COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (171)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (171)
• Mais dit moi, Christine, quelle tournure prend ton contrôle fiscal, ce petit connard de fonctionnaire, as-tu trouvé le moyen de lui mettre une muselière ?
Mon contrôleur fiscal, la question de Virginie me prend au dépourvu surtout après qu’elle m’ait raconté l’histoire d’une partie de la vie d’Iris que j’appellerais « la voix. »
Iris, celle qui même lorsque j’ai entendu son appel à l’hôpital est resté cette voix qui me propose mes clients.
À ce que ma marraine m’en dit, je comprends pourquoi, elle a accepté ce travail de tous les instants, à cause de son visage brûlé et de la gestion au sein de l’organisation depuis les Pays Bas.
Franck le chauffeur de taxi qui m’a emmené, puis ramené, a semblé bien au courant de nombreuses choses de nos vies de putes.
Normal, c’est le fils d’Iris qui en vivant près d’elle a compris bien des choses sur ce que trafiquait sa mère en grandissant aux files des années.
Virginie toujours égale à elle-même aimant avoir un coup d’avance en a fait son amant, je parle de Franck, notre chauffeur avec licence et donc un gentil toutou.
Je rigole au fond de moi, je lui ai montré ma chatte, dois-je en faire un peu plus, pour moi aussi me l’attacher.
Ce qui m’étonne dans ce que Virginie m’a expliqué sur ces putes de rue qu’elles avaient été avant et de sortir les filles du trottoir, pour en faire des putes de luxes.
Sa question sur Jacques Dubois le contrôleur fiscal envoyé par Bercy.
J’ai simplement fait une recommandation à Marie-Ange, notre manucure à lui offrir tout ce qu’il voudra.
Mais il est trop tôt pour dire que son intérêt pour notre amie black est couronné de succès.
Je vais me coucher, je me déshabille, me regardant dans ma glace, j’aime mes seins, je trouve que nos clients les délaissent trop souvent.
Ce qu’ils veulent principalement, c’est nous baisé, ça tombe bien nous sommes des pros du sexe et c’est pour cela qu’ils nous donnent de beaux billets.
Les plus grosses coupures existant sur le marché de la monnaie.
Bien sûr, j’enlève ma perruque et je dois constater que le tableau est moins idyllique, lorsque je vois la plaque protégeant mon cerveau.
Au moment de me coucher, je vois l’une des caméras placées dans ma chambre, je me croyais seule, la lumière est verte, toutes les lumières sont vertes.
Mon portable sonne, c’est Chloé qui me parle.
• Christine, c’est moi !
J’ai mis en place un système de forum entre les gens qui regardent notre site de voyeur.
Ils se disent entre eux que la belle Christine est dans l’appartement 40 et ils se ruent dessus pour te voir te caresser les seins.
C’est beau le modernisme, tu penses être seule et des caméras vous montrent en direct chez des voyeurs de tous les pays, suivant l’heure, pour qu’ils prennent leur pied moyenne ces fameux billets tant convoité.
• Es-tu dans ta chambre ?
• Oui, à quelques mètres de toi ?
• Rejoint moi, on va faire péter les abonnements.
Quelques minutes et la belle est là en sous-vêtements.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse comme deux femmes savent si bien le faire lorsqu’elles aiment se donner du plaisir.
Chloé a créé le système, mais dans un même temps en plus de le contrôler pour voir que tous fonctionnent, elle sait mettre le pied à l’étrier pour, il me semble son plaisir.
À quoi je le remarque, lorsqu’elle me bouffe la chatte, mieux me lèche de mon clito à mon anus, allant même jusqu’à me faire une fleur de rose.
Tient, c’est drôle cette expression, elle doit faire partie de l’ancien temps, celui de ma dépendance à Igor.
Elle me revient en mémoire alors que je suis sûr de ne pas l’avoir entendue dans ma nouvelle vie.
Une feuille de rose, c’est très poétique.
Je suis à deux doigts de jouir lorsque le portable sonne.
• Christine, j’espère ne pas te déranger !
• Si je te disais non, ce serait mentir et j’ai horreur du mensonge, mais si un peu.
• Je sais, tu es dans ta chambre avec Chloé et je la vois te sucer la chatte, belle feuille de rose, je dois te faire une confidence.
