COLLECTION ESCORTE GIRL. Rattrapée par mon passé (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Rattrapée par mon passé (1/3)
Quelques jours après que j’ai intégré la Sorbonne, ma vie a changé.
Je suis issue d’une cité de l’Est Parisien.
Papa travaille à la RATP et maman est couturière, papa n’a jamais grimpé dans l'échelle sociale par manque d’ambition et à cause de son activité dans les syndicats et dans le parti qu’il soutient.
Côté couture, rien de mirobolant car dans nos quartiers rares sont les femmes qui ne savent pas coudre, mais maman a passé un contrat avec une marque de vêtements de la galerie dans la grande surface et tous les jours, on lui apporte les ourlets de pantalon et de robe à faire.
J’ai donc été élevée chichement jusqu’à mon bac que j’ai eu avec mention la plus forte "Très bien" et une note de presque 19.
Je dois rentrer tous les jours par le métro puis le RER, ce qui nuit à mes études en fac car les transports parisiens sont toujours bondés.
J’en profite donc principalement pour peaufiner les langues que j’adore apprendre, ayant une certaine facilité, autre que le français grâce à maman qui est italienne, venue avec ses parents à l’âge de 10 ans avec sa langue natale.
Du côté de mon père, fils d'un père kabyle, lui aussi venu en France au moment des évènements dans son pays et d’une femme, Kabyle elle aussi, mais étant décédée dans un attentat au temps de la guerre d’indépendance, je parle arabe et Kabyle langue un peu différente.
De plus, les origines de mon père, me permettant d’être une jolie fille au teint un peu bronzé sans avoir des traits trop prononcés, je suis ce que l’on appelle une jolie beurette.
Bien sûr, dès mon plus jeune âge, j'ai appris l’anglais et à temps perdu l’allemand que je travaillais pendant mes vacances dans une colo en Allemagne chaque été grâce à la RATP.
Ces langues ingurgitées, dans le RER, je commence à travailler le Russe.
Ce n’est pas pour autant que je veux m’orienter vers la profession de traducteur. Rester cloitrée des heures dans une boîte, des écouteurs sur les oreilles, très peu pour moi, je suis un peu claustrophobe.
Ma conseillère d’orientation voulait que je devienne traductrice, mais renseignements pris, très peu d’éditeurs recherchent des collaborateurs pour des livres.
Les trois quarts sont pour des traductions de notices de fonctionnement obligatoires pour qu’un produit soit mis en vente sur le marché français.
Ce que je souhaite devenir, c’est avocate fiscaliste, les cabinets recrutent depuis la mondialisation.
Je sors de la fac un après-midi d’octobre quand un garçon bien habillé m’aborde, il a un costume trois pièces, ce qui est rare avec une aussi jolie gueule.
Je le verrais plus en Marcel montrant ses muscles qui semblent être bien développés.
Je vais pour passer mon chemin.
• Mademoiselle écoutez-moi, je vous en supplie, je risque ma place.
• Qu’ai-je à faire de votre place, vous m’importunez, je dois aller prendre mon RER.
• Trois minutes, voyez la grosse voiture là-bas, c’est moi qui la conduis et la femme que vous voyez par sa fenêtre ouverte voudrait vous parler.
Même de loin cette femme dégage une puissance qui me trouble, est-ce la limousine qui me crée cette sensation ?
• Trois minutes.
• Je vous le promets.
Je suis le garçon qui a un joli petit cul, arrivée à quelques mètres de la voiture, la femme ouvre sa portière et descend.
Ses jambes sont interminables, un peu comme les miennes, mais les siennes sont mises en valeur par ses bas et ses chaussures à hauts talons.
Son tailleur, sorti tout droit d’une boutique de grande marque, la moule, montrant qu’elle n’a pas un poil de graisse superflu bien que lorsque j’arrive à sa hauteur je constate qu’elle doit avoir une cinquantaine d'années.
• Madame, voici la jeune fille que vous désiriez rencontrer, elle a trois minutes à vous accorder.
• Merci Julien, nous allons marcher jusqu’à un salon de thé ou j’y ais quelques habitudes.
À mes côtés, tout le long du chemin, les hommes se retournent sur nous, non, sur elle.
J’ai presque honte avec mon jean et mon manteau qu’il faudrait bien que je change, mais je me vois mal demander à mes parents de se priver un peu plus qu’ils ne le font pour payer m’en acheter un neuf.
