COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (1/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (1/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (1/6)
J’aime me promener dans Paris en ce mois de juin alors que je viens de passer mon diplôme d’infirmière et que je suis anxieuse du résultat devant nous être annoncé dans deux jours.
J’adore les quais de Seine et surtout j’aime fouiller chez les boutiquiers.
J’aime remonter la Seine de la cathédrale Notre-dame jusqu'au Louvre.
Je redescends par le trottoir d’en face où des boutiques vendent des animaux surtout des lapins que je trouve croquant.
J’habite dans un vieil immeuble au cinquième chez une mamy presque aveugle à qui je rends des services contre un loyer plus que modéré.
Elle reste tout le temps dans sa chambre et c’est là dans son fauteuil près de la fenêtre où elle a une table roulante comme dans les hôpitaux que je lui apporte son plateau.
C’est une assistante sociale intervenant sur la fin de vie pendant nos cours qui m’a proposé cette formule.
Elle cherchait une jeune femme pouvant s’occuper de plusieurs personnes âgées en touchant un petit salaire et surtout étant logé nourri.
Elle vient la voir une fois par mois.
J’habitais ailleurs et lorsqu’elle nous a demandé si l’une ou l’autre d’entre nous aimerait tester cette formule, j’ai levé la main.
Habité dans le centre de Paris, moi qui faisais des kilomètres pour aller à mes cours et surtout venir me promener, j’ai dit oui et trois jours plus tard, elle me présentait Mamy comme je l’appelle.
Je la lève, la douche et l'installe dans son fauteuil.
De temps en temps je lui fais la lecture, ce qu’elle apprécie beaucoup, même si elle a du mal à m’entendre.
Elle aime me raconter sa jeunesse, la guerre lorsqu’elle était dans la résistance et où elle jouait sa vie à pile ou face.
Elle me fait rougir quelquefois lorsqu’elle me raconte les deux fois ou elle s’est sortie des griffes des Allemands en se laissant prendre par plusieurs d’entre eux.
Elle en parle sans amertume comme si prendre des bites dans la chatte ou dans le cul lui semblait naturel à cette époque troublée pour savoir sauver sa vie.
Elle me raconte la première fois à la sortie d’un bois où ils l’ont arrêté alors que dans le cadre de son vélo des documents ayant permis de gagner la guerre était caché.
Elle était vierge et sans un soupçon de peur, elle s’y était préparée, c’était déjà arrivé à d’autres jeunes femme de leur réseau.
Le premier l’avait couchée dans l’herbe et lui avait enlevé son hymen.
Lorsqu’il s’était relevé, les autres avaient vu qu’elle saignait.
On aurait dit que le sang les avait rendus fous, car pendant plus d’une heure, il avait fallu qu’elle leur appartienne.
Dès cette première fois son corps avait appris à recevoir en même temps des bites dans les deux parties opposées de son corps.
Après-guerre, elle avait rencontré un homme à Lyon où elle avait trouvé un travail dans un bar louche.
Il s’était révélé être violent et un jour elle est partie à pied pour rejoindre Paris.
Étant très jolie, de nouveau, elle a rencontré un homme plus âgé qu’elle qui a fini par l’épouser et elle a hérité de tous ses biens deux ans après.
Elle a fait fructifier son capital, ce qui lui permet de vivre sans souci avec mon aide, bien sûr.
Souvent, lorsque l’assistance sociale vient et lui apporte une somme d’argent qui lui permet de payer l’épicier qui nous livre les ingrédients pour que je prépare les plats, elle me donne quelques billets sans y être obligée.
Certains soirs, si je veux un peu de liberté et faire ce que je veux, c’est facile.
Je glisse un petit papier sous la porte d’en face et la dame qui y habite plus jeune que mamy vient lui donner le plateau que je lui ai préparé.
Mais en règle générale, le soir douche, tenue de nuit avant de la mettre au lit et être libre de ma nuit.
Bref, je trouve plein davantage sans beaucoup de soucis.
Ce beau jour de juin, j’arrive près du pont des Arts et comme souvent je le traverse pour regarder les cadenas que les amoureux se jurant fidélité accrochent avant de jeter la clef dans la Seine.
Le mien est là dans cette forêt recouvert par ceux des derniers amoureux qui sont passés.
Le mien et celui de Julien que nous avons accroché, il y a un an, le jour de mes dix-huit ans après que dans la nuit, il m’eut pris ma virginité.
Fidèle jusqu’au surlendemain où je suis rentré dans ma chambre de bonne vers la gare de Lyon et où je l’ai trouvé en train de sodomiser ma meilleure amie qui poussait des cris comme une truie que l’on égorge.
Deux minutes après ils couraient tous les deux nus dans les escaliers vers la cour intérieure où ma fenêtre mansardée donnait.
Le temps où il arrive le sac de sport avec les quelques affaires qu’il avait apportées depuis que j’étais devenu sa maîtresse, on suivit le même chemin.
Sans les revoir, un mois après j’emménageais chez mamy.

Vers le milieu du pont, je suis nostalgique non pas du cadenas posé avec un parfait connard, mais de ma virginité que je lui avais offerte persuadée que c’était l’homme de ma vie.
Toute mon adolescence, j’avais rêvé d’un grand mariage en robe blanche avec un jeune homme qui m’aurait défloré le jour de nos noces.
Il m’avait convaincu que notre mariage serait le plus beau jour de notre vie et qu’il était bête d’attendre pour faire l’amour.

