COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (3/4)
Non, demain, je vais continuer à chercher du travail.
Je sais c’est difficile, Mac Do c'était un coup de pot, mais ça a duré trois mois.
Hier, je suis allée comme prévu à Pôle emploi.
On vous préviendra si nous avons quelque chose pour vous.
Je me prépare et alors que j’allais retourner chasser un emploi me rendant compte que même à Paris il faut être de vrais chasseurs.
On frappe, c’est Pauline, très essoufflée.
• Elle est conne cette pétasse, j’ai eu beau lui dire que je venais te voir et que nous étions propriétaire de ton logement, elle m’a imposée de monter à pied.
À mon âge, j’ai failli crever tout au long de ses huit étages.
Quand je dis que je suis chanceuse, notre cousine est venue me dire que le cousin Germain a été libéré et que je vais pouvoir commencer mon travail à l’étude.
Je suis à deux doigts de lui sauter au cou.
• Laisse-moi entrer, je suis épuisée, dire que tu fais ça plusieurs fois par jour, je t’admire, as-tu à boire, un Whisky.
• Un whisky, un verre d’eau avec des glaçons de mon petit frigo, c’est tout, tu sais, je me contente de peu.
• Excuse, je te comprends, moi aussi je suis dans la panade.
Germain est en prison attendant un premier jugement.
Tous nos avoirs sont bloqués et je commence à tirer la langue avec les frais de l’étude qui courent.
Lorsque nous nous sommes mariés, nous avons signé un contrat de mariage et mes biens me sont accessibles.
Ce logement, en fait parti, lorsque nous l’avons acheté, Germain m’a dit que c’était pour que je continue à vivre qu’il le mettait à mon nom.
J’ai un acheteur qui paye cash, c’est un ami, mais il veut que l’appartement soit libre.
Tu comprends, c’est un homme et il a sa vie.
Cousine, j’ai compris, il te baise et il veut en faire sa garçonnière avec toi comme salope qui profite de l’incarcération de son mari pour se faire sauter.
Chloé est une escorte et une pute, mais elle assume son statut de femme libre aimant le pognon et le sexe.
• Sois tranquille, tu as huit jours devant toi pour libérer la chambre.
Là encore, elle doit avoir la chatte qui mouille, mais veut me montrer sa mansuétude en attendant une semaine pour se farcir les huit étages.
À moins qu’elle ait ses règles et qu’elle soit dans l’impossibilité de se faire baiser.
Ça va peser dans la balance, Chloé pouvant peut-être m’aider.
• Bonjour, Séraphine, tu as trouvé facilement La Tour d’Argent !
Après le châteaubriant, la Tour d’Argent, je vais prendre goût à fréquenter les grands restaurants.
• Je vois que tu es retournée au Prisunic pour te vêtir, ta robe blanche est jolie, mais ça sent la fabrication en série.
Regarde les finitions de la mienne et de la tienne, les gens friqués remarquent ce genre de petite différence.
Un serveur s’avance après que la responsable de salle nous ait installés.
• J’ai compris que tu étais une Bourguignonne, un Pommard, ça te parle !
• Je sais que c’est un vin de la côte dijonnaise, moi je vendange à Mercurey sur la côte chalonnaise.
• Alors un mercurey 1er cru.
Servi, nous trinquons, je me sens regardé par quelques hommes qui pourtant ont de jolies femmes.
Chloé commence à vouloir me persuader que si je veux vivre et gagner beaucoup d’argent, mon corps et mon esprit sont parfaitement capables de l’accepter et le supporter.
• As-tu un copain, belle comme tu es, je pense que tu as perdu ton pucelage ?
• Oui, avec un ami.
• Un ami, tu te vois avec lui toute la vie !
Je commence à me poser des questions.
Il est vrai que baiser avec Johnny pour les avantages que je tirais et qui va s’arrêter avec notre éloignement, quelle différence avec une soirée me retrouvant en tête à tête avec un client me donnant une enveloppe !
Ça m’interpelle.
Un autre problème peut me faire basculer, le problème de logement qui vient de me tomber dessus.
• Tu sais Chloé, j’ai un autre souci que de profiter de mes atouts pour gagner de l’argent, où vais-je dormir d’ici une semaine ?