• Tu t’appelles bien Jennifer, mes renseignements sont bons.
• Oui, comment savez-vous ça ?
• Dans le milieu où je travaille, les renseignements sont primordiaux, j’ai fait faire des études sur toutes les jeunes filles entrées à la Sorbonne cette année et j’ai retenu certaines fiches, la votre fiche en priorité.
Je suis fière que cette femme ait retenu ma fiche, mais que me veut-elle ?
Je regarde ma montre, ce qu’elle remarque.
• Deux thés, nous sommes pressées, vert si possible, feuilles cueillies une à une.
Tu t’inquiètes pour l’heure, je vais te raccompagner chez tes parents, ton père travaille à la RATP, et ta mère est couturière pour une boutique dans une galerie marchante de votre centre commercial.
• Comment savez-vous tout ça et pourquoi moi ?
• Je viens de te le dire, mes fiches, je suis la femme sur la place de Paris la mieux renseignée, je cherche des jeunes filles n’ayant pas froid aux yeux, hyperintelligente et surtout parlant plusieurs langues ce qui est ton cas.
Que sur l’étude qu’elle a faite, mon QI ait été remarqué me gonfle de plaisir.
• Nous en arrivons au moment délicat de notre entretien.
Es-tu vierge ?
C’est le seul point sur ma fiche que j’ignore, parle sans crainte, il serait normal qu’à ton âge tu aies déjà eu des rapports avec des garçons surtout dans vos banlieues
Je fronce les sourcils, ce qu’elle remarque.
• Je suis maladroite, loin de moi l’idée de dire que dans vos banlieues vous êtes des marie-couche-toi-là, surtout que je recherche des jeunes filles ayant la pureté qui se lit sur leur visage.
• Oui, deux fois, la première dans les toilettes du lycée avec un garçon de terminal beau comme un dieu, il m’a fait faire une fellation et une autre fois, pendant mes vacances comme monitrice.
• À oui, dans un camp en Ardèche de la RATP par le comité d'entreprise de ton papa, ça c’est sur ma fiche.
• Oui, c’était pour les aider, ils sont loin d’être riches.
• Aimes-tu le sexe ?
• Que voulez-vous dire ?
• Es-tu fleur bleue ou pragmatique, pourrais-tu faire l’amour avec un homme pour de l’argent ?
• Que je fasse la pute !
Je me lève pour partir, je suis déjà assez en retard.
• Assieds-toi immédiatement.
L’ordre est tellement appuyé que je me rassois.
• Un appartement de deux pièces près de la Sorbonne à deux pas d’ici entièrement meublé, pour ton père grâce à mes relations, un poste de responsable dans son service et pour ta mère, de la couture d’une grande marque de vêtements qui lui sera apporté à domicile.
• Que devrais-je faire ?
• Rencontrer des hommes souvent d’âge mûr ayant d’énormes moyens et passer un moment avec eux, aimes-tu voyager ?
• Oui, mais je n’en ai pas les moyens.
• Rome le weekend prochain, vol et hôtel payé pendant deux jours, bien sûr le samedi soir, tu recevras un homme pour la nuit et tu feras avec lui ce que tu as fait dans les WC de ton lycée et pendant ta colo en Ardèche.
Tu verras, je connais très bien ce client, il est doux et gentil, en retour tu recevras les cadeaux que je viens de te promettre, les clients suivants, c’est ton compte en banque qui sera approvisionné, tu n’auras plus aucun problème jusqu’à la fin de tes études.
Bien sur, l’appartement te servira à les recevoir, es-tu partante ?
J’ignore quoi répondre à Madame, car c’est ainsi qu’elle veut que je l’appelle.
Son offre est très alléchante surtout envers mes parents, de plus cela me permettra de prendre mon indépendance envers eux.
• Un dernier point avant ta réponse, si tu dis oui, c’est un contrat moral qui nous liera, je te fournirai tes clients, ton rôle sera de les satisfaire, le fait que tu parles de nombreuses langues t’aidera.
Si un jour tu rencontres quelqu’un et que tu souhaites faire ta vie plus classiquement avec, la seule chose que je te reprendrai, c’est l’appartement, car j’en aurai besoin pour la fille que je devrais recruter.
La fille qui l’habitait jusqu’aux vacances dedans est partie aux États-Unis à Harvard, s’étant marié avec un Américain plein aux as.
