COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (2/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (2/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (2/6)
Je viens de rencontrer Patricia sur le pont des arts ou j’aime venir me promener bien que les cadenas soient un mauvais souvenir pour moi.
Elle est sans domicile et mamy vieille dame qui m’héberge contre de menues servitudes accepte que je l’installe dans ma chambre.

Nous sommes dans mon bain où nous nous savonnons mutuellement faisant les folles quand je sens deux doigts dans ma chatte.
Les doigts de Patricia sont bien présents, car elle m’enfonce trois de ses doigts pour bien me nettoyer.
Un petit cri que je lâche lui fait prendre peur que je me sois fait mal.
Après s'être essuyée, nous nous allongeons et rapidement nous nous endormons.
Panique quand je me réveille, il est une heure plus tard que l’heure où je dois m’occuper de mamy.
Véronique vient m’aider et nous rattrapons une demi-heure sur le retard.
Notre servitude terminée Patricia m’entraîne au restaurant pour fêter notre rencontre.
Le soir suivant, nous nous sommes couchés et au matin, j’ai trouvé Pat lové dans mes bras.
Nos yeux se sont regardés et naturellement nos bouches se sont trouvées.
Hélas, je voudrais bien goûter au délice féminin, mais il est l’heure de lever mamy et il nous faut nous préparer.
Dès qu’elle est dans son fauteuil, nous quittons l’appartement non sans avoir glissé le papier sous la porte de la voisine.
Métro, marche, terrasse de café et surtout troisième étage de la tour Effel, ainsi, nous passons une journée exceptionnelle.
Sur la tour deux hommes nous abordent et nous proposent de venir dans leur hôtel.

• Même pas en rêve, messieurs, vos moyens sont trop modestes pour louer nos culs, on prend trop chères.

Les deux partent persuader d’avoir affaire à deux putes en train de racoler ce qui une nouvelle fois nous fait rire.
Après cette visite, nous nous rendons à mon centre d’examen, mais, hélas, mon nom est absent de la liste, il va falloir faire une année supplémentaire.
Heureusement, que mon amie est là qui me remonte le moral et que j’ai accepté de m’occuper de mamy, je peux toujours assurer.

Le soir, nous rentrons et après avoir couché la vieille dame, Pat prend un bain et se semble se préparer à sortir.
Sa tenue m’interpelle, mais je la vois partir vers son mystérieux rendez-vous.

• Soit sage, je reviens.

Lorsqu’elle rentre, elle retourne dans la salle de bains et va se doucher.
Au matin, comme hier elle me regarde et nous nous embrasons.
J’ai l’impression que nous évitons de franchir le pas de certaines révélations.
De plus, j’aimerais savoir où elle s’est rendue hier soir, mais j’hésite à lui poser la question.

Ce matin la journée est ensoleillé et nous décidons d’aller faire du lèche-vitrine.
J’aime les quais, mais j’adore la rue de Rivoli avec toutes ses boutiques qui regorgent de nouveauté pour des filles de notre âge.
J’ai cinquante euros d’économie, je veux faire un choix judicieux pour éviter de regretter une fois mes achats payés.
Dans une boutique pour jeunes très connues, j’essaye une tenue assez osée qui se rapproche de celle que portait Pat hier soir.
Près de cent euros trop chers pour ma bourse, je les retire et je suis navrée de laisser ces vêtements.

• Mademoiselle, vous pouvez nous emballer l’ensemble et me dire combien je vous dois ?
• Venez, suivez-moi jusqu’à la caisse.
• Le total va être trop élevé, j’ai seulement 50 € à dépenser.
• Laisse, c’est un cadeau, tu seras très belle avec tous ses vêtements, tu m’as sauvé de la rue et je te dois bien cela.

À la caisse, elle ouvre son porte-monnaie et sort une liasse de 200 et 100 €.
Autant d’argent en une seule fois, c'est la première fois que j’en vois.
Discrète, pourquoi poser des questions, je récupère les paquets.
Dans une boutique plus loin, elle m’achète des chaussures pour aller avec l’ensemble et pour finir nous entrons dans une boutique de sous-vêtements où pour elle et pour moi nous choisissons des soutien-gorge pigeonnants et des strings de la même collection.
En moins d’une heure, elle sort sans problème pas moins de cinq cents euros.
Pour la remercier et même si elle refuse, j’entre chez un grand parfumeur et je lui offre un joli flacon de parfum que la vendeuse me certifie aller parfaitement avec la silhouette de mon amie.
Nous sortons de la boutique lorsqu’une moto sortant de son lieu de stationnement sur le trottoir vient nous percuter.
Nous tombons littéralement au sol et Patricia est dans l’incapacité de se relever la cheville, lui faisant affreusement mal.
J’ignore qui a appelé les secours, mais en moins de cinq minutes, j’entends une sirène qui se rapproche.
Deux beaux gosses avec la tenue des pompiers de Paris s’approchent et de suite l’immobilisent, car d’entrée, ils semblent redouter une fracture.
Entre-temps la police arrive et se charge du conducteur de la moto pour faire un constat sans oublier l’alcotest qui se révèle positif.
Pendant que les pompiers se chargent des premiers soins, je règle avec la maréchaussée notre adresse et les autres demandent de leur part.
Ils ont déjà installé la grande blessée dans l’ambulance et me font monter à côté d’elle dans l’habitacle.

