COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise Fin de la saison I (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise Fin de la saison I (3/6)
On sonne.
• On est là patron, en moins de dix minutes comme vous le souhaitez.
Deux Yakusas, car à voir leur tête et surtout leurs tatouages sur les bras, difficiles de se tromper quand comme moi on a compris qu’était cette organisation dont fait partie Aiko mon père et surtout Fujiko son frère.
• Tu vois Hanagi, en appuyant deux fois sur le fichier SUSHIS, deux de mes employés de services débarqueront le plus rapidement possible.
Suivant pourquoi tu les appelles, ils s’occuperont de tout.
Tu devras simplement faire ce qu’il faut pour qu’ils aient le temps d’être là.
Sur l’ordi et sur ce portable que tu auras près de toi lorsque tu te déplaceras, il y a les mêmes applis.
Voilà, comme je l’ai dit au début, ça fait deux ans que je rends service à Fujiko dans ses affaires.
Si j’ai arrêté mes études, comme il me l’a demandé, je me loue d’avoir accepté.
Dans mon appartement près de l’Opéra de Paris, le lendemain de mon installation, j’ai reçu un message.
Il fallait que je me prépare avec un kimono bleu parmi la collection de diverses couleurs ainsi que des vêtements européens de grands couturiers parisiens livrés par le maître Yako.
Je me suis maquillé comme maman m’avait appris et j’ai attaché mon kimono.
L’homme un Asiatique est entré et c’est empressé de m’enlever tout malgré le travail que ça représentait.
Heureusement, il avait de l’hygiène et j’ai eu plaisir à le satisfaire.
Quelques jours plus tard, j’ai ouvert mon compte en banque, les zéros derrière un gros chiffre m’ont presque fait peur.
Tonton, c’est comme ça que je l’appelle quand je me parle à moi-même, a dû voir nettement plus de zéro sur son propre compte pour remercier ce client avec mon joli petit cul.
Le Mandarin oriental est un de mes lieux de travail fréquent.
J’y vais en moyenne une fois par quinzaine.
Il m’est même arrivé d’y aller deux soirs de suites et dans la même suite avec deux clients différents.
Leurs mœurs aussi étaient différentes, le deuxième était amoureux de mes fesses.
Il les a écartés et m’a mis sa langue dans l’anus.
Ça m’a paru bizarre au début.
Je parle de sensation, mais quand il a pris du lubrifiant dans un tube préparé sur la table de nuit, le visage tourné, vers lui, sur l’oreiller et les fesses en l’air.
J’ai su que j’allais me faire enculer pour la première fois.
Aussi bien, Gilles que son père m’avait sucé, prise, ignorant mon petit trou.
J’aurais pu refuser, mais les moments passés avec mes clients et mon amant avaient fait de moi, une fille aimant le cul.
Grâce au lubrifiant qu’il m’a mis avec son doigt me faisant frissonner, il est rentré comme dans une motte de beurre.
La chance des débutantes, s’il aimait enculer les femmes, il avait un sexe long et fin.
Dire que cette première fois, j’ai entièrement joui du cul, serait exagéré, mais en me caressant le clito avec ma main, j’ai réussi à minimiser la douleur de cette première fois.
J’ai donc eu ma première sodomie dans cette suite, mais jamais dans la suite la plus chère dans laquelle Tonton m’eût dépucelé.
Ils doivent être riches mais moins que lui et il doit faire attention à ce qu’ils dépensent.
Les villes du monde ont eu ma visite, c’est à Rio où j’étais allée en vacances avec Gilles que je me suis fait faire mon premier tatouage.
Une tête de lionne autour de ma chatte.
Ce vu des vacances sans baise, car lui aussi c’est fait tatouer la verge comme son père.
Je pensais qu’il fallait qu’il bande pour que le tatoueur officie, mais il s’est contenté d’étirer sa peau pour faire son travail.
Mais mes grandes lèvres et sa verge transpercée par un grand nombre de piqures d’aiguilles nous en ont dissuadé.
Que dire de mon travail pour Tonton outre l’argent que j’amasse ?
À oui, le responsable du roomservice du Mandarin Oriental.
Je vous raconte comment les choses se sont passées et comment j’ai réagi.
Situation.
J’étais en train de travailler sur le nouveau livre de l’auteur anglais ayant sorti un best-seller.
Ma situation financière comme escorte tournait à fond et devait suffire à satisfaire les clients de Tonton et mon compte en banque, mais il voulait que je continue à avoir une couverture officielle.
Pour me protéger du fisc français.
Mon bisness en Europe, car lorsque je vais dans des capitales de l’union, je vois très bien le genre d’affaires qu’il traite, est net d’impôts.