Je sais que mon fils t’a dit qui j’étais et ce que je faisais après qu’avec Virginie nous ayons sorti souvent les premières filles des trottoirs où nous nous prostituions.
Virginie, je ne la remercierai jamais assez, pour moi et pour mon fils.
Moi, même si j’ai du mal à me montrer dans l’état où je suis, ayant un rôle encore utile dans la société et mon fils qui a réalisé son rêve de conduire un taxi.
Chloé surveille son bébé informatiquement en cas de bug, mais moi je le contrôle pour la moralité.
J’ai possibilité de vie ou mort sur ceux qui enfreindraient quelques règles.
De plus lorsque je vous vois vivre votre vie et vous exhibez, je vis un peu la même chose à travers vous.
Je me permets de vous interrompre, tu dois savoir pourquoi !
• Si tu m’appelles, c’est que tu as un client à me proposer malgré l’heure tardive !
• Tu as tout compris, un puceau avenue Foch, ses parents se sont absentés pour deux jours et il a trouvé assez d’argent pour se payer une professionnelle.
Un puceau, ça porte chance dans notre milieu.
Bien que le dernier client que j’avais monté avant que mon mac fiche le feu à notre appartement et me transforme en torche humaine, je venais de me faire l’un d’eux.
• Christine, merci pour le bon moment, je retourne dans ma chambre, pars à ce rendez-vous et donne le bonjour à Franck, car je pense que c’est lui qui va venir chercher Christine !
• Tu penses bien petite Chloé excuses moi d’avoir interrompu ta partie de plaisir avec notre vedette locale, mais le bisness c’est le bisness et il n’attend pas.
Franck est déjà prévenu, son moteur chauffe, car le garçon était bien excité de se faire sa première femme.
Christine excuse ces mots un peu grivois, mais c’est exactement ça qu’il m’a dit en me disant qu’il voulait se farcir une pute.
Je lui ai demandé ou il avait eu notre numéro de téléphone, si j’ai bien compris, c’est son père qui l’avait dans son bureau, j’ai regardé en rapport du numéro de téléphone.
C’est Véronique l’ex de Pierre qui est une de ses favorites, il fait appel à nous et à elle, une ou deux fois par mois.
Véronique et Pierre, mon ex, celui à cause duquel je suis devenue escortes au début et pute par la suite.
Pute en lui soufflant Véronique qui turbine pour nous maintenant, belle réussite que cette belle femme hôtesse de l’air préalablement et qui aimait comme le dit la chanson « avoir les fesses en l’air. »
• Je sais où habite Franck, Iris, il fait déjà nuit, j’ai quinze minutes pour me préparer.
• Une dernière chose, il voulait payer avec la carte gold de sa mère, je l’en ai dissuadé, j’ai monnayé ta prestation pour 500 € en liquide !
S’il avait payé en carte, il aurait risqué que sa mère s’aperçoive qu’il se payait des prostitués avec sa carte !
500 en liquide, Franck va arriver.
Au fait, Franck vient me voir ce week-end, si regarder une femme le visage défigurer ne te pose pas de problème, j’aimerais t’inviter à venir avec lui.
Ce sera facile, sur mon ordi, si je regarde les rencards pour ce week-end, si tu décides de l’accompagner, je te mets les deux jours en rouge.
Indisponible, comme je le fais lorsque l’on me prévient que vous avez vos règles.
Je saurais que la reine Christine vient me voir.
• Soit sans crainte, pour ton visage, je viendrais avec ma perruque blonde, à moins que tu préfères la rousse ou l’auburn !
Si je l’enlève en ta présence, tu verras la plaque que j’ai dans le crâne et qui évite à mon cerveau de te montrer comment il est fait de l’intérieur.
À chacune sa croix à porter.
J’en parle avec ton fils pendant qu’il me conduira avenue Foch et il te tiendra au courant de notre arrivée.
• Oblige qu’il roule prudemment, lorsqu’il vient me voir, il m’arrive de sortir dans Amsterdam avec lui et dès qu’il le peut en prenant une autoroute, il appuie sur le champignon.
Chloé est partie, il est temps de revêtir une jolie tenue de travail affriolante pour un jeune puceau.