Essaye une fois, c’est comme cela que j’ai commencé, j’ai fait un essai, alors que je me voyais mariée avec un nombre incalculable de mômes.
J’habitais en province dans une cité comme la tienne, regarde où j’en suis arrivée, de plus j’ai un fils de ton âge à qui j’ai pu payer de hautes études, il va être pilote de ligne, quand il était jeune, j’avais les moyens de le faire voler dans un petit aérodrome près d’où j’habite.
Il espérait devenir astronaute, mais sa connaissance des langues était trop faible et il n’a pas été retenu, les appuis peuvent vous manquer parfois, les langues pour toi ce sera ton fort, sans oublier ta jolie silhouette.
Tu partiras les vendredis soir ou samedi matin avec retour le dimanche soir sauf pendant les vacances ou tu pourras partir plus longtemps et plus loin, bien sûr mieux rémunérée.
Viens que je te raccompagne.
• Laissez-moi à une station de RER ligne A, inutile que l’on me voit arriver dans votre limousine dans mon quartier, ce serait le meilleur moyen de faire voir à tous, la jeune femme que vous aspirez me faire devenir.
Le samedi suivant, ma décision est prise, je viens de passer le contrôle à l’aéroport qui va me conduire à Rome, j’ai dit à mes parents que je me rendais à une journée et une soirée offerte aux étudiants, c’est la première fois de ma vie que je leur raconte des bobards.
Un chauffeur m’attend et me dépose devant un hôtel de très haut luxe, la chambre étant à la hauteur de la façade, je m’installe dans le luxe en prenant un bain pendant deux heures, l’eau est programmée pour rester à la température que j’aime.
Madame m’a appelé au téléphone, elle m’a demandé de recevoir notre client en tenue d’Ève, ma beauté suffira à le subjuger.
Quand il arrive, je suis dans la tenue suggérée, la trentaine, je suis surprise, j’attendais un vieux bedonnant.
Il sort sa queue, nous sommes encore dans le vestibule, je m’agenouille et comme je l’ai fait dans les toilettes et avec Chris à la colo, je la prends en bouche.
C’est la première fois que je suce un garçon dont je ne connaîtrai jamais le nom, j’aime être à la merci de ce garçon, je me sors très bien de cette première fellation rémunérée.
J’ai conscience que ma vie vient de basculer, je m’en tire bien, je sais faire, attendons la suite…
Je suis issue d’une cité de l’Est Parisien.
Papa travaille à la RATP et maman est couturière, papa n’a jamais grimpé dans l'échelle sociale par manque d’ambition et à cause de son activité dans les syndicats et dans le parti qu’il soutient.
Côté couture, rien de mirobolant car dans nos quartiers rares sont les femmes qui ne savent pas coudre, mais maman a passé un contrat avec une marque de vêtements de la galerie dans la grande surface et tous les jours, on lui apporte les ourlets de pantalon et de robe à faire.
J’ai donc été élevée chichement jusqu’à mon bac que j’ai eu avec mention la plus forte "Très bien" et une note de presque 19.
Je dois rentrer tous les jours par le métro puis le RER, ce qui nuit à mes études en fac car les transports parisiens sont toujours bondés.
J’en profite donc principalement pour peaufiner les langues que j’adore apprendre, ayant une certaine facilité, autre que le français grâce à maman qui est italienne, venue avec ses parents à l’âge de 10 ans avec sa langue natale.
Du côté de mon père, fils d'un père kabyle, lui aussi venu en France au moment des évènements dans son pays et d’une femme, Kabyle elle aussi, mais étant décédée dans un attentat au temps de la guerre d’indépendance, je parle arabe et Kabyle langue un peu différente.
De plus, les origines de mon père, me permettant d’être une jolie fille au teint un peu bronzé sans avoir des traits trop prononcés, je suis ce que l’on appelle une jolie beurette.
Bien sûr, dès mon plus jeune âge, j'ai appris l’anglais et à temps perdu l’allemand que je travaillais pendant mes vacances dans une colo en Allemagne chaque été grâce à la RATP.
Ces langues ingurgitées, dans le RER, je commence à travailler le Russe.
Ce n’est pas pour autant que je veux m’orienter vers la profession de traducteur. Rester cloitrée des heures dans une boîte, des écouteurs sur les oreilles, très peu pour moi, je suis un peu claustrophobe.
Ma conseillère d’orientation voulait que je devienne traductrice, mais renseignements pris, très peu d’éditeurs recherchent des collaborateurs pour des livres.
