 34 et celle de gauche 35 à 38.
Sans regarder je me dirige vers la droite, 30, 31 en face et 32 après le 30.
Je m’arrête et je frappe.
• À c’est avec vous que j’ai mon rendez-vous, j’avais peur de le louper !
Attendez, j’ouvre.
C’est bien ma chance, le gros bonhomme c’est celui que je dois satisfaire sexuellement.
Lorsque je vois comment Brian était beau et comment ses sous de bras sentaient le déshonorant corporelle, je me dis que j’aurais dû refuser le contrat qu’Iris m’a proposé.
Il ouvre avec sa carte, me fait entrer dans cette chambre, elle, très propre et fonctionnelle.
Un lit, un bureau une télé au mur et deux chevets avec une porte qui va me sauver.
• Vous êtes déçu, vous espériez peut-être rencontrer un Adonis.
Adonis, ce nom me dit quelque chose, mais oui, l’ami d’Anne la petite qui tient mon salon de beauté en y faisant des massages avec son corps.
Adonis, j’ai un vague souvenir d’un beau noir qu’Anne avait rencontré, ou, là je dois dire que j’ai un trou, un yacht de milliardaires, mais ça s’arrête là.
• Cinq cents, c’est un peu cher, mais je dois dire que j’ai de la chance, si vous voyez ma femme, vous êtes plutôt top-modèle alors que Germaine est aussi grosse que mon taureau ayant failli me mettre en retard à notre rendez-vous.
Je me frotte à lui, passant ma main sur sa braguette.
• Et si pour commencer, nous nous dévêtions et que nous allions prendre un bon bain ensemble.
Moi aussi j’ai dû me dépêcher et je suis toute en sueur !
J’adore jouer dans l’eau, tu pourras m’expliquer ce taureau et Germaine, bien que j’aie compris que c’est ton épouse !
Venant à Paris, tu as décidé de faire un petit break dans ton couple !
Je lui prends la main et je le guide vers la salle de bains.
Une fraction de seconde, j’ai peur, la chambre est-elle seulement avec douche.
Ouf, une baignoire, que je commence à remplir.
• Pendant que la baignoire ce remplie, qu’elle est ton petit nom, moi c’est Christine.
• Armand.
• Je t’intimide, c’est la première fois que tu profites de ta venue à Paris pour passer un moment avec une belle fille comme moi !
Germaine, est une grosse vache se faisant monter par un taureau, tu as une ferme !
• Attends Christine, je te montre et je t’explique, mais tu as peut-être peu de temps à me consacrer ou alors il faudra que je paye un supplément !
Je commence à m’amuser, je lui réponds.
• J’ai tout mon temps, tu as dû réserver la chambre jusqu’à demain matin, le supplément ce sera un petit pourboire, si tu es satisfait de mes services, sinon les 500 couvrent toutes mes prestations.
• Je te montre, regarde ces photos, lui c’est mimosa, mon taureau champion de mon élevage dans le Charolais à côté de Paray-le-Monial en Saône et Loire.
Mimosa pèse 1850 kilos, 20 kilos de moins que le taureau le plus lourd présent au salon de l’agriculture de 2018 à la porte de Versailles.
C’était le taureau de mon cousin et j’espère bien le battre cette année.
Mon commis l’a amené ce matin avec notre bétaillère et il m’a appelé, car il stressait, c’est mauvais pour la viande.
Je suis allé le voir, dès que je suis arrivée par le train, j’ai réussi à le calmer et je suis revenu à ma chambre.
• Porte de Versailles, c’est loin d’ici, tu aurais dû prendre un hôtel plus près !
• C’est vrai, mais mes parents m’ont conçu dans cet hôtel lors de leur voyage de noces à Paris.
Maman était porté sur les curés et elle voulait être près de la cathédrale et depuis trois ans où je viens au salon, c’est comme un pèlerinage.
• Et ou tu rencontres les petites femmes de Paris, pour passer un bon moment et Germaine !
Après Mimosa jolie bête de presque deux tonnes, il me sort une autre photo d’un couple, lui en costume et Germaine en robe de mariée.
• Là, c’est moi et là c’est ma Germaine le jour de nos noces, il y a dix ans.
Elle devait peser environ 80 kilos, hier lorsque je l’ai quitté elle doit en faire plus de 120.
À ce poids, elle bloque la balance, tu comprends que pour la première fois, je souhaite passer un moment agréable avec une jolie fille comme toi !
Qui autre que sœur Teresa peut comprendre qui du taureau, qui de sa femme, il monte lorsqu’il lui fait l’amour.
Je lui détache la ceinture de son pantalon, il a enlevé sa veste après avoir remis ses photos dans sa poche.
J’ôte ma robe, apparaissant nue.
• Putain, tu te promènes la chatte à l’air et tu es épilée, Germaine a une vraie forêt vierge, je peux te sucer !
• Chaque chose en son temps, commençons par entrer dans l’eau, le bain est prêt à la bonne température...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime bien ce clin d'œil à mon monde...
J'espère qu'on n'est pas tous comme Armand, pour les belles femmes de Paris....
Cyrille
J'espère qu'on n'est pas tous comme Armand, pour les belles femmes de Paris....
Cyrille