COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise. (2/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise. (2/6)
Hanabi, c’est le nom d’escorte que Tonton Fujiko m’a donné il y a deux ans quand il m’a proposé de rentrer dans le milieu des filles sortant avec des mecs pleins de fric.
Fujiko est un maître yakusa dans mon pays d’origine.
C’est le jour où m’emmenant dans sa chambre au Mandarin Orientale, palace parisien du faubourg Saint-Honoré malgré notre degré de parenté, il m’a dépucelé.
Je dois être faite pour le sexe, malgré la rupture de mon hymen, j’arrive à l’orgasme.
Il faut dire que Fujiko est un maître chez les yakusas et au lit avec les femmes.
Nous sommes dans son lit, il dort, un vieux monsieur se livrant à des ébats avec une jeune femme de vingt-deux ans, même s’il est un yakusa de la première importance reste un vieillard que j’ai épuisé.
Il a vanté mon esprit qui se met en marche.
Je repense à mon père, depuis quelque temps, ayant grandi, je me demandais pourquoi papa s’occupait de nous afin que notre vie soit sereine sans travailler.
Pourquoi mon père même s’il portait des tenues européennes avaient toujours des cols cachant son cou ?
Mon père, lui aussi doit être un yakusa qui cache ses tatouages.
Qu’a-t-il fait pour se retrouver à Paris, un mystère que je compte bien percer ?
Il se réveille, me reconnaît et me caresse la joue.
• Tu as été parfaite, es-tu d’accord pour m’aider dans mon travail.
• Si tu me dis qui es mon père, il est yakusa comme toi, du moins je le pense.
• Ton intelligence, il m’a toujours vanté ton intelligence chaque fois que je l’ai au téléphone.
Oui, c’est un yakusa comme moi.
• Pourquoi est-il venu vivre à Paris ?
• À cause de ta mère !
• Ma mère, cette femme réservée, une véritable ombre !
• Une ombre qui était une beauté la même que la tienne dans notre jeunesse.
Ta mère était la fille du maître Kodama yakusa du Japon en ce temps-là.
Nous étions sa garde la plus rapprochée.
Un jour, nous gardions sa villa au bord de la mer et nous l’avons vue aller se baigner.
Le patron nous avait dit de la suivre pour la protéger.
C’est dans une cabane de pécheur qu’ils se sont aimés.
Hélas, le patron avait des vues pour sa fille et Aiko était loin d’en faire partie.
Je les ai aidés à fuir et depuis je les protège à Paris.
Un jour il m’a dit qu’Isao ta maman était enceinte et qu’ils allaient avoir une fille.
Si ton père était resté à sa place, ce serait lui qui serait là où je suis, car il était plus malin que moi.
Toi, tu lui ressembles.
La journée est loin d’être fini, levons-nous malgré que j’aie tendance moi aussi à retrouver ma jeunesse et avoir envie de nouveau à m’occuper de toi.
Nous nous levons, il cherche dans sa poche et en sort une carte magnétique.
• Voilà tu es chez toi, cinq pièces donnant sur l’opéra.
Tu as tout ce dernier étage avec cette grande terrasse où tu pourras te faire bronzer.
Seuls les pigeons ou les hirondelles pourront te voir nue, aucun vis-à-vis.
Les hommes, au moins moi, adorons les femmes avec une peau hâlée.
Passons aux choses sérieuses, je suis là pour peu de temps, j’avais besoin d’une jeune fille pour mes affaires.
Il y a un mois, nous nous sommes parlé avec Aiko, il m’a dit ta beauté et j’ai compris que celle qu’il me fallait ici, c’était toi.
• Je me déshabille !
• Tout à l’heure, mais tu me fais plaisir, je vois que tu as encore envie de moi.
Il sort son portable.
En japonais, je sais qu’il parle avec un tailleur.
On sonne, il était prêt à ouvrir.
