COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (170)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (170) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (170)
• Tout s’est bien passé, j’attendais ton appel, tu as bien fait de prendre ton temps, j’ai pu faire une course qui m’a rapporté gros.
Une cliente en manque de sexe, elle s’était enguirlandée avec son mec et avant de rentrer à son hôtel m’a demandé si je connaissais un coin tranquille.
Le parking où nous sommes allé était très près et les caméras à certains étages sont hors-service.
Gaffe où tu t’assieds, elle avait tendance à avoir des jets de cyprine assez important.
• Je suis content pour toi, pour moi, certes ça aurait pu plus mal tourner, mais tu permettras que je garde ce que je fais avec mes clients pour moi.

Pourquoi dire à ce jeune homme chauffeur de taxi semblant être celui qu’Iris appelle lorsqu’il y a une course pour une fille, vu ce qu’il m’a dit connaitre de ma période de coma ?
Il se met à me tutoyer malgré notre différence d’âge presque du simple au double, disons vingt-deux ans pour lui, ce tutoiement je l’accepte, car je sens qu’il reste respectueux.
Attention, même si j’en approche, j’ai un peu de temps avant la quarantaine.
Après l’épisode du garde chiourme à mon arrivée, tout a été conforme à ce qu’une pute fait lorsqu’elle est avec son client.
Robert était bien veuf depuis peu et c’était l’anniversaire de son voyage de noces avec elle et il se payait une prostituée pour se remettre le pied à l’étrier.
Je me suis bien gardé lorsqu’il me prenait alors que j’étais à quatre pattes que pour moi aussi c’était une remise du pied à l’étrier.
Bien qu’Iris m’ait proposé plusieurs clients que j’ai rencontrés.

• Franck, je crois que c’est par ce nom qu’Iris et toi vous vous êtes présenté.
Iris m’a dit lorsque j’ai accepté de venir à cet hôtel que tu étais nouveau et qu’avec ton taxi tu t’occupais de nos filles quand elles allaient au travail.
Comment as-tu été embauché ?
• Je me doutais qu’un jour lors d’un de nos voyages, tu me poserais cette question.
C’est Virginie ta marraine qui m’a payé ce taxi avec la licence.
J’ai fait quelques petites bêtises vers mes quatorze ans et elle a réussi à ce que mon casier ne les mentionne pas.
• Comment l’as-tu connu ?
• Je sais que tu as développé l’organisation avec ta marraine, je me crois autorisé à te dire que je suis le fils Iris la femme dont tu as parlé et qui gère vos contrats.
• Iris, c’est vrai, lorsque je suis sortie de mon coma, elle m’a téléphoné pour prendre de mes nouvelles.
Ou est-elle et comment peut-elle être toujours présente lorsqu’un client ou une fille appelle ?
• Maman est dans un fauteuil roulant et est toujours près du téléphone depuis notre accident.
• Notre, tu étais avec elle et c’était quand ?
• Oui, j’étais là, lorsque mon père a mis le feu à notre immeuble.
J’étais dans ma chambre, j’avais deux ans et j’ai entendu des cris, ça m’a réveillé.
Qui a mis le feu, pourquoi mes parents s’engueulaient, je l’ignorerais toujours car ma mère a toujours refusé d’en dire plus.
Virginie peut-être le sait, mais je me garderais bien de le lui demandé, car grâce à ça j’ai pu avoir la vie indépendante dont je rêvais.
Je me suis réveillé à l’hôpital et après j’ai été placé dans des familles d’accueil.
À quatorze ans, je suis revenu auprès d’elle, car elle avait repris de la force ayant été brulée profondément, mais elle était en fauteuil, brûlée au visage.
C’est pour ça qu’elle refuse de sortir.
J’avais dix-sept ans lorsque j’ai compris qu’elle gérait un réseau...
• Je vois que tu as calé sur les mots, un réseau de putes, dis-le !
Oui ta maman gère des putes et tu sais très bien que ce soir tu m’as conduit dans cet hôtel pour que je satisfasse sexuellement un client.
Merci de ces renseignements, je suis arrivée, passe une bonne nuit, je pense que tu vas te coucher, ou habites-tu si tu veux bien me le dire ?
• Un studio à Créteil près du centre commercial « Créteil Soleil. »

C’est ainsi que je découvre une partie de la vie d’Iris.
Je comprends qu’elle soit toujours disponible, bien que les portables ayant fait leur apparition, elle pourrait avoir plus de souplesse dans sa vie.
Je rentre, de la musique chez Virginie, je vais la voir, elle lit près de sa piscine nue comme à son habitude.