J’étais logée par Germain le notaire qui devait me donner du travail.
• Attends, le notaire dont on parle dans tous les journaux, c’est ton cousin, ma pauvre, tu peux tirer un trait sur un emploi de sa part.
Il a avoué tout ce que l’on lui reproche sauf qu’il a tué la vieille dame.
Il va passer en correctionnel je l’ai vu aux infos à la télé en me préparant pour venir te rencontrer.
Là encore, j’ai une solution pour toi et ton logement.
Mon appartement près des Champ Élysée à deux chambres, je travaille souvent à l’extérieur, mais je reçois aussi à domicile.
J’ai tellement développé mon activité que la plupart du temps, surtout lorsque je vais à l’étranger, je dois refuser des clients.
Tu pourrais les prendre en charge et me soulager sans que cela me coûte.
Comme je l’ai dit, je sais prendre des décisions.
• Quand puis-je emménager ?
• Dès demain, tu viens, je te trouve un client pour essai, si ça fonctionne, tu travailles en bonne harmonie avec moi.
Tout se met en place, je quitte les cousins, pardon ma cousine et récupère ma chambre.
Le soir même, je vais dans un hôtel retrouver un bon client de Chloé.
• Comment, va Chloé, elle m’a recommandé de vous recevoir, car elle a un petit problème de santé ?
Il faut savoir cacher la vérité et lorsque j’ai reçu ma deuxième enveloppe moins grosse que celle que reçoit mon amie, les escortes ont une cote sur le marché mondial, je fais mon travail du mieux que je peux.
Elle m’a appris les ficelles du métier, je demande 2 000 € comme simple escorte dans un restaurant et 1 000 pour rejoindre leur chambre pour la nuit.
Les premiers temps où elle est devenue escorte, elle demandait 1 000 € pour un repas et 2 000 pour une prolongation en chambre.
Ayant déjà dépensé une somme importante, ils rechignaient à en dépenser encore plus.
En prenant plus chère pour le dîner et ensuite bien moins après, les clients ont l’impression de dépenser moins en payant la partie jambes en l’air.
Ce client, comme je le faisais avec Jhonny, je le suce, il bande, je lui demande comment il veut me prendre, cet homme s’était en levrette puis en missionnaire.
Il finit dans ma bouche ayant le plaisir d’éjaculer dans celle d’une femme.
Je comprends bien que son épouse, il a une alliance, refuse la sucette et qui plus est, avaler son sperme.
Bref premier, mais suivi de beaucoup d’autres.
Ça fait presque trois ans que j’ai emménagé près de l’avenue des Champs Élysées.
Si je devais compter mes clients, la liste serait trop longue.
Chaque année, je retourne à la ferme pour Noël.
Bien sûr, je viens avec des cadeaux, mais en remettant mes jeans et mes baskets.
Pourtant, elles ont une différence que mon frère et mes parents sont loin de remarquer.
Ce sont des fringues de luxe achetés avec Chloé dans une grande maison parisienne plutôt d’un genre assez jeune au lieu du Prisunic.
Afin qu’ils soient sereins, je leur ai dit avoir trouvé un travail bien payé et que je donne des cours à des jeunes de famille riche qui me paye bien.
Maman loue une nouvelle fois l’instruction qu’ils m’ont donnée.
Aujourd’hui repos, Chloé m’appelle.
• Ludivine, je vais prendre mon bain, j’attends un client qui m’a contacté, il vient au salon de l'agriculture, offre-lui un verre au salon et dis-lui d’attendre.
Ludivine, c’est le nom d’escorte que j’ai sur Internet en remplacement de Séraphine, ça fait plus sérieux.
Je continue à me faire belle, j’ai moi-même un client ce soir, repas et plus si affinités.
Encore 3 000 ou 5 000 € dans mon coffre-fort.
Oui, je suis tellement demandée que moi aussi je refuse des clients et que mes tarifs ont rattrapé ceux de Chloé.
Ça sonne, je vais ouvrir en peignoir.
• Ludovic, que fais-tu là.
• Et toi, tu nous as dit avoir une bonne situation or tu fais la boniche chez Chloé, une pute.
• Et toi qui viens-tu voir, Chloé ou Ludivine.