Le luxe dans lequel je vis pourrait les attirer surtout sur les opérations loin d’être toujours licites.
On a sonné à ma porte.
J’aime être nue chez moi, chose impossible quand je suis chez mes parents.
J’enfile mon peignoir posé sur une chaise et je vais ouvrir.
• C’est pourquoi ?
• Vous me reconnaissez, je suis le serveur du roomservice de l’hôtel Mandarin !
Sans pouvoir dire que je l’ai reconnu, il a un air de déjà vu.
• C’est pourquoi, ai-je oublié quelque chose là-bas et vous venez me le rapporter.
Non, pour cela il aurait fallu que je donne mon adresse à votre direction.
• Je vois que tu comprends vite, après le nombre de fois que je t’ai vu tapiner, j’ai voulu en savoir plus sur toi.
J’avais remarqué que les taxis qui venaient te chercher étaient toujours ceux de la même compagnie.
Je t’ai suivi sur mon scooter, j’ai facilement trouvé ton adresse et me voilà.
• Et tu viens pour te payer du bon temps sinon tu me feras chanter en révélant que je suis une oute !
• C’est un peu ça, deux fois dans les chambres, ton client m’a dit d’entrer poussant votre table roulante quand il te prenait en levrette.
J’aime beaucoup tes tatouages, je vois ton corps de plus en plus recouvert.
Je sais que tu vie seule, je voudrais être ton...
• Souteneur !
• Au non, juste ton ami, bien sûr, je vais quitter mon emploi et je viens m’installer chez toi, j’ai amené mes affaires, tu verras, je suis un bon amant !
• Comment tu t’appelles !
• Benoît.
• Entre.
Dans un premier temps, j’ai eu le réflexe de me ruer sur mon portable ou sur l’ordinateur pour appuyer sur la touche SUSHIS, mais les propos de Tonton me reviennent.
Il faut que je détourne son attention pour pouvoir appuyer deux fois.
Au moment où je fais tomber mon peignoir, j’ai envie de jouer avec ce grand nigaut qui pense que je suis seule au monde pour tapiner.
• Je vois que tu as compris la situation et que tu avais intérêt à avoir un ami comme moi, qui te protège.
Je me suis agenouillée, j’ai sorti sa queue, à moitié bandée et comme je le fais presque tous les jours, j’ai commencé à le sucer.
Tonton serait content de moi, quel meilleur moyen de détourner son attention.
• Putain, t’es bonne, j’attendais une opportunité pour entrer chez le beau monde, avec toi, je vais atteindre des sommets.
En plus, une jolie petite Asiate, quel pied.
Je m’amusais de plus en plus, je savais qu’il fallait que je l’endorme encore plus pour pouvoir me saisir de mon portable que j’avais laissé sur ma table de nuit.
Tonton m’avait prévenu de l’avoir avec moi, mais chez moi !
• Viens dans ma chambre, ce que tu me montres me fait envie.
Je fais la pute, car j’aime le cul, une bite me fait toujours mouiller.
Je l’ai emmené dans ma chambre, mon lit était défait, mais je pense que cela était loin d’intéresser ce pauvre con qui je l’espère allait tomber de haut.
Ma chambre, le palais des Glaces.
Il y en a partout, certaines glissants montrant mon dressing où toutes mes affaires même les plus insolites s’entassent.
Objets, car lorsque j’ai ouvert certains tiroirs une panoplie de gode et d’engins en tous genres, se sont fait jour.
Parmi eux un lot de cravaches qui me servent à fouetter mes clients aimant que je sois un peu violente.
Pour mon usage personnel, ceux que j’aime ce sont les plugs.
Depuis ma première sodo, j’entretiens l’ouverture de mon anus en travaillant sur mes traductions.
Avant la visite de ce jeune couillon, j’étais en train de penser à aller en mettre un.
• Comment aimerais-tu me prendre, je veux celer notre entente en te donnant le maximum de plaisir.
Les hommes, mes clients adorent,t mes yeux bridés, ça les excite, mais ils aiment encore plus mon petit cul d’Asiatique !
• Comment, c’est simple la dernière fois que je suis rentré dans la chambre où tu te faisais un client, tu étais en levrette ?
Après qu’il m’ait dit d’entrer, tout le temps où je traversais la pièce avec ma table roulante, je voyais tes seins se ballotter de droite ou de gauche à chaque coup de piston de la verge qui comme la mienne était tendu au maximum.
• Comme ça et tu veux que je fasse bouger mes seins.
Es-tu sûr que c’était moi, mes seins sont assez petits alors pour qu’ils balancent ?
• Oui, comme ça, je te dis qu’ils balançaient.
Tonton m’a bien dit d’éviter d’énerver mon agresseur potentiel afin qu’il évite de devenir violent.
