COLLECTION ESCORTE GIRL. Love (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Love (2/2)
• Bonjour Love, merci d’avoir accepté de venir passer cette soirée avec moi !
C’est un de mes clients fidèles payant régulièrement 5 000 € pour profiter de la belle aveugle me montrant le plaisir de me voir.
Je suis frappée de cécité depuis ma naissance, maman concertiste avait prévu pour moi un parcours comme le sien à une différence importante, j’apprends les oeuvres par vinyles interposés.
Après avoir perdu mon pucelage à 16 ans par un petit salop prénommé Franck qui dès qu’il m’a eu s’est vanté d’avoir sauté cette petite aveugle craintive, je décide de prendre ma vie en main.
À ce titre, le jour de mes 18 ans Gladys, mon vrai nom de baptême s'‘inscrit sur un réseau d’escorte lui permettant de rejoindre son premier client.
Sur ma fiche, ma cécité est mentionnée, ce qui déclenche une vague de rendez-vous.
Baiser une aveugle, ça plait surtout que Doudou me dit que le site où j’étais hébergé a choisi parmi les photos que nous leur avions envoyée, la plus jolie.
Rapidement mon carnet de rendez-vous s’est étoffé et c’est sous le nom de Love que mes clients me connaissent.
Avant que maman ait un grave souci cardiaque, je savais que Doudou était plus que ma nourrice et son accompagnateur.
Maîtresse lesbienne et très vite ma nounou alors que ma conception a toujours été un mystère.
Née de père inconnu, née certainement dans une éprouvette, ou née par un coït vite fait bien fait, maman était lesbienne jusqu’aux bouts de ses doigts de concertiste.
Au début, Doudou avait du mal à comprendre mon choix de me vendre au plus offrant.
Après une vaste discussion, chaque fois qu’elle reçoit les fruits de mon labeur ou des enveloppes en liquide que je touche, elle finit par comprendre ma position.
Mon infirmité me pose problème dans l’impossibilité de voir la sincérité de ceux que j’aurais acceptés comme amants.
La chose que toute petite, elle m’a apprise en plus de l’école à la maison faisant de moi une diplômée du bac, c’est la self-défense qu’elle m’apprend.
Il est bien connu que des personnes à vision réduite ou complète comme moi développent leurs autres sens.
L’odora, car grâce aux senteurs, je suis capable de déceler la présence d’un tiers dans une pièce.
L’ouï, je suis capable de me déplacer avec ma canne certes, mais aussi en sentant la présence d’une tierce personne.
Ma canne, entre autres, me permettant de me déplacer est donc aussi un instrument de défense.
Elle a été fabriquée spécialement pour moi et je sais m’en servir évitant ainsi de tomber dans des pièges.
Je terrais le nom du grand hôtel parisien où je rejoins monsieur Georges, l’un de mes clients plus que fidèle qui vient tromper sa femme avec moi.
Je suis la seule à accepter des jeux érotiques avec lui que peu de femmes sont capables de lui apporter.
En levrette sur mon tabouret de piano présent dans cette chambre, il finit par me sodomiser lorsque je joue les dernières notes du Boléro de Ravel qu’il m’a demandé de lui interpréter.
Afin de reprendre des forces, il a commandé au roomservice un repas fait de langoustine, j’en raffole et il le sait, le tout arrosé de vin blanc de Bretagne.
Beaucoup d’escortes restent sobres pour rester maîtresse de la situation, je suis connu pour être encore une plus belle salope avec un petit coup dans le nez.
J’aime me faire baiser pour de belles sommes, mais j’aime aussi les plaisirs de la chaire surtout dans ces lieux de haut luxe.
• Au revoir monsieur Georges, à la prochaine, mon taxi m’attend.
• Inutile de vous demander où vous habitez dans Paris, comme toujours vous serez une tombe.
Il a raison, dès que je serais de retour dans nos quatre pièces avenue Foch, je prendrais un bon bain.
Ensuite de nouveau un taxi pour nous rendre avec Doudou à l’aéroport d’Orly où nous repartirons retrouver notre Provence d’adoptionNous retrouverons le magnifique paysage sur ma terrasse au bord de ma piscine avec vue sur la baie de Nice.
