COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (173)
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Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (173)
Franck est là, au même endroit où il m’a déposé, je pourrais avoir l’impression qu’il m’a attendue si je ne l’avais pas vu repartir.
• Bien joué Christine, tu m’as fait passer pour un con en me laissant te parler de vieux barbots habitant dans cette grande rue parisienne !
Il avait quel âge, il était un peu plus jeune que moi !
• Franck, un client est un client, tu sauras qu’auprès de très rares personnes comme Virginie ma marraine, jamais je ne parle d’eux avec d’autres personnes.
La sexualité a ses travers que nous sommes seules à connaître, ou que nous devons découvrir.
Il est possible que toi-même tu sois homosexuel, mais un homo honteux que tu caches à tout le monde !
Aimerais-tu que je te demande de t’arrêter devant ce café et que je dise à tous les clients que tu es un suceur de bites ?
Une place devant le café, Franck arrête le taxi et vient m’ouvrir la portière.
• Allons boire un café, j’en ai besoin.
Sans voir plus loin que le bout de mon nez, je descends sans pensée que ma tenue est provocante, nous entrons et nous allons au comptoir.
Deux gars semblent boire un dernier verre avant de rentrer dans leur foyer merdique.
• Patron deux cafés bien chaud !
Le patron nous sert un peu chafouins, il avait commencé à nettoyer sa machine, il allait fermer, certainement après avoir viré ses deux derniers clients.
• Messieurs, je vous présente Christine, voyez Christine, c’est une pute qui vient de se faire un client, elle rentre chez elle et je la ramène avec mon taxi.
L’un de vous veut-il en profiter, elle se ferait bien une dernière passe avant de rentrer se coucher ?
• Et jeune con emmène ta pute où tu veux, tu veux me faire fermer pour proxénétisme, foutez le camp !
Nous quittons le café presque en courant et nous remontons précipitamment dans le taxi.
• Franck, c’est la dernière fois que tu me fais un coup comme celui-là, surtout que vendredi je pars avec toi à Amsterdam rencontrer Iris ta maman.
• Tu as raison, mais on a pu boire un café à l’œil, je sais économiser.
Vendredi arrive, j’ai préparé un sac de sport avec quelques effets, Franck et son taxi arrive.
Son taximètre est recouvert d’une couverture en cuir, il n’est pas en service.
• Franck, nous sommes deux, je te présente William, c’est un ami et il voulait connaître Amsterdam, il va profiter du voyage.
• Mais ma mère a réservé une seule chambre à l’hôtel près de chez elle.
• Ça c’est ce que tu crois, nous l’avons appelé et ce sont deux chambres que nous aurons puisque tu couches chez elle.
• Privilège du fils, mais soyez sans crainte, j’ai des copains à voir, je serais peu chez elle à vus embêter.
Quand je disais que chacun avait son jardin secret, Franck semble avoir une copine ou un copain qu’il va retrouver.
Ça tombe bien avec William, ça nous laissera le champ libre.
Il nous conduit à notre hôtel pour que nous déposions nos bagages.
• Venez, la maison ou vis maman est à deux pas, vous pourrez aller et venir comme vous le désirerez, Amsterdam, à part en vélo, il faut mieux savoir marcher à pied.
Nous longeons un canal, des petits bateaux mouches comme sur la Seine à Paris baladent des touristes qui flash à tour de bras, c’est maison typique de cette ville de la Hollande.
Il nous arrête devant l’une d’elles, mais oui, c’est vrai encore un tour de ma mémoire, je savais que cette ville était connue par ses vitrines ou des filles, putes comme moi, vendent leurs charmes.
Franck à la clef et nous fait entrer.
Nous nous retrouvons sur un palier, il frappe une voix répond d’attendre avant d’enter.
• Maman, pourquoi ce masque, as-tu le covid ?
• Non, mais je voulais préserver nos amis de mon visage brûlé.
