COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (166)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (166) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (166)
« L’incorruptible. »
C’est le nom de Jacques Dubois, l’inspecteur des finances venu faire un contrôle fiscal dans mon institut de beauté que j’ai ouvert et financer avec les gains que me rapporte mon entreprise d’escorte.
Lorsque je dis que j’ai ouvert, c’est surtout grâce à mes amies, m’ayant suivi dans mes délires sexuels lorsque avant d’aller à Moscou prendre une balle me faisant sauter un morceau de ma boîte crânienne, j’ai imité Virginie ma marraine et j’ai acheté cet ancien garage désaffecté, rive gauche pour couvrir mes gains acquis en nous prostituant à travers le monde.

Cinq ans d’absence, coucher dans des lits, la grande majorité d’entre elles étant certainement persuadé que ce serait jusqu’à ce que la vie finisse par m’échapper et que j’y resterais.
J’avais cette vie chevillée au corps et je peux maintenant que j’ai repris le cours de mon parcours admirer l’œuvre, certes baser sur le sexe, qu’elles ont développé.

Virginie en général en chef, Odile pour nos couvertures dans les instituts et Katia pour la partie sexe dans divers domaines.
Comment puis-je dire à notre inspecteur, tout ceci sans lui donner des billes sur nos activités parallèles mais surtout comparer sa vie de rat passant des heures dans des coins sombres à comparer des factures à des tickets de resto ?
Je pense avoir trouvé un angle d’attaque envers notre inspecteur, mes seins, nos seins.
Depuis que Virginie m’a initié à la vente de mon corps, j’ai pu constater que le sexe dirigeait le monde.
Clients ayant de hautes fonctions dans l’administration ou dans la direction du pays.
Mon cul a souvent servi de monnaie d’échanges contre de juteux contrats rapportant gros pour le pays mais aussi mon compte en banque.
L’argent fructifiant en dormant, cinq ans, mon compte surtout continuant à être approvisionné par mes amies, même alors que ma vie ne tenait qu’à un fil.

• Je vous sens sur la défensive, je sens que vous avez peur, de vous confier.
J’ai l’impression que vous pensez que je vais profiter de ce que vous me dites, pour vous assommer dans mon analyse des comptes de votre entreprise !

Je suis aux anges, la tête que je faisais, c’est en cherchant comment lui montrer les seins sans qu’il se doute que je suis là pour l’appâter.
J’ai donné l’impression de venir dans cette brasserie, cantine habituelle pour moi, alors que c’est ma première visite ici.

• Julien, comme les autres fois, pouvez-vous me servir mon café très chaud, mettez-en un autre à mon compagnon.
• Oui, madame, je vais vous les chercher.
• Non, mettez-les sur un compte à part, je vais vous les régler à part du repas où vous me donnerez une fiche.

Dit sur un ton faisant penser que je connais ce garçon de café de longue date, alors qu’il a son nom sur son gilet.
Jacques doit penser que je le connais de longue date.
Indécrottable, sauf un nouveau regard à mon décolleté, nous payons et nous prenons le chemin de l’institut.
Surprise, les filles présentes ont changé de blouse, plus facile à porter que celles qu’elles avaient lorsque j’ai suivi l’inspecteur.
Il retourne dans son bureau, nous entendons la porte claquer.
C’est Odile qui s’adresse à moi.

• Christine la dernière fois chez Virginie, il nous a proposé un redressement de 400 000 € pour rectifier les erreurs que nous avions faites dans notre gestion.
J’avais hésité à acheter ces blouses mettant en valeur nos attributs.
J’ai suivi ton conseil, je savais comment faire livrer en cinq minutes chrono se modèle, regarde si ça te plait !
L’investissement peut en valoir la chandelle.
• Super, de mon côté, j’ai réussi à faire fondre la glace, il est allé manger une salade et il m’a abordé persuadé que je mangeais là sur le boulevard Saint-Michel.
• Ma chérie, je vous laisse, rive droite, il était limite en conflit permanent avec moi.
Je retourne là-bas, je dois aller vérifier quelques factures, avec un tel coco, il serait capable de vouloir revoir quelques-uns de nos comptes.

Je passe l’après-midi à l’accueil, je suis sûr que je vais peut dormir cette nuit, moi qui passé midi arrête le café, je vais à la cafetière trois fois.

• Jacques, puis-je me permettre de vous poser une question sans vous retarder dans votre travail ?
• J’allais faire une pause, tous ces chiffres et ces factures à mettre en parallèle, me fatigue la vue, maman me disait tout le temps de mettre des lunettes.
• Je vous prépare donc un café.

Il se frotte les yeux, il a prononcé le mot magique, « maman ».
Le mot de bon nombre de mes clients, au plus loin que ma mémoire encore vacillante se souvient, prononce lorsqu’ils redeviennent petit garçon à leur petite maman.

• Vous parlez de votre maman avec nostalgie, l’auriez-vous perdu ?
• Oui, nous habitions ensemble à Vincennes au bord du bois, et j’ai le malheur qu’elle me quitte l’an dernier suite à cette horrible maladie.
Mais, je vous embête avec mes états d’âme.

