COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (172) - histoire érotique

Franck repart, j’ai hâte de le rappeler pour voir la tête qu’il va faire après avoir compris la connerie qu’il a dit en pensant que lorsque l’on habite avenue Foch on est de vieux barbots.

• Bonjours madame, je vous préviens ça ne va pas du tout.
• Expliquez-vous jeune homme, vous avez demandé une escorte et j’en suis une.
• Une escorte et non une pute, entrez que l’on parle, si un voisin vous remarque il saura que je fais venir des escortes, pardon des putes vues votre tenue provocante.

Je comprends de suite, le problème, Iris a dû oublier de me donner des détails étant prise par le temps et ses soucis avec son fils.
La pute que je lui présente, l’a choqué, je passe à l’offensive.

• Je te comprends, tu voulais une femme ressemblant à ta maman, complexe d’Œdipe.
Montre-moi sa chambre puisque je sais qu’elle est absente.

Je pense avoir visé juste, je le vois monter l’escalier en marbre, l’immeuble semble entièrement à eux.
J’en ai eu la certitude au moment de sonner, un seul nom sous la sonnette, je l’ai déjà entendu quelque part sans me souvenir ou.

• Faite attention de ne rien déranger, maman est très méticuleuse.

J’ouvre les tiroirs des commodes Empire, du dressing, tout est impec et tout est là sauf semble-t-il ce qu’elle a emporté.
Rapidement je sens que je fais fausse-route, la mère fait du 36 ou au plus 38, je fais un bon quarante bien supporté, car j’ai de longues jambes qui équilibrent ma silhouette.
Impossible de mettre cela, même si ces vêtements viennent de chez Dior ou de Chanel.
Une pute depuis combien de temps ai-je glissée par marraine dans ce monde parallèle ?
Mon compte est faussé car il me faut enlever les cinq ans où j’étais ailleurs.
Presque deux depuis que je me suis relancée dans le métier et cinq environ avant.
Sept, j’en ai vu des situations que je pensais impossibles à surmonter, mais que par mes initiatives j’ai très vite aplanis.
Un coup d’oeil à Claude et j’espère réussir à satisfaire ce jeune homme ou alors je m’assèrerait sur mes 500 €.
Chose facile, ce sera toujours 500 que nous n’aurons pas à faire entrer dans les comptes de nos sociétés parallèles.
500 que Dubois ne retrouvera pas lors de son contrôle fiscal.

• Claudine, enlève tes vêtements, je t’ai acheté quelques affaires, que je voudrais que tu essayes.

Deux solutions, il me dit « ça ne va pas ta tête, tu me prends pour un PD » ou alors il enlève ses affaires me montrant sa bite pendante.
Il enlève ses vêtements et me montre sa bite, non pas pendante, mais commençant à redresser la tête.

• Oui, Claudine, tu es très sexy dans ta petite culotte, mets ce soutien-gorge qui est raccord avec les dentelles de ton mini slip.

Encore un point de plus, sauf qu’il faut que je l’aide à l’attacher, c’est un puceau et il n’a certainement pas attaché ni détaché le moindre de ces sous-vêtements à la moindre femme.
Oh ! regarde, un porte-jarretelle et une paire de bas noir, je suis sûr que sur tes jambes attachées par ces jarretelles, tu te sentiras pleinement femme, n’est pas ma petite Claudine.

• Oui, tu as raison, maman.

Bref, chaussures vernies avec des talons d’au moins dix centimètres, j’ai la chance d’avoir vu ce qui me manque pour terminer mon personnage.

• La brune ou la rousse ?

J’ai l’impression d’être dans ma chambre à choisir ma perruque pour cacher ma plaque et ma tête que je rase de peur qu’en poussant mes cheveux ne puissent venir foutre le bordel dans mes idées.

• La rousse, j’aime la rousse.
• C’est bien, regarde comme tu es belle en fille, je sais que tu es né garçon et tu espères te faire opérer.
Regarde ce rouge à lèvres, viens que je te maquille.

Le plus dur reste à faire, inverser les rôles, je m’y emploie sans lui laisser le temps de respiter.

• Tu as bien vu avec les vêtements que je porte, maman est une pute, mais qui aime les bites, comme celle qui sort de ta petite culotte.
Maman veut te la sucer et te la masturber, maman veut faire de toi un homme.

Point crucial et point de non-retour, vouloir qu’il baise sa mère, même si Œdipe le travail, ça peut foirer.
Mais je le vois s’approcher et sortir sa bite devant moi.
Je m’agenouille et je la prends en bouche, il bande certainement comme jamais il n’a bandé.

• Suce salope, papa m’a dit que tu étais un bon coup, salope, tu couches avec tous ce qui bouge et tu as oublié ta petite Claudine.

