COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. La fermière (4/4)
Je viens d’ouvrir la porte de notre appartement à un client que Chloé attend.
Elle a du retard dans sa préparation et est dans son bain.
J’ouvre et j’ai la mauvaise surprise de voir mon frère là devant moi.
Au début, il me prend pour la boniche avant de comprendre que j’ai changé de nom et que je suis l’une des deux putes attendant le client.
Le ton monte rapidement alors qu’il est sur le palier la porte ouverte.

• C’est toi qui me traites de salopes et de putes alors que depuis que je gagne du fric avec mon cul, tu as bien su en profiter.
Les vaches que je t’ai payées avec ce taureau reproducteur charolais, comment crois-tu que j’ai pu te les offrir, t’es-tu posé la question ?
Tu dois être à Paris au salon avec lui pour essayer de gagner un prix et gagner plus d’argent à la reproduction.
• Brutus a gagné en fin de matinée dans sa catégorie, reproducteur charolais, sa valeur en semence vient énormément de monter.
• Tu vois à quoi mon cul a servi !
Et le couple de cochons, combien de portée t’ont-ils donné depuis que je te les ai achetés eux encore avec mon cul ?
Ces portées, combien les as-tu vendues, eux aussi ?
• Merci soeurette, un bon prix.
• C’est loin d’être tout, maman lorsque je l’ai eu au téléphone louait ton sens des affaires.
Tu oublies le tracteur avec doubles roues arrière pour travailler de tout temps et éviter de t’enliser, qui a payé.
À aucun moment t’es-tu posé la moindre question, comment je pouvais vous offrir tout ça et vivre à Paris.
• Oh là, on baisse d’un ton, Ludivine, tu sais qu’ici il nous faut rester discret.
Qui est ce garçon avec lequel tu t’engueules ?
• Ludovic, mon frère, il me reproche de faire la putain alors que depuis des années il profite de mon cul pour développer notre ferme.

Elle ferme la porte.

• Je l’ignorais, si j’avais su que tu te sacrifiais pour nous, j’aurais agi autrement.
• Qui parle de sacrifice, je suis pleinement consciente de ce que je fais et que je continue à faire.
J’aime le sexe et le pognon qu’il me rapporte.
• C’est bien les enfants, maintenant que tout est redevenu calme, Ludovic, comment as-tu eu notre adresse ?
• Ça fait huit jours que le salon a commencé.
Hubert, un copain berger est venu la semaine dernière ayant gagné dans sa catégorie ovine.
Il m’a dit qu’il connaissait deux putes et qu’il avait baisé Ludivine, j’ai appelé et c’est toi Chloé qui a répondu .
Tu as accepté que je vienne et me voilà.
• Je me rappelle Ludivine, j’étais dans la cuisine et tu étais avec un client, ton portable était sur la table.
Comme tu le fais avec le mien, j’ai décroché et lui ayant nos tarifs à l’heure ou la demi-heure, je lui ai dit de venir.
Ludivine retourne dans ta chambre, Ludo suit moi, tu vas une nouvelle fois profiter de nos culs à l’œil, ce sera ma contribution à vos travaux de la ferme.

Je vais continuer à me préparer, une vraie pro évite de faire attendre son client plus que de raison.
Je viens de me raser la chatte, pris un bain et je me suis maquillée.
Chloe m’a montrée tout cela dès mon premier client.
Inutile de vous expliquer, comment je me prépare en cas d’envie de sodomie des clients.
Là encore, Chloé m’a montrée cette pratique avec une poire et un gode.
Le deuxième client m’a rapportée un supplément lorsqu’il m’a enculée en levrette sans que je ressente trop de douleur.
Je repense à tout ça depuis que j’ai accepté de suivre la vie d’escorte que me proposait Chloé en plus de la chambre.
Combien de temps depuis que mon frère se vide les couilles dans la chatte de mon amie ?
Sa chatte ou alors son cul, pourquoi prenait-elle un bain, certainement après être passé par le bidet ?

J’entends la porte de sa chambre s’ouvrir, on frappe à la mienne.
Je vais ouvrir pensant que c’est Chloé.
C’est Ludovic qui est derrière.

• Séraphine, je peux entrer, je voulais m’excuser de t’avoir traité de pute.
• Pourtant, j’en suis une mon frère, il va bien falloir que tu t’y fasses.
• Justement, je voulais te demander.

Je le sens anxieux voulant me demander quelque chose.

• Accouche, tu as besoin de combien et pourquoi j’aime savoir pourquoi j’investis.
• 30 000 € pour refaire le toit de la grange et de l’étable.
Il y a eu un coup de vent la semaine dernière avant que je parte et même si les assurances vont intervenir, je voudrais faire des modifications pour agrandir le stockage de foin.

Je vais à mon coffre, devant moi des liasses de 20 billets de 500, j’en prends 4.
Il en reste encore plus des 200 et des 100.
Le reste est à la banque, c’est l’argent officiel qui me permet de payer des impôts et être une femme dite honorable.