• Maître Yako, je vous ai fait venir pour que vous habilliez ma filleule de pied en cap.
Je sais vos goûts pour choisir dans les plus grandes maisons de couture parisiennes les tenues qui lui serviront pour entrer dans le monde.
Choisissez des kimonos, elle aura à en porter.
Inutile de vous dire combien dépenser, le tout c’est qu’elle fasse pâlir les autres femmes.
Il prend mes mesures et nous quitte.
Il retéléphone.
Un jeune homme arrive.
• Je vais vous montrer les subtilités de l’ordinateur que nous vous avons installée.
Assayez-vous près de moi.
Je viens de perdre mon pucelage, mais quand je tourne ma tête, ce beau gosse aurait pu être celui qui aurait fait de moi une femme.
Hélas, tonton est là, alors j’écoute en prenant des notes.
• Ici dans le bureau, si vous entrez dans ce premier fichier, vous atteindrez les classiques de Microsoft, tableur, traitement de texte.
Deuxième fichier vous entrez dans Internet, à votre âge vous devez savoir surfer.
Oui, beau gosse, Tonton est parti sur la terrasse, Gilles le surveille du coin de l’œil et me met la main sur le genou.
Je pense qu’il prend des risques pour sa vie.
Car si je sais que dans les heures prochaines, je vais me donner à d’autres hommes pour de l’argent, mais surtout l’aider dans ses affaires.
Le degré de jalousie envers un garçon draguant effrontément sa nièce presque devant lui risque de le faire entrer dans une colère froide.
• Avec le ficher suivant, vous serez en relation avec les services de monsieur Fujiko.
Vous y recevrez ses consignes pour les travaux qu’il souhaite vous confier.
Jusqu’à ou Gilles, je l’appelle déjà Gilles sait-il le genre de travaux pratiques que je vais devoir exécuter pour rembourser tout le luxe que mon oncle veut me donner.
Mon oncle est derrière nous et je le vois sortir son portable.
Il tape semblant concentré sur ce qu’il écrit.
Ça sonne sur l’ordi, la musique d’un air engageant.
• Tu vois Hanabi, quand tu entendras cette sonnerie, tu regarderas les ordres à exécuter.
Attends que Gilles sorte quelques instants sur la terrasse pour l’ouvrir et regarder ce que je te demande de faire.
Gilles.
Dommage, il se lève et exécute l’ordre sans rechigner.
J’appuie pour ouvrir le fichier, je peux lire.
« Je vais sortir quelques minutes, je veux contrôler ton niveau de docilité.
Fais une fellation à ce garçon dès que vous serez seuls.
Tu as une demi-heure avant mon retour pour le satisfaire.
Après vous continuerez ton travail avec lui, il a encore des choses intéressantes et primordiales à te montrer, surtout pour ta sécurité. »
Je regarde celui que je peux considérer comme mon nouveau maître, il a un sourire ironique.
• À toi de jouer.
J’ai bien vu dans cette glace la main sur ton genou, ce devrait être facile.
Il sort donnant l’ordre à Gilles de revenir me montrer les subtilités de son travail.
Une demi-heure pour prouver à mon mentor que je suis capable de baiser sur commande.
Vu mon sentiment préalable et le geste qu’il a eu avec sa main sur mon genou, quand c’est moi qui mets ma main sur son sexe, sa verge réagie.
Il me regarde, me souris et sort sa queue.
Je suis étonnée, mais à moitié blanc, mais certainement yakusa, une sirène recouvre son sexe.
Avant de me poser plus de question, je m’agenouille entre ses jambes.
Je dégage ses couilles que je commence à sucer une par une, ma main le masturbant.
Avec deux ans d’expérience, les bites que j’ai été amené à sucer sont toutes différentes l’une l’autre.
Mais elles toutes un point commun, le goût de leur sperme qui entre dans ma bouche et coule dans mon estomac.
Quand Fujiko revient, nous sommes sagement réinstallés devant l’écran.
