COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (169)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (169) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (169)
Sortant de l’appartement d’Agathe et je peux dire Florentin, ce jeune que j’ai aidé et qui semble avoir pris la place de Quiqui.
Quiqui le roquet qui a retrouvé sa place dans un panier dans la cuisine là où un chien devrait toujours être.
Avoir une pièce spéciale pour coucher un clebs, il faut être un peu dérangé et même si l’âge des protagonistes peut être là aussi une question, je suis satisfaite de l’évolution que les choses prennent
Nous sommes dans l’ascenseur avec Moché quand son portable a sonné, c’est son fils et sa future bru qui l’appelle.
Ils sont bloqués dans des bouchons et après avoir visité l’appartement du troisième nous recevons les livreurs de meubles qu’ils ont commandés.
Moché semble avoir respecté sa parole et c’est un bien pour tout le monde.
Il y a assez de conflit dans le monde.
L’un des deux jeunes hommes qui livre ces meubles, se prénommant Sébaste semble me reconnaitre.
Il a raison, c’est Sébastian Parios le hardeur avec qui j’ai tourné un porno dans ma maison au bord de la mer à Saint-Palais ou j’ai une maison près de la plage héritée de mes parents.
Je devrais la rejoindre après avoir accompagné Virginie à Genève et surtout à Berlin ou ma marraine doit retrouver son fils.
Amandine, mon toubib, lors de ma visite la semaine dernière souhaite que je retourne dans lieux d’avant mon voyage tragique à Moscou, ce qui fortifie ma mémoire et le retrouvé du monde d’avant.
Sébastian m’explique son retrait du porno aidé par une rencontre avec celle avec qui il vit.

• Oui, un jour j’ai une des rougeurs sur ma verge.
Dans notre milieu la capote était la bienvenue, bien que certains fassent des films sans, étant grassement payé, mais ce n’était pas mon cas.
C’est à l’hôpital de Brie, tout près d’où je loge, que je me suis rendu avec la pétoche d’avoir attrapé le sida.
Un docteur m’a reçu et m’a très vite rassuré, je développais une allergie aux capotes, ce qui était un gros handicape dans mon travail.
Le docteur François avait une jeune infirmière qui m’a tapé dans l’œil, comme je l’ai dit, elle s’appelle Lauriane.
Sortant du bureau du médecin, j’ai voulu prendre un café, j’ai sorti ma monnaie, mais il me manquait quelques centimes.
J’ai vu s’avancer Lauriane qui elle aussi voulait prendre une consommation.
Il fallait que je la rembourse, le soir même c’est dans mon lit, les rougeurs ayant disparu que je l’ai remboursé.
• As-tu pu mettre une capote, sans que les rougeurs reviennent ?
• Oui, c’était somatique, la peur de la maladie entrainait les rougeurs et l’amour à tout effacé.
• Tu sais que j’ai été hospitalisé dans le même hôpital dans le service du docteur Amandine.
J’ai peut-être connu ta copine Lauriane !
Non, car elle a quitté Brie et son hôpital, pour Pontault-Combault au centre de remise en forme après des accidents.
C’est Françoise la doctoresse qu’elle connaissait qui l’a fait venir, ce sont des amies d’enfance, l’une ayant pu aller plus loin dans leurs études que l’autre.
Mais je me contente de mon infirmière, elle est jolie et elle aime par-dessus tout ma queue.

S’il y a peu, j’avais des troubles de la mémoire.
Je comprends très vite que sa Lauriane, c’est ma Lauriane et aussi la copine de sexe du docteur Françoise avec qui nous nous sommes gouinés au centre de Pontault-Combault avant que je m’éclate avec Wiliam le beau jardinier.
Wiliam, l’escorte, mais boy, lui qui est venu là pour changer de vie et qu’au fond de moi, j’aspire à le revoir bientôt.
Je vends mon corps, ça je le reconnais, mais au fond de moi je suis une fleur bleue, pleine de compassion pour l’amour que porte Sébastian à Lauriane.
Pourquoi lui ouvrir les yeux sur cette petite compagne qu’il s’est trouvée et qui semble aimer les chattes et les verges ?
S’il doit le découvrir, autant que ce soit par d’autres que moi, ce qui ait comme conséquence de lui faire la bise et de m’isoler pour prendre un appel, les vibrations de mon portable m’ayant prévenu.

• Christine, c’est Iris, je vois que tu es repartie avec autant d’envie qu’avant ce qui est arrivé.
Vingt heures, hôtel Excelsior Opéra, à l’accueil tu demandes monsieur Roger, tu diras que tu dois lui livrer une lettre en mains propres.
Tout est réglé, j’ai bien reçu l’argent de ta participation, sa seule exigence, c’est ta guêpière rose.
Tu en as une dans l’armoire de ta chambre sur des bas et des hauts talons le tout caché derrière un imper, tu en as un aussi.
Tu acceptes le contrat sinon, je trouve une autre fille.
• Non, je rentre à Chennevières et je me prépare.
• À dix-neuf heures le taxi sera là, Franck notre nouveau te conduira, te donnera son numéro et te récupérera à la fin de ta prestation, bonne soirée.
• Une dernière chose, lorsque le client ouvrira sa porte, tu ouvriras ton imper et tu lui diras, « coucou c’est moi. »
Je rentre, mais j’ai le temps, en bonne professionnelle, je suis prête à l’heure.