• Tiens, prends, voilà 40 000 €.
Tu vas me signer une reconnaissance de dette.
Tu vas bien trouver des artisans du coin acceptant du cash pour te faire ton extension au black.
À partir de maintenant, chaque fois que je te donnerai un centime tu me signeras une reconnaissance de dette.
Fini les cadeaux, je dois penser au moment où mon cul aura perdu de l’attrait et que les clients se feront rare.
Je te ressortirai ces billets signés de ta main l’un après l’autre et à partir de ce moment, ce sera toi la pute de notre famille.
Dépense ce que tu veux, je suivrais financièrement, mais à chaque fois ce sera un petit bout de notre héritage qui passera dans ma propre poche.
Va, retourne branler ton taureau, s’il a gagné c’est qu’il doit avoir une belle paire de couilles.
Moi ce soir, je vais branler mon client en pensant à toi petite merde qui est plus pute que je suis pute.
Nous nous reverrons fin août, début septembre.
J’ai téléphoné à maman ce matin pour qu’elle contacte le viticulteur de Mercurey où je faisais les vendanges pour me faire trois francs six sous.
Chloé veut connaître le plaisir d’avoir le dos cassé, là encore pour gagner ce que je vais gagner en une heure de cette soirée.
Maman est contente de connaître mon amie avec laquelle je vis, je lui ai dit que nous étions colocataires.
Avec les 10 000 € supplémentaires que je te donne, je t’impose de refaire toi-même ma chambre de jeune fille, nous coucherons dans le même lit.
Ah ! oui le lit devra avoir des barreaux.

Là encore, je dois reconnaître que notre rapprochement lorsque je suis venue chez Chloé, lorsque nous avons un moment de libre, nous faisons la sieste ou nous passons la nuit ensemble.
Pour notre travail, nous avons des joujoux érotiques dont des menottes et des cravaches ou des petits fouets à lanière de cuir.
Nous adorons arriver à ce que nous atteignons l’orgasme, ce qui est presque impossible avec nos clients, car à tout moment il nous faut maîtriser nos émotions et rester maître de nos jeux érotiques.
C’est nous qui sommes payées pour dominer il ou elle, j’ai quelques clientes adorant que je leur donne du plaisir alors que dans leur travail, elles gèrent leur société avec de nombreux hommes.
Nous connaissons des escortes, ce monde est très petit, ayant bafoué ce principe finissant dans des postures de soumission.
Avec Chloé, nous faisons très attention l’une à l’autre, est-ce de l’amour, je dis non, car de tout temps la bite des hommes nous est nécessaire.
Nous restons pleinement des femmes.
J’expédie mon frère et je rejoins mon client, sans dire ce qu’il veut, respect de la vie privée de chacun mon coffre-fort retrouve déjà 5 000 € en liquide de 500 et 200 €.

En septembre, la semaine est très sympa, je sens bien le gène de mon frère, mais d’un regard je lui fais comprendre qu’il change d’attitude.
Ce soir, c’est la fête de fin de vendange, la Paulée.
Ludovic est invité, il est copain avec Dominique.
Je danse avec lui et je me retrouve dans sa chambre.
Je me sers de tout mon métier si métier il y a, il est dit que c’est le plus vieux du monde et que tant que sur la terre il y aura des hommes et des femmes il le restera.
Je sais que Dominique baise à tout va et restera foncièrement célibataire.
À la fin de la nuit, c’est lui qui me demande à me revoir.
Je serai là à Noël et au jour de l’An.
J’ai tellement bien manoeuvré dans cette première nuit qu’il en redemande après le restaurant qu’il m’offre avant de me proposer une bague de fiançailles.
Je suis devenue une vraie femme d’affaires, je lui ai fait croire que je travaillais pour une banque avec Chloé dans les actions.
Il est vrai que j’en ai, mais c’est accessoire et ça permet de cacher les liquidités que nous gagnons avec nos chattes.

• Dominique, tu es gentil et je tiens à rester indépendante dans ma vie.
J’ai trop vu ma mère être à la solde d’un homme, je gagne bien ma vie et j’aime Paris.
Tu aimes ton exploitation viticole, je te propose un partenariat entre nous, j'investis dans le vin, as-tu besoin de quelque chose de spécifique.
Vu sous cet angle, je range ma bague, j’aurais besoin de construire une station à cuve froide pour faire du vin rosé, je te propose de m’aider à la financer.

Voilà encore des revenus pour mes vieux jours, la ferme de mes parents, mon frère m’ayant signé une nouvelle reconnaissance pour racheter trois hectares de terre à un vieux paysan prenant sa retraite.
En maintenant mon contact physique avec Dominique, je préserve encore mieux l’avenir.
Lorsque je suis dans sa salle de bains, je récupère des cheveux sur sa brosse que je mets dans mon coffre.
Lorsque j’aurai trente ans, moment où mon corps dira assez, je coucherai avec lui lors de vacances jusqu’à ce qu’il me fasse un fils.
S’il refuse de le reconnaître soit en France si d’ici là c’est légal, soit à l’étranger ou ça se fait je ferai un test ADN pour que mon fils soit légalement reconnu pour hériter du domaine de Mercurey.

Je sais que c'est un plan pourri, mais lorsque mes parents ont choisi mon frère et m’ont dit de faire ma valise, se sont-ils posé la question que cette décision était bien morale, car je suis une fille.
L’avenir nous le dira, en attendant, je vais continuer à faire la pute comme me l’a dit mon frère découvrant que je me prostituais.

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