• Ici, en cliquant, tu, pardon, vous avez les commandes pour le service de nettoyage.
Vous mettez l’heure de votre départ et des personnes viendront nettoyer et remplir votre frigo.
• J’ai bien compris, je devrais me laisser vivre.
• Tu te trompes, Hanabi regarde ces documents sur le bureau, ce sont des traductions que tu as à faire pour la société d’édition qui te fournira ta couverture.
Dans les contacts, tu as le numéro de téléphone de Giselle, c’est ton seul contact avec eux dès que tu as fini une traduction.
Gilles montre lui pour finir les commandes des télés dans chaque pièce et pour finir la commande des sushis.
La télé aucun écran, juste des images projetées sur l’un des murs et la commande sur cet ordi.
• Hanabi, supposons que tu es un souci de sécurité.
Évite de lutter avec celui ou ceux qui voudraient abuser de toi, amadous les et proposent leur de commander à manger.
Regarde bien la manœuvre.
• Sur ce fichier, que j’ai appelée SUSHIS, vous cliquez une fois et vous pouvez réellement commander la nourriture de votre choix.
Deux cliques comme ceux-ci, attendons.
• Gilles va dans le frigo, il y a des bouteilles de champagne, va en chercher une avec trois coupes, nous allons fêter l’entrée dans ses murs d’Hanabi, mon fils.
Je tombe de haut, Gilles est le fils de mon oncle, pourtant ses yeux sont loin d’être comme les miens bridés.
• Je vois que tu t’interroges quand je parle de mon fils, j’ai connu sa mère à Tokyo lors d’un congrès de médecin.
C’était trois ans avant le départ de mon frère.
Je proposais des soirées pour les congressistes dans des lieux que la morale réprouve.
Sa mère française m’a plu et nous avons fini la nuit ensemble.
Neuf mois plus tard, Gilles est né.
Il vient de finir ses études d’ingénieur en informatique.
Il a souhaité connaitre la France, berceau de ses ancêtres.
Il va rester ici quelque temps.
On sonne.
• On est là patron, en moins de dix minutes comme vous le souhaitez...
Fujiko est un maître yakusa dans mon pays d’origine.
C’est le jour où m’emmenant dans sa chambre au Mandarin Orientale, palace parisien du faubourg Saint-Honoré malgré notre degré de parenté, il m’a dépucelé.
Je dois être faite pour le sexe, malgré la rupture de mon hymen, j’arrive à l’orgasme.
Il faut dire que Fujiko est un maître chez les yakusas et au lit avec les femmes.
Nous sommes dans son lit, il dort, un vieux monsieur se livrant à des ébats avec une jeune femme de vingt-deux ans, même s’il est un yakusa de la première importance reste un vieillard que j’ai épuisé.
Il a vanté mon esprit qui se met en marche.
Je repense à mon père, depuis quelque temps, ayant grandi, je me demandais pourquoi papa s’occupait de nous afin que notre vie soit sereine sans travailler.
Pourquoi mon père même s’il portait des tenues européennes avaient toujours des cols cachant son cou ?
Mon père, lui aussi doit être un yakusa qui cache ses tatouages.
Qu’a-t-il fait pour se retrouver à Paris, un mystère que je compte bien percer ?
Il se réveille, me reconnaît et me caresse la joue.
• Tu as été parfaite, es-tu d’accord pour m’aider dans mon travail.
• Si tu me dis qui es mon père, il est yakusa comme toi, du moins je le pense.
• Ton intelligence, il m’a toujours vanté ton intelligence chaque fois que je l’ai au téléphone.
Oui, c’est un yakusa comme moi.
• Pourquoi est-il venu vivre à Paris ?
• À cause de ta mère !
• Ma mère, cette femme réservée, une véritable ombre !
• Une ombre qui était une beauté la même que la tienne dans notre jeunesse.
Ta mère était la fille du maître Kodama yakusa du Japon en ce temps-là.