Les trois quarts sont pour des traductions de notices de fonctionnement obligatoires pour qu’un produit soit mis en vente sur le marché français.
Ce que je souhaite devenir, c’est avocate fiscaliste, les cabinets recrutent depuis la mondialisation.
Je sors de la fac un après-midi d’octobre quand un garçon bien habillé m’aborde, il a un costume trois pièces, ce qui est rare avec une aussi jolie gueule.
Je le verrais plus en Marcel montrant ses muscles qui semblent être bien développés.
Je vais pour passer mon chemin.
• Mademoiselle écoutez-moi, je vous en supplie, je risque ma place.
• Qu’ai-je à faire de votre place, vous m’importunez, je dois aller prendre mon RER.
• Trois minutes, voyez la grosse voiture là-bas, c’est moi qui la conduis et la femme que vous voyez par sa fenêtre ouverte voudrait vous parler.
Même de loin cette femme dégage une puissance qui me trouble, est-ce la limousine qui me crée cette sensation ?
• Trois minutes.
• Je vous le promets.
Je suis le garçon qui a un joli petit cul, arrivée à quelques mètres de la voiture, la femme ouvre sa portière et descend.
Ses jambes sont interminables, un peu comme les miennes, mais les siennes sont mises en valeur par ses bas et ses chaussures à hauts talons.
Son tailleur, sorti tout droit d’une boutique de grande marque, la moule, montrant qu’elle n’a pas un poil de graisse superflu bien que lorsque j’arrive à sa hauteur je constate qu’elle doit avoir une cinquantaine d'années.
• Madame, voici la jeune fille que vous désiriez rencontrer, elle a trois minutes à vous accorder.
• Merci Julien, nous allons marcher jusqu’à un salon de thé ou j’y ais quelques habitudes.
À mes côtés, tout le long du chemin, les hommes se retournent sur nous, non, sur elle.
J’ai presque honte avec mon jean et mon manteau qu’il faudrait bien que je change, mais je me vois mal demander à mes parents de se priver un peu plus qu’ils ne le font pour payer m’en acheter un neuf.
• Tu t’appelles bien Jennifer, mes renseignements sont bons.
• Oui, comment savez-vous ça ?
• Dans le milieu où je travaille, les renseignements sont primordiaux, j’ai fait faire des études sur toutes les jeunes filles entrées à la Sorbonne cette année et j’ai retenu certaines fiches, la votre fiche en priorité.
Je suis fière que cette femme ait retenu ma fiche, mais que me veut-elle ?
Je regarde ma montre, ce qu’elle remarque.
• Deux thés, nous sommes pressées, vert si possible, feuilles cueillies une à une.
Tu t’inquiètes pour l’heure, je vais te raccompagner chez tes parents, ton père travaille à la RATP, et ta mère est couturière pour une boutique dans une galerie marchante de votre centre commercial.
• Comment savez-vous tout ça et pourquoi moi ?
• Je viens de te le dire, mes fiches, je suis la femme sur la place de Paris la mieux renseignée, je cherche des jeunes filles n’ayant pas froid aux yeux, hyperintelligente et surtout parlant plusieurs langues ce qui est ton cas.
Que sur l’étude qu’elle a faite, mon QI ait été remarqué me gonfle de plaisir.
• Nous en arrivons au moment délicat de notre entretien.
Es-tu vierge ?
C’est le seul point sur ma fiche que j’ignore, parle sans crainte, il serait normal qu’à ton âge tu aies déjà eu des rapports avec des garçons surtout dans vos banlieues
Je fronce les sourcils, ce qu’elle remarque.
• Je suis maladroite, loin de moi l’idée de dire que dans vos banlieues vous êtes des marie-couche-toi-là, surtout que je recherche des jeunes filles ayant la pureté qui se lit sur leur visage.
• Oui, deux fois, la première dans les toilettes du lycée avec un garçon de terminal beau comme un dieu, il m’a fait faire une fellation et une autre fois, pendant mes vacances comme monitrice.
• À oui, dans un camp en Ardèche de la RATP par le comité d'entreprise de ton papa, ça c’est sur ma fiche.
• Oui, c’était pour les aider, ils sont loin d’être riches.
• Aimes-tu le sexe ?
• Que voulez-vous dire ?
• Es-tu fleur bleue ou pragmatique, pourrais-tu faire l’amour avec un homme pour de l’argent ?