Je sens, une femme de mauvaise vie, sans les choses après un grand nombre d’années dans la prostitution.
Je sais que si j’insiste, cette huitre qui est en train de s’ouvrir, risque de se refermer définitivement.
Je prends cette dernière confidence, en y retenant là encore quelques informations.
Il habite Vincennes près du bois qui porte le même nom et que je connais bien depuis que j’ai passé mon permis et que je vais du Quartier latin à Chennevières en passant par le bois.

Mon dieu, j’avais oublié, comme un bon nombre de choses, que je voyais une autre forme de prostitution en la personne de femmes, souvent étrangères.
Elles tapinent et se font baiser à l’arrière de vieilles camionnettes souvent les jours des épreuves à l’hippodrome alors que j’en fais de même, certes mais dans des palaces par-delà le monde.
Je suis à deux doigts de lui proposé de le déposer après son travail, mais pour me rendre chez Brian mon notaire, je suis venue en taxi et ce serait limite étrange de partager un taxi.
Je quitte l’institut, Anne et Aline ont le numéro d’Odile et peuvent l’appeler à tout moment si un problème apparait avec Jacques.

Je commande un taxi qui m’attend et qui me conduit en passant par la rive droite jusque chez moi en longeant les camionnettes closes pour la plupart, les courses se tenant sur un autre champ de courses.

Je retrouve Virginie, je lui annonce que je subis un contrôle fiscal.
Elle me parle de celui qu’elle a subi et qui lui a couté une partie de ce que ses filles lui avaient rapporté et qu’elle avait essayé que ce connard de Dubois accepte de se faire corrompt.
« Connard », c’est ainsi qu’elle le traite.

• Comment y es-tu prise ?
• J’avais remarqué le peu de fois où je l’ai vu qu’il avait un faible pour Odile.
Notre amie était prête à coucher avec lui et ainsi le corrompre.
• Il a refusé, je comprends mieux ce qu’Odile m’a dit, le concernant, elle doit être furieuse de se faire repousser, mais Alain qu’en a-t-il dit ?
• Alain il est échangiste avec sa femme, bien qu’il sache que nos instituts nous servent de couverture, je lui en ai parlé, il était d’accord que sa femme couche avec ce type, si c’était pour notre bien.
• Et il l’a repoussé !
• Oui et pour en sortir sans qu’il le signale à son administration, nous avons payé le prix fort, évite de faire la même erreur.
• J’en prends note, mais je crois que je vais aborder le problème d’une autre manière.
Virginie, tu sembles très heureuse, aurais-tu des nouvelles de ton fils ?
• Oui, j’avais fait une demande au tribunal par l’intermédiaire de mes avocats, ils ont obtenu que je puisse le voir un week-end tous les deux mois en plus de la moitié des vacances.
Ça commence ce week-end, je vais faire ma valise et partir pour Berlin le voir.
• J’aimerais t’accompagner, ça me permettrait de rencontrer ton fils et de décompresser de cet audit.
À ce que j’ai compris de mon contrôleur, c’est qu’il est à cheval sur tout ce qui est administratif.
Je pense qu’il doit partir en week-end comme le fonctionnaire qu’il est !
• Oui, et avec ses RTT, ça lui arrive de prendre ces vendredis.
• Je vais donc avec toi, sans me dire que ça me ferait plaisir après ce qu’il te fait subir, revoir ce bon vieux Vladimir me rappellerait les bons moments où nous étions insouciantes à Moscou.
• Tu es nostalgique d’Igor, malgré que tu saches quel genre d’homme il était ?
• Surtout ceux qui me reviennent en mémoire et la façon dont nous l’avons rencontrée en nous fichant des passants au soleil de la terrasse de ce café place rouge !
• Ton idée est bonne, je serais très heureuse de te présenter Grégorie, mais tu sais, j’aimerais être seule avec lui.
• Je te comprends, je serais à ta place, j’en ferai de même, mais je pourrais en profiter pour visiter Berlin et ça me sortirait de cet audit.
• Je m’occupe de ton billet et de ta chambre d’hôtel, je voulais te demander maintenant que tu es revenue parmi nous, puis-je continuée à emmener Grégorie à Saint-Palais en Juillet.
Je l’ai fait l’été dernier, nous descendions sur la plage, Katia était avec moi et le petit adorait faire des pâtés.

Tout en parlant, je me déshabille, je suis mal à l’aise de discuté habillé alors que mon amie est nue devant moi.

• Chérie, c’est la première et la dernière fois que je vais te le dire, ce qui est à moi est à toi, tu continus tout, je dis bien tout comme si j’étais toujours dans le coma.
• Viens dans mes bras, ça m’a manqué, je vais te faire oublier ce vieux fonctionnaire aussi con qu’il en a l’air au peu que je l’ai vu.

Retrouver les bras de ma marraine et plus grâce à notre affinité ayant même été jusqu’à la découverte de la prostitution la journée se termine merveilleusement bien.
Qu’est-ce que demain me réserve ?

• À oui, Amandine ton médecin t’a téléphoné de l’hôpital, elle souhaiterait te voir demain après-midi à 16 heures pour un contrôle de ta plaque.
M’aurais-tu fait des infidélités ?

Des infidélités, il se peut, avec Amandine, mais aussi Brian et autres Isaac, Moché et Armand mon dernier client, éleveur de Charolaises.
Mais eux, à la base, s’étaient pour le bisness...

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