• C’est notre jour de chance mesdemoiselles, c’est rare que d’aussi jolies filles montent avec nous.
À Paris, c’est plus souvent de vielles chinoises où des mémés ayant des problèmes cardiaques que nous transportons.
• Vous êtes bien mignon, mais je me serai bien passé de venir avec vous à l’hôpital.
• Vous verrez à l'hôtel-Dieu où nous nous vous conduisons, il y a des internes très mignons.

Arrivé, je me retrouve dans une salle d’attente avec tous nos paquets.
Après presque deux heures, ma copine arrive la cheville plâtrée et marchant avec des béquilles accompagnées par l’un des mignons internes.

• Bonjour mademoiselle, votre copine s’en sort bien, sa cheville est entière, mais est fragilisée et je l’ai plâtrée pour quinze jours avec interdiction de poser le pied au sol minimum huit jours.
Vous reviendrez en consultation pour que je lui enlève le plâtre et que je l’examine à la date que je lui ai fixée.
Mon service a appelé un taxi qui va vous reconduire chez vous où votre amie devra rester couchée jusqu’à demain où elle pourra commencer à se lever.
Tout sera pris en charge par l’assurance du motard qui l’a renversée.
Au revoir mesdames.

Le chauffeur de taxi aide Véronique à monter jusque chez mamy et nous quitte après l’avoir allongé.

Je lui donne à manger comme avec la grand-mère et je la déshabille pour qu’elle soit plus à l’aise pour dormir vu la chaleur qui écrase la ville.
Le soir avant de dormir, je l’emmène jusqu’aux toilettes et nous passons une nuit tranquille malgré la petite chatte de ma copine que je vois dans la pénombre des lampadaires de la rue, la fenêtre ouverte.

Au matin, elle se lève passe un string et avec ses béquilles va vers la salle de bains et sans mettre quoi que ce soit sur ses seins.
Elle va dire bonjour à l’occupante de la chambre voisine que je viens de doucher, habiller et que je suis en train de faire déjeuner.
Je range la cuisine et lorsque je les rejoins, elle s’est installé dans le fauteuil face à mamy et lui fait la lecture.
Après avoir mangé, nous sommes dans la chambre allongée nue sur le lit lorsque son portable sonne.

• Allo oui.

Elle semble écouter et repousse le téléphone de son oreille.

• Véronique, j’ai quelque chose à te dire, même à t’avouer.

Je me demande pourquoi elle me dit cela après cet appel.
Elle reprend sa conversation.

• Pouvez-vous me rappeler dans un quart d’heure vingt minutes.

Elle referme le portable.

• Véronique, je t’ai caché certaines choses, je me suis bien retrouvée virée de mon squat, mais j’ai une activité parallèle pour vivre que j'ai évité de t'avouer lorsque nous nous sommes rencontrés.
Tu as vu hier que j’avais beaucoup d’argent en liquide.
C’était l’argent que le client que j’ai rencontré hier m’a donné pour passer un moment avec moi.
• Tu es une pute.
• Une prostituée, une escorte girl oui, depuis deux ans.
Depuis que je suis arrivé à Paris, j’ai cherché un travail pour une honnête femme.
J’ai été vendeuse, j’ai travaillé dans un fast-food chaque fois pour de petits contrats.
Un soir dans un bar, un homme s’est approché et m’a proposé de le suivre dans l’hôtel jouxtant le bar pour passer un moment avec moi contre rétribution.
J’avais faim et je me suis vendu contre la chambre qu’il a payée et deux cents euros.
• As-tu des peurs ?
• Baiser pour de l’argent où me faire baiser par un mec qui va vouloir des gosses qui vont me déformer le corps, j’ai rapidement choisi.
J’ai appris que des filles de nos calibres ont une valeur nettement supérieure que ce que j’avais gagné ce jour-là.
Avec ce que j’encaissais, je louais une chambre dans l’hôtel où j’avais eu mon premier client.
Grâce à Internet, je me suis fait rapidement une clientèle sans jamais baiser dans celui où je vivais.
• Pourquoi l’as-tu quitté ?
• Un jour que j’allais entrer, la police était là, car le patron faisait partie d’un gang qui braquait des fourgons blindés.
J’ai pu récupérer mes affaires en me faisant passer pour une jeune femme qui arrivait de Lyon et qui était à la recherche de travail.
C’est là que j’ai rejoint le squat où j’avais fait quelques passes avec des hommes levés dans la rue.
• C’est un de tes clients qui vient d’appeler.
• Oui, un homme marié qui vient à Paris pour une réunion de travail au siège social de son entreprise tous les mois et avec lequel chaque fois je passe la nuit.
Impossible d’y aller et je risque de le perdre alors qu’il me paye bien, surtout qu’il est clin dans ses travers sexuels.
• Pourquoi me dis-tu tout cela ?...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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