COLLECTION ESCORTE GIRL. Rencontre inattendue (5/6) - histoire érotique

Incroyable, j’ai voulu impressionner Ange en laissant venir un client chez elle pour lui faire voir que j’acceptais de devenir une pute et que j’étais capable d’accepter tous les défis sexuels que nos clients me proposeraient.
J’ai accepté pour 2 000 € de me laisser attacher par des menottes aux barreaux du lit et de me faire sodomiser.
Le problème, même si la sodomie s’est bien passée, c’est qu’il est parti me laissant dans l’impossibilité de me détacher.
Ange est de retour certainement après avoir gagné des billets avec son corps comme elle le fait depuis plus de dix ans.
C’est après un grand éclat de rire qu’elle me caresse les fesses encore un peu douloureuses.

• Première leçon ma chérie, si j’ai besoin d’une coéquipière, c’est pour les moments que tu viens de vivre.
Deuxième leçon, interdiction de te faire attacher si l’une ou l’autre de nous deux est absente, c’est pour cela qu’avec Jennifer, nous avons acheté cet appartement.
Je connaissais ton client, il vient souvent, du moins chaque fois qu’il a assez d’argent pour se payer nos services.
Il aime nous attacher et nous caresser les fesses avant de nous enculer.
Tu dormais quand mon portable a sonné, je lui ai expliqué la situation, ou as-tu mis les 2 000 € ?
Dans ton tiroir ?
Tu te rends compte, il aurait pu te baiser et récupérer son fric avant de partir.
• Tu as raison, lorsqu’il est parti sans me détacher, j’y ai pensé, mais regarde, ils sont là, bien au chaud attendant ton retour.
Excuse, je voulais te faire voir que j’acceptais d’être ta coéquipière, quand le client a appelé, j’ai directement pensé à lui dire que j’étais prête à le recevoir.
Sois sans crainte, je me souviendrais de ta leçon, détache-moi.
• Il serait bête d’oublier de profiter de la situation où tu t’es mise toute seule.

Ange enlève ses vêtements les rangeant délicatement sur la chaise au pied de mon lit en prenant tout son temps, avant de me rejoindre.

• As-tu déjà reçu la fessée, ton papa t’en donnait-il quand tu avais été méchante ?
• Non, quand tu le connaîtras c’est un homme très doux.
Avec moi, il a toujours été très doux dans son éducation.
En ce qui concerne les autres femmes, sauf erreur de ma part, il est resté fidèle après la disparition de maman dans une crevasse dans la cordillère des Andes.
La fessée m’était inconnue.
• Détrompe-toi, vu la couleur de tes fesses et les zébrures qui les marques, ton client, t’a déjà administré ta première fessée avec mon martinet que je vois près de toi sur le lit.
Pourquoi pas ma main ?

Les premières claques commencent à tomber, je me redresse pour me mettre en boule espérant réduire la surface ou taper.
La seule chose que je réussis c’est de mettre mon cul encore endolori des pénétrations anal subit depuis deux jours encore plus à la merci de la maîtresse femme devenu ma tortionnaire.
Après une dizaine de claques sur chacun de mes hémisphères, je sens Ange m’écarter les fesses.

• Mais dit donc, que ce petit trou est négligé, il faut que je le nettoie, voyons, comment je vais m’y prendre ?
C’est bien ce que je pensais, du sperme et en quantité tu es une petite fille qui se néglige.
Je vais te faire une feuille de rose, c’est vrai, les mots érotiques te sont inconnus !
Feuille de rose veut dire sucer les parties intimes de ton vagin à ton anus.
Quand je suis dans ton anus, une bonne feuille de rose doit se faire en faisant aller sa langue le plus profondément possible en toi, comme cela.
• Ange, tu m’apprends de ces trucs, j’ai bien fait de rester, tu vas faire de moi une jolie salope.
Heureusement, que nous nous sommes rencontrées au café, je bénis ces deux connards qui m’ont piqué ma place.
• Tu préfères celle où tu es en ce moment !
• Si j’avais les mains libres, tu verrais ce que tu verrais.
• En attendant, tu es à ma merci et je peux faire de toi ce que je veux.
• J’ai bien envie d’appeler quatre ou cinq de mes clients, habitant près d’ici pour qu’ils viennent te défoncer, ce serait du fric facilement gagné.
Mais, dis-moi, tu as fouillé dans mes armoires, chaussures et jarretelles sont à moi et ce gode sur la commode, c’est aussi l’un des miens.
Tu es gourmande, le plus gros, il te l’a mis dans l’anus où t’a-t-il simplement enculé, si tu veux que je te libère, il faut être une bonne fille et tout me dire.
• Non, il s’est servi seulement de sa queue, pourquoi te lèves-tu, non, pas lui, j’ai encore mal à l’anus.
• Après la feuille de rose que je viens de te faire, il va rentrer facilement, ma langue t’a parfaitement lubrifié.

C’est ainsi qu’Ange me donne de nouveau du plaisir, si je compte le nombre de fois que mon corps s’est embrassé depuis que j’ai rencontré mon amie, le plateau de la balance irait vers elle.
Mes esprits revenus, je peux lui donner la bonne nouvelle.