• Enlevez-le, Iris, je m’appelle William et je suis l’ami de Christine qui vous a demandé si ma présence pourrait être gênante pour vous ?
J’ai profité de leur voyage pour visiter votre ville.
• Je vous aurais bien reçu ici, mais la maison est petite, regardez, je vis jour et nuit dans cette pièce devant mes écrans.
On extrapole toujours ce que fond et ce que sont les autres lorsque l’on se parle simplement au téléphone.
C’est le cas avec Iris, je la pensais petite et boulotte, un peu à l’image de son fils, la boulimie en moins.
Elle est grande et élancée, elle enlève son masque, heureusement que nous sommes prévenus.
Comme avec Franck, pour les clients, inutile d’en dire plus, ce serait dur à expliquer.
• Voilà mon univers, dans cet écran, je peux voir les plannings, l’ordi est en permanence connectée à ce que je connais des filles travaillant en ce moment.
• Il y en a qui triche.
• Tant qu’il y aura des hommes et des femmes sur terre, certains seront droits, pour d’autres ce sera un jeu de tricher avec leur contrat.
Prenons un exemple, Marie-Ange la belle manucure black, elle travaille chez toi Christine.
Elle m’a envoyé un message se mettant en disponibiliser, il faudrait investiguer pour savoir si cela est vrai.
Nous leur faisons confiance, même si elle se paye du bon temps aux frais de l’organisation.
Regardez ce chiffre, 850 000 €, c’est ce que ses clients lui ont payé depuis le début de l’année.
Marie-Ange, c’est l’une de nos meilleures filles, pourquoi l’emmerder !
• Marie-Ange, je sais pourquoi elle t’a demandé une indisponibilité, nous avons un contrôle fiscal, elle doit avoir suivi ma demande et s’occuper de notre contrôleur.
• Prenons une fille en position client, tu la connais très bien, c’est Véronique, l’ex de ton mari. Croatie, une semaine pour 40 000 €.
• Véronique est très demandée, comme Marie-Ange et toi Christine, toi tu bas tous les records, bien sûr, ton total est encore assez faible, mais nous savons pourquoi.
• Rien ne t’échappe.
• Ces écrans, ce sont Jean et Sonia, je sais que tu les connais, ils sont responsables techniques des réseaux.
Ils les ont installés et je peux contrôler que les filles individuellement s’exhibent sans sortir de leur maison.
Elles ont interdiction à part leur fiche que je mets à jour leur fiche ou elles donnent des précisions afin que les clients sachent certaines choses sans jamais les géolocaliser.
Elles s’inscrivent en nous fournissant leur seule carte d’identité et les clients achètent le droit de leur donner ce qu’ils veulent pour qu’elles s’exhibent.
Nous sommes gagnant, gagnant, nous la plus grosse partie, les filles on le reste, nous fournissons le service.
À cette heure du jour et du mois, c’est une petite Japonaise, Yoko qui tient le pompon du total que les filles individuellement on fait.
Regardons sa fiche, vingt-deux ans, elle parle six langues et elle est presque branchée 24 heures sur 24.
Regardez son visage d’ange et ses beaux yeux bridés, il est 17 heures ici, minuit à Tokyo, la nuit bat son plein là-bas, elle a 3 002 connexions à ce moment, Yoko restera la meilleure ce mois-ci.
• Je reconnais la fille sur cet écran, c’est Katia, elle s’amuse avec Anne.
Anne et rentré de l’institut de beauté, elle a dû terminer tôt.
• Ça je l’ignore, on voit beaucoup de choses, mais tu parles de l’institut.
Tes clientes seraient en droit de savoir qu’elles sont filmées et nous serions dans l’obligation de les prévenir et qu’elles nous signent un droit à l’image, ça nous nous y refusons.
• Virginie m’a parlé de Mira en Suisse, on peut voir s’ils sont branchés !
• Bien sûr, j’ai trois écrans pour ce secteur de nos activités.