• Chloé, quoi Ludivine, c’est toi, salope, sale pute...
Je sais c’est difficile, Mac Do c'était un coup de pot, mais ça a duré trois mois.
Hier, je suis allée comme prévu à Pôle emploi.
On vous préviendra si nous avons quelque chose pour vous.
Je me prépare et alors que j’allais retourner chasser un emploi me rendant compte que même à Paris il faut être de vrais chasseurs.
On frappe, c’est Pauline, très essoufflée.
• Elle est conne cette pétasse, j’ai eu beau lui dire que je venais te voir et que nous étions propriétaire de ton logement, elle m’a imposée de monter à pied.
À mon âge, j’ai failli crever tout au long de ses huit étages.
Quand je dis que je suis chanceuse, notre cousine est venue me dire que le cousin Germain a été libéré et que je vais pouvoir commencer mon travail à l’étude.
Je suis à deux doigts de lui sauter au cou.
• Laisse-moi entrer, je suis épuisée, dire que tu fais ça plusieurs fois par jour, je t’admire, as-tu à boire, un Whisky.
• Un whisky, un verre d’eau avec des glaçons de mon petit frigo, c’est tout, tu sais, je me contente de peu.
• Excuse, je te comprends, moi aussi je suis dans la panade.
Germain est en prison attendant un premier jugement.
Tous nos avoirs sont bloqués et je commence à tirer la langue avec les frais de l’étude qui courent.
Lorsque nous nous sommes mariés, nous avons signé un contrat de mariage et mes biens me sont accessibles.
Ce logement, en fait parti, lorsque nous l’avons acheté, Germain m’a dit que c’était pour que je continue à vivre qu’il le mettait à mon nom.
J’ai un acheteur qui paye cash, c’est un ami, mais il veut que l’appartement soit libre.
Tu comprends, c’est un homme et il a sa vie.
Cousine, j’ai compris, il te baise et il veut en faire sa garçonnière avec toi comme salope qui profite de l’incarcération de son mari pour se faire sauter.
Chloé est une escorte et une pute, mais elle assume son statut de femme libre aimant le pognon et le sexe.
• Sois tranquille, tu as huit jours devant toi pour libérer la chambre.
Là encore, elle doit avoir la chatte qui mouille, mais veut me montrer sa mansuétude en attendant une semaine pour se farcir les huit étages.
À moins qu’elle ait ses règles et qu’elle soit dans l’impossibilité de se faire baiser.
Ça va peser dans la balance, Chloé pouvant peut-être m’aider.
• Bonjour, Séraphine, tu as trouvé facilement La Tour d’Argent !
Après le châteaubriant, la Tour d’Argent, je vais prendre goût à fréquenter les grands restaurants.
• Je vois que tu es retournée au Prisunic pour te vêtir, ta robe blanche est jolie, mais ça sent la fabrication en série.
Regarde les finitions de la mienne et de la tienne, les gens friqués remarquent ce genre de petite différence.
Un serveur s’avance après que la responsable de salle nous ait installés.
• J’ai compris que tu étais une Bourguignonne, un Pommard, ça te parle !
• Je sais que c’est un vin de la côte dijonnaise, moi je vendange à Mercurey sur la côte chalonnaise.
• Alors un mercurey 1er cru.
Servi, nous trinquons, je me sens regardé par quelques hommes qui pourtant ont de jolies femmes.
Chloé commence à vouloir me persuader que si je veux vivre et gagner beaucoup d’argent, mon corps et mon esprit sont parfaitement capables de l’accepter et le supporter.
• As-tu un copain, belle comme tu es, je pense que tu as perdu ton pucelage ?
• Oui, avec un ami.
• Un ami, tu te vois avec lui toute la vie !
Je commence à me poser des questions.
Il est vrai que baiser avec Johnny pour les avantages que je tirais et qui va s’arrêter avec notre éloignement, quelle différence avec une soirée me retrouvant en tête à tête avec un client me donnant une enveloppe !
Ça m’interpelle.
Un autre problème peut me faire basculer, le problème de logement qui vient de me tomber dessus.
• Tu sais Chloé, j’ai un autre souci que de profiter de mes atouts pour gagner de l’argent, où vais-je dormir d’ici une semaine ?
J’étais logée par Germain le notaire qui devait me donner du travail.