Nous étions sa garde la plus rapprochée.
Un jour, nous gardions sa villa au bord de la mer et nous l’avons vue aller se baigner.
Le patron nous avait dit de la suivre pour la protéger.
C’est dans une cabane de pécheur qu’ils se sont aimés.
Hélas, le patron avait des vues pour sa fille et Aiko était loin d’en faire partie.
Je les ai aidés à fuir et depuis je les protège à Paris.
Un jour il m’a dit qu’Isao ta maman était enceinte et qu’ils allaient avoir une fille.
Si ton père était resté à sa place, ce serait lui qui serait là où je suis, car il était plus malin que moi.
Toi, tu lui ressembles.
La journée est loin d’être fini, levons-nous malgré que j’aie tendance moi aussi à retrouver ma jeunesse et avoir envie de nouveau à m’occuper de toi.
Nous nous levons, il cherche dans sa poche et en sort une carte magnétique.
• Voilà tu es chez toi, cinq pièces donnant sur l’opéra.
Tu as tout ce dernier étage avec cette grande terrasse où tu pourras te faire bronzer.
Seuls les pigeons ou les hirondelles pourront te voir nue, aucun vis-à-vis.
Les hommes, au moins moi, adorons les femmes avec une peau hâlée.
Passons aux choses sérieuses, je suis là pour peu de temps, j’avais besoin d’une jeune fille pour mes affaires.
Il y a un mois, nous nous sommes parlé avec Aiko, il m’a dit ta beauté et j’ai compris que celle qu’il me fallait ici, c’était toi.
• Je me déshabille !
• Tout à l’heure, mais tu me fais plaisir, je vois que tu as encore envie de moi.
Il sort son portable.
En japonais, je sais qu’il parle avec un tailleur.
On sonne, il était prêt à ouvrir.
• Maître Yako, je vous ai fait venir pour que vous habilliez ma filleule de pied en cap.
Je sais vos goûts pour choisir dans les plus grandes maisons de couture parisiennes les tenues qui lui serviront pour entrer dans le monde.
Choisissez des kimonos, elle aura à en porter.
Inutile de vous dire combien dépenser, le tout c’est qu’elle fasse pâlir les autres femmes.
Il prend mes mesures et nous quitte.
Il retéléphone.
Un jeune homme arrive.
• Je vais vous montrer les subtilités de l’ordinateur que nous vous avons installée.
Assayez-vous près de moi.
Je viens de perdre mon pucelage, mais quand je tourne ma tête, ce beau gosse aurait pu être celui qui aurait fait de moi une femme.
Hélas, tonton est là, alors j’écoute en prenant des notes.
• Ici dans le bureau, si vous entrez dans ce premier fichier, vous atteindrez les classiques de Microsoft, tableur, traitement de texte.
Deuxième fichier vous entrez dans Internet, à votre âge vous devez savoir surfer.
Oui, beau gosse, Tonton est parti sur la terrasse, Gilles le surveille du coin de l’œil et me met la main sur le genou.
Je pense qu’il prend des risques pour sa vie.
Car si je sais que dans les heures prochaines, je vais me donner à d’autres hommes pour de l’argent, mais surtout l’aider dans ses affaires.
Le degré de jalousie envers un garçon draguant effrontément sa nièce presque devant lui risque de le faire entrer dans une colère froide.
• Avec le ficher suivant, vous serez en relation avec les services de monsieur Fujiko.
Vous y recevrez ses consignes pour les travaux qu’il souhaite vous confier.
Jusqu’à ou Gilles, je l’appelle déjà Gilles sait-il le genre de travaux pratiques que je vais devoir exécuter pour rembourser tout le luxe que mon oncle veut me donner.
Mon oncle est derrière nous et je le vois sortir son portable.
Il tape semblant concentré sur ce qu’il écrit.
Ça sonne sur l’ordi, la musique d’un air engageant.