• Que je fasse la pute !
Je me lève pour partir, je suis déjà assez en retard.
• Assieds-toi immédiatement.
L’ordre est tellement appuyé que je me rassois.
• Un appartement de deux pièces près de la Sorbonne à deux pas d’ici entièrement meublé, pour ton père grâce à mes relations, un poste de responsable dans son service et pour ta mère, de la couture d’une grande marque de vêtements qui lui sera apporté à domicile.
• Que devrais-je faire ?
• Rencontrer des hommes souvent d’âge mûr ayant d’énormes moyens et passer un moment avec eux, aimes-tu voyager ?
• Oui, mais je n’en ai pas les moyens.
• Rome le weekend prochain, vol et hôtel payé pendant deux jours, bien sûr le samedi soir, tu recevras un homme pour la nuit et tu feras avec lui ce que tu as fait dans les WC de ton lycée et pendant ta colo en Ardèche.
Tu verras, je connais très bien ce client, il est doux et gentil, en retour tu recevras les cadeaux que je viens de te promettre, les clients suivants, c’est ton compte en banque qui sera approvisionné, tu n’auras plus aucun problème jusqu’à la fin de tes études.
Bien sur, l’appartement te servira à les recevoir, es-tu partante ?
J’ignore quoi répondre à Madame, car c’est ainsi qu’elle veut que je l’appelle.
Son offre est très alléchante surtout envers mes parents, de plus cela me permettra de prendre mon indépendance envers eux.
• Un dernier point avant ta réponse, si tu dis oui, c’est un contrat moral qui nous liera, je te fournirai tes clients, ton rôle sera de les satisfaire, le fait que tu parles de nombreuses langues t’aidera.
Si un jour tu rencontres quelqu’un et que tu souhaites faire ta vie plus classiquement avec, la seule chose que je te reprendrai, c’est l’appartement, car j’en aurai besoin pour la fille que je devrais recruter.
La fille qui l’habitait jusqu’aux vacances dedans est partie aux États-Unis à Harvard, s’étant marié avec un Américain plein aux as.
Essaye une fois, c’est comme cela que j’ai commencé, j’ai fait un essai, alors que je me voyais mariée avec un nombre incalculable de mômes.
J’habitais en province dans une cité comme la tienne, regarde où j’en suis arrivée, de plus j’ai un fils de ton âge à qui j’ai pu payer de hautes études, il va être pilote de ligne, quand il était jeune, j’avais les moyens de le faire voler dans un petit aérodrome près d’où j’habite.
Il espérait devenir astronaute, mais sa connaissance des langues était trop faible et il n’a pas été retenu, les appuis peuvent vous manquer parfois, les langues pour toi ce sera ton fort, sans oublier ta jolie silhouette.
Tu partiras les vendredis soir ou samedi matin avec retour le dimanche soir sauf pendant les vacances ou tu pourras partir plus longtemps et plus loin, bien sûr mieux rémunérée.
Viens que je te raccompagne.
• Laissez-moi à une station de RER ligne A, inutile que l’on me voit arriver dans votre limousine dans mon quartier, ce serait le meilleur moyen de faire voir à tous, la jeune femme que vous aspirez me faire devenir.
Le samedi suivant, ma décision est prise, je viens de passer le contrôle à l’aéroport qui va me conduire à Rome, j’ai dit à mes parents que je me rendais à une journée et une soirée offerte aux étudiants, c’est la première fois de ma vie que je leur raconte des bobards.
Un chauffeur m’attend et me dépose devant un hôtel de très haut luxe, la chambre étant à la hauteur de la façade, je m’installe dans le luxe en prenant un bain pendant deux heures, l’eau est programmée pour rester à la température que j’aime.
Madame m’a appelé au téléphone, elle m’a demandé de recevoir notre client en tenue d’Ève, ma beauté suffira à le subjuger.
Quand il arrive, je suis dans la tenue suggérée, la trentaine, je suis surprise, j’attendais un vieux bedonnant.
Il sort sa queue, nous sommes encore dans le vestibule, je m’agenouille et comme je l’ai fait dans les toilettes et avec Chris à la colo, je la prends en bouche.
C’est la première fois que je suce un garçon dont je ne connaîtrai jamais le nom, j’aime être à la merci de ce garçon, je me sors très bien de cette première fellation rémunérée.
J’ai conscience que ma vie vient de basculer, je m’en tire bien, je sais faire, attendons la suite…
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