COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (175)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2499 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 388 468 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 230 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (175)
Merde, mais c’est...
Fabienne, oui, la rebelle de nos vacances à Saint-Palais.
Celle à qui j’ai mis une laisse pour la rabaisser au début de ma vie de courtisane.
Que fait-elle dans cette vitrine et comment s’est-elle retrouvée à Amsterdam dans cette boîte en verre ?
Iris m’explique son dérapage après un moment de sa vie, ou tout est parti en peau de banane.
Qu’est-ce que j’ai voulu me prouver en faisant des passes dans la vitrine voisine de la sienne avant de partir avec les deux femmes, Fabienne et Katerina, j’allais dire pute, au restaurant ?
• Combien dois-tu encore rembourser ?
• Tu veux la vérité, j’ignore combien je dois encore à l’organisation, mais j’ai peur de faire mon retour en France et que je recommence à me droguer et à boire plus que de raison.
• Quelle sont tes rapports avec Katerina ?
• Comme avec toi il y a bien des années, nous partageons le même lit.
• Je vois, dans deux jours avec Franck, nous retournons en France, je vais parler avec Virginie, je te propose une chose !
• Je t’écoute !
Nous tombons d’accord, je décide de rentrer voir si d’un autre côté William aie su profiter de mon absence pour réaliser le projet pour lequel je suis venue avec lui.
Oui, mon voyage avait plusieurs buts, certes vu ma position dans l’organisation un peu comme le bras droit de Virginie et maintenant plus de Katia, j’ai voulu faire connaissance de la voix.
Iris était celle-là et avec comme moi a une grande importance dans l’organisation que nous dirigeons.
Elle mérite mieux que d’être une recluse à cause d’un salopard l’ayant défiguré.
Je rentre à l’hôtel, mais au moment de me coucher, j’envoie un message à William.
Quelle heure est-il dans la nuit ou au matin lorsque je sens qu’on se glisse vers moi sous les draps.
• Alors ?
• Mission accomplie, je l’ai quittée il y a une heure, le temps de rentrer et de me doucher, je viens au rapport.
La veilleuse que j’avais laissée ouverte, dans l’attente de sa venue, me montre l’homme qui vient de me rendre un énorme service.
J’allume ma lampe de chevet, attendant ses explications, mes seins sortent des couvertures, la chambre est à bonne température et lorsque je les montre à mon amant cela me fait énormément plaisir.
William, me pose la main dessus le gauche, ça enflamme ma pointe.
• Arrête, explique !
• Que te dire, sa figure est bien atteinte, mais le reste de son corps est comme celui d’une femme ayant l’âge qu’elle a, un peu comme Virginie à Paris.
Comparer le corps d’Iris avec celui de Virginie me ravit, ça veut dire qu’il l’a vu et de là à imaginer la suite, il n’y a qu’un pas.
• Tu as donc réussi à la coucher sur le lit qui se trouvait dans cette pièce !
• Douterais-tu de mes talents d’escortes, hors de son visage, des corps de femmes de son âge était la majorité de ceux que je voyais avant de décidé d’arrêter ?
Mais dit moi, pendant que je donnais du plaisir à notre amie, j’ai bien vu les écrans et les clients que tu as satisfaits dans la vitrine où je t’ai vu, t’es-tu éclaté ?
• C’est une autre facette de la prostitution dans un pays qui l’a légalisé, mais je vais te faire un aveu, c’est toi qui me manquais.
• Comme toi de mon côté.
Cet aveu est le commencement à ce que je lui passe ma main sous le drap.
J’aurais pu comprendre, qu’il bande mou si comme je le crois, il a honoré Iris une partie de la nuit.
C’est mal connaître la bête de sexe qu’il est.
Certes un peu mou, mais flamboyant lorsque je m’empale sur sa queue.
Dois-je lui en vouloir au moment où un orgasme me traverse que j’entende un léger, très léger ronflement.
• Bon retour, Franck, ramène mes amis à Paris en faisant attention aux limitations.
Ça, c’est le lendemain matin lorsque nous nous apprêtons à rentrer à la capitale.
Enfin, celle de France, car nous passerons par celle de Belgique où je tiens à manger des moules-frites dans un célèbre restaurant de la capitale Belge.
Une mère avec son fils, si un jour, j’ai un enfant de l’homme que j’aurais choisi.
J’allais dire « épousé » me rappelant le seul et unique s’étant terminé en eau de boudin, je fini par « choisi. »
Est-il nécessaire de bâtir une vie avec une bague au doigt, surtout lorsque l’on a été pute ?
De retour, je suis à deux doigts d’appeler Iris, pour lui dire que son fils nous a ramenés en un seul morceau à Chennevières.
• Chloé, tu peux descendre me voir, je suis chez Virginie, je viens de profiter de la piscine !
