COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (168)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2395 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 990 168 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 452 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (168)
• Je comprends votre conversation, une conversation d’homme, homme qu’Agathe semble t’avoir fait connaitre, es-tu d’accord Bichon ?
Ces mots, je les ai eus avec les deux garçons avant de faire l’amour avec eux.
Ce qui m’étonnait, c’est le comportement de Quiqui, déjà sa présence en l’absence de sa maitresse qui semblait l’aimer plus que tout au monde.
Quiqui lors de mes premières visites se sauvait vers la pièce que sa maîtresse avait spécifiquement fait aménager pour lui.
Qui dans un appartement réserve une pièce pour son chien ?
J’ignore ce que l’avenir me réserve, surtout après ce qui m’est arrivé à Moscou et dans les années qui s’en sont suivi lorsque j’ai été écarté du monde.
Quiqui, qui est sorti une nouvelle fois de la cuisine et qui me regardait avec son air un peu con.
• Florentin, tu veux faire l’amour avec moi, suivez-moi, conduis-moi vers ta chambre.
Ils se sont levés, Moché plus vieux et plus impétueux, surtout depuis que nous avons passé un moment dans la chambre d’Agathe, ma entouré de ses bras et ma embrassé comme deux vieux amants se retrouvant.
Florentin nous regardait et c’est moi qui l’ai mêlé à nos ébats en le rapprochant et en lui donnant mes lèvres.
J’ai retrouvé mes dons envers les hommes qui m’ont permis d’aider ma marraine à construire son empire basé sur le sexe.
Lors de mes précédentes visites, outre la chambre du cabot, je connaissais celle d’Agathe.
J’ignorais s’il y avait une chambre d’amis qui aurait pu servir à l’amant de ma vieille copine.
Du moins l’est-elle devenue avec un petit peu de contrainte pour qu’elle accepte que tous, locataires des sept premiers étages et ceux du huitième principalement des étudiants louant les anciennes chambres des bonnes s’en servent.
C’est un beau cadeau que Paul le mari garde républicain d’Agathe lui a fait en redonnant vie à ces pièces devenues inutiles avec l’évolution des mœurs.
Fini, les bonnes à tout faire, au bas mot devenu des techniciennes de surface, les ont remplacés.
Terminées, le temps des valises en cartons et l’émigration portugaise ou espagnole, ces chambres se retrouvaient vides et inutiles.
Surprise, surprise, c’est bien la porte du chien que Florentin ouvre me montrant son univers bien loin de celui qui permettait au chien, d’être un chien couronné.
Je comprends mieux le chemin que fait Quiqui pour retrouver son panier, de chambre de roi à coin de la cuisine, qu’elle chute vertigineuse dans l’échelle sociale, même pour un clebs.
Un grand lit, une armoire des tables de nuit et un bureau d’étudiant, Florentin avait gratuitement, sauf quelques baises avec cette femme déjà d’un âge avancé, un confort digne du roi qu’il était devenu grâce à moi.
• Je vois qu’Agathe a fait évoluer les choses Florentin, je vais éviter de t’appeler Bichon, c’est aussi concon que Quiqui.
Je sais pourquoi j’ai déplacé ma petite troupe le lit est accueillant et je me vois bien essayer la souplesse du matelas.
C’est drôle lorsqu’on prend de l’âge comme on aime baiser dans un certain confort.
Les bites des deux garçons sont là pour me le rappeler, je les suce alternativement, comme d’hab, les masturbant dans chacune de mes mains.
• Florentin, allonge-toi, vous êtes prêt à saillir la cochonne que je suis, Moché tu sais ce qu’il te restera à faire.
C’est pour cela que j’ai parlé de double pénétration au début de ce sujet ou je suis venue voir comment Florentin était installé et comme j’ai trouvé les deux garçons partant pour une partie à trois.
Loin de moi monsieur Dubois inspecteur des finances et présentement en train de contrôler les comptes de l’institut que je dirige sans la contrôler réellement.