J’y resterais jusqu’à dimanche prochain où le jet privé de l’émir Qatari Assan viendra me chercher au même aéroport de Nice pour m’emmener pour une semaine fêter son anniversaire.
Il est marié et possède même huit femmes, mais c’est moi la belle Française à la canne blanche qui va le satisfaire comme je sais si bien le faire.
Depuis que je suis Love, chaque année je fais partie de ses invités, avoir Love parmi eux est signe de réussite de sa fête.
En attendant ce départ, ce vendredi soir, je sens le besoin de me faire sauter pépère.
J’aime le sexe sous toutes ses coutures, mais retrouver celle que j’étais quand Franck à un peu abuser de moi, de temps en temps j’aime le redevenir.
Je m’habille avec des effets de cette époque moins sophistiqué et onéreux que maintenant.
Doudou a qui je dis tout sait où je vais quand un taxi vient me chercher.
Cannes et une petite boîte où je redeviens Gladys, seule la patronne prénommée France sait que Love vient d’entrer dans son établissement.
Soit je trouve chaussure à mon pied pour la soirée, soit après la fermeture je me retrouverais au-dessus de sa boîte dans son appartement.
Sans être moi-même lesbienne comme maman et Doudou, elle m’a appris à aimer lécher sa chatte alors qu’elle en fait de même pour moi.
On peut voir que je suis plutôt bi, mais plus porté sur les hommes quand Ludo, un grand blond musclé, mais sympa m’offre un verre.
On va me demander comment je sais qu’il est blond et musclé.
Dans la conversation, sans en avoir l’air, je lui passe ma main dans ses cheveux m’excusant comme si c’était une maladresse, l’avantage de ma canne blanche.
La texture de ses cheveux est celle d’un blond et quand ma main redescend, je touche son bras, son biceps m’apprend le reste.
On discute et il marque un point, car à aucun moment le pourquoi de mon manque de vue est évoqué.
J’aime me sentir aimer pour ma personne et ma culture générale plutôt que par de longs discours sur les personnes non voyantes.
À la fermeture, un clin d’œil de France...
Je rigole, c’est elle qui me dit de foncer lorsque ma proie s’absente quelques minutes.
Par moments, je me demande si elle aussi est bi ayant essayé cet étalon avant moi.
Ces soirs comme ce soir, si je me sens en sécurité, je redeviens celle que j’aurais toujours dû être.
J’aime que le garçon me dénude en me disant que je suis belle.
J’aime qu’il aime mes seins en forme de poire et ma chatte que je me fais épiler à Paris ou à Nice chaque semaine.
Quand il est en moi, qui pourrait dire si mes clients me voyaient que je suis Love celle qui se fait baiser sans retenue dans des situations les plus insolites.
Avec Assan, mon émir du Qatar, j’ai rencontré des situations complètement insolites.
Baiser, me baiser est loin d’être notre seul but, le rapport au fric est important dans la situation que j’ai créée avec lui.
Certes, je revêts des tenues dignes des soirées des palais des mille et une nuits tout en voile transparent pendant mon séjour.
Mais comme il y a trois ans, lorsque je suis rentrée dans son ancien jet, un pur-sang arabe m’accompagnait.
Il me l’avait offert lorsqu’il m’avait fait visiter les écuries de son palais, simplement sur un coup de tête après m’avoir baisé entre ses pattes dans son box sur une meule de foin.
Il savait que ce cadeau pouvait me poser problème aussi c’est dans son haras en Normandie qu’il l’a pris en pension.
Un dimanche cette année-là, comme il le fait chaque saison, il était là à Longchamp pour une course entre son cheval et le mien étant tous les deux favoris.
Je m’amusais à me faire saluer par des dames pleines de compassion à leur voix.
Celle de leur mari l’était tout autant quand je les reconnaissais.
Bien souvent c’était l’un de mes clients qui pour certains sont députés, sénateurs bedonnants, hommes d’affaires influant, mais tous ayant la caractéristique de vouloir me sauter, car je suis aveugle.