• Tu vois Hanabi, quand tu entendras cette sonnerie, tu regarderas les ordres à exécuter.
Attends que Gilles sorte quelques instants sur la terrasse pour l’ouvrir et regarder ce que je te demande de faire.
Gilles.
Dommage, il se lève et exécute l’ordre sans rechigner.
J’appuie pour ouvrir le fichier, je peux lire.
« Je vais sortir quelques minutes, je veux contrôler ton niveau de docilité.
Fais une fellation à ce garçon dès que vous serez seuls.
Tu as une demi-heure avant mon retour pour le satisfaire.
Après vous continuerez ton travail avec lui, il a encore des choses intéressantes et primordiales à te montrer, surtout pour ta sécurité. »
Je regarde celui que je peux considérer comme mon nouveau maître, il a un sourire ironique.
• À toi de jouer.
J’ai bien vu dans cette glace la main sur ton genou, ce devrait être facile.
Il sort donnant l’ordre à Gilles de revenir me montrer les subtilités de son travail.
Une demi-heure pour prouver à mon mentor que je suis capable de baiser sur commande.
Vu mon sentiment préalable et le geste qu’il a eu avec sa main sur mon genou, quand c’est moi qui mets ma main sur son sexe, sa verge réagie.
Il me regarde, me souris et sort sa queue.
Je suis étonnée, mais à moitié blanc, mais certainement yakusa, une sirène recouvre son sexe.
Avant de me poser plus de question, je m’agenouille entre ses jambes.
Je dégage ses couilles que je commence à sucer une par une, ma main le masturbant.
Avec deux ans d’expérience, les bites que j’ai été amené à sucer sont toutes différentes l’une l’autre.
Mais elles toutes un point commun, le goût de leur sperme qui entre dans ma bouche et coule dans mon estomac.
Quand Fujiko revient, nous sommes sagement réinstallés devant l’écran.
• Ici, en cliquant, tu, pardon, vous avez les commandes pour le service de nettoyage.
Vous mettez l’heure de votre départ et des personnes viendront nettoyer et remplir votre frigo.
• J’ai bien compris, je devrais me laisser vivre.
• Tu te trompes, Hanabi regarde ces documents sur le bureau, ce sont des traductions que tu as à faire pour la société d’édition qui te fournira ta couverture.
Dans les contacts, tu as le numéro de téléphone de Giselle, c’est ton seul contact avec eux dès que tu as fini une traduction.
Gilles montre lui pour finir les commandes des télés dans chaque pièce et pour finir la commande des sushis.
La télé aucun écran, juste des images projetées sur l’un des murs et la commande sur cet ordi.
• Hanabi, supposons que tu es un souci de sécurité.
Évite de lutter avec celui ou ceux qui voudraient abuser de toi, amadous les et proposent leur de commander à manger.
Regarde bien la manœuvre.
• Sur ce fichier, que j’ai appelée SUSHIS, vous cliquez une fois et vous pouvez réellement commander la nourriture de votre choix.
Deux cliques comme ceux-ci, attendons.
• Gilles va dans le frigo, il y a des bouteilles de champagne, va en chercher une avec trois coupes, nous allons fêter l’entrée dans ses murs d’Hanabi, mon fils.
Je tombe de haut, Gilles est le fils de mon oncle, pourtant ses yeux sont loin d’être comme les miens bridés.
• Je vois que tu t’interroges quand je parle de mon fils, j’ai connu sa mère à Tokyo lors d’un congrès de médecin.
C’était trois ans avant le départ de mon frère.
Je proposais des soirées pour les congressistes dans des lieux que la morale réprouve.
Sa mère française m’a plu et nous avons fini la nuit ensemble.
Neuf mois plus tard, Gilles est né.
Il vient de finir ses études d’ingénieur en informatique.
Il a souhaité connaitre la France, berceau de ses ancêtres.
Il va rester ici quelque temps.
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