• Attends, le notaire dont on parle dans tous les journaux, c’est ton cousin, ma pauvre, tu peux tirer un trait sur un emploi de sa part.
Il a avoué tout ce que l’on lui reproche sauf qu’il a tué la vieille dame.
Il va passer en correctionnel je l’ai vu aux infos à la télé en me préparant pour venir te rencontrer.
Là encore, j’ai une solution pour toi et ton logement.
Mon appartement près des Champ Élysée à deux chambres, je travaille souvent à l’extérieur, mais je reçois aussi à domicile.
J’ai tellement développé mon activité que la plupart du temps, surtout lorsque je vais à l’étranger, je dois refuser des clients.
Tu pourrais les prendre en charge et me soulager sans que cela me coûte.
Comme je l’ai dit, je sais prendre des décisions.
• Quand puis-je emménager ?
• Dès demain, tu viens, je te trouve un client pour essai, si ça fonctionne, tu travailles en bonne harmonie avec moi.
Tout se met en place, je quitte les cousins, pardon ma cousine et récupère ma chambre.
Le soir même, je vais dans un hôtel retrouver un bon client de Chloé.
• Comment, va Chloé, elle m’a recommandé de vous recevoir, car elle a un petit problème de santé ?
Il faut savoir cacher la vérité et lorsque j’ai reçu ma deuxième enveloppe moins grosse que celle que reçoit mon amie, les escortes ont une cote sur le marché mondial, je fais mon travail du mieux que je peux.
Elle m’a appris les ficelles du métier, je demande 2 000 € comme simple escorte dans un restaurant et 1 000 pour rejoindre leur chambre pour la nuit.
Les premiers temps où elle est devenue escorte, elle demandait 1 000 € pour un repas et 2 000 pour une prolongation en chambre.
Ayant déjà dépensé une somme importante, ils rechignaient à en dépenser encore plus.
En prenant plus chère pour le dîner et ensuite bien moins après, les clients ont l’impression de dépenser moins en payant la partie jambes en l’air.
Ce client, comme je le faisais avec Jhonny, je le suce, il bande, je lui demande comment il veut me prendre, cet homme s’était en levrette puis en missionnaire.
Il finit dans ma bouche ayant le plaisir d’éjaculer dans celle d’une femme.
Je comprends bien que son épouse, il a une alliance, refuse la sucette et qui plus est, avaler son sperme.
Bref premier, mais suivi de beaucoup d’autres.
Ça fait presque trois ans que j’ai emménagé près de l’avenue des Champs Élysées.
Si je devais compter mes clients, la liste serait trop longue.
Chaque année, je retourne à la ferme pour Noël.
Bien sûr, je viens avec des cadeaux, mais en remettant mes jeans et mes baskets.
Pourtant, elles ont une différence que mon frère et mes parents sont loin de remarquer.
Ce sont des fringues de luxe achetés avec Chloé dans une grande maison parisienne plutôt d’un genre assez jeune au lieu du Prisunic.
Afin qu’ils soient sereins, je leur ai dit avoir trouvé un travail bien payé et que je donne des cours à des jeunes de famille riche qui me paye bien.
Maman loue une nouvelle fois l’instruction qu’ils m’ont donnée.
Aujourd’hui repos, Chloé m’appelle.
• Ludivine, je vais prendre mon bain, j’attends un client qui m’a contacté, il vient au salon de l'agriculture, offre-lui un verre au salon et dis-lui d’attendre.
Ludivine, c’est le nom d’escorte que j’ai sur Internet en remplacement de Séraphine, ça fait plus sérieux.
Je continue à me faire belle, j’ai moi-même un client ce soir, repas et plus si affinités.
Encore 3 000 ou 5 000 € dans mon coffre-fort.
Oui, je suis tellement demandée que moi aussi je refuse des clients et que mes tarifs ont rattrapé ceux de Chloé.
Ça sonne, je vais ouvrir en peignoir.
• Ludovic, que fais-tu là.
• Et toi, tu nous as dit avoir une bonne situation or tu fais la boniche chez Chloé, une pute.
• Et toi qui viens-tu voir, Chloé ou Ludivine.
• Chloé, quoi Ludivine, c’est toi, salope, sale pute...
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