COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (164)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (164) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (164)
Je dois être la reine des situations évolutives, surtout côté sexe.
Après une nuit passée avec Armand mon dernier client, éleveur de Charolaises, du côté de Paray-le-Monial en Saône et Loire, sans me presser, j’ai rejoint l’institut de beauté que j’ai créée du temps de ma splendeur comme escorte.
Je me souviens de voyage, chèrement payé par mes clients plein aux as, m’ayant fait découvrir le monde.
Hélas, il y a toujours un revers aux bonnes choses, celui en Russie a failli être le dernier et me couter la vie.
Virginie ma marraine a un autre institut près de l’Opéra et j’ai voulu l’imiter en en ouvrant un dans le Quartier Latin.
Il nous fallait surtout donner une légitimité à nos apports de capitaux gagner avec nos fesses.
Très bourgeoise chez Virginie et plus baba cool ici, un grand nombre des interventions de nos filles sur nos clientes se passe principalement à hauteur du sexe sur le tablier que bons nombres de femmes ont beaucoup fourni.
Je crois que vous le savez déjà, sinon je vous demande le silence, c’est institut nous permettant entre autres moyens de blanchir de l’argent gagné par nos filles en se prostituant, comme moi je le suis devenue lorsque Pierre mon ex m’a trompé avec son hôtesse de l’air.
Ces faits sont revenus à ma mémoire, défaillante parfois après le traumatisme subit lorsque je me suis pris une balle qui par chance a juste effleuré ma boîte crânienne laissant un temps mon cerveau à l’air libre.
C’est le docteur Amandine spécialiste du cerveau à l’hôpital de Brie sur Marne, devenue depuis ma maîtresse après un restaurant sur les bords de Marnes qui m’a posé une plaque.
Une perruque rousse depuis hier, mais que je change à loisir fini de me redonner forme humaine et féminine, Armand comme Brian ont baisé avec moi sans s’apercevoir de rien.
Lorsque je dis que je suis la reine des situations évolutives, certains m’appelant, sœur Teresa, vu mon grand cœur.
Je préfère sœur Teresa à mère Teresa, je suis encore jeune même si j’ai de nombreuses heures de vol dans la prostitution.
Lorsque je retrouve mon institut du Quartier Latin, Florentin est là.
Florentin, jeune homme voulant faire des études, mais ayant des problèmes financiers que j’ai rencontrés dans la demeure où j’ai eu des soucis avec Agathe.
Vient-il se faire faire des soins, alors qu’il pleurait misère auprès d’Agathe ?

Bichon, petit nom affectueux, la situation semble avoir grandement évolué entre sa propriétaire et lui.

• Christine, tu m’as dit que je devais faire quelque chose pour élever Bichon.
Je vois que tu as compris que Florentin est devenue mon amant.
Je vais être un peu vulgaire, mais depuis que je t’ai rencontré, j’ai le feu au cul.
Je voulais être fidèle à mon garde républicain, mais c’était une connerie monumentale.
Tu m’as dit de me faire faire des soins pour me rendre plus attractive, je viens de le faire.
Ta petite chinoise, m’a fait un massage dont elle a le secret, bichon, tu devrais te faire masser sur la table voisine, je t’offre ce moment de plaisir.

Une nouvelle fois, ma façon d’être auprès d’Agathe a déteint sur elle, de femme, sage, à la limite de la connerie, j’en ai fait une femme folle de son cul, malgré son âge.
Anne, prends Florentin par la main et lui demande de passer dans la cabine pour se déshabiller, le rideau est mal fermé et d’où je suis, je le vois nettement descendre son boxer.
Mon dieu, Agathe a dû se faire défoncer par cette verge, certainement l’une des plus longues et des plus grosses jamais vu et pourtant, j’en ai vu des centaines depuis que ma marraine m’a fait sauter le pas.
Dommage, il passe le peignoir donné par Anne, me cachant par là-même cet étrange phénomène de la nature.

• Christine, j’ai vu que tu avais vu, tu comprends pourquoi je te remercie de m’avoir redonné gout à la vie et au sexe.
Si tu le veux, après son massage et que cette jeune femme me fasse ma manucure, si tu veux en profiter, tu peux le faire sans que je sois jalouse.

Hier au soir, j’étais avec un maquignon, me vantant la croupe de ses vaches.
À cette heure, dit-on une « maquignonne », qui me fait l’article sur son taureau que je lui ai mis à disposition en lui demandant d’être plus cool avec ce jeune homme.
Ça doit ce dire, le correcteur d’orthographe laisse passer ce mot sans le souligner.

Florentin, se couche sur la table, Anne enlève sa blouse, met de l’huile sur le corps de son client.
Je sais Anne assez professionnel pour qu’avec son corps, elle le masse ce qui a pour effet de le faire bander.
Je me lève de la chaise où je m’étais assise et dans l’impossibilité de le faire entrer dans ma bouche, je le lèche surtout son méat qui suinte de plaisir.
On me sait assez partageuse, surtout lorsque je suis loin d’être dans une situation où c’est une autre qui peut profiter, je le masturbe et je le plonge dans la chatte de mon amie Anne.
Je la fais hurler, mais c’est de plaisir, que cette jeune femme aime se faire défoncer car c’est d’elle-même qu’elle se laisse empaler.
J’ignorais qu’un corps féminin était capable de faire entrer autant de longueur de la verge comme celle de Florentin.
Marie-Ange, doit mouiller, je vois Agathe laisser tomber sa main qu’elle vient de finir de manucurer, plonger dans la chatte de ma belle noire.
Marie-Ange en fait de même dans cette chatte, qu’Anne a déjà taillée.
Bref mon institut est un vrai bordel, heureusement que nous sommes entre amis, la police pourrait me faire fermer pour proxénétisme et particulièrement moi la proprio pour tenue de maison de tolérance.
Depuis Marthe Richard après-guerre, les bordels ont été fermés et je sais les risques qui sont pris.