• Oui, deux minutes, je peaufine un programme, il faut toujours améliorer les choses même si cela fonctionne bien.
Chloé nous rejoint toujours aussi jolie, je serais lesbienne, je crois bien que je m’occuperais sérieusement de son minou.
• Chloé, William emménage dans ma chambre, peux-tu ôter les caméras, moi ça ne me gêne pas, mais lui il a horreur des exhibitions.
Il faut savoir cacher la réalité.
Avant notre départ pour Amsterdam Franck et moi, j’ai eu dans l’idée de fournir à Iris de sa retraite, surtout sexuelle aux Pays-bas, ce qui pourrait être considéré comme un retour à la vie.
Qui mieux qu’une escorte mâle pour me rendre ce service.
William, m’a déclaré sa flamme même si je continuais à me prostituer et qu’en plus d’arrêter d’être au service de ces dames, de ne s’occuper que de moi.
J’ai dit oui, outre le fait de continuer à gérer notre bisness de continuer ma vie d’avant de temps en temps.
Nous sommes tombés d’accord, à la simple demande, que ces caméras disparaissent, non pas qu’il eût peur de s’exhiber devant des caméras, mais pour ses anciennes clientes qui pourraient le relancer.
J’ai dit donnant donnant, mais je voulais qu’il s’occupe d’Iris en venant avec nous et lui redonner confiance en elle, ce serait la dernière fois qu’il baiserait une femme sur commande.
Inutile d’expliquer tout cela à Chloé, mon explication était plus simple.
• Dommage, on va perdre beaucoup de fric, tu étais très tendance.
Ça fait deux jours que je file le parfait amour avec mon Roméo, hors de nos séances de baise lorsque nous sommes seules.
Je récupère de mon voyage, très fructueux, faire plaisir aux gens semblant être ma seconde nature, lorsque mon portable sonne.
• Christine, Fabienne, soit sans crainte Iris va bien.
Tu m’avais demandé de traverser le canal pour venir la rencontrer, nous avons battu le fer pendant qu’il était chaud.
• Qu’as-tu fait de notre ami, pour t’occuper de m’appeler et pourquoi « nous » ?
• Je suis venue avec Katerina, elles dorment toutes les deux, nous avons éclaté ton amie.
Elle nous a dit pour William, qui semble être un parfait étalon, il lui a redonné confiance en elle.
En même temps que nous nous occupions d’elle, c’était William par ci et William par là, gaffe s’il y a quelque chose entre vous qu’elle ne te le pique pas.
• Et c’est pour ça que tu m’appelles !
• Non, Iris nous avait fait voir comment tout fonctionnait, ça impressionnait Katerina, car en Ukraine avant la guerre avec son fiancé, ils s’occupaient du réseau Internet.
Lorsqu’un appel a eu lieu, j’ai pu le prendre et te transmettre une demande.
Connais-tu un certain Alfred ?
• Te souviens-tu de tous les noms de tes clients depuis que je t’ai intéressé à notre travail ?
• Tu as raison, bref, il a dit qu’il ne désirait que toi pour un rendez-vous, voici son numéro 06, il voulait simplement prendre contact avec toi et toi seule.
• J’ai noté, je le rappelle, je verrais ce qu’il me veut.
• Bien, ça bouge sur le lit, Iris semble avoir encore l’envie que nous fassions le douzième round, je vais la mettre Ko.
C’est ainsi que je quitte Florence, satisfaite d’avoir réussi la deuxième phase de la remise sur les rails d’Iris, sexuellement parlant.
• Vous avez demandé que je vous rappelle !
• Oui, mon patron voudrait vous rencontrer, il a une demande à vous faire, nous avons déposé 1 000 € sur le compte de votre organisation, seulement pour une rencontre.
Il y a gros à gagner et il vous expliquera mieux que moi, ça le regarde.
Étrange demande, en temps normal, mon rendez-vous est hôtel X, chambre Y et je fais ce qu’il faut pour satisfaire mon client dans un temps prédéfini par la somme Z qu’il me paye.
• Ou dois-je me rendre pour rencontrer votre patron ?
• Nous vous envoyons un chauffeur, il sait où vous conduire, je vous attends pour 20 heures dans les sous-sols de l’endroit où vous le rencontrez, je vous ferais entrer et je vous conduirais vers mon patron.
Comme prévu, une limousine noire aux vitres noires, même de l’intérieur entre dans un endroit ignorant où je suis.
La voiture roule, j’ai même un mini bar à ma disposition.
Je pourrais prendre peur, mais l’expérience de ma vie fait que je suis sereine, le chauffeur qui m’a fait monter était moins impressionnant qu’Igor ou qu’un Boris russe.
Elle décélère, et semble entrer dans un parking avant de s’immobiliser.