Ça dépasse mes espérances, jusqu’à ou les fantasmes peuvent rejoindre la réalité.
Y a-t-il fantasme ou une partie est réelle ?
Maman couche-t-elle avec tout ce qui bouge, sous son air de bourgeoise ?
Lorsque je me relève, que j’ôte simplement ma petite culotte, je sens qu’il est à deux doigts d’exploser, c’est en moi après avoir sorti une capote que je veux qu’il crache sa semence.
Je recule jusqu’au lit, grand lit qu’à cet instant je sais qu’elle y couche seule, du moins sans son mari, dans cette chambre tout est féminin.
Je suis sûr que si je vais dans une pièce voisine, tout sera masculin, entérinant que les parents de Claude ou de Claudine font chambre à part.

• Passe tes doigts, regarde comme je mouille pour toi mon bébé, veux-tu me sucer avant de me défoncer ?
• T’es vraiment une pute, tu rentres de chez un client et tu voudrais que je te suce là où il a déchargé !
• Mon bébé, vient, j’ai trop envie, tu dois savoir que ton père refuse de me baiser depuis deux ans, jour de ma première passe.
• Tu m’avais dit trois ans, maman !
• La vie passe si vite mon cœur et tu grandis si vite, oui prends moi comme une chienne veux-tu que je me retourne et que tu me prennes en levrette !
• Oh, oui ! maman en levrette je suis au bord de la rupture, tu vas me faire mourir de plaisir.

C’est fait, il entre en moi, une nouvelle fois, j’ai réussie à reprendre la situation en main.
Lorsque je vais raconter ma soirée dans un immeuble résidentiel de l’avenue Foch à marraine, elle va rire, je suis sûr qu’elle aura autant d’anecdote aussi bizarre à me raconter.
Si vous lisez un bouquin sur le monde des putes, vous en aurez des dizaines, le principal est toujours de satisfaire nos clients.
Il récupère, il dort, sa queue est flasque, je veux aller soulager ma vessie.
Chambre voisine, celle du père.
Sur un siège, pendu une écharpe tricolore, monsieur est député ou sénateur, je vois une photo dans la salle à manger, merde, mais je le connais, est-ce un client ?
Avant peut-être, mais sans que je m’en souvienne, non, à la télé interviewée devant la caméra même si je la regarde si peu.
Ministre, c’est de ce niveau.

• Que cherches-tu ?

Je sursaute, j’ai en main la photo de cet homme, ceins de son écharpe tricolore à côté du président de la République.

• Les toilettes ?
• Pourquoi as-tu la photo de mon père le jour ou on lui a remis la Légion d’horreur.
• La légion d’horreur, non je regardais le monsieur qui lui attachait à son revers et pourquoi d’horreur ?
• Je sais que c’est la légion dite d’honneur, mais mon père est si abject avec moi que je pense qu’il ne mérite pas autant d’honneur.

Claude est presque grotesque après avoir mis sa verge en moi et le maquillage que je lui ai fait coulant de son visage.
Pourtant il a de beaux yeux vérons.

• Il refuse que tu sois gai et qu’il te le fasse cruellement ressentir, ce soir étant seul, tu as voulu lui ressembler en te payant une pute, car je suis une pute.
Mais ma tenue t’a mis ton nez au milieu de ta figure et si je ne t’avais pas travesti, tu aurais refusé tout contact avec moi !
• Comment as-tu découvert ça, je rêve de gaie pride et chaque fois que je le peux, je viens dans la chambre de maman et je mets ses affaires, en me promenant dans tout l’immeuble.
• Il t’a surpris un jour où tu promenais Claudine dans la maison ?
• Claudine, oui, justement mon père un jour a fait son retour alors que je m’admirais dans ce miroir que tu vois là, trop tard pour me cacher.
Il a défait sa ceinture, j’avais quatorze ans et il m’a tapé avec, à la limite de me tuer lorsque maman est intervenue.
Il m’a traité de dévergondé, de tafiotte et tout autre mot avilissant pour les gens comme moi.
Il a été nommé ministre de la famille, pour lui, c’est un papa une maman.
Pour moi, c’est un papa et un papa, mais je crois que je ne verrais jamais le bout de ce tunnel.
• Les toilettes ?
• Tu sors deuxième porte à gauche, sinon à l’étage.

Je vais faire pipi, même une pute a besoin de s’isoler de temps en temps.
Je ressors en téléphonant à Franck, il est temps de retourner chez moi.

• Je te souhaite de lui tenir tête, voilà un numéro personnel, si un jour tu quittes cette famille et le confort qu’elle t’apporte, je ferais quelque chose pour toi, il y a toujours le soleil au bout du tunnel.
• Voici, ton argent, j’aurais dû te le donner dès que tu es rentrée.
• Garde les et avec achète-toi une jolie robe que tu porteras à la prochaine gaie pride en pensant à moi.
• Je vais faire naitre Claudine, Christine...