COLLECTION ESCORTE GIRL. Une charmante petite voisine (1/2) - histoire érotique

Ouf, ils sont partis.
Cinq ans que j’attendais ce jour.
Cinq ans depuis le début de ma retraite que je subis cette mégère me faisant des misères, chaque fois qu’elle le peut.
Je suis à la retraite et eux aussi depuis quelques semaines.
Ils ont vendu afin de partir se reposer sur la côte, me permettant enfin du repos.
22 ans déjà deux enfants, ma nouvelle voisine est blonde.
Deux enfants, des jumeaux, un mari qui rentre les vendredis vers 23 heures revenant de son chantier à l’autre bout de la France.
Départ les lundis matin à 4 heures dans sa vieille Citroën.

Pavillon avec piscine, il doit bien gagner sa vie lui travaillant payé avec déplacement et elle, travaillant les après-midi après avoir récupéré ses enfants à l’école, les avoir fait manger et les avoirs redéposer.
Elle les laisse à la garderie et entre avec eux vers 18 heures 30.
Bref, une vie bien rangée.
La piscine cet été est pour moi une source de plaisir.
Non pas en me baignant, j’ai horreur de l’eau bien que dans ma jeunesse, j’ai été marin pendant mon service militaire existant encore dans ces temps-là.
Non, mais Kelly a pour habitude de se baigner nue.
Sans être voyeur, la palissade que je tarde à réparer est bien pratique pour la voir se déplacer lorsqu’elle la nettoie.
Lundi, mardi, jeudi et vendredi sont ses après-midi où elle travaille.
Mercredi, elle garde ses enfants et bien sûr évite de se montrer nue.
Karl, son mari d’origine allemande est un homme aimant et elle une femme qui sait se donner sans retenue.
Je le sais, car trois jours après leur arrivée, dans cette chaude soirée d’été, j’étais en train de promener mon arrosoir avec l’eau de ma cuve d’eau de pluie sur mes légumes quand j’ai entendu du bruit de l’autre côté.
Je me suis approché, pensant que c’était un rôdeur or nous faisons partie des voisins vigilants.
Ceux qui rodaient dans cette nuit, c’était le couple au bord de leur piscine.
Elle était à genoux la verge de son mec bien au fond de sa bouche.
J’entendais les bruits de succion et je me voyais à la place de Karl, mon épouse disparue l’an dernier a toujours refusé de me pomper.
J’ai bien été à deux doigts d’aller voir une pute pour ressentir des lèvres autour de ma verge.
Outre que j’ignorais ou de telles filles tapinaient, m’occuper de Mathilde accaparait tout mon temps et cela reste un fantasme.
Quand je vois ma verge que j’ai prise en main et celle de mon voisin, je me rends compte que je suis mieux pourvu que lui.
Après un moment de ce traitement, elle s’est agenouillée sur l’un des transats et d’une seule poussée, il était bien au fond.

- Non, pas mon clito, tu sais que je deviens folle lorsque tu le caresses.

Karl bien sûr a évité le conseil de sa femme, il a passé sa main sous elle et devait le caresser.
Mathilde jouissait sans bruit.
Kelly savait dire ce qu’elle sentait au point que de voyeur, je suis devenu très mal à l’aise et que je les ai laissés là à leurs ébats.
Hélas, la vision de cette jolie blonde les seins pendant dans la lumière du projecteur éclairant leur piscine font que dès que j’ai été couché, je me suis tapé un rassis, jusqu’à ce que je gicle sur les draps.
Depuis ma jeunesse, c’était la première fois que je me pignolais pour mon plus grand plaisir.
Le lundi suivant, au moment de manger, je constatais qu’un flexible sur l’arrivée d’eau commençait à fuir.
J’ai isolé l’arrivée et j’ai pris ma voiture pour me rendre à Castorama situé dans la zone industrielle de la ville voisine à 8 kilomètres de chez moi.
Mon flexible acheté, je rentrais quand un panneau « accident » m’a obligé à prendre à droite dans un petit chemin.
C’est là qu’à un détour de la route, tout juste carrossable, j’ai vu la C3 de Kelly garée devant un portail, elle était descendue et en train de l’ouvrir pour entrer dans la cour.
La vieille maison est à quelques mètres de la forêt et j’ai pu me garer dans un chemin en terre.
Pendant quelques minutes, les voitures déviées passaient devant moi jusqu’à ce que cela s’arrête laissant le calme du coin retombé.
La police avait dû rouvrir la route principale.
Qu’était venue faire ma jeune voisine dans cette vieille maison ?
S’occupait-elle de personnes âgées aussi délabrées que leur maison ?
Je devais le savoir très vite, une voiture s’est approchée et s’est garée sur la place à côté de la grille.
Un homme, costume trois-pièces, la cinquantaine en est descendu et est venu sonner à ce qui devait être un Interphone.
J’étais trop loin pour entendre, mais le portail s’est ouvert et l’homme est entré.
Intrigué, j’ai attendu, l’homme est ressorti, est monté en voiture et après un demi-tour est reparti pour la ville.
J’allais repartir quand j’ai vu une moto arrivée.
Une grosse moto.
Le conducteur en est descendu, a enlevé son casque et elle aussi a sonné.
Elle, car c’était une femme.
J’ai fait des photos, par pur instinct.
Un peu plus de temps qu’avec l’homme et re-belotte départ de cette belle pouliche aux cheveux roux.
Un temps et c’est un jeune en mob qui s’est arrêté, je l’ai photographié et je suis rentré chez moi changer mon flexible.
Sur quel pied dansé, il est à peu près certain que Kelly tapine dans cette vieille maison certainement à l’insu de son mari.
Les horaires et le fait qu’elle s’absente seulement quand Karl partait, confirmaient mon impression que les personnes âgées qu’elle aurait pu s’occuper, ce sont les bites et même les chattes de ses clients.
Il est 17 heures quand je reçois un appel sur mon fixe.
Par chance, je viens de rentrer pour boire un verre de citronnade faite maison.