• Bonsoir madame veuillez me suivre, mon patron vous attend !...
Fabienne, oui, la rebelle de nos vacances à Saint-Palais.
Celle à qui j’ai mis une laisse pour la rabaisser au début de ma vie de courtisane.
Que fait-elle dans cette vitrine et comment s’est-elle retrouvée à Amsterdam dans cette boîte en verre ?
Iris m’explique son dérapage après un moment de sa vie, ou tout est parti en peau de banane.
Qu’est-ce que j’ai voulu me prouver en faisant des passes dans la vitrine voisine de la sienne avant de partir avec les deux femmes, Fabienne et Katerina, j’allais dire pute, au restaurant ?
• Combien dois-tu encore rembourser ?
• Tu veux la vérité, j’ignore combien je dois encore à l’organisation, mais j’ai peur de faire mon retour en France et que je recommence à me droguer et à boire plus que de raison.
• Quelle sont tes rapports avec Katerina ?
• Comme avec toi il y a bien des années, nous partageons le même lit.
• Je vois, dans deux jours avec Franck, nous retournons en France, je vais parler avec Virginie, je te propose une chose !
• Je t’écoute !
Nous tombons d’accord, je décide de rentrer voir si d’un autre côté William aie su profiter de mon absence pour réaliser le projet pour lequel je suis venue avec lui.
Oui, mon voyage avait plusieurs buts, certes vu ma position dans l’organisation un peu comme le bras droit de Virginie et maintenant plus de Katia, j’ai voulu faire connaissance de la voix.
Iris était celle-là et avec comme moi a une grande importance dans l’organisation que nous dirigeons.
Elle mérite mieux que d’être une recluse à cause d’un salopard l’ayant défiguré.
Je rentre à l’hôtel, mais au moment de me coucher, j’envoie un message à William.
Quelle heure est-il dans la nuit ou au matin lorsque je sens qu’on se glisse vers moi sous les draps.
• Alors ?
• Mission accomplie, je l’ai quittée il y a une heure, le temps de rentrer et de me doucher, je viens au rapport.
La veilleuse que j’avais laissée ouverte, dans l’attente de sa venue, me montre l’homme qui vient de me rendre un énorme service.
J’allume ma lampe de chevet, attendant ses explications, mes seins sortent des couvertures, la chambre est à bonne température et lorsque je les montre à mon amant cela me fait énormément plaisir.
William, me pose la main dessus le gauche, ça enflamme ma pointe.
• Arrête, explique !
• Que te dire, sa figure est bien atteinte, mais le reste de son corps est comme celui d’une femme ayant l’âge qu’elle a, un peu comme Virginie à Paris.
Comparer le corps d’Iris avec celui de Virginie me ravit, ça veut dire qu’il l’a vu et de là à imaginer la suite, il n’y a qu’un pas.
• Tu as donc réussi à la coucher sur le lit qui se trouvait dans cette pièce !
• Douterais-tu de mes talents d’escortes, hors de son visage, des corps de femmes de son âge était la majorité de ceux que je voyais avant de décidé d’arrêter ?
Mais dit moi, pendant que je donnais du plaisir à notre amie, j’ai bien vu les écrans et les clients que tu as satisfaits dans la vitrine où je t’ai vu, t’es-tu éclaté ?
• C’est une autre facette de la prostitution dans un pays qui l’a légalisé, mais je vais te faire un aveu, c’est toi qui me manquais.
• Comme toi de mon côté.
Cet aveu est le commencement à ce que je lui passe ma main sous le drap.
J’aurais pu comprendre, qu’il bande mou si comme je le crois, il a honoré Iris une partie de la nuit.
C’est mal connaître la bête de sexe qu’il est.
Certes un peu mou, mais flamboyant lorsque je m’empale sur sa queue.
Dois-je lui en vouloir au moment où un orgasme me traverse que j’entende un léger, très léger ronflement.
• Bon retour, Franck, ramène mes amis à Paris en faisant attention aux limitations.
Ça, c’est le lendemain matin lorsque nous nous apprêtons à rentrer à la capitale.
Enfin, celle de France, car nous passerons par celle de Belgique où je tiens à manger des moules-frites dans un célèbre restaurant de la capitale Belge.
Une mère avec son fils, si un jour, j’ai un enfant de l’homme que j’aurais choisi.
J’allais dire « épousé » me rappelant le seul et unique s’étant terminé en eau de boudin, je fini par « choisi. »
Est-il nécessaire de bâtir une vie avec une bague au doigt, surtout lorsque l’on a été pute ?
De retour, je suis à deux doigts d’appeler Iris, pour lui dire que son fils nous a ramenés en un seul morceau à Chennevières.
• Chloé, tu peux descendre me voir, je suis chez Virginie, je viens de profiter de la piscine !