Comment aurais-je fait pendant mes cinq ans de coma.
• À fond les gars, je vais jouir sous vos coups de boutoir, changer de place si tu veux gouter à mon cul, Bichon à moins que tu trouves ça répugnant.
Ah ! saligaud, une feuille de rose, Moché bouffe moi la chatte, vous êtes divins tous les deux.
Voilà comment je me fais de nouveau embrocher par ces deux bites simple format, rien de bien monstrueux dans ces deux verges tendues, mais assez efficaces pour m’apporter ma part de jouissance, voire un petit mais très bon orgasme.
• Lorsque le chat est absent, les souris danses !
Vous ne m’avez même pas entendue ouvrir ma porte de l’appartement.
Quiqui à la niche dans la cuisine, je vais finir par te conduire à la SPA si tu continues à venir dans mes jambes m’emmerder.
Sur le ton ou mon amie le dit, Quiqui doit comprendre que pour lui, il a été ramené à sa condition de chien par celle qui l’avait mis sur un piédestal.
• Mes amis vous êtes là, je viens de prendre une grande décision, Christine, je te montre que j’aie su évoluer dans le bon sens.
Je suis allé au cimetière retrouver Paul, mais ce sera la dernière fois.
Je viens de faire relever sa tombe, ses cendres seront mises dans le carré des militaires morts au combat, du moins ceux morts de mort anonyme.
Florentin comprenant que c’est pour lui qu’Agathe a fait cette ultime démarche dans sa transformation.
Il vient la prendre dans ses bras et la conduire vers sa chambre ou pendant le temps ou Moché et moi nous nous rhabillons, commence à chanter comme moi je viens de le faire.
Nous sommes dans l’acenseur, le portable de Moché sonne.
• Oui, Paula, vous êtes bloqués avec Isaac alors que vous veniez pour la livraison de la chambre à coucher et de la salle de séjour que nous vous avons offerte, Rachel et moi.
• Oui beau-papa, il y a un bouchon suite à un accident, il nous sera impossible d’être là pour les réceptionner.
• Vous avez de la chance, je suis dans l’ascenseur, avec Christine, nous allions nous arrêter pour visiter l’appartement et si elle a du temps, nous nous occupons de tout.
• Soit sans crainte, Paula, je reste avec Moché, nous nous occupons de tout.
• Nous allons pass...
La communication s’arrête net sans que nous soyons dans la possibilité de savoir ce que Paula disait.
Ils ont dû passer sous un tunnel et s’ils roulent au pas, inutile d’attendre surtout que les portes de l’ascenseur s’ouvrent.
Une fois que Moché a eu ouvert la porte, nous entrons dans ce logement où Issac et Paula vont pouvoir vivre leur amour, un peu grâce à moi.
On sonne alors que je suis dans la salle de bain.
Un peu vieillotte, la baignoire en fonte à même quelques éclats sur sa peinture, mais lorsque j’ouvre l’eau, j’en prends plein la figure, le flexible de la douche étant percé.
C’est un peu mouillé que je me dirige vers la porte d’entrée où Moché sortant de la cuisine va ouvrir.
• Vous êtes bien monsieur Isaac et madame Paula, nous avons une chambre et une salle à manger à livrer.
• Oui, entrez, c’est bien ici, mais je suis Moché le père d’Isaac et là, c’est Christine une amie en visite quelques minutes.
• Je rejoins Sébaste mon collège, il prépare les colis à monter, heureusement que c’est au troisième, l’ascenseur est trop petit pour y mettre les cartons des différents éléments.
Le jeune homme redescend, c’est beau d’être jeune, il dévale carrément les escaliers sautant trois marches à la fois.
Cinq minutes et je les entends remonter en se donnant des ordres pour que les éléments passent.
Ils passent la porte et suivent Moché dans la chambre où ce qu’ils ont monté fait partie de l’armoire.
Ils ressortent, le copain que ce garçon a appelé Sébastien est devant moi, il me dit vaguement quelque chose.