• Oui, viens, baises-moi...
• On est là patron, en moins de dix minutes comme vous le souhaitez.
Deux Yakusas, car à voir leur tête et surtout leurs tatouages sur les bras, difficiles de se tromper quand comme moi on a compris qu’était cette organisation dont fait partie Aiko mon père et surtout Fujiko son frère.
• Tu vois Hanagi, en appuyant deux fois sur le fichier SUSHIS, deux de mes employés de services débarqueront le plus rapidement possible.
Suivant pourquoi tu les appelles, ils s’occuperont de tout.
Tu devras simplement faire ce qu’il faut pour qu’ils aient le temps d’être là.
Sur l’ordi et sur ce portable que tu auras près de toi lorsque tu te déplaceras, il y a les mêmes applis.
Voilà, comme je l’ai dit au début, ça fait deux ans que je rends service à Fujiko dans ses affaires.
Si j’ai arrêté mes études, comme il me l’a demandé, je me loue d’avoir accepté.
Dans mon appartement près de l’Opéra de Paris, le lendemain de mon installation, j’ai reçu un message.
Il fallait que je me prépare avec un kimono bleu parmi la collection de diverses couleurs ainsi que des vêtements européens de grands couturiers parisiens livrés par le maître Yako.
Je me suis maquillé comme maman m’avait appris et j’ai attaché mon kimono.
L’homme un Asiatique est entré et c’est empressé de m’enlever tout malgré le travail que ça représentait.
Heureusement, il avait de l’hygiène et j’ai eu plaisir à le satisfaire.
Quelques jours plus tard, j’ai ouvert mon compte en banque, les zéros derrière un gros chiffre m’ont presque fait peur.
Tonton, c’est comme ça que je l’appelle quand je me parle à moi-même, a dû voir nettement plus de zéro sur son propre compte pour remercier ce client avec mon joli petit cul.
Le Mandarin oriental est un de mes lieux de travail fréquent.
J’y vais en moyenne une fois par quinzaine.
Il m’est même arrivé d’y aller deux soirs de suites et dans la même suite avec deux clients différents.
Leurs mœurs aussi étaient différentes, le deuxième était amoureux de mes fesses.
Il les a écartés et m’a mis sa langue dans l’anus.
Ça m’a paru bizarre au début.
Je parle de sensation, mais quand il a pris du lubrifiant dans un tube préparé sur la table de nuit, le visage tourné, vers lui, sur l’oreiller et les fesses en l’air.
J’ai su que j’allais me faire enculer pour la première fois.
Aussi bien, Gilles que son père m’avait sucé, prise, ignorant mon petit trou.
J’aurais pu refuser, mais les moments passés avec mes clients et mon amant avaient fait de moi, une fille aimant le cul.
Grâce au lubrifiant qu’il m’a mis avec son doigt me faisant frissonner, il est rentré comme dans une motte de beurre.
La chance des débutantes, s’il aimait enculer les femmes, il avait un sexe long et fin.
Dire que cette première fois, j’ai entièrement joui du cul, serait exagéré, mais en me caressant le clito avec ma main, j’ai réussi à minimiser la douleur de cette première fois.
J’ai donc eu ma première sodomie dans cette suite, mais jamais dans la suite la plus chère dans laquelle Tonton m’eût dépucelé.
Ils doivent être riches mais moins que lui et il doit faire attention à ce qu’ils dépensent.
Les villes du monde ont eu ma visite, c’est à Rio où j’étais allée en vacances avec Gilles que je me suis fait faire mon premier tatouage.
Une tête de lionne autour de ma chatte.
Ce vu des vacances sans baise, car lui aussi c’est fait tatouer la verge comme son père.
Je pensais qu’il fallait qu’il bande pour que le tatoueur officie, mais il s’est contenté d’étirer sa peau pour faire son travail.
Mais mes grandes lèvres et sa verge transpercée par un grand nombre de piqures d’aiguilles nous en ont dissuadé.
Que dire de mon travail pour Tonton outre l’argent que j’amasse ?
À oui, le responsable du roomservice du Mandarin Oriental.
Je vous raconte comment les choses se sont passées et comment j’ai réagi.
Situation.
J’étais en train de travailler sur le nouveau livre de l’auteur anglais ayant sorti un best-seller.
Ma situation financière comme escorte tournait à fond et devait suffire à satisfaire les clients de Tonton et mon compte en banque, mais il voulait que je continue à avoir une couverture officielle.
Pour me protéger du fisc français.
Mon bisness en Europe, car lorsque je vais dans des capitales de l’union, je vois très bien le genre d’affaires qu’il traite, est net d’impôts.
Le luxe dans lequel je vis pourrait les attirer surtout sur les opérations loin d’être toujours licites.
