COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (5/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (5/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (5/6)
COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (5/6)


Patricia blessée, j’ai accepté de la remplacer pour retrouver l’un de ses clients, mais pour une seule fois.
Elle me propose une deuxième soirée ou elle rencontre un prince du soleil qui souhaite que je déflore son fils l’an prochain.
La spirale est enclenchée, la future infirmière que je pensais être, commence à prendre goût aussi bien à l’argent facile qu’aux amours entre filles moi qui ignorais être attirée par elles.

De retour chez nous, Patricia sent immédiatement que j’ai basculé lorsque je lui dis avoir accepté la proposition de mon client concernant son fils.
Un an à attendre et un an où je suis de plus en plus sûr de suivre celle qui en ce moment a mis sa bouche sur ma chatte que je lui présente en étant placé au-dessus d’elle.
Quelqu’un m’aurait dit que je prendrai cette posture obscène, les cuisses à moitié écartées la chatte en avant avec mes deux mains qui écartent mes grandes lèvres, je l’aurai traité de tarer.
Je dégage mon bouton pour que Patricia puisse le sucer jusqu’à le faire éclater de plaisir.
Dommage, la position est trop difficile à tenir, je suis dans l’obligation de me relever.
Je suis vraiment une novice, Patricia s’est laissée glisser la jambe blessée au pied du lit et me fais mettre à quatre pattes mon sexe au-dessus de sa figure.
Je peux atteindre sa fente qu’elle me donne à sucer en écartant sa jambe valide.
Que je suis bête moi qui cherche à lui faire du bien pendant qu’elle m’en fait, j’ai oublié de lui faire un 69.
Pourtant, je connais déjà cette position, car dessus ou dessous je l’ai pratiqué avec Julien avant qu’il me trahisse avec ma copine.
Je fais court, mais nos corps et surtout le sien frustré de ses clients depuis son accident demande à exploser et explose.

Pendant les quinze jours d’invalidité, elle me trouve six clients bien moins lucratifs que mon prince arabe, mais qui gonfle notre compte en banque.
Il y a cinq jours, elle m’a remis des cartes format cartes professionnelles qu’elle a commandées sur Internet sur un site où elle les a faites imprimées.

« Patricia manucure à domicile appelé 06 01 00 00 00. »

Ces cartes sont accompagnées d’un téléphone portable appareils que j’ai toujours refusé d’avoir.
Quand je voyais des jeunes l’oreillette et l’appareil à la main, je trouvais cela débile.
Mais pour une prostituée, c’est le meilleur moyen de travailler à peu de risques.
Elle me fait voir ses cartes sur les siennes, c’est Patricia Coiffeuse à domicile 06 02 00 00 00.
Il y a trois jours, j’étais dans un hôtel où le réceptionniste a bien vu qui j’étais lorsque je suis arrivée et que j’ai demandé la chambre 69.
Je lui ai donné ma carte avec un petit billet de cent euros, investissement rentable à ce que m’a affirmé celle qui m’a mis le pied à l’étrier.
Il est 14 heures et j’ai eu un appel pour venir faire une manucure d’une dame qui est d’accord pour le tarif que je lui propose pour une heure de travail.
C’est la première fois que je vais rencontrer une cliente femme et je suis plus anxieuse que lors de ma première passe avec mon taureau.
La cinquantaine, très belle femme, elle voit que je suis étonnée, quelle face appelle à une professionnelle alors qu’il lui suffirait de lever la main pour que dix filles au moins viennent s’occuper de son intimité.
La vitesse qu’elle a à me donner des ordres secs, mais non cassants me fait comprendre qu’elle vit à cent à l’heure et que je fais partie d’un processus d’hygiène pour sa petite chatte entièrement épilée au laser.
Le laser, j’ignore ce que c’est alors elle prend le temps de m’expliquer que là encore elle y trouve un gain de temps évitant d’aller dans un institut de beauté ces poils ayant disparu.
Dès qu’elle a fini sa tirade que j’écoute à genoux devant elle, installés nue dans un fauteuil, elle me prend la tête et me plaque la bouche sur sa fente qui est luisante de cyprine.
Depuis quinze jours que je fais du bien à Patricia même si son plâtre limite nos jeux, je crois pouvoir dire que je suis une bonne suceuse et que je peux me présenter devant ma cliente sûre qu’elle en ait pour son argent.
C’est avec célérité que j’arrive à faire sortir de son corps un râle de plaisir.
Mais plus étonnant, il sort de sa chatte un grand jet de liquide qui inonde ma figure.
Que dis-je, un jet, elle m’inonde à jet continu deux trois et même une dernière fois, moins intense ?

• Vous êtes doué, mademoiselle, j’avais oublié de vous dire que je suis une femme fontaine.
Il y a bientôt trois ans que mon corps avait perdus l’habitude d’inondés celle qui m’honore.
Vous me plaisez vraiment et si vous êtes disponible chaque fois que je serai de passage à Paris, je ferais appel à vous.
• Je vous donne le numéro de ma copine qui travaille comme moi et qui pourra vous satisfaire si par hasard j’étais indisponible.
• Je comprends, nous sommes des femmes et de temps en temps votre corps doit vous empêcher de travailler.
Sur ce plan-là, je suis de moins en moins ennuyé, l’âge commence à faire ses effets.
Assez parlé, venez sur le lit, j’aime être brouté, mais j’aime rendre la pareille à mes partenaires.