• Christine, je suis heureux de vous voir, j’espérais vous conduite un de ces soirs, j’ai tellement entendu parler de vous dans ce taxi, j’ai même vu des jolies filles pleurées car vous étiez dans le coma.
Je sais où vous allez et ce que vous allez y faire, soyez sans crainte, je sais me taire, bien que je doive dire que vous êtes plus belle que ce que j’en entendais dire.

Allez vendre son corps, avec de tels éloges, ça mérite bien un petit plaisir.
Je m’installe sur le milieu du siège arrière et j’ouvre mon imper, je vois le regard de Franck aller droit au but, ma chatte étant libre de toute entrave.
J’écarte même mes jambes et ma main plongent là où ça fait du bien.
J’aime me caresser, je sais que je le faisais avec des clients, mais là dans l’intimité d’un taxi traversant le bois de Vincennes, je prends une décharge dans mes lombaires m’amenant à deux doigts de l’orgasme.
C’est cour un voyage lorsque l’on se fait conduire et je suis surprise que Franck arrête notre taxi devant les lumières de l’hôtel où je suis attendue.

• Christine, merci du spectacle, passes une bonne soirée.
• Elle a très bien commencé, merci de m’avoir conduit à bon port, j’ignore pourquoi, mais une ou deux fois, j’ai cru que nous allions emplafonner la voiture de devant.
• Salope.

J’adore ce mot, oui je suis une salope qui vient de jouir assez pour attaquer mon client pour une bonne partie de baise.

• J’ai rendez-vous avec un monsieur Robert !
• Christine, je suis content de vous revoir, vous nous avez manqué, mais attention la direction a changé depuis les temps d’avant, montez discrètement chambre 302.

J’ai dû déjà venir dans cet hôtel pour rencontrer des clients et ce réceptionniste à l’accueil m’a reconnu c’est sûr.
Mais la simple vision du cadre, m’est inconnue, heureusement qu’Amandine m’a prévenu que je risquais d’avoir ce genre de blanc dans ma vie.
Je me dirige, vers l’acenseur, un homme distingué s’approche de moi.

• Ou allez-vous, les putes sont interdites dans notre hôtel.
• Pour qui me prenez-vous monsieur, j’ai rendez-vous avec mon frère, il a perdu sa femme et je viens lui remettre un pli pour la succession.
Vous êtes un malotru de me traiter de pute, voulez-vous que j’ouvre mon imper au milieu de votre hall pour montrer à tous vos clients que je suis habillée tout à fait correctement.
• Pardon si je me suis trompée, mais la direction, veut que je contrôle les allées et venues dans cet hôtel des femmes de petites vertus, j’ai cru que vous en étiez une.
Martha ma patronne est plutôt vieille France, elle va à la messe tous les dimanches, comprenez et excusez-moi si j’ai fait une erreur, mais il faut que je contrôle.

Nous prenons l’ascenseur, dans moins de cinq minutes la pute que je suis, cet homme la découvrira, malgré mon imper et elle se trouvera à la porte de cet hôtel.
Chambre 302 je frappe, la porte s’ouvre.

• Ma grande, tu es venue me réconforter après la mort de ma femme.
Qui êtes-vous monsieur ?
• Je m’excuse platement et je vous laisse en famille, je retourne vers le hall.

Comme l’on dit vulgairement, l’homme dont j’ignore le nom repart la queue entre les jambes, je sais, c’est préférable plutôt qu’elle ne remplace son nez.

• Coucou, c’est moi.

Je viens de réaliser la fin de mon chemin de croix pour arriver jusqu’à la chambre de mon client.
J’ai ouvert mon imper en disant la phrase prévue juste lorsque cet employé à passer le coin du couloir menant aux ascenseurs.

• Entrez Christine, je crois que mon scénario avait quelques lacunes !
Mais c’est ce qui s’est passé, il y a plus de vingt ans lorsque avec ma femme nous sommes venus pour notre voyage de noces.
Nous avions passé la soirée à Pigalle, ma femme m’a quitté et a trouvé à s’habiller comme j’ai demandé que vous le soyez et revenue vers moi.
Elle a frappé ouvert son imper et m’a dit « coucou, c’est moi. »
• Vous pleuriez lorsque l’employé à frapper, ce qui l’a déstabilisé, je peux vous demander pourquoi ?
• Bien sûre, Georgina est morte il y a six mois, victime du sida, transfusé et victime de poche de sang contenant ce virus.
• Soyez sans crainte, je voulais renouveler la soirée que nous avions passée et j’ai à votre disposition datée d’hier me montrant sain de corps et d’esprit.
Sans compter les capotes que j’ai été acheté en pharmacie, ce fut un moment de gène plus important que tout le reste.
• Et si nous reprenions le plan que tu sembles avoir élaboré, je ressors, je frappe et tu ouvres.
Coucou, c’est moi !...

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