• J’ai eu papa au téléphone, il veut bien que je vienne habiter ici.
Comme tu me l’as expliqué pour ta maman, je me suis bien gardé de lui dire que j’étais devenue une prostituée et que la situation me plaisait.
Il a été content d’apprendre que comme tu es avocate, tu vas m’aider dans mes études.
Il souhaite continuer à m’aider et continuera à m’envoyer 1 500 € chaque mois.
J’avais envie de lui dire qu’en deux jours, j’avais gagné plus de 5 000 €, mais sois sans crainte, j’ai su me taire.
• J’adore ton humour ma chérie, tu vois que tu avais bien mérité ta fessée, tu en veux une autre !

J’emménage et nous allons chez un ami faire des photos pour les mettre sur le site Internet, ajoutez un portable à carte facile à changer en cas de problème.
Après nous sommes allées à la boutique où elle achète ses vêtements, faisant d’elle la femme de classe monstre qui plait aux hommes qui se servent de ses charmes.
Notre attente est de courte durée, nous sortons de notre bain quand mon portable sonne.

• Vous êtes Gladys, c’est vous qui avez votre photo sur le site Internet du réseau de callgirl ?
• Ou et quand voulez-vous que nous nous rencontrions.
• Dans une heure à l’hôtel près de la gare Montparnasse, je suis dans la chambre 220.

Ange me fait signe deux avec ses doigts.

• Deux heures et je suis près de vous.
• Je vous attends, je suis allé à ma banque.

Je raccroche.

• Te voilà au pied du mur, ma belle soit tu peux renoncer et tu en as le droit.
Soit tu y vas, mais il faut te préparer, je vais faire de toi une femme fatale.
Sauf si une urgence arrive, je suis libre ce soir, je serais là pour débrifer ta première expérience hors de notre appartement.

Je vais à mon rendez-vous en taxi qu’Ange a appelé, il est minuit quand un autre taxi me dépose.

• Ange, tout s’est bien passé, mon client veut divorcer pour m’épouser, cela t’est déjà arrivé !
• Oui, tu vas m’expliquer, mais comment t’en es-tu sortie avec cette proposition ?
• Je lui ai dit que j’étais déjà mariée et que j’aimais mon mari.
• Bien joué, mais...
• Je vois ce que tu vas dire, il était étonné que je me prostitue si j’aimais mon mari !
Je lui ai expliqué que nous étions dans une situation impossible financièrement et que c’était la seule solution que nous avions trouvée pour nous sortir la tête de l’eau rapidement.
• Tu as un esprit vif, c’est primordial dans notre métier, dit moi comment tu t’es présenté à lui ?
• Quand je suis arrivée et que mon client m’a ouvert sa porte après un très long moment d’attente au point que j’étais à deux doigts de faire demi-tour, le garçon avait l’air désemparé.
Il avait le regard vide, mais a fini par me faire entrer et à ce moment voici ce qu’il m’a dit.
Il ignorait s’il avait bien fait de me faire venir.
Je lui ai proposé de repartir, mais comme il avait accepté que de me recevoir en échange de 2 000 €, il devait me payer.
Il m’a regardé et a été chercher mon enveloppe qui était sur une commode.
Je me suis dépêché de la prendre et la mettre dans mon sac, je l’ai pris dans mes bras.
Je lui ai dit d’éviter d’avoir peur étant là pour le soulager de ses problèmes et que s’il désirait les partager, j’étais là !
Reniflant un grand coup, ce qu’il m’a dévoilé à faillit me faire pouffer de rire, sa femme était enceinte !
Je l’ai félicité, ajoutant que je comprenais son stresse, mais qu’il fallait qu’il dépasse son appréhension.
Il a pris une grande goulée d’air avant d’ajouter qu’elle se refusait à lui.
Je l’ai rassuré, tout allait s’arranger après qu’elle est accouchée.
Je voyais le temps filer et je voulais réconforter cet homme futur père.
Je me suis baissé et j’ai défait son pantalon, il a semblé apprécié que je le suce et a même rempli ma bouche.
C’est à ce moment qu’il m’a dit vouloir divorcer pour m’épouser.
Il avait joui, j’avais mes émoluments, je l’ai quitté après lui avoir dit ce que je t’ai expliqué précédemment.
• Tu as bien fait, il s’était vidé les couilles, ton contrat était rempli.

Ce fut l’un de mes souvenirs de mes premiers mois comme escorte.
Ange m’avait appris ce mot plutôt que celui de pute, c’était à ce titre que notre site nous présentait.
Heureusement, entre mes études et mon travail parallèle, nous rapportant beaucoup d’argent, tout allait pour le mieux, j’arrivais à conjuguer les deux.
Je suis passée à l’année suivante, seule ma moyenne ayant un peu baissé, jusqu’au mois de décembre et le coup de téléphone de mon père.

• Gladys, je suis de passage à Paris pour trois jours et deux nuits, j’aimerais venir dormir chez vous !

Lorsque j’ai raccroché, je sentis que les ennuis commençaient à arriver...