Bien sûr, je trouve tout ce qu’il faut dans mon armoire.
Short ras de ma moule, joli débardeur mettant mes seins en valeur, collant gainant mes jambes et chaussures à grosse semelle dont j’ignorais que j’en avais de telles avant mon accident.
Faire du vélo ça ne s’oublie pas, après m’être tordu trois fois la cheville je descends après avoir mis un boléro en fourrure en faux poils roses sur ma tenue à paillettes grise.
• Christine, j’ignorais que nous nous révérions aussi vite, tu es magnifique.
Je sais que je dois te conduire avenue Foch, les vieux salopards qui se payent des jolies filles comme toi, on devrait toutes leur mettre une balle dans la tempe.
• Et qui nous payerait et te payerait ton taxi si tu leur mets une balle dans la tête, réfléchie un peu.
Pour ma tête lorsqu’il parle de balle, c’est plutôt mal venu, mais sait-il que sous ma perruque rose, j’ai une plaque après avoir reçu réellement une balle !
Inutile de lui en dire plus, pour lui lorsque l’on habite avenue Foch on est vieux et riches.
Que dirait-il si je lui disais que mon client est puceau et s’appelle Claude et est environ du même âge, tirerait-il dessus ?
• Je monte à tes côtés, maintenant que je sais qui tu es !
• Tu as mis un short, impossible de voir ta chatte comme hier, monte derrière au pire tu me montreras tes seins, ils sont magnifiques autant que faire ce peu.
De plus je dois allumer la lampe signalant la présence d’un client dans mon taxi, je risque d’être arrêté si elle est éteinte et d’avoir un contrôle.
Je décide de contrer ce petit con qu’il croit avoir des droits sur moi, j’ouvre la portière à l’avant et je m’installe, mes cuisses lui suffiront.
Nous arrivons en bas de l’immeuble de mon rendez-vous, dès que je sonne un jeune homme m’ouvre.
Un coup d’œil en arrière et je vois Franck encore à l’arrêt voir l’âge de mon client.
Je jubile, je suis sûr qu’il est jaloux, n’a-t-il pas dit que j’étais belle et que mes cuisses ont semblé l’obnubiler tout le long du parcours...
Mon contrôleur fiscal, la question de Virginie me prend au dépourvu surtout après qu’elle m’ait raconté l’histoire d’une partie de la vie d’Iris que j’appellerais « la voix. »
Iris, celle qui même lorsque j’ai entendu son appel à l’hôpital est resté cette voix qui me propose mes clients.
À ce que ma marraine m’en dit, je comprends pourquoi, elle a accepté ce travail de tous les instants, à cause de son visage brûlé et de la gestion au sein de l’organisation depuis les Pays Bas.
Franck le chauffeur de taxi qui m’a emmené, puis ramené, a semblé bien au courant de nombreuses choses de nos vies de putes.
Normal, c’est le fils d’Iris qui en vivant près d’elle a compris bien des choses sur ce que trafiquait sa mère en grandissant aux files des années.
Virginie toujours égale à elle-même aimant avoir un coup d’avance en a fait son amant, je parle de Franck, notre chauffeur avec licence et donc un gentil toutou.
Je rigole au fond de moi, je lui ai montré ma chatte, dois-je en faire un peu plus, pour moi aussi me l’attacher.
Ce qui m’étonne dans ce que Virginie m’a expliqué sur ces putes de rue qu’elles avaient été avant et de sortir les filles du trottoir, pour en faire des putes de luxes.
Sa question sur Jacques Dubois le contrôleur fiscal envoyé par Bercy.
J’ai simplement fait une recommandation à Marie-Ange, notre manucure à lui offrir tout ce qu’il voudra.
Mais il est trop tôt pour dire que son intérêt pour notre amie black est couronné de succès.
Je vais me coucher, je me déshabille, me regardant dans ma glace, j’aime mes seins, je trouve que nos clients les délaissent trop souvent.
Ce qu’ils veulent principalement, c’est nous baisé, ça tombe bien nous sommes des pros du sexe et c’est pour cela qu’ils nous donnent de beaux billets.
Les plus grosses coupures existant sur le marché de la monnaie.