• Magali, qu’est-ce que tu fais là, c’est toi qui emménages, te souviens-tu de moi ?
• Je dois reconnaitre que vous avez un air de déjà vu, mais j’ai du mal à dire ou !
• Ce jeune homme doit te confondre avec une autre, il t’a appelé Magalie alors que toi c’est Christine.
• C’est incroyable la ressemblance, Magalie de Saint Palais sur mer, nous sommes venus avec Tof, Phil et Yann tourner sous les ordres de Biroute un porno dans ta villa.
De plus tu as organisé une fête pour ton anniversaire à Chennevières, Magalie réveille toi !
Un instant ce garçon avec ses gros bras, j’ai failli avoir l’impression de déjà-vu.
Est-ce mon coma et Magalie, je l’ai déjà dit, c’est sous ce nom que j’ai commencé de me prostituer sous la férule de Virginie ma marraine.
• Oui, je te remets, tu as raison sur plusieurs points, sauf pour mon nom qui était un nom d’emprunt dans cette période de ma vie, nous avons tourné un porno dans ma maison au bord de la mer.
Je suis bien Christine non d’escorte Magalie et toi aussi, je t’ai connu sous le nom de Sébastian Par... quelque chose et lorsque nous avons ouvert et ton copain a donné ton nom, seulement Sébaste.
Tu as quitté le porno !
• Tu retardes ma pauvre amie, tous dans le milieu savent que j’ai fait une reconversion dans le monde plus sélect que le porno, suite à mon histoire d’amour avec Lauriane.
• Ce serait trop long à t’expliquer, mais j’ai eu un trou de cinq ans dans ma vie, et si c’est dans cette période que tu as arrêtée, il est normal que je ne le sache pas.
• Oui, un jour j’ai une des rougeurs sur ma verge.
Dans notre milieu la capote était la bienvenue, bien que certains fassent des films sans, étant grassement payé, mais ce n’était pas mon cas.
C’est à l’hôpital de Brie, tout près où j’habite que je me suis rendu avec la pétoche d’avoir attrapé le sida...
Ces mots, je les ai eus avec les deux garçons avant de faire l’amour avec eux.
Ce qui m’étonnait, c’est le comportement de Quiqui, déjà sa présence en l’absence de sa maitresse qui semblait l’aimer plus que tout au monde.
Quiqui lors de mes premières visites se sauvait vers la pièce que sa maîtresse avait spécifiquement fait aménager pour lui.
Qui dans un appartement réserve une pièce pour son chien ?
J’ignore ce que l’avenir me réserve, surtout après ce qui m’est arrivé à Moscou et dans les années qui s’en sont suivi lorsque j’ai été écarté du monde.
Quiqui, qui est sorti une nouvelle fois de la cuisine et qui me regardait avec son air un peu con.
• Florentin, tu veux faire l’amour avec moi, suivez-moi, conduis-moi vers ta chambre.
Ils se sont levés, Moché plus vieux et plus impétueux, surtout depuis que nous avons passé un moment dans la chambre d’Agathe, ma entouré de ses bras et ma embrassé comme deux vieux amants se retrouvant.
Florentin nous regardait et c’est moi qui l’ai mêlé à nos ébats en le rapprochant et en lui donnant mes lèvres.
J’ai retrouvé mes dons envers les hommes qui m’ont permis d’aider ma marraine à construire son empire basé sur le sexe.
Lors de mes précédentes visites, outre la chambre du cabot, je connaissais celle d’Agathe.
J’ignorais s’il y avait une chambre d’amis qui aurait pu servir à l’amant de ma vieille copine.
Du moins l’est-elle devenue avec un petit peu de contrainte pour qu’elle accepte que tous, locataires des sept premiers étages et ceux du huitième principalement des étudiants louant les anciennes chambres des bonnes s’en servent.
C’est un beau cadeau que Paul le mari garde républicain d’Agathe lui a fait en redonnant vie à ces pièces devenues inutiles avec l’évolution des mœurs.