Près de l’endroit où le cadenas doit se trouver, il y en a tellement, une jeune fille blonde regarde plutôt l’eau que les cadenas.
Jolie fille, même très jolie fille avec ses longues jambes entièrement dénudées le bas du corps seulement recouvert d’un petit short cachant le minimum.
Son débardeur laisse voir ses seins assez volumineux, genre pamplemousse comparé au mien qui sont justes légèrement plus gros que des oranges.
Elle blonde, comme moi, j’ai l’impression de voir ma jumelle, non presque mon sosie
Elle porte un sac certainement plus lourd qu’elle.
Quand je l’approche, je vois ses yeux rougis par les larmes qui en sortent.

• Vous avez l’air d’avoir du chagrin mademoiselle.
Vous aussi il vous a trompé et quitté.

Elle part dans un grand éclat de rire malgré ses yeux embués.
Un peu choquée, je vais pour passer mon chemin lorsqu’elle laisse tomber son sac et m’intercepte.

• Bécasse, vient, je t’offre un verre, je vais t’expliquer ce qui m’arrive.

Nous retournons au bout du pont et nous traversons pour nous installer à la terrasse d’un café.

• Si je suis triste, c’est que je suis depuis deux jours dans une situation plus qu’inconfortable.
Je squattais dans un immeuble depuis deux mois et la police nous a expulsés hier matin à six heures.
Cette nuit j’ai dormi sur un banc non loin d’ici dans un square avec la peur au ventre d’être attaqué et dépouillé de toutes mes affaires.
• Où penses-tu te loger ce soir ?
• À part l’hôtel, impossible j’ai essayé, ils sont complets alors nulle part.
De toute façon, j’ai quelques économies sur mon livret de caisse d’épargne, mais si je choisis cette formule, il sera vide en quelques semaines.
Il me reste une solution, c’est de trouver un meublé pas très cher, mais je connais Paris depuis six mois où j’ai débarqué, je cherche ce type de logement introuvable à ce jour.
• Je me présenter, Véronique, 1m72 et 56 kilos, élève infirmière qui attend ses résultats dans deux jours.

Elle se lève et prend une pose.

• Je te présente Patricia 1m73 et 49 kilos toutes ses dents et glandeuse professionnelle.

J’adore sa présentation et je l’attire vers moi sans malice pour lui donner un baiser sur le bout de son nez.

• Viens, je vais t’aider.

Nous payons, empoignons son sac chacune par une poignée.

• On y va.

Elle me suit et nous revenons sur les pas que j’ai faits plus tôt jusqu’au bas de l’immeuble de chez Mamy.
Nous montons et je la fais entrer dans le vestibule où nous déposons son sac.

• Viens.

Je lui reprends la main et l’entraîne vers la porte de la grand-mère.
Je frappe et j’entre sachant qu’elle est dans l’impossibilité de me répondre, étant sourde sauf si je suis en face d’elle.

• Mamy, je te présente Patricia qui se retrouve à la rue.
Je peux l’héberger pendant plusieurs jours avant qu’elle trouve où se loger !
• Mais oui ma fille, si pendant la guerre, nous avions oublié d’être tous solidaires même au prix de notre vertu, nous serions toujours allemands aujourd’hui.

Très gentil ma mamy, hélas, son cerveau semble s’être arrêté au moment de la guerre. Le principal, c'est que Patricia est un abri.
Je la conduis dans ma chambre seule pièce où nous pouvons dormir à deux dans le grand lit qui la meuble.
Ce qu’elle apprécie, c’est la vue, la fenêtre de ma chambre comme celle de la propriétaire donne sur la cathédrale.
Véronique sort ses affaires de son sac pour les placer sur l’étagère de l’armoire que je lui ai dégagée.
Son téléphone sonne.
Elle le regarde et décroche.
Impossible de comprendre ce qu’elle dit.

• Oui, monsieur Pierre, non ce soir impossible, je déménage.
Demain, heu, non, après-demain, heu, oui à vingt et une heures comme d’habitude, je serai là.

Elle voit que je semble étonné.

• Un ami, il veut me voir demain, il a quelque chose à me proposer, je serai là assez tôt.
• Je vais te donner la clef de l’appartement comme cela, tu rentreras sans sonner et risquer de réveiller Mamy même si elle a peu de chances de t’entendre.
• Merci de la confiance que tu me portes, on se connaît à peine et tu es une mère pour moi.
• Je préférerais être ta sœur.

Nous rions une fois de plus et elle me demande de prendre un bain se sentant dégueulasse sans douche depuis trois jours.
Ma chambre comme celle de mamy donne directement sur la salle de bains.
Je m’allonge sur le lit et elle se déshabille pendant que l’eau coule dans la baignoire.

• En temps normal, ma chatte est épilée, là elle est bien fournie.
• Cela fait mal.
• Un peu, mais j’avais peu de poils et leur blondeur les rendait disgracieux.
Tu viens avec moi, tu me laveras le dos.

Nue pour la première fois devant une autre femme, à part dans les vestiaires de la piscine lorsque je faisais des compétitions trois ans plus tôt.
Elle est tellement naturelle dans tout ce qu’elle fait que je me laisse séduire et ensemble nous entrons dans l’eau.
Une demi-heure après le sol de la salle a reçu les litres d’eau que nos ébats ont fait gicler.
La seule chose de vrai c’est que ma chatte est parfaitement propre après qu’elle m’ait passé la savonnette sous toutes les coutures.
Un moment j’ai même senti deux doigts remonter l’intérieur, je devais être sale certainement là aussi.
J’étais puérile, j’aurais dû penser à Lesbos…

Les avis des lecteurs

Ah un récit qui, que je prendrais plaisir à suivre

Merci Nico les six chapitres à suivre les uns les autres

Histoire Erotique
Toujours si joliment raconté...
Nico



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