Lors de cette course, mon cheval a gagné d’un museau, pour me féliciter de ma victoire en plus du baisemain, il m’a offert le haras où Jupiter est entretenu.
Les rares fois ou je suis libre, je rejoins le logement dans le château voisin ou j’ai des appartements et je profite de mon haras et de mes chevaux pour monter l’un d’eux.
Jupiter est trop fougueux pour moi, je galope à côté de son lad à travers les prairies environnantes sur une vielle mémère m’ayant donné un futur craque cette année qui va augmenter ma fortune.
Ce qu’il y a de bandant dans le monde des escortes, c’est l’exploitation des conflits entre deux mondes.
Tous nous savons les conflits qui opposent Qatari et Saoudien.
Assan puissant homme de son pays a un ennemi juré en la personne d’un prince d’Arabie.
Ils débordent d’imagination pour m’avoir dans leur soirée et accessoirement dans leur lit.
Mohamed, que j’ai vu dans un palace de Genève, m’a offert une rivière de diamants de chez Kunz.
Ce joyau a rejoint bon nombre de mes trophées soit dans mon coffre parisien soit dans la même banque, mais à Nice.
S’ils savaient ce que Gladys se fiche des biens matériels que Love lui apporte, mais que puis-je contre ça, j’ai endossé la peau de Love et je l’assume.
On comprend mieux qu’au matin, je refuse que ce beau spécimen de la race humaine me raccompagne dans sa Ferrari s’il découvrait que je suis capable de lui en offrir des dizaines.
Dans cette chambre de ce quartier de Cannes où il habite, j’aime être le coup d’un soir après que Franck ait profité de mon ingénuité.
Mais s’il m’avait épousé, à 25 ans je serais une femme trompée avec deux ou trois marmots que j’élèverais dans la région où j’ai perdu mon pucelage.
La vie est bizarrement faite, mais c’est ma vie pour le moment.
Taxis, hôtels, la plupart des palaces dans les plus grandes villes du monde.
Baiser comme des mecs on l’envie de me prendre sauf le sadomasochisme que j’ai déjà dit refuser de pratiquer.
Bien sur Love se joint à des soirées échangistes, arrivant au bras d’homme me payant pour qu’ils puissent parader.
Il m’arrive de faire une partouze dans un château réputé pour son vin bordelais où les femmes sont là pour satisfaire les perversions de ces hommes adorant nous faire souffrir.
Toutes les femmes, les unes les autres sommes attachées dans cette cave secrète ou des instruments d’un autre âge y sont gardées.
J’accepte qu’il me place dans leur pilori sans qu’il soit fermé à me faire flageller.
J’accepte que l’on me brûle à la cire des bougies foisonnant dans ce lieu clos.
Même si je sens la chaleur et la cire, sans la voir, quand ils la font couler sur mes seins et surtout ma chatte.
Cette sensation de me sentir la chienne qu’ils se payent décuples mon plaisir.
Chaque fois que Doudou me réserve une soirée comme celle-là, pendant les quelques jours suivants, je reste à Nice ou encore dans mon haras à récupérer.
Il faut surtout que mon corps efface les traces de flagellations ou de brûlures.
Certains où certaines sont obligées d’aller au turbin, moi ma seule obligation, c’est le sérieux que l’on me reconnaît.
On va me rétorquer que chaque femme chaque mois à ses menstruations et que je dois m’arrêter.
Je suis réglée depuis l’âge de 13 ans, une nouvelle fois, c’est Doudou qui m’a tout appris lorsqu’un liquide chaud à couler le long de mes jambes.
Comme le veut la tradition, elle m’a giflé me faisant pleurer pour l’une des rares fois dans ma vie.
Dans mon panel d’amants fidèles ils y en aient quelques-uns que ces périodes excitent et c’est pendant ces quelques jours que je me fais un maxi de fric.
Pouvoir, argent, sexe à l’extrême sont étroitement liés.
Dans ma tête en me préparant pour partir au Qatar, je repense à ce que j’ai promis à Doudou quand j’ai commencé à me vendre.