Fini, les bonnes à tout faire, au bas mot devenu des techniciennes de surface, les ont remplacés.
Terminées, le temps des valises en cartons et l’émigration portugaise ou espagnole, ces chambres se retrouvaient vides et inutiles.
Surprise, surprise, c’est bien la porte du chien que Florentin ouvre me montrant son univers bien loin de celui qui permettait au chien, d’être un chien couronné.
Je comprends mieux le chemin que fait Quiqui pour retrouver son panier, de chambre de roi à coin de la cuisine, qu’elle chute vertigineuse dans l’échelle sociale, même pour un clebs.
Un grand lit, une armoire des tables de nuit et un bureau d’étudiant, Florentin avait gratuitement, sauf quelques baises avec cette femme déjà d’un âge avancé, un confort digne du roi qu’il était devenu grâce à moi.
• Je vois qu’Agathe a fait évoluer les choses Florentin, je vais éviter de t’appeler Bichon, c’est aussi concon que Quiqui.
Je sais pourquoi j’ai déplacé ma petite troupe le lit est accueillant et je me vois bien essayer la souplesse du matelas.
C’est drôle lorsqu’on prend de l’âge comme on aime baiser dans un certain confort.
Les bites des deux garçons sont là pour me le rappeler, je les suce alternativement, comme d’hab, les masturbant dans chacune de mes mains.
• Florentin, allonge-toi, vous êtes prêt à saillir la cochonne que je suis, Moché tu sais ce qu’il te restera à faire.
C’est pour cela que j’ai parlé de double pénétration au début de ce sujet ou je suis venue voir comment Florentin était installé et comme j’ai trouvé les deux garçons partant pour une partie à trois.
Loin de moi monsieur Dubois inspecteur des finances et présentement en train de contrôler les comptes de l’institut que je dirige sans la contrôler réellement.
Comment aurais-je fait pendant mes cinq ans de coma.
• À fond les gars, je vais jouir sous vos coups de boutoir, changer de place si tu veux gouter à mon cul, Bichon à moins que tu trouves ça répugnant.
Ah ! saligaud, une feuille de rose, Moché bouffe moi la chatte, vous êtes divins tous les deux.
Voilà comment je me fais de nouveau embrocher par ces deux bites simple format, rien de bien monstrueux dans ces deux verges tendues, mais assez efficaces pour m’apporter ma part de jouissance, voire un petit mais très bon orgasme.
• Lorsque le chat est absent, les souris danses !
Vous ne m’avez même pas entendue ouvrir ma porte de l’appartement.
Quiqui à la niche dans la cuisine, je vais finir par te conduire à la SPA si tu continues à venir dans mes jambes m’emmerder.
Sur le ton ou mon amie le dit, Quiqui doit comprendre que pour lui, il a été ramené à sa condition de chien par celle qui l’avait mis sur un piédestal.
• Mes amis vous êtes là, je viens de prendre une grande décision, Christine, je te montre que j’aie su évoluer dans le bon sens.
Je suis allé au cimetière retrouver Paul, mais ce sera la dernière fois.
Je viens de faire relever sa tombe, ses cendres seront mises dans le carré des militaires morts au combat, du moins ceux morts de mort anonyme.
Florentin comprenant que c’est pour lui qu’Agathe a fait cette ultime démarche dans sa transformation.
Il vient la prendre dans ses bras et la conduire vers sa chambre ou pendant le temps ou Moché et moi nous nous rhabillons, commence à chanter comme moi je viens de le faire.
Nous sommes dans l’acenseur, le portable de Moché sonne.
• Oui, Paula, vous êtes bloqués avec Isaac alors que vous veniez pour la livraison de la chambre à coucher et de la salle de séjour que nous vous avons offerte, Rachel et moi.
• Oui beau-papa, il y a un bouchon suite à un accident, il nous sera impossible d’être là pour les réceptionner.