Bien sûr, j’enlève ma perruque et je dois constater que le tableau est moins idyllique, lorsque je vois la plaque protégeant mon cerveau.
Au moment de me coucher, je vois l’une des caméras placées dans ma chambre, je me croyais seule, la lumière est verte, toutes les lumières sont vertes.
Mon portable sonne, c’est Chloé qui me parle.
• Christine, c’est moi !
J’ai mis en place un système de forum entre les gens qui regardent notre site de voyeur.
Ils se disent entre eux que la belle Christine est dans l’appartement 40 et ils se ruent dessus pour te voir te caresser les seins.
C’est beau le modernisme, tu penses être seule et des caméras vous montrent en direct chez des voyeurs de tous les pays, suivant l’heure, pour qu’ils prennent leur pied moyenne ces fameux billets tant convoité.
• Es-tu dans ta chambre ?
• Oui, à quelques mètres de toi ?
• Rejoint moi, on va faire péter les abonnements.
Quelques minutes et la belle est là en sous-vêtements.
Je la prends dans mes bras et je l’embrasse comme deux femmes savent si bien le faire lorsqu’elles aiment se donner du plaisir.
Chloé a créé le système, mais dans un même temps en plus de le contrôler pour voir que tous fonctionnent, elle sait mettre le pied à l’étrier pour, il me semble son plaisir.
À quoi je le remarque, lorsqu’elle me bouffe la chatte, mieux me lèche de mon clito à mon anus, allant même jusqu’à me faire une fleur de rose.
Tient, c’est drôle cette expression, elle doit faire partie de l’ancien temps, celui de ma dépendance à Igor.
Elle me revient en mémoire alors que je suis sûr de ne pas l’avoir entendue dans ma nouvelle vie.
Une feuille de rose, c’est très poétique.
Je suis à deux doigts de jouir lorsque le portable sonne.
• Christine, j’espère ne pas te déranger !
• Si je te disais non, ce serait mentir et j’ai horreur du mensonge, mais si un peu.
• Je sais, tu es dans ta chambre avec Chloé et je la vois te sucer la chatte, belle feuille de rose, je dois te faire une confidence.
Je sais que mon fils t’a dit qui j’étais et ce que je faisais après qu’avec Virginie nous ayons sorti souvent les premières filles des trottoirs où nous nous prostituions.
Virginie, je ne la remercierai jamais assez, pour moi et pour mon fils.
Moi, même si j’ai du mal à me montrer dans l’état où je suis, ayant un rôle encore utile dans la société et mon fils qui a réalisé son rêve de conduire un taxi.
Chloé surveille son bébé informatiquement en cas de bug, mais moi je le contrôle pour la moralité.
J’ai possibilité de vie ou mort sur ceux qui enfreindraient quelques règles.
De plus lorsque je vous vois vivre votre vie et vous exhibez, je vis un peu la même chose à travers vous.
Je me permets de vous interrompre, tu dois savoir pourquoi !
• Si tu m’appelles, c’est que tu as un client à me proposer malgré l’heure tardive !
• Tu as tout compris, un puceau avenue Foch, ses parents se sont absentés pour deux jours et il a trouvé assez d’argent pour se payer une professionnelle.
Un puceau, ça porte chance dans notre milieu.
Bien que le dernier client que j’avais monté avant que mon mac fiche le feu à notre appartement et me transforme en torche humaine, je venais de me faire l’un d’eux.
• Christine, merci pour le bon moment, je retourne dans ma chambre, pars à ce rendez-vous et donne le bonjour à Franck, car je pense que c’est lui qui va venir chercher Christine !
• Tu penses bien petite Chloé excuses moi d’avoir interrompu ta partie de plaisir avec notre vedette locale, mais le bisness c’est le bisness et il n’attend pas.
Franck est déjà prévenu, son moteur chauffe, car le garçon était bien excité de se faire sa première femme.
Christine excuse ces mots un peu grivois, mais c’est exactement ça qu’il m’a dit en me disant qu’il voulait se farcir une pute.
Je lui ai demandé ou il avait eu notre numéro de téléphone, si j’ai bien compris, c’est son père qui l’avait dans son bureau, j’ai regardé en rapport du numéro de téléphone.
C’est Véronique l’ex de Pierre qui est une de ses favorites, il fait appel à nous et à elle, une ou deux fois par mois.