Deux dates me feront arrêter.
La première, c’est pour les 70 ans de Doudou si elle vit jusque-là.
La deuxième, ce serait sa disparition comme maman l’a faite il y a déjà quelque temps.
À ces deux dates, après les derniers contrats signés que j’honorerais Love du jour au lendemain disparaitra.
Elle réenfilera la peau de Gladys, petite fille aveugle rêvant du prince charmant.
Elle trouvera un gentil garçon de son âge qui lui fera l’amour normalement dans la position du missionnaire avec quelques petites variantes comme la levrette.
Gladys acceptera de le sucer pour mieux le faire bander.
Rien de plus, bien sûr, la sodomie lui sera interdit, ce serait le début de perversions.
Gladys aura des enfants qui je l’espère, serai voyant.
Gladys leur fera donner des cours de solfège seule chose qu’il lui sera impossible de leur apprendre.
Mais leur apprendre à jouer du piano droit, seul luxe de leur petite maison acheté à crédit, c’est moi qui le ferais.
Gladys, le dimanche les emmènera avec son mari à la messe pour le salut de leurs âmes, mais aussi de la sienne.
Gladys aura des maux de tête lorsqu’elle aura envie d’autre chose que de sexe même a le pépère.
La fortune de Love ?
Comme elle le prévoit déjà avec son notaire, elle sera gérée sans que sa famille soit au courant.
C’est à la mort de Gladys, que le notaire les convoquera et qu’ils sauront par une lettre que Love a déjà écrit la bonne fortune qui leur tombe dessus.
En attendant Gladys vivra la vie qu’elle avait toujours envisagée de vivre avant la trahison de Franck.
Seule entorse à sa vie de jeune fille et de femme mariée avec des enfants, elle enregistrera des CD d’œuvres.
Ces oeuvres jouées par une anonyme très douée pour le piano se vendront à des millions d’exemplaires grossissant cette fortune.
Il va de soi qu’elle sera assise normalement sur son tabouret pour ces enregistrements.
En attendant, Love dans sa tenue de pute monte à bord d’un jet pour une énième fois.
C’est un de mes clients fidèles payant régulièrement 5 000 € pour profiter de la belle aveugle me montrant le plaisir de me voir.
Je suis frappée de cécité depuis ma naissance, maman concertiste avait prévu pour moi un parcours comme le sien à une différence importante, j’apprends les oeuvres par vinyles interposés.
Après avoir perdu mon pucelage à 16 ans par un petit salop prénommé Franck qui dès qu’il m’a eu s’est vanté d’avoir sauté cette petite aveugle craintive, je décide de prendre ma vie en main.
À ce titre, le jour de mes 18 ans Gladys, mon vrai nom de baptême s'‘inscrit sur un réseau d’escorte lui permettant de rejoindre son premier client.
Sur ma fiche, ma cécité est mentionnée, ce qui déclenche une vague de rendez-vous.
Baiser une aveugle, ça plait surtout que Doudou me dit que le site où j’étais hébergé a choisi parmi les photos que nous leur avions envoyée, la plus jolie.
Rapidement mon carnet de rendez-vous s’est étoffé et c’est sous le nom de Love que mes clients me connaissent.
Avant que maman ait un grave souci cardiaque, je savais que Doudou était plus que ma nourrice et son accompagnateur.
Maîtresse lesbienne et très vite ma nounou alors que ma conception a toujours été un mystère.
Née de père inconnu, née certainement dans une éprouvette, ou née par un coït vite fait bien fait, maman était lesbienne jusqu’aux bouts de ses doigts de concertiste.
Au début, Doudou avait du mal à comprendre mon choix de me vendre au plus offrant.
Après une vaste discussion, chaque fois qu’elle reçoit les fruits de mon labeur ou des enveloppes en liquide que je touche, elle finit par comprendre ma position.
Mon infirmité me pose problème dans l’impossibilité de voir la sincérité de ceux que j’aurais acceptés comme amants.
La chose que toute petite, elle m’a apprise en plus de l’école à la maison faisant de moi une diplômée du bac, c’est la self-défense qu’elle m’apprend.