• Vous avez de la chance, je suis dans l’ascenseur, avec Christine, nous allions nous arrêter pour visiter l’appartement et si elle a du temps, nous nous occupons de tout.
• Soit sans crainte, Paula, je reste avec Moché, nous nous occupons de tout.
• Nous allons pass...
La communication s’arrête net sans que nous soyons dans la possibilité de savoir ce que Paula disait.
Ils ont dû passer sous un tunnel et s’ils roulent au pas, inutile d’attendre surtout que les portes de l’ascenseur s’ouvrent.
Une fois que Moché a eu ouvert la porte, nous entrons dans ce logement où Issac et Paula vont pouvoir vivre leur amour, un peu grâce à moi.
On sonne alors que je suis dans la salle de bain.
Un peu vieillotte, la baignoire en fonte à même quelques éclats sur sa peinture, mais lorsque j’ouvre l’eau, j’en prends plein la figure, le flexible de la douche étant percé.
C’est un peu mouillé que je me dirige vers la porte d’entrée où Moché sortant de la cuisine va ouvrir.
• Vous êtes bien monsieur Isaac et madame Paula, nous avons une chambre et une salle à manger à livrer.
• Oui, entrez, c’est bien ici, mais je suis Moché le père d’Isaac et là, c’est Christine une amie en visite quelques minutes.
• Je rejoins Sébaste mon collège, il prépare les colis à monter, heureusement que c’est au troisième, l’ascenseur est trop petit pour y mettre les cartons des différents éléments.
Le jeune homme redescend, c’est beau d’être jeune, il dévale carrément les escaliers sautant trois marches à la fois.
Cinq minutes et je les entends remonter en se donnant des ordres pour que les éléments passent.
Ils passent la porte et suivent Moché dans la chambre où ce qu’ils ont monté fait partie de l’armoire.
Ils ressortent, le copain que ce garçon a appelé Sébastien est devant moi, il me dit vaguement quelque chose.
• Magali, qu’est-ce que tu fais là, c’est toi qui emménages, te souviens-tu de moi ?
• Je dois reconnaitre que vous avez un air de déjà vu, mais j’ai du mal à dire ou !
• Ce jeune homme doit te confondre avec une autre, il t’a appelé Magalie alors que toi c’est Christine.
• C’est incroyable la ressemblance, Magalie de Saint Palais sur mer, nous sommes venus avec Tof, Phil et Yann tourner sous les ordres de Biroute un porno dans ta villa.
De plus tu as organisé une fête pour ton anniversaire à Chennevières, Magalie réveille toi !
Un instant ce garçon avec ses gros bras, j’ai failli avoir l’impression de déjà-vu.
Est-ce mon coma et Magalie, je l’ai déjà dit, c’est sous ce nom que j’ai commencé de me prostituer sous la férule de Virginie ma marraine.
• Oui, je te remets, tu as raison sur plusieurs points, sauf pour mon nom qui était un nom d’emprunt dans cette période de ma vie, nous avons tourné un porno dans ma maison au bord de la mer.
Je suis bien Christine non d’escorte Magalie et toi aussi, je t’ai connu sous le nom de Sébastian Par... quelque chose et lorsque nous avons ouvert et ton copain a donné ton nom, seulement Sébaste.
Tu as quitté le porno !
• Tu retardes ma pauvre amie, tous dans le milieu savent que j’ai fait une reconversion dans le monde plus sélect que le porno, suite à mon histoire d’amour avec Lauriane.
• Ce serait trop long à t’expliquer, mais j’ai eu un trou de cinq ans dans ma vie, et si c’est dans cette période que tu as arrêtée, il est normal que je ne le sache pas.
• Oui, un jour j’ai une des rougeurs sur ma verge.
Dans notre milieu la capote était la bienvenue, bien que certains fassent des films sans, étant grassement payé, mais ce n’était pas mon cas.
C’est à l’hôpital de Brie, tout près où j’habite que je me suis rendu avec la pétoche d’avoir attrapé le sida...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...