Je tape sur ma console, Mira.
Voilà elle est chez elle avec sa magnifique chevelure rousse, elle reçoit un copain, j’ignore où se trouve son mari, elle baise avec Patrick, je le connais, il vient souvent Gorges n’est pas jaloux.
• Tu as un film porno grandeur nature devant toi, elle se fait prendre en levrette.
C’est drôle son chien qui la regarde, les caméras sont très précisent.
• Nous avons le meilleur matériel et le meilleur technicien, on te l’a dit, Jean et Sonia nous font ce bon travail à travers le monde.
Nos amis et surtout Jean, ont su tirer profit de leur bonne connaissance du matériel informatique, il faudra que je m’arrête au bas de la côte de Champigny pour leur rendre visite.
• Vous voyez, je vis seule sauf lorsque mon fils vient me voir, même si c’est une éclipse, il vous a conduit à moi et a déjà filé.
Mais c’est de son âge, je suis si contente, qu’il est trouvé une certaine stabilité depuis que Virginie lui a confié ce travail à Paris.
J’espère que tu n’as pas à t’en plaindre Christine.
Eh ! vous, jeune homme, vos vous intéressez à quoi !
Que faite vous comme métier, William, si je me souviens bien !
Je sens que William hésite, il est impossible qu’il dise la réalité de sa visite ici, moi seule la connaît et maintenant on sait que je suis une tombe lorsqu’il s’agit de certaines choses.
Je fais diversion !
• Iris et ce dernier écran tout au bout, j’ai l’impression de déjà vue !
• En venant ici, si tu as regardé de l’autre côté du canal, tu as vu ces trois vitrines.
Elles nous appartiennent et les filles qui y travaillent aussi, la caméra est sur notre façade et je peux la piloter à distance.
Deux vitrines sur trois sont allumées, elles sont deux à travailler.
De loin, je vois qu’elles sont très peu vêtues, mais.
• Iris, peux-tu zoomer sur celle du milieu ?
Merde, mais c’est...
• Bien joué Christine, tu m’as fait passer pour un con en me laissant te parler de vieux barbots habitant dans cette grande rue parisienne !
Il avait quel âge, il était un peu plus jeune que moi !
• Franck, un client est un client, tu sauras qu’auprès de très rares personnes comme Virginie ma marraine, jamais je ne parle d’eux avec d’autres personnes.
La sexualité a ses travers que nous sommes seules à connaître, ou que nous devons découvrir.
Il est possible que toi-même tu sois homosexuel, mais un homo honteux que tu caches à tout le monde !
Aimerais-tu que je te demande de t’arrêter devant ce café et que je dise à tous les clients que tu es un suceur de bites ?
Une place devant le café, Franck arrête le taxi et vient m’ouvrir la portière.
• Allons boire un café, j’en ai besoin.
Sans voir plus loin que le bout de mon nez, je descends sans pensée que ma tenue est provocante, nous entrons et nous allons au comptoir.
Deux gars semblent boire un dernier verre avant de rentrer dans leur foyer merdique.
• Patron deux cafés bien chaud !
Le patron nous sert un peu chafouins, il avait commencé à nettoyer sa machine, il allait fermer, certainement après avoir viré ses deux derniers clients.
• Messieurs, je vous présente Christine, voyez Christine, c’est une pute qui vient de se faire un client, elle rentre chez elle et je la ramène avec mon taxi.
L’un de vous veut-il en profiter, elle se ferait bien une dernière passe avant de rentrer se coucher ?
• Et jeune con emmène ta pute où tu veux, tu veux me faire fermer pour proxénétisme, foutez le camp !
Nous quittons le café presque en courant et nous remontons précipitamment dans le taxi.
• Franck, c’est la dernière fois que tu me fais un coup comme celui-là, surtout que vendredi je pars avec toi à Amsterdam rencontrer Iris ta maman.