Il est bien connu que des personnes à vision réduite ou complète comme moi développent leurs autres sens.
L’odora, car grâce aux senteurs, je suis capable de déceler la présence d’un tiers dans une pièce.
L’ouï, je suis capable de me déplacer avec ma canne certes, mais aussi en sentant la présence d’une tierce personne.
Ma canne, entre autres, me permettant de me déplacer est donc aussi un instrument de défense.
Elle a été fabriquée spécialement pour moi et je sais m’en servir évitant ainsi de tomber dans des pièges.
Je terrais le nom du grand hôtel parisien où je rejoins monsieur Georges, l’un de mes clients plus que fidèle qui vient tromper sa femme avec moi.
Je suis la seule à accepter des jeux érotiques avec lui que peu de femmes sont capables de lui apporter.
En levrette sur mon tabouret de piano présent dans cette chambre, il finit par me sodomiser lorsque je joue les dernières notes du Boléro de Ravel qu’il m’a demandé de lui interpréter.
Afin de reprendre des forces, il a commandé au roomservice un repas fait de langoustine, j’en raffole et il le sait, le tout arrosé de vin blanc de Bretagne.
Beaucoup d’escortes restent sobres pour rester maîtresse de la situation, je suis connu pour être encore une plus belle salope avec un petit coup dans le nez.
J’aime me faire baiser pour de belles sommes, mais j’aime aussi les plaisirs de la chaire surtout dans ces lieux de haut luxe.
• Au revoir monsieur Georges, à la prochaine, mon taxi m’attend.
• Inutile de vous demander où vous habitez dans Paris, comme toujours vous serez une tombe.
Il a raison, dès que je serais de retour dans nos quatre pièces avenue Foch, je prendrais un bon bain.
Ensuite de nouveau un taxi pour nous rendre avec Doudou à l’aéroport d’Orly où nous repartirons retrouver notre Provence d’adoptionNous retrouverons le magnifique paysage sur ma terrasse au bord de ma piscine avec vue sur la baie de Nice.
J’y resterais jusqu’à dimanche prochain où le jet privé de l’émir Qatari Assan viendra me chercher au même aéroport de Nice pour m’emmener pour une semaine fêter son anniversaire.
Il est marié et possède même huit femmes, mais c’est moi la belle Française à la canne blanche qui va le satisfaire comme je sais si bien le faire.
Depuis que je suis Love, chaque année je fais partie de ses invités, avoir Love parmi eux est signe de réussite de sa fête.
En attendant ce départ, ce vendredi soir, je sens le besoin de me faire sauter pépère.
J’aime le sexe sous toutes ses coutures, mais retrouver celle que j’étais quand Franck à un peu abuser de moi, de temps en temps j’aime le redevenir.
Je m’habille avec des effets de cette époque moins sophistiqué et onéreux que maintenant.
Doudou a qui je dis tout sait où je vais quand un taxi vient me chercher.
Cannes et une petite boîte où je redeviens Gladys, seule la patronne prénommée France sait que Love vient d’entrer dans son établissement.
Soit je trouve chaussure à mon pied pour la soirée, soit après la fermeture je me retrouverais au-dessus de sa boîte dans son appartement.
Sans être moi-même lesbienne comme maman et Doudou, elle m’a appris à aimer lécher sa chatte alors qu’elle en fait de même pour moi.
On peut voir que je suis plutôt bi, mais plus porté sur les hommes quand Ludo, un grand blond musclé, mais sympa m’offre un verre.
On va me demander comment je sais qu’il est blond et musclé.
Dans la conversation, sans en avoir l’air, je lui passe ma main dans ses cheveux m’excusant comme si c’était une maladresse, l’avantage de ma canne blanche.
La texture de ses cheveux est celle d’un blond et quand ma main redescend, je touche son bras, son biceps m’apprend le reste.
On discute et il marque un point, car à aucun moment le pourquoi de mon manque de vue est évoqué.
J’aime me sentir aimer pour ma personne et ma culture générale plutôt que par de longs discours sur les personnes non voyantes.
