COLLECTION ESCORTE. Je croyais à avoir saisi l’opportunité. Début de la saison I (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais à avoir saisi l’opportunité. Début de la saison I (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais à avoir saisi l’opportunité. Début de la saison I (1/3)
• Corinne, peux-tu me dire comment une prof de lycée comme toi peut avoir un tel train de vie par rapport à une prof des écoles comme moi ?

Je m’appelle Ludivine, 25 ans, blonde aux yeux bleus, 1m70 sans mes talons.
Poitrine généreuse mais bien proportionnée en comparaison du reste de mon corps.
Bref, j’ai tendance à avoir du succès auprès des hommes et principalement envers les pères de certains de mes élèves.
Attention, avec ces pères c’est en tout bien tout honneur, je les respecte, ils me respectent.
Charlène qui est montée l’an passé avec une grande partie de ses élèves de CM² en CM1 me le dit, lors des réunions avec les parents, elle obtenait difficilement 22 % de ces hommes alors que je suis proche des 60 %.
Je touche presque 3 000 € avec mes primes, Corinne 4 000, idem avec ses primes à la fac.

• Disons que j’ai trouvé un travail de substitution les jeudis où j’ai réussi à concentrer mes heures de travail sur le reste de la semaine.
Je suis aussi libre les week-ends à partir du vendredi soir ou pendant les vacances.
• Et que fais-tu ?
• Si je te le dis, tu vas te sauver en courant, je vais perdre ton amitié !
• C’est si trash que cela !
• Trash non, il suffit de franchir le pas.
• Oh ! dis-moi que tu te prostitues ?
Arrête de me faire marcher Corinne, je disais cela sur le ton de la plaisanterie.
• Non, tu as compris, toute seule, oui, je rencontre des clients, mais j’avais commencé en fac.
Chaque fois que je te disais que j’étais indisponible, j’allais faire du fric pour manger au début, mais après en plus du pognon, pour la puissance que j’ai sur les hommes.
Neuf sur dix sont de petits enfants que nous tenons dans nos mains, car nous réalisons souvent leurs fantasmes.
Lorsqu’ils me font leurs confidences après que nous ayons baisé, la plupart regrettent que leur femme refuse de les satisfaire.
Si tu veux que je te briffe auprès de madame Claudette qui gère mes rendez-vous, je l’appelle, je sais qu’elle cherche des occasionnelles comme nous.
Si je te faisais voir mes comptes, lorsque je me rangerais, je pourrais assumer ma famille sans pour autant dépendre d’un homme et ça tu sais que je suis loin de l’admettre.
• Tu es folle, coucher avec des inconnus, c’est dégueu !
• Plus de 80 %, ce sont des clients fidèles, je connais, comment les satisfaire sans le moindre risque pour moi.

J’en suis resté là, la surprise de découvrir que ma meilleure amie se prostituait sur ses jours de congé me suffisait pour cette fois.
La nuit qui a suivi, impossible de trouver le sommeil, je voyais le peu de bites que j’avais vues de très près s’avancer vers ma bouche.
Le matin, j’avais une gueule d’enterrement, pourtant nous étions lundi et je devais être à 9 heures devant mes élèves.
Au début, avant que je me reprenne, ils ont dû se demander pourquoi j’étais exécrable avec eux alors qu’en temps normal, je suis très douce.
Les fenêtres de mon école donnant sur une rue où les gens partant au travail ou se déplaçant pour se promener déambulent.
Je leur ai mis au tableau un problème de robinet qui fuit et je passe entre les tables, montrant à certains là où le problème va leur donner un résultat faux.
C’est d’un doigt vengeur que je tape sur leur feuille alors qu’en temps normal, je l’aurais faite avec plus de douceur.
Mais inexorablement mes pas me ramènent vers cette rue ou des hommes passent.
C’est leur braguette que je reluque me demandant la grosseur qu’elles peuvent avoir.
À la fin de la journée, j’en ai mal aux yeux de les avoir reluqués, c’est presque en courant que je rentre chez moi pour essayer de dormir.
Ces bites m’obsédant, le lendemain j’étais encore de plus mauvaise humeur surtout que j’étais de service à l’arrivée des élèves et que ces braguettes je les voyais de très près.
Monsieur le papa de Louis, homme la trentaine, pourquoi aurait-il besoin d’une pute pour tirer son coup, bien que je sache qu’il est momentanément célibataire sa femme s’étant envolé.
Il repart suivi de deux dames, ça les putes, j’ignore si elles pratiquent, mais je laisse cette question en suspens, monsieur papa de Clarisse arrive.
Là, c’est autre chose, monsieur Papa de Clarisse dépose sa fille avant d’aller faire son jogging.
J’ignore ce qu’il fait comme travail, car chaque mardi il est en tenue de coureur.
Son pantalon est moulant et c’est la première fois que ma vue est portée uniquement vers ce gros paquet que forme sa verge sous les tissus moulants.
Ceci toute la semaine, je reluque des verges à travers leur pantalon.
Le vendredi, je rentre, je prends mon portable.

