COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (167)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (167) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (167)
• Bonjour monsieur Dubois, avez-vous passé un bon week-end ?
• Je vous demande si vous, vous en avez fait de même, non, il a été exécrable.
• Attendez, on est mardi, hier, je suis allé à l’hôpital, faire contrôler la plaque dans ma tête, je devais y aller la semaine dernière, mais Amandine au dernier moment a eu un empêchement.
Pour commencer, on va se calmer, je vais vous faire couler un café, vous avez accepté que nous vous l’offrions sans pour autant essayer de vous influencer dans votre contrôle.
• Excusez-moi, j’ai horreur de me retrouver avec des imprévues qui me chamboule dans mon travail.
Vendredi lorsque je suis arrivé chez moi, celui que j’ai découvert en était un.
• Je suis sûr que vous vous faites une montagne d’un petit incident, voilà, une bonne tasse de café buvez-le pendant qu’il est chaud.
• J’ai horreur du café chaud !
• Calmez-vous, je le pose près de vous et vous le boirez quand vous sentirez qu’il est à bonne température.
• Attention vous le posez trop près de ce document que je regardais lorsque vous êtes entrée, si le café tombe dessus, j’aurais du mal à lire, cette commande livrée de Suisse.
• Mais tu m’emmerdes, j’ai moi aussi mes problèmes après la sortie du week-end et je ne t’emmerde pas avec mes états d’âme.
Excusez de m’être emporté et de vous avoir tutoyé pendant ma colère, mais vous reconnaitrez que vous avez une façon de toujours vous plaindre, au moindre problème rencontré.
• C’est moi qui m’excuse, maman me le disait toujours, « Jacques, maitrise-toi, dans la vie, les choses ne sont pas toujours contrôlables, si tu es comme ça avec les femmes, tu resteras vieux garçon. »
Elle avait raison, je le suis restée et ça me pèse.
• Pardon, je vous dérange, Odile m’a dit que la machine à café était accessible même en votre présence, monsieur le contrôleur, bonjour Christine.
• Entrez mademoiselle ou madame, celle qui vous a dit ça, a bien fait de vous le dire, j’aurais toujours plaisir à vous voir chaque fois que vous aurez envie d’
• Mademoiselle, monsieur le contrôleur, merci, le temps que le café coule et Christine je retourne à mes occupations, j'ai une cliente dans cinq minutes.

Je l’ai souvent dit, une pute, dans son travail doit savoir tout observer de son client, Jacques m’ouvre des portes sans s’en apercevoir.
« Maman », de son vivant elle devait l’écraser et aussi le regard et les paroles qu’il dit à Marie-Ange, notre magnifique noire, manucure à l’institut et escorte à ses moments perdus.

• Marie-Ange, cette demoiselle s’appelle Marie-Ange et est manucure dans mon institut, si vous avez besoin de soins des mains, faite appelle à elle, elle vous rendra vos mains de bébé.
Mais, que vous est-il arrivé, pendant cet affreux week-end, Jacques ?
• Vous vous moquez, lorsque je suis rentré vendredi, c’était l’effervescence dans l’immeuble, notre gardien avait ouvert ma porte avec le double dans sa loge.
L’eau avait coulé de partout, avant qu’il coupe l’arrivée d’eau générale du bâtiment, maman avait entassé de vieilles choses devant le robinet d’arrêt de l’appartement.
Tout était inondé, car le matin, j’avais reçu un coup de fil de mon chef étant mécontent de mon dernier contrôle, il trouvait que j’avais été trop généreux avec le contrôlé.
Je suis partie en laissant le robinet de la baignoire ouvert.
• Vous avez dû frotter tout le week-end Jacques pour assécher l’eau, ce n’est pas bien grave, il n’y a pas, mort d’homme.
• Vous avez raison Christine, ce n’est que matériel, mais j’ai dû prendre mon lundi.
• Là encore, ce n’est pas très grave, j’ignorais que je n’avais pas été la seule à faire l’école buissonnière.

Je finis mon café et je quitte celui auprès duquel, je semble avoir marqué des points. Je l’appelle par son petit nom et il me répond de même par le mien, la glace se fissure à moi de savoir la saisir.

• Marie-Ange, as-tu fini avec ta cliente ?
• Oui, j’en attends une autre dans trente minutes.
• Viens dans mon bureau, j’ai à te parler.
• Ai-je fait une bêtise en venant boire un café auprès de monsieur le contrôleur ?
• Non, au contraire, chaque fois que tu le peux, rapproche-toi de lui !
Est-ce ta couleur de peau ou ta jolie frimousse, voir les deux, mais il avait un regard plein d’intérêt pour toi tout le temps où tu as été près de nous.
• Rapprocher, vraiment rapproché, Christian ?
• Vraiment rapproché, même jusque dans son lit, je décèle en lui, outre la perte de sa maman dont il semble inconsolable, de l’intérêt pour toi, je pense qu’il a dû connaitre peu de femmes dans sa vie.
• J’ai compris, je dois coucher s’il est d’accord, mais sans qu’il ait à payer quoi que ce soit.
• Tu as tout compris, si tu réussis, je te ferais verser un gros complément de salaire, l’organisation t’étant redevable.

Je sais, Virginie m’avait prévenu que cet homme faisait partie de ces incorruptibles et que même Odile avait échoué à le corrompe, ce qui lui avait entraîné un rattrapage d’impôt de 400 000 €.
Qui ne tente rien, n’a rien et si Marie-Ange grâce à l’attrait de sa couleur y arrivait ?