À la fermeture, un clin d’œil de France...
Je rigole, c’est elle qui me dit de foncer lorsque ma proie s’absente quelques minutes.
Par moments, je me demande si elle aussi est bi ayant essayé cet étalon avant moi.
Ces soirs comme ce soir, si je me sens en sécurité, je redeviens celle que j’aurais toujours dû être.
J’aime que le garçon me dénude en me disant que je suis belle.
J’aime qu’il aime mes seins en forme de poire et ma chatte que je me fais épiler à Paris ou à Nice chaque semaine.
Quand il est en moi, qui pourrait dire si mes clients me voyaient que je suis Love celle qui se fait baiser sans retenue dans des situations les plus insolites.
Avec Assan, mon émir du Qatar, j’ai rencontré des situations complètement insolites.
Baiser, me baiser est loin d’être notre seul but, le rapport au fric est important dans la situation que j’ai créée avec lui.
Certes, je revêts des tenues dignes des soirées des palais des mille et une nuits tout en voile transparent pendant mon séjour.
Mais comme il y a trois ans, lorsque je suis rentrée dans son ancien jet, un pur-sang arabe m’accompagnait.
Il me l’avait offert lorsqu’il m’avait fait visiter les écuries de son palais, simplement sur un coup de tête après m’avoir baisé entre ses pattes dans son box sur une meule de foin.
Il savait que ce cadeau pouvait me poser problème aussi c’est dans son haras en Normandie qu’il l’a pris en pension.
Un dimanche cette année-là, comme il le fait chaque saison, il était là à Longchamp pour une course entre son cheval et le mien étant tous les deux favoris.
Je m’amusais à me faire saluer par des dames pleines de compassion à leur voix.
Celle de leur mari l’était tout autant quand je les reconnaissais.
Bien souvent c’était l’un de mes clients qui pour certains sont députés, sénateurs bedonnants, hommes d’affaires influant, mais tous ayant la caractéristique de vouloir me sauter, car je suis aveugle.
Lors de cette course, mon cheval a gagné d’un museau, pour me féliciter de ma victoire en plus du baisemain, il m’a offert le haras où Jupiter est entretenu.
Les rares fois ou je suis libre, je rejoins le logement dans le château voisin ou j’ai des appartements et je profite de mon haras et de mes chevaux pour monter l’un d’eux.
Jupiter est trop fougueux pour moi, je galope à côté de son lad à travers les prairies environnantes sur une vielle mémère m’ayant donné un futur craque cette année qui va augmenter ma fortune.
Ce qu’il y a de bandant dans le monde des escortes, c’est l’exploitation des conflits entre deux mondes.
Tous nous savons les conflits qui opposent Qatari et Saoudien.
Assan puissant homme de son pays a un ennemi juré en la personne d’un prince d’Arabie.
Ils débordent d’imagination pour m’avoir dans leur soirée et accessoirement dans leur lit.
Mohamed, que j’ai vu dans un palace de Genève, m’a offert une rivière de diamants de chez Kunz.
Ce joyau a rejoint bon nombre de mes trophées soit dans mon coffre parisien soit dans la même banque, mais à Nice.
S’ils savaient ce que Gladys se fiche des biens matériels que Love lui apporte, mais que puis-je contre ça, j’ai endossé la peau de Love et je l’assume.
On comprend mieux qu’au matin, je refuse que ce beau spécimen de la race humaine me raccompagne dans sa Ferrari s’il découvrait que je suis capable de lui en offrir des dizaines.
Dans cette chambre de ce quartier de Cannes où il habite, j’aime être le coup d’un soir après que Franck ait profité de mon ingénuité.
Mais s’il m’avait épousé, à 25 ans je serais une femme trompée avec deux ou trois marmots que j’élèverais dans la région où j’ai perdu mon pucelage.
La vie est bizarrement faite, mais c’est ma vie pour le moment.
Taxis, hôtels, la plupart des palaces dans les plus grandes villes du monde.
Baiser comme des mecs on l’envie de me prendre sauf le sadomasochisme que j’ai déjà dit refuser de pratiquer.