Bonne après-midi pleine de douceur.
Lorsque j’entre et que je me blottis dans les bras de Patricia, les larmes coulent sur mes joues sans que je puisse les arrêter.

• Qu’as-tu mon cœur, quelqu’un t’a fait du mal ?
• Non, j’étais avec une cliente qui m’a inondé plusieurs fois le visage et qui après m’a fait jouir aussi fort que toi.
J’ai l’impression de t’avoir trompé et il m’est impossible de le supporter.
• Elle t’a donné ton l’argent.
• Bien sûre, l’enveloppe est dans la valise avec le nécessaire de maquillage que tu m’as offerte hier pour crédibiliser mon personnage.
• Alors, tu as seulement fait ton travail, inutile de parler de tromperie.
J’ai bien fait de commander cette mallette sur la toile, une manucure qui monte dans une chambre les mains dans les poches peut paraitre suspecte.
• Tu vas être contente en rentrant comme il fait beau, je suis redescendu à pied par les quais.
• Tu as eu raison, c’est grâce à ce plaisir que nous nous sommes rencontrés.
• C’est juste et comme, tu as voulu que nous gagnions de l’argent avec nos culs, j’ai monté un client néerlandais dans un hôtel.
• Comment ?
• Je me suis installée à la terrasse d’un café, j’ai effrontément regardé un homme bien mis de sa personne.
Il m’a abordé en me faisant des compliments sur ma beauté.
Il parlait français alors je me suis lancée.
« Ces 500 cents euros plus la chambre pour une heure minimum. »
J’ai cru qu’il allait partir et me regardant, il m’a dit d’accord.
Il avait son hôtel tout à côté, je suis allée dans sa chambre où il m’a prise comme un fou sur le secrétaire qui était dans la pièce.

Je suis persuadé qu’elle va me féliciter pour cette initiative, mais l’engueulade qu’elle me passe, fait monter mes larmes à mes yeux.

• Pauvre inconsciente, tu serais tombé sur un flic des mœurs, tu serais au commissariat en ce moment pour prostitution et tu serais fichée à vie comme toutes les putes des rues.
• C’est bien ce que nous sommes des putes.

Elle se calme me reprend dans ses bras et m’explique.

• Que de vendre ton corps, c’est bien sûr de la prostitution, ce qui est toléré dans notre pays.
Alors que ce que tu viens de faire dans la rue c’est du racolage sur la voie publique.
Ça tombe sous le coup de la loi et cela aurait permis à la police de te ficher.
Il y a bien des années, il existait des maisons de tolérances très courues par les hommes et qui ont été fermées, les filles ayant été renvoyé sur le trottoir.
Internet nous a permis de réduire les risques et de trouver des clients sans risque en les cherchant à l’extérieur.
Ainsi, ma chérie, nous pouvons travailler sans problème avec la police des mœurs.
Ce Néerlandais aurait pu être un agent qui t’aurait piégé.
• Merci mon amour, je te jure, ça aura été la seule fois.
J’ai simplement voulu te faire voir que je te suivrai au bout du monde et que quelle part, j’irai rencontrer tous les clients que tu me confiras.
• Aujourd’hui, je t’en confis, mais c’est à toi en bonne amante de te faire une clientèle de fidèle comme j’en ai une maintenant.
Ma chérie, si j’ai bien compris avant que tu partes, tu as rencontré une femme qui est ta première cliente personnelle.
• Oui, lèche-moi la figure, cette dame m’a arrosé avec des jets sortis de sa chatte.
• Tu es tombée sur une femme fontaine, pour une chanceuse, tu es une chanceuse, depuis que je rencontre des femmes aucune pour m’arroser, ça fait partie de mes fantasmes.
• Elle doit me rappeler et je lui ai dit que nous travaillons ensemble et que si je suis dans l’incapacité de venir, ce serait toi qui viendrais, elle est d’accord.
• Ce jour-là, je serai ta gageuse et tu seras mon maquereau adoré.
• Oui, et je te punirai parce que tu auras rapporté peu d’oseille.
Lorsque j’ai fouetté mon prince l’autre jour, ce sont tes fesses que je voyais et cela a décuplé mon envie et mon plaisir.
• Je vois que l’on va être très heureuse ensemble.
Je voulais te dire, pendant que tu étais partie, j’ai entendu la porte d’entrée s’ouvrir lorsque je faisais la lecture à mamy.
L’assistante sociale est entrée accompagnée par deux messieurs.
Elle a été étonnée que je sois là, mais la mamy leur a dit qu’elle avait donné son accord que je reste avec toi.
J’ignore ce qu’ils lui voulaient et ce qu’ils se sont dit, car je suis venue dans la chambre par politesse les laissant seul.
Ils sont restés presque une heure avant de repartir.
L’assistante est venue me saluer et était contente que nous aidions la mémé ensemble.
• C’est bien, j’ai été une bonne pute et toi une très bonne garde malade.
Je pense que l’avenir s’annonce radieux pour nous deux ma chérie.
Nous allons faire sauter la banque.
• Oui, avec nos fesses !
• Viens me les montrer...

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