On a sonné à ma porte.
J’aime être nue chez moi, chose impossible quand je suis chez mes parents.
J’enfile mon peignoir posé sur une chaise et je vais ouvrir.
• C’est pourquoi ?
• Vous me reconnaissez, je suis le serveur du roomservice de l’hôtel Mandarin !
Sans pouvoir dire que je l’ai reconnu, il a un air de déjà vu.
• C’est pourquoi, ai-je oublié quelque chose là-bas et vous venez me le rapporter.
Non, pour cela il aurait fallu que je donne mon adresse à votre direction.
• Je vois que tu comprends vite, après le nombre de fois que je t’ai vu tapiner, j’ai voulu en savoir plus sur toi.
J’avais remarqué que les taxis qui venaient te chercher étaient toujours ceux de la même compagnie.
Je t’ai suivi sur mon scooter, j’ai facilement trouvé ton adresse et me voilà.
• Et tu viens pour te payer du bon temps sinon tu me feras chanter en révélant que je suis une oute !
• C’est un peu ça, deux fois dans les chambres, ton client m’a dit d’entrer poussant votre table roulante quand il te prenait en levrette.
J’aime beaucoup tes tatouages, je vois ton corps de plus en plus recouvert.
Je sais que tu vie seule, je voudrais être ton...
• Souteneur !
• Au non, juste ton ami, bien sûr, je vais quitter mon emploi et je viens m’installer chez toi, j’ai amené mes affaires, tu verras, je suis un bon amant !
• Comment tu t’appelles !
• Benoît.
• Entre.
Dans un premier temps, j’ai eu le réflexe de me ruer sur mon portable ou sur l’ordinateur pour appuyer sur la touche SUSHIS, mais les propos de Tonton me reviennent.
Il faut que je détourne son attention pour pouvoir appuyer deux fois.
Au moment où je fais tomber mon peignoir, j’ai envie de jouer avec ce grand nigaut qui pense que je suis seule au monde pour tapiner.
• Je vois que tu as compris la situation et que tu avais intérêt à avoir un ami comme moi, qui te protège.
Je me suis agenouillée, j’ai sorti sa queue, à moitié bandée et comme je le fais presque tous les jours, j’ai commencé à le sucer.
Tonton serait content de moi, quel meilleur moyen de détourner son attention.
• Putain, t’es bonne, j’attendais une opportunité pour entrer chez le beau monde, avec toi, je vais atteindre des sommets.
En plus, une jolie petite Asiate, quel pied.
Je m’amusais de plus en plus, je savais qu’il fallait que je l’endorme encore plus pour pouvoir me saisir de mon portable que j’avais laissé sur ma table de nuit.
Tonton m’avait prévenu de l’avoir avec moi, mais chez moi !
• Viens dans ma chambre, ce que tu me montres me fait envie.
Je fais la pute, car j’aime le cul, une bite me fait toujours mouiller.
Je l’ai emmené dans ma chambre, mon lit était défait, mais je pense que cela était loin d’intéresser ce pauvre con qui je l’espère allait tomber de haut.
Ma chambre, le palais des Glaces.
Il y en a partout, certaines glissants montrant mon dressing où toutes mes affaires même les plus insolites s’entassent.
Objets, car lorsque j’ai ouvert certains tiroirs une panoplie de gode et d’engins en tous genres, se sont fait jour.
Parmi eux un lot de cravaches qui me servent à fouetter mes clients aimant que je sois un peu violente.
Pour mon usage personnel, ceux que j’aime ce sont les plugs.
Depuis ma première sodo, j’entretiens l’ouverture de mon anus en travaillant sur mes traductions.
Avant la visite de ce jeune couillon, j’étais en train de penser à aller en mettre un.
• Comment aimerais-tu me prendre, je veux celer notre entente en te donnant le maximum de plaisir.
Les hommes, mes clients adorent,t mes yeux bridés, ça les excite, mais ils aiment encore plus mon petit cul d’Asiatique !
• Comment, c’est simple la dernière fois que je suis rentré dans la chambre où tu te faisais un client, tu étais en levrette ?
Après qu’il m’ait dit d’entrer, tout le temps où je traversais la pièce avec ma table roulante, je voyais tes seins se ballotter de droite ou de gauche à chaque coup de piston de la verge qui comme la mienne était tendu au maximum.
• Comme ça et tu veux que je fasse bouger mes seins.
Es-tu sûr que c’était moi, mes seins sont assez petits alors pour qu’ils balancent ?
• Oui, comme ça, je te dis qu’ils balançaient.
Tonton m’a bien dit d’éviter d’énerver mon agresseur potentiel afin qu’il évite de devenir violent.
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