Bien sur Love se joint à des soirées échangistes, arrivant au bras d’homme me payant pour qu’ils puissent parader.
Il m’arrive de faire une partouze dans un château réputé pour son vin bordelais où les femmes sont là pour satisfaire les perversions de ces hommes adorant nous faire souffrir.
Toutes les femmes, les unes les autres sommes attachées dans cette cave secrète ou des instruments d’un autre âge y sont gardées.
J’accepte qu’il me place dans leur pilori sans qu’il soit fermé à me faire flageller.
J’accepte que l’on me brûle à la cire des bougies foisonnant dans ce lieu clos.
Même si je sens la chaleur et la cire, sans la voir, quand ils la font couler sur mes seins et surtout ma chatte.
Cette sensation de me sentir la chienne qu’ils se payent décuples mon plaisir.
Chaque fois que Doudou me réserve une soirée comme celle-là, pendant les quelques jours suivants, je reste à Nice ou encore dans mon haras à récupérer.
Il faut surtout que mon corps efface les traces de flagellations ou de brûlures.
Certains où certaines sont obligées d’aller au turbin, moi ma seule obligation, c’est le sérieux que l’on me reconnaît.
On va me rétorquer que chaque femme chaque mois à ses menstruations et que je dois m’arrêter.
Je suis réglée depuis l’âge de 13 ans, une nouvelle fois, c’est Doudou qui m’a tout appris lorsqu’un liquide chaud à couler le long de mes jambes.
Comme le veut la tradition, elle m’a giflé me faisant pleurer pour l’une des rares fois dans ma vie.
Dans mon panel d’amants fidèles ils y en aient quelques-uns que ces périodes excitent et c’est pendant ces quelques jours que je me fais un maxi de fric.
Pouvoir, argent, sexe à l’extrême sont étroitement liés.
Dans ma tête en me préparant pour partir au Qatar, je repense à ce que j’ai promis à Doudou quand j’ai commencé à me vendre.
Deux dates me feront arrêter.
La première, c’est pour les 70 ans de Doudou si elle vit jusque-là.
La deuxième, ce serait sa disparition comme maman l’a faite il y a déjà quelque temps.
À ces deux dates, après les derniers contrats signés que j’honorerais Love du jour au lendemain disparaitra.
Elle réenfilera la peau de Gladys, petite fille aveugle rêvant du prince charmant.
Elle trouvera un gentil garçon de son âge qui lui fera l’amour normalement dans la position du missionnaire avec quelques petites variantes comme la levrette.
Gladys acceptera de le sucer pour mieux le faire bander.
Rien de plus, bien sûr, la sodomie lui sera interdit, ce serait le début de perversions.
Gladys aura des enfants qui je l’espère, serai voyant.
Gladys leur fera donner des cours de solfège seule chose qu’il lui sera impossible de leur apprendre.
Mais leur apprendre à jouer du piano droit, seul luxe de leur petite maison acheté à crédit, c’est moi qui le ferais.
Gladys, le dimanche les emmènera avec son mari à la messe pour le salut de leurs âmes, mais aussi de la sienne.
Gladys aura des maux de tête lorsqu’elle aura envie d’autre chose que de sexe même a le pépère.
La fortune de Love ?
Comme elle le prévoit déjà avec son notaire, elle sera gérée sans que sa famille soit au courant.
C’est à la mort de Gladys, que le notaire les convoquera et qu’ils sauront par une lettre que Love a déjà écrit la bonne fortune qui leur tombe dessus.
En attendant Gladys vivra la vie qu’elle avait toujours envisagée de vivre avant la trahison de Franck.
Seule entorse à sa vie de jeune fille et de femme mariée avec des enfants, elle enregistrera des CD d’œuvres.
Ces oeuvres jouées par une anonyme très douée pour le piano se vendront à des millions d’exemplaires grossissant cette fortune.
Il va de soi qu’elle sera assise normalement sur son tabouret pour ces enregistrements.
En attendant, Love dans sa tenue de pute monte à bord d’un jet pour une énième fois.
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