• Corinne ?
• Toi à ta voix, tu veux que je te donne le numéro de madame Claudette !
• Comment le sais-tu ?
• J’ai passé le même parcours que toi un peu plus jeune bien sûr, j’avais 19 ans.
Insomnies, verges de mecs que l’on reluque se demandant quand ces hommes seraient nus à part du fric quesque, elles pourraient t’apporter.
Chacune de nous a son parcours, 06..... et tu le sauras.
J’ai parlé à madame Claudette la dernière fois qu’elle m’a appelée pour un client que je vois demain à Nice, je vais toucher un mois de mon salaire de prof en une nuit.
Lundi soir prochain, je t'invite à notre restaurant, tu me diras ton ressenti, tu auras eu la réponse à ta question et libre à toi de me dire que tu arrêtes.
Bon week-end, éclate-toi !

Elle raccroche, il passe plus d’une heure avant que je fasse le numéro.

• Ludivine, c’est vous, j’espérais votre appel, Corinne m’a parlé de vous, elle m’a même fait passer une photo de vous avec elle.
Vous serez une des plus jolies filles que j’aurai à présenter à mes clients.
Avant de parler business, j’aimerais en savoir plus sur vos goûts.
Le sexe est tellement personnel, que même ton amie est incapable de me donner certaines des choses que je vais te demander.

Dans le flou où je suis, je remarque que sans mon avis, madame Claudette s’est mise à me tutoyer.
Nombre d’hommes que j’ai eus, la sodomie arrive très vite et chose surprenant les femmes !
Est-ce que j’aime faire l’amour avec des femmes, je passe mon tour, même pas en rêve, brouter la chatte d’une personne de mon sexe, j’aurais peur de dégueuler entre ses cuisses ?
Nous parlons chiffons, sa voix légèrement rauque me conseil pour m’habiller demain soir pour prendre un taxi et me rendre à l’autre bout de Paris pour rencontrer mon premier client.

500 €, pour une demi-heure, ça ferait combien pour chacune d’entre nous ?
Elle prenant 20 % en sus plus le taxi sans la chambre, car c’est dans son appartement de l’est de Paris que je dois me rendre.
Le samedi, je suis ce que madame Claudette m’a suggéré.
Je vais acheter un imper qui couvrira les seuls sous-vêtements que j’enfile fébrilement me demandant si je vais avoir le courage d’aller plus loin.
J’arrive à tout surmonter et je sonne au Digicode de cet immeuble bourgeois de cette ville dont je terrai le nom.
La cinquantaine, j’étais prévenu, bedonnant en peignoir et pied nus dans des babouches.
En préparant quelques affaires dans mon sac, j’ai mis une petite fiole de produit massant.

• C’est pour votre massage, où est la chambre, mais d’abord !
• Me masser, c’est surprenant, mais pourquoi pas, j’ai toujours un peu mal au cou, voici votre enveloppe.

Je l’ouvre, deux billets de 200 et un de 100, le compte y est, je vais pouvoir devenir une pute comme ma copine Corinne.
Institutrice et pute, est-ce courant, je l’ignore.
J’ouvre mon imper, libérant mon nouvel outil de travail.

• Merde, Claudette m’a gâté, vous êtes la plus jolie fille que j’aurai eu un petit moment dans mes bras.
• Où est ta chambre, la pendule tourne, je vais être obligé de te facturer une demi-heure supplémentaire, tu connais les conditions ?

Voilà, c’est fait, Jacques, c’est son nom se place sur le ventre, je monte à califourchon sur son dos et ayant vidé un peu de ce qu’il me faut pour le masser, je commence un travail réparateur.
Je me soulève pour que je puisse sentir sa verge et tout en le massant, je le fais entrer en moi.
Il lui faut quelques secondes pour éclater gueulant de plaisir.
Je me soulève, je lui caresse la verge de ma main à deux doigts de le mettre dans ma bouche, mais le réveil me montre que la demi-heure est passée.
Jacques m’indique la salle de bains, je me passe simplement une patte mouillée entre les jambes, car j’ai légèrement mouillé lorsqu’il a déchargé.
Au moment de partir, il m’ouvre la porte ayant remis son peignoir moi mon imper, mon taxi m’a attendu, je rentre chez moi avec dans la main, les 100 € de pourboire qu’il m’a laissé.
Problème potentiel pour mes élèves lundi.
Une prof des écoles gagne 3 000 € par mois, elle a touché 600 € pour faire la pute, combien de clients d’une demi-heure, doit-elle faire pour toucher l’équivalent de son mois de salaire.
5 grâce à ce pourboire, sinon 6.
Bien sûr, en regardant mes jeunes élèves, comme le premier problème que j’ai imaginé, je le garde pour moi.
Pourtant, j’aurais la tentation de poser ce problème simple en apparence.
Mais je sais rester à ma place et je le gomme de ma mémoire jusqu’au soir où je retrouve Corinne.

• Je pourrais te dire bravo, mais je vais te donner les félicitations du jury, comme dans notre principal métier.
J’ai eu madame Claudette, ton client l’a déjà rappelé, il te veut, toi, le mois prochain pour une heure à 1 500 €.
Tu te rends compte, en un peu plus d’un mois, tu auras gagné les deux tiers de ta paye mensuelle sans compter les pourboires, avec un seul client, j’espère qu’il a su te remercier.
• 100 €, je t’en remercie.
• Bien joué le coup du massage, il a été emballé.
Mais dit-moi, lorsque madame t’a demandé tes goûts sexuels tu as semblé étonné d’amours féminins entre des clientes et des putes.
Veux-tu qu’on en parle ?...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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