Véronique et Pierre, mon ex, celui à cause duquel je suis devenue escortes au début et pute par la suite.
Pute en lui soufflant Véronique qui turbine pour nous maintenant, belle réussite que cette belle femme hôtesse de l’air préalablement et qui aimait comme le dit la chanson « avoir les fesses en l’air. »
• Je sais où habite Franck, Iris, il fait déjà nuit, j’ai quinze minutes pour me préparer.
• Une dernière chose, il voulait payer avec la carte gold de sa mère, je l’en ai dissuadé, j’ai monnayé ta prestation pour 500 € en liquide !
S’il avait payé en carte, il aurait risqué que sa mère s’aperçoive qu’il se payait des prostitués avec sa carte !
500 en liquide, Franck va arriver.
Au fait, Franck vient me voir ce week-end, si regarder une femme le visage défigurer ne te pose pas de problème, j’aimerais t’inviter à venir avec lui.
Ce sera facile, sur mon ordi, si je regarde les rencards pour ce week-end, si tu décides de l’accompagner, je te mets les deux jours en rouge.
Indisponible, comme je le fais lorsque l’on me prévient que vous avez vos règles.
Je saurais que la reine Christine vient me voir.
• Soit sans crainte, pour ton visage, je viendrais avec ma perruque blonde, à moins que tu préfères la rousse ou l’auburn !
Si je l’enlève en ta présence, tu verras la plaque que j’ai dans le crâne et qui évite à mon cerveau de te montrer comment il est fait de l’intérieur.
À chacune sa croix à porter.
J’en parle avec ton fils pendant qu’il me conduira avenue Foch et il te tiendra au courant de notre arrivée.
• Oblige qu’il roule prudemment, lorsqu’il vient me voir, il m’arrive de sortir dans Amsterdam avec lui et dès qu’il le peut en prenant une autoroute, il appuie sur le champignon.
Chloé est partie, il est temps de revêtir une jolie tenue de travail affriolante pour un jeune puceau.
Bien sûr, je trouve tout ce qu’il faut dans mon armoire.
Short ras de ma moule, joli débardeur mettant mes seins en valeur, collant gainant mes jambes et chaussures à grosse semelle dont j’ignorais que j’en avais de telles avant mon accident.
Faire du vélo ça ne s’oublie pas, après m’être tordu trois fois la cheville je descends après avoir mis un boléro en fourrure en faux poils roses sur ma tenue à paillettes grise.
• Christine, j’ignorais que nous nous révérions aussi vite, tu es magnifique.
Je sais que je dois te conduire avenue Foch, les vieux salopards qui se payent des jolies filles comme toi, on devrait toutes leur mettre une balle dans la tempe.
• Et qui nous payerait et te payerait ton taxi si tu leur mets une balle dans la tête, réfléchie un peu.
Pour ma tête lorsqu’il parle de balle, c’est plutôt mal venu, mais sait-il que sous ma perruque rose, j’ai une plaque après avoir reçu réellement une balle !
Inutile de lui en dire plus, pour lui lorsque l’on habite avenue Foch on est vieux et riches.
Que dirait-il si je lui disais que mon client est puceau et s’appelle Claude et est environ du même âge, tirerait-il dessus ?
• Je monte à tes côtés, maintenant que je sais qui tu es !
• Tu as mis un short, impossible de voir ta chatte comme hier, monte derrière au pire tu me montreras tes seins, ils sont magnifiques autant que faire ce peu.
De plus je dois allumer la lampe signalant la présence d’un client dans mon taxi, je risque d’être arrêté si elle est éteinte et d’avoir un contrôle.
Je décide de contrer ce petit con qu’il croit avoir des droits sur moi, j’ouvre la portière à l’avant et je m’installe, mes cuisses lui suffiront.
Nous arrivons en bas de l’immeuble de mon rendez-vous, dès que je sonne un jeune homme m’ouvre.
Un coup d’œil en arrière et je vois Franck encore à l’arrêt voir l’âge de mon client.
Je jubile, je suis sûr qu’il est jaloux, n’a-t-il pas dit que j’étais belle et que mes cuisses ont semblé l’obnubiler tout le long du parcours...
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
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