• Tu as raison, mais on a pu boire un café à l’œil, je sais économiser.
Vendredi arrive, j’ai préparé un sac de sport avec quelques effets, Franck et son taxi arrive.
Son taximètre est recouvert d’une couverture en cuir, il n’est pas en service.
• Franck, nous sommes deux, je te présente William, c’est un ami et il voulait connaître Amsterdam, il va profiter du voyage.
• Mais ma mère a réservé une seule chambre à l’hôtel près de chez elle.
• Ça c’est ce que tu crois, nous l’avons appelé et ce sont deux chambres que nous aurons puisque tu couches chez elle.
• Privilège du fils, mais soyez sans crainte, j’ai des copains à voir, je serais peu chez elle à vus embêter.
Quand je disais que chacun avait son jardin secret, Franck semble avoir une copine ou un copain qu’il va retrouver.
Ça tombe bien avec William, ça nous laissera le champ libre.
Il nous conduit à notre hôtel pour que nous déposions nos bagages.
• Venez, la maison ou vis maman est à deux pas, vous pourrez aller et venir comme vous le désirerez, Amsterdam, à part en vélo, il faut mieux savoir marcher à pied.
Nous longeons un canal, des petits bateaux mouches comme sur la Seine à Paris baladent des touristes qui flash à tour de bras, c’est maison typique de cette ville de la Hollande.
Il nous arrête devant l’une d’elles, mais oui, c’est vrai encore un tour de ma mémoire, je savais que cette ville était connue par ses vitrines ou des filles, putes comme moi, vendent leurs charmes.
Franck à la clef et nous fait entrer.
Nous nous retrouvons sur un palier, il frappe une voix répond d’attendre avant d’enter.
• Maman, pourquoi ce masque, as-tu le covid ?
• Non, mais je voulais préserver nos amis de mon visage brûlé.
• Enlevez-le, Iris, je m’appelle William et je suis l’ami de Christine qui vous a demandé si ma présence pourrait être gênante pour vous ?
J’ai profité de leur voyage pour visiter votre ville.
• Je vous aurais bien reçu ici, mais la maison est petite, regardez, je vis jour et nuit dans cette pièce devant mes écrans.
On extrapole toujours ce que fond et ce que sont les autres lorsque l’on se parle simplement au téléphone.
C’est le cas avec Iris, je la pensais petite et boulotte, un peu à l’image de son fils, la boulimie en moins.
Elle est grande et élancée, elle enlève son masque, heureusement que nous sommes prévenus.
Comme avec Franck, pour les clients, inutile d’en dire plus, ce serait dur à expliquer.
• Voilà mon univers, dans cet écran, je peux voir les plannings, l’ordi est en permanence connectée à ce que je connais des filles travaillant en ce moment.
• Il y en a qui triche.
• Tant qu’il y aura des hommes et des femmes sur terre, certains seront droits, pour d’autres ce sera un jeu de tricher avec leur contrat.
Prenons un exemple, Marie-Ange la belle manucure black, elle travaille chez toi Christine.
Elle m’a envoyé un message se mettant en disponibiliser, il faudrait investiguer pour savoir si cela est vrai.
Nous leur faisons confiance, même si elle se paye du bon temps aux frais de l’organisation.
Regardez ce chiffre, 850 000 €, c’est ce que ses clients lui ont payé depuis le début de l’année.
Marie-Ange, c’est l’une de nos meilleures filles, pourquoi l’emmerder !
• Marie-Ange, je sais pourquoi elle t’a demandé une indisponibilité, nous avons un contrôle fiscal, elle doit avoir suivi ma demande et s’occuper de notre contrôleur.
• Prenons une fille en position client, tu la connais très bien, c’est Véronique, l’ex de ton mari. Croatie, une semaine pour 40 000 €.
• Véronique est très demandée, comme Marie-Ange et toi Christine, toi tu bas tous les records, bien sûr, ton total est encore assez faible, mais nous savons pourquoi.