- Monsieur Charles, c’est Kelly, pouvez-vous me rendre un service ?
- Tout ce que tu veux petite Kelly.

Aller chercher Jules et Paul et les garder jusqu’à son retour.
La seule chose dont je devais faire attention, c’est à la piscine, les jumeaux peuvent se baigner, mais avec leurs brassards.
Certainement un client exceptionnel pour qu’elle déroge à son habitude d’être à l’heure.
Au lieu de les laisser à la garderie, c’est à l’heure de la sortie des classes que je vais voir la maîtresse, Kelly a appelé, elle est surprise de l’heure mais me connaissant, le village est petit, elle me les confits.
Je trouve ce qu’il faut dans la cuisine pour un goûter et direction la piscine.
Les garçons vont chercher leur maillot, autant joindre l’utile à l’agréable.
Brassard pour Jules, piscine bras nus pour Paul.
Je contourne mon aversion pour l’eau et c’est, moi aussi en maillot que je descends les marches de la piscine.
Mon aversion est suite à un début de noyade étant petit chez mes grands-parents dans la rivière passant non loin d’ici.
Ils m’ont fait donner des cours de natation à la ville voisine avant que je parte faire mon service dans la marine.

- Tendu, groupé, poussé.
Tu fais la grenouille, tu verras dans huit jours, tu montreras à ta maman, comment tu peux te baigner sans risque de te noyer.

Une demi-heure l’un, idem pour l’autre.
Je les fais manger et au lit.
Il est 23 heures quand elle rentre.

- Ça a duré plus longtemps que prévu, je savais que mes enfants étaient entre de bonnes mains, mon travail m’a pris plus de temps que je le pensais.
Excuse.
- Si on se tutoie, ok entre voisin.
Demain c’est mercredi, tu vas garder tes enfants, dommage, je leur aurais bien donné une deuxième leçon de natation.
- Tu leur apprends à nager, non, continu, viens à 14 heures, ils annoncent du beau temps j’en profiterais pour entretenir mon bronzage.

Je suis parti me coucher satisfait de lui avoir rendu service, même si je sais que cette jeune femme de 22 ans se prostitue pour, j’ignore quel motif.

Le lendemain, je suis à l’heure, une heure dans l’eau pour les garçons, cela avance.
Après, je rejoins Kelly sur le transat voisin du sien.
Elle est en maillot deux pièces à croquer.
Le maillot et ce qu’il y a dedans.
Dommage que ce soit ma voisine, je me vois mal sonner à l’Interphone et lui dire « c'est monsieur Charles, j’ai du fric et je viens te troncher.
Pardon, je suis là pour me faire sucer ».

- Dis-moi Kelly, peux-tu me mettre ton numéro de portable sur le mien, tu as eu de la chance hier que je sois rentré boire une citronnade et que j’ai entendu mon fixe sonné.
- J’avais consulté les pages jaunes.
Passe-moi ton portable, je vais me mettre mon numéro dans tes contacts.
Qu’est-ce que c’est que ces photos, tu m’espionnes ?...