Je quitte l’institut, j’en ai fait assez pour ce jour, j’ai mis le ver dans le fruit, du moins je le pense, mieux je l’espère.
Un contrôle fiscal, même si l’organisation ayant besoin de l’institut pour blanchir les prestations de nos putes, donc les miennes, tenant à en faire partie surtout après ma visite à Amandine hier, mais je préfère penser à autre chose.

• Allez y les gars, haut les cœurs, pénétrez-moi à mort, j’en ai besoin !

Et, oui, je suis en train de baiser et me faire prendre en double pénétration.
Qui sont les heureux élus ?
Moché et Florentin, l’amant d’Agathe, je devrais dire les amants d’Agathe ayant baisé Moché et moi lorsque je suis intervenue pour régler les problèmes avec Florentin.

Comment suis-je arrivée à me faire prendre en double pénétration par ces deux garçons, l’un plus vieux que l’autre.
Je suis sortie de l’institut espérant que Marie-Ange arriverait à régler nos problèmes avec Jacques notre contrôleur fiscal, puisqu’il semble qu’elle lui ait tapé dans l’œil.
À l’institut, ayant croisé Agathe ayant fait évoluer ses relations avec Florentin sans les meilleures dispositions possible.
En avoir fait son amant lui apportant bien être matériel et fixer dépasse de loin mes espérances, concernant ce jeune homme.
Le sexe, le cul, depuis que Virginie ma marraine m’a fait découvrir les deux.
Le sexe avec mes amants et le cul avec mes clients, lors de mes premières passes comme putain.
Voir les deux avec les uns et avec les autres, j’aime savoir que les situations se sont résolues dans un sens favorable pour les uns et les autres.
Lorsque je suis arrivée, les deux garçons étaient là au salon à boire un verre de whisky comme deux vieux copains se racontant la dernière qu’ils se sont sautés.
Pour Florentin, ce devait être rapide.
À son air timide lors de notre rencontre dans le couloir au-dessus de nos têtes des chambres du temps des bonnes, qu’elle loue à des étudiants, elle a dû être la première et lui enlever son pucelage.

Dès mon arrivée, j’ai été étonné, lorsque Florentin est venu m’ouvrir.
Quiqui était là, son regard con avec ses yeux globuleux.
Alors que les autres fois, il partait vers sa chambre, mitoyenne de celle d’Agathe, me voyant et se souvenant certainement de nos rapports tendus, file vers la cuisine.
J’ai suivi florentin qui m’a conduit vers le salon.

• Bonjour, Christine, je suis content de te voir, tu vois ici les choses ont évolué, je suis devenu le copain de Florentin envers Agathe, je viens de temps en temps, ça été le cas aujourd’hui.
• Bonjour à vous deux, pour Agathe et Florentin, je suis au courant je les ai vus à mon institut de beauté.
• Tu as des dons cachés, Christine, je te savais pute et tu nous dis que tu as un institut de beauté, tu es surprenante !
• L’un n’empêche pas l’autre, dans ton milieu, je pense que vous avez des petits arrangements avec la loi, nous aussi dans le milieu de la prostitution, nous avons les nôtres et mon institut y contribue.
Toi, si tu conserves ta femme, tu seras son esclave jusqu’à ta retraite et que tu passes la main à Isaac, moi je vieillis et il faut savoir placer le fric que je gagne, tu sais comment.
• Tu m’as rendu service et à Isaac aussi, Paula et lui ont intégré notre chaîne de magasins.
Ils mettent en rayons les spiritueux pour Isaac et les petites culottes pour Paula et ce pendant trois mois.
Après, chacun d’eux se retrouvera près l’un de l’autre, du moins à quelques mètres.
Isaac au rayon charcuterie et Paula à ventre les fromages de nos régions.
Des bons gestionnaires de magasin, doivent connaitre tous les métiers d’une entreprise comme la nôtre.
À la fin de leur parcours, connaissant le fait de se lever à quatre heures pour des cinq venir mettre en rayons, ils respecteront mieux leurs employés comme je l’ai fait avant de devenir le mari de madame.
• Et Agathe, ou est-elle, j’ai vu Quiqui, Florentin, c’est drôle elle qui le gardait toujours avec elle.
• Elle est partie fleurir la tombe de Paul, son capitaine de la garde républicaine.
À ce que j’ai compris, elle y va chaque semaine depuis sa mort.
• Et Quiqui est resté là, notre amie évolue dans le bon sens, son cabot semble passer après les êtres humains.
• Et surtout Florentin, elle en est folle amoureuse.
Dit moi Christina, avant que tu arrives, nous parlions justement de toi.
• De moi, c’est trop d’honneur et que disiez-vous de moi.
• Florentin...
• Arrête Moché, tu vas me faire rougir devant notre amie, je disais ça comme ça.
• Tu m’énerves Florentin, qui a-t-il de mal à m’avoir dit que tu trouvais Christine comme la plus belle femme que tu avais à ce jour croisé et que tu lui contrerais bien fleurette.
• Christine, évitez de le croire, Moché, c’est lui qui m’a dit un peu vulgairement qu’il vous baiserait bien encore une fois.
• Je comprends votre conversation, une conversation d’homme, homme qu’Agathe semble t’avoir fait connaitre, es-tu d’accord Bichon ?...

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