• Rien ne t’échappe.
• Ces écrans, ce sont Jean et Sonia, je sais que tu les connais, ils sont responsables techniques des réseaux.
Ils les ont installés et je peux contrôler que les filles individuellement s’exhibent sans sortir de leur maison.
Elles ont interdiction à part leur fiche que je mets à jour leur fiche ou elles donnent des précisions afin que les clients sachent certaines choses sans jamais les géolocaliser.
Elles s’inscrivent en nous fournissant leur seule carte d’identité et les clients achètent le droit de leur donner ce qu’ils veulent pour qu’elles s’exhibent.
Nous sommes gagnant, gagnant, nous la plus grosse partie, les filles on le reste, nous fournissons le service.
À cette heure du jour et du mois, c’est une petite Japonaise, Yoko qui tient le pompon du total que les filles individuellement on fait.
Regardons sa fiche, vingt-deux ans, elle parle six langues et elle est presque branchée 24 heures sur 24.
Regardez son visage d’ange et ses beaux yeux bridés, il est 17 heures ici, minuit à Tokyo, la nuit bat son plein là-bas, elle a 3 002 connexions à ce moment, Yoko restera la meilleure ce mois-ci.
• Je reconnais la fille sur cet écran, c’est Katia, elle s’amuse avec Anne.
Anne et rentré de l’institut de beauté, elle a dû terminer tôt.
• Ça je l’ignore, on voit beaucoup de choses, mais tu parles de l’institut.
Tes clientes seraient en droit de savoir qu’elles sont filmées et nous serions dans l’obligation de les prévenir et qu’elles nous signent un droit à l’image, ça nous nous y refusons.
• Virginie m’a parlé de Mira en Suisse, on peut voir s’ils sont branchés !
• Bien sûr, j’ai trois écrans pour ce secteur de nos activités.
Je tape sur ma console, Mira.
Voilà elle est chez elle avec sa magnifique chevelure rousse, elle reçoit un copain, j’ignore où se trouve son mari, elle baise avec Patrick, je le connais, il vient souvent Gorges n’est pas jaloux.
• Tu as un film porno grandeur nature devant toi, elle se fait prendre en levrette.
C’est drôle son chien qui la regarde, les caméras sont très précisent.
• Nous avons le meilleur matériel et le meilleur technicien, on te l’a dit, Jean et Sonia nous font ce bon travail à travers le monde.
Nos amis et surtout Jean, ont su tirer profit de leur bonne connaissance du matériel informatique, il faudra que je m’arrête au bas de la côte de Champigny pour leur rendre visite.
• Vous voyez, je vis seule sauf lorsque mon fils vient me voir, même si c’est une éclipse, il vous a conduit à moi et a déjà filé.
Mais c’est de son âge, je suis si contente, qu’il est trouvé une certaine stabilité depuis que Virginie lui a confié ce travail à Paris.
J’espère que tu n’as pas à t’en plaindre Christine.
Eh ! vous, jeune homme, vos vous intéressez à quoi !
Que faite vous comme métier, William, si je me souviens bien !
Je sens que William hésite, il est impossible qu’il dise la réalité de sa visite ici, moi seule la connaît et maintenant on sait que je suis une tombe lorsqu’il s’agit de certaines choses.
Je fais diversion !
• Iris et ce dernier écran tout au bout, j’ai l’impression de déjà vue !
• En venant ici, si tu as regardé de l’autre côté du canal, tu as vu ces trois vitrines.
Elles nous appartiennent et les filles qui y travaillent aussi, la caméra est sur notre façade et je peux la piloter à distance.
Deux vitrines sur trois sont allumées, elles sont deux à travailler.
De loin, je vois qu’elles sont très peu vêtues, mais.
• Iris, peux-tu zoomer sur celle du milieu ?
Merde, mais c’est...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je pense que c’est exprès mais on se perd dans ton histoire. Daniel

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