• Christine, j’ai su que tu avais repris des clients, tu sais, tu restes belle, mais il faut savoir se retirer au bon moment, l’âge avançant.
Katia et les autres filles s’occupent très bien de tous.
Tu te souviens lorsque je t’ai avoué que je me prostituais et de la nuit que tu avais passée avec cet homme, dont j’ai oublié le nom.
Il avait payé pour te baiser sans qu’officiellement je te l’aie dit.
• Christian, il s’appelait Christian, il avait été formidable.
Je savais que tu me proposais de gagner de l’argent comme toi tu le faisais depuis de nombreuses années.
Christian a été tellement gentleman et c’est seulement au matin que j’ai compris que pour la première fois je venais de me vendre pour son propre plaisir.
Les billets sur la table de nuit me l’ont montré.
• Je vois que ta mémoire, est bien revenue, oui, Christian, heureusement qu’il y avait les billets sur ta table de nuit, je reste persuadé que tu en serais tombée amoureuse.
• Tu as raison, dommage de ne jamais l’avoir revue.
• Virginie, je viens d’aller satisfaire un client, ça me permet de me sentir de nouveau vivante.
Je joue les fortes femmes, mais... me manque, même si j’ai appris qu’il avait une double vie.
• Si je te parle de ton âge, c’est car depuis que tu m’as fait rencontrer Wiliam dans ton centre de rééducation, je l’ai vu revenir ici, encore ce soir.
Pense à la vie que tu pourrais avoir en étant simple gérante de notre groupe sans continuer à voir tes clients.
Cet homme est amoureux et un homme ayant eu l’expérience avec les femmes comme escorte serait un parfait remplaçant à Pierre ton aviateur t’ayant cocufié.
• Je vais y penser.
Il est vrai que je suis passé à l’institut que les filles ont ouverte alors que si le drame que j’ai vécu ne s’était pas produit, c’est toutes les deux que nous l’orions inaugurer.
Mais parlons de Franck, le garçon qui conduit le taxi qui m’a conduit à l’hôtel Excelsior.
Il m’a dit que c’était toi qui lui avais acheté la licence et le taxi qu’il conduit et qu’il était le fils Iris.
De plus cette femme gère nos coups de téléphone et le paiement avec nos clients alors qu’elle était en fauteuil roulant brûlé au visage.
Nous devions nous voir, mais mon accident a compromis notre rencontre, si je dois gérer avec toi notre organisation, je veux tout savoir pour éviter le moindre imper.
• Tu as raison Christine, tu es en droit de savoir ce qui est arrivé à cette jeune femme.
Je te l’ai déjà expliqué, j’ai commencé à me prostituer dans des circonstances bien moins bonnes que celles que nous offrons à nos filles.
Je tapinais sur le bord d’une route, l’été comme l’hiver.
Nous avons des tenus qui nous montraient afin d’aguicher les clients qui passaient en voiture.
L’hiver, certaines filles, nous étions cinq ayant des souteneurs, ils les approvisionnaient en bidons et en bois pour que nous nous réchauffions.
Iris faisait partie de celle-là alors que moi, j’étais toujours libre, mais je le sentais de moins en moins, les macros voulant profiter du fric que je gagnais avec mon cul.
Surtout que je commençais à voir Filou le mari d’Iris, commencer à me tourner autour.
Un soir, les autres étaient là, le bois dans les bidons crépitait et Iris, toujours la première, car son mari étant son mac lui fichait des tournioles à tour de bras si le pognon rentrait mal.
Elle brillait par son absence.
Les nouvelles vont vite dans ce milieu surtout celles de la rue.
Un incendie, s’était déclaré dans leur appartement après une énième engueulade entre eux.
La voisine l’a déclaré à la police et grâce à elle, Franck et sa mère ont pu être sauvés par les pompiers.
L’épaisse fumée toxique a tué le mac incommodé et il était mort.
Elle fut brûlée gravement au visage.
Le fumier, avait succombé à la cigarette qu’il fumait et qui avait mis le feu au logement.
J’ai pris pitié de cet enfant et c’est moi qui ai payé dans les années où Iris tentait de se remettre de ce qui leur était arrivé afin qu’il soit placé le mieux possible.
Je tapinais le soir et j’allais la voir à l’hôpital dans la journée, c’est avec elle que nous avons voulu protéger les filles et indirectement leur rendre leur liberté.
Nous avions besoin d’un point de chute pour nos appels et c’est elle qui a pris ce secteur en mains.
Internet nous a bien aidés et les petites nous ont montré la force que ce système pouvait apporter pour la prostitution.
Iris, se languissait de son fils et c’est naturellement qu’elle l’a récupéré aux Pays-bas où elle réside afin de protéger l’organisation mise sur pied et dont tu es devenue l’un des principaux rouages.
Il y a quelque temps, tu étais dans le coma et Franck s’est ouvert à sa mère qu’il avait compris qu’elle gérait un grand réseau de prostitution.
Elle m’a appelé paniqué, elle avait peur qu’il ne fasse une bêtise, je me suis déplacée, je l’ai rencontré en l’invitant à Paris.
J’ai trouvé un garçon très intelligent et tu me connais, j’ai fait ce qu’il fallait pour le dépuceler et en faire un toutou.
J’ai vite compris que son pucelage lui pesait et qu’il était content qu’après un restaurant chez un grand nom de la gastronomie parisienne, je le fasse venir dans la suite que j’avais réservée à l’hôtel Lutécia.
Je voulais lui montrer le luxe où il pouvait vivre.
Je t’ai toujours dit, qu’il fallait savoir investir pour gagner et ce fut le cas.
Au matin, je savais qu’un taxi avec une licence, il en rêvait surtout à Paris.
Je lui alloue une somme mensuelle qui le met à l’abri du besoin et tu as pu voir qu’il respectait son engagement dans l’organisation.
Mais dit moi, Christine, quelle tournure prend ton contrôle fiscal, ce petit connard de fonctionnaire, as-tu trouvé le moyen de lui mettre une muselière ?...

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