• Oui, deux minutes, je peaufine un programme, il faut toujours améliorer les choses même si cela fonctionne bien.
Chloé nous rejoint toujours aussi jolie, je serais lesbienne, je crois bien que je m’occuperais sérieusement de son minou.
• Chloé, William emménage dans ma chambre, peux-tu ôter les caméras, moi ça ne me gêne pas, mais lui il a horreur des exhibitions.
Il faut savoir cacher la réalité.
Avant notre départ pour Amsterdam Franck et moi, j’ai eu dans l’idée de fournir à Iris de sa retraite, surtout sexuelle aux Pays-bas, ce qui pourrait être considéré comme un retour à la vie.
Qui mieux qu’une escorte mâle pour me rendre ce service.
William, m’a déclaré sa flamme même si je continuais à me prostituer et qu’en plus d’arrêter d’être au service de ces dames, de ne s’occuper que de moi.
J’ai dit oui, outre le fait de continuer à gérer notre bisness de continuer ma vie d’avant de temps en temps.
Nous sommes tombés d’accord, à la simple demande, que ces caméras disparaissent, non pas qu’il eût peur de s’exhiber devant des caméras, mais pour ses anciennes clientes qui pourraient le relancer.
J’ai dit donnant donnant, mais je voulais qu’il s’occupe d’Iris en venant avec nous et lui redonner confiance en elle, ce serait la dernière fois qu’il baiserait une femme sur commande.
Inutile d’expliquer tout cela à Chloé, mon explication était plus simple.
• Dommage, on va perdre beaucoup de fric, tu étais très tendance.
Ça fait deux jours que je file le parfait amour avec mon Roméo, hors de nos séances de baise lorsque nous sommes seules.
Je récupère de mon voyage, très fructueux, faire plaisir aux gens semblant être ma seconde nature, lorsque mon portable sonne.
• Christine, Fabienne, soit sans crainte Iris va bien.
Tu m’avais demandé de traverser le canal pour venir la rencontrer, nous avons battu le fer pendant qu’il était chaud.
• Qu’as-tu fait de notre ami, pour t’occuper de m’appeler et pourquoi « nous » ?
• Je suis venue avec Katerina, elles dorment toutes les deux, nous avons éclaté ton amie.
Elle nous a dit pour William, qui semble être un parfait étalon, il lui a redonné confiance en elle.
En même temps que nous nous occupions d’elle, c’était William par ci et William par là, gaffe s’il y a quelque chose entre vous qu’elle ne te le pique pas.
• Et c’est pour ça que tu m’appelles !
• Non, Iris nous avait fait voir comment tout fonctionnait, ça impressionnait Katerina, car en Ukraine avant la guerre avec son fiancé, ils s’occupaient du réseau Internet.
Lorsqu’un appel a eu lieu, j’ai pu le prendre et te transmettre une demande.
Connais-tu un certain Alfred ?
• Te souviens-tu de tous les noms de tes clients depuis que je t’ai intéressé à notre travail ?
• Tu as raison, bref, il a dit qu’il ne désirait que toi pour un rendez-vous, voici son numéro 06, il voulait simplement prendre contact avec toi et toi seule.
• J’ai noté, je le rappelle, je verrais ce qu’il me veut.
• Bien, ça bouge sur le lit, Iris semble avoir encore l’envie que nous fassions le douzième round, je vais la mettre Ko.
C’est ainsi que je quitte Florence, satisfaite d’avoir réussi la deuxième phase de la remise sur les rails d’Iris, sexuellement parlant.
• Vous avez demandé que je vous rappelle !
• Oui, mon patron voudrait vous rencontrer, il a une demande à vous faire, nous avons déposé 1 000 € sur le compte de votre organisation, seulement pour une rencontre.
Il y a gros à gagner et il vous expliquera mieux que moi, ça le regarde.
Étrange demande, en temps normal, mon rendez-vous est hôtel X, chambre Y et je fais ce qu’il faut pour satisfaire mon client dans un temps prédéfini par la somme Z qu’il me paye.
• Ou dois-je me rendre pour rencontrer votre patron ?
• Nous vous envoyons un chauffeur, il sait où vous conduire, je vous attends pour 20 heures dans les sous-sols de l’endroit où vous le rencontrez, je vous ferais entrer et je vous conduirais vers mon patron.
Comme prévu, une limousine noire aux vitres noires, même de l’intérieur entre dans un endroit ignorant où je suis.
La voiture roule, j’ai même un mini bar à ma disposition.
Je pourrais prendre peur, mais l’expérience de ma vie fait que je suis sereine, le chauffeur qui m’a fait monter était moins impressionnant qu’Igor ou qu’un Boris russe.
Elle décélère, et semble entrer dans un parking avant de s’immobiliser.
• Bonsoir madame veuillez me suivre, mon patron vous attend !...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...