• Excusez de vous déranger, j’avais appelé pour vous prévenir que j’allais venir faire un contrôle fiscal de votre société, à qui dois-je m’adresser ?
• Christine, Odile m’avait prévenu et j’avais complètement oublié la venue de ce monsieur !

Comme dans une bande dessinée se trouvant à l’accueil, le ciel me tombe sur la tête, je viens de parler de prostitution, jusqu’à où ce petit homme vient-il contrôler mon bisness ?

• C’est moi la propriétaire, je vais vous faire appeler la responsable de la partie administrative de notre institut.
Anne, Odile est à l’Opéra chez Virginie, je vous l’appelle, mais ça risque de prendre un peu de temps.
En attendant, voulez-vous une tasse de café et si c’est nécessaire, l’une de mes collaboratrices peut aller chercher un ou deux petits croissants ou un ou deux pains au chocolat !
Je vois qu’en plus de déboche, j’ai frappé avant d’entrer, vous essayez de m’acheter en m’offrant ce que chez moi on appelle des chocolatines !

Petit, pas beau, chauve, costume ma taillé, certainement peine à jouir, ce bonhomme dont j’ignore le nom, à une tête à claques, j’ai envie de me le payer.
Agathe voit que je suis à deux doigts de sortir de mes gonds, elle se lève va vers ses affaires et sort son portable.

• Frédéric, s’est Agathe, comment vas-tu ?
Je sais depuis la mort de ton frère, j’ai pris un peu de recul avec votre famille, mais rien contre toi, après mon défunt mari, tu étais le seul de présentable.
Je suis avec des amis, un monsieur, comment vous appelez-vous ?
• Monsieur Jacques Dubois, chargé d’un contrôle fiscal envers votre institut de beauté, évitez de me contrarier, je viens déjà d’avoir un accrochage en traversant Paris et un PV car pour rattraper le temps perdu, j’avais pris un couloir de bus.
• Vous auriez pu leur présenter votre carte de votre ministère, je suis sûr que la valetaille aurait été complaisante.
• Madame, j’ignore qui vous êtes, mais sachez que je suis un officiel assermenté et lorsque je fais quelque chose contre la législation, j’assume même s’il m’en coute.
• Attendez, je vous passe mon ami Frédéric, il va vous parler !
• Mais ou suis-je tombé, vous venez en quelques minutes de me démontrer pourquoi je fais ce métier très difficile.
Je suis contre la corruption et je sens qu’ici je suis tombé dans un repaire de mafieux, je vais bien m’amuser à vous contrôler.

Je m’avance, j’ai une tenue dégageant mes attributs, la seule chose que j’espère lorsque je lui mets mes seins sous le nez, malgré sa laideur et le peu d’intérêt qu’il doit représenter pour une femme qu’il est hétéro et non homo.
Je vois son œil s’allumer, je sens que je suis dans le vrai.
Depuis que je me vends, j’ai appris à sourire avec mes clients et de leur faire apparaitre cette étincelle que je vois dans l’œil de monsieur Dubois, Jacques pour les intimes doit aimer les nichons.

• En attendant Odile, que puis-je faire pour vous être agréable, sans pour autant vous donner l’impression que nous voulons vous acheter.
• Un bureau et dès que votre responsable arrivera de l’endroit où elle se trouve, vous lui demanderez de m’amener la comptabilité de votre institut.
• Annie, cette petite eurasienne est ma responsable en mon absence, veux-tu emmener ce monsieur.
Installe-le, le mieux possible pour son travail !
• Oui, mais avant couvrez-vous, je suis à deux doigts de prévenir les mœurs de ce que je constate ici.
• Vous vous méprenez, monsieur Jacques nous étions entre amis même si nous avions quelques libertés avec la morale.
À ce que je sache, vous avez ouvert la porte sans attendre notre assentiment.

Je constate que la réaction est bien différente de celle qu’il a eu lorsqu’il a vu mes seins, du moins une grande partie.
Ça fait une demi-heure qu’Odile a été appelé, elle arrive alors que notre contrôleur se trouve à l’étage où je devais l’apprendre se trouve les bureaux.

• Qui avons-nous récupéré pour ce contrôle ?
• Jacques Dubois, à ce qu’il m’a dit.
• Merde, nous avons eu un contrôle il y a deux ans avec Virginie, nous avons récupéré « l’incorruptible, » c’est son nom parmi les services de Bercy.
• Odile, dégraphe deux boutons de ton chemisier, mets tes seins en valeur avant d’aller le rencontrer, ils sont plus beaux que les miens.

Anne est filiforme malgré sa fille, elle me semble faiblement utile côté seins, c’est certainement pour cela qu’il l’a fait se rhabiller.

• Odile, je sens qu’il y a quelque chose à tenter de ce côté-là...

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Ca va barder !!! LOL

La chipie



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