COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Début de la saison III (7/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Début de la saison III (7/8)
• Je vais appeler madame Claudette de retirer mon profil de son site internet, j’ai l’idée de ce que je vais faire.
C’est ce que j’ai dit lorsque j’ai quitté Paul, mon client m’ayant emmené en Jamaïque initialement pour 30 000 € la quinzaine.
Tout ce qui aurait dû être un moment de rêve même pour cet argent, je dois me vendre est devenu un calvaire jusqu’à la dernière nuit.
Un calvaire, c’est un peu fort, car refusant de me vendre au père de Clarisse l’une de mes élèves, j’ai passé mon temps à me faire bronzer et donner le change de la jeune épouse un peu coincée.
Coucher avec des hommes pour leur soutirer leur argent, c’était devenu facile, mais rester dormir auprès d’un bel homme a été un véritable supplice, ma chatte ayant tendance à me chatouiller tellement elle avait faim de bites.
J’aurais pu me rabattre sur certains clients comme celui du premier jour alors que j’attendais Paul ayant du retard et arrivé le lendemain.
Mais cet homme est reparti le lendemain et j’ai promis à Paul d’éviter de le faire passer pour le cocu de service pendant cette quinzaine.
C’est le dernier jour, comme je l’ai dit, la dernière nuit qu’ayant fait amende honorable à son comportement, nous avons fait l’amour jusqu’au matin.
Malgré qu’il sache maintenant que je me prostitue, me tenant dans ses bras, il me propose de devenir la préceptrice de sa fille qui regrette de m’avoir quittée en cours d’année suite à une maladie orpheline.
Voyant ma réticence surtout avec ce qu’il m’offre comme salaire, il va même jusqu’à me promettre de m’épouser.
C’est dans l’avion que je lui donne ma réponse, immanquablement connaissant la vie de couple avec comme exemple mes parents, je sais qu’un jour ou l’autre il me traitera de « vieille pute » ou de « espèce de pute. »Je serais incapable de le supporter et c’est pour cela que rentre chez moi, je dors 24 heures ayant vieilli de 6 heures, le temps du retour, lié au décalage horaire.
• Bonjour madame, pouvez-vous me dire où se trouve le bureau des mutations pour une professeure des écoles ?
• Encore une, qui va nous demander de l’envoyer dans un lieu ensoleillé si possible hors de la métropole.
Bureau 24 au deuxième étage.
Cette femme a raison, je vais demander de partir loin de la métropole et ainsi couper tous les ponts avec madame Claudette et son organisation.
• Parce que vous croyez qu’il suffit de demander pour aller se faire bronzer à Tahiti, mademoiselle Ludivine, je vous inscris sur une liste d’attente, pour la Réunion, la Martinique ainsi que la Guadeloupe et même Tahiti.
J’oubliais Mayotte, mais même là, ça fera dix ans que vous serez retraitée avant que l’administration appelle pour cette mutation.
Je repars, je vais être obligé de continuer à la rentrée dans la même école avec le risque de replonger tellement la tentation sera grande de me refaire des clients.
Je suis à la porte, je sors et je vais pour refermer.
• Mademoiselle Ludivine revenez, j’aurais peut-être une proposition à vous faire.
Je reviens devant cette fonctionnaire de l’Éducation nationale.
• Saint-Pierre-et-Miquelon, connaissez-vous ?
• Je suis prof des écoles et je sais que ça se trouve près de Terre neuve et non loin du Canada.
• Oui, vous avez raison, j’aurais un poste de libre dans l’île de saint Pierre là où se trouve la plus grande concentration de Français.
Une place est libre à l’école primaire de l’île pour des CP, si vous la voulez, elle est à vous, vous y serez pour la rentrée de septembre.
Vous verrez, les gens sont un peu bourrus, mais quand on les connaît ils sont très sympathiques.
• Y êtes-vous allé ?
• Que Dieu m’en préserve, mais c’est marqué sur la fiche que nos services m’ont donnée.
Je quitte le ministère.
Quelques jours après mon voyage est près, ce soir je suis au restaurant avec Marie et Corinne.
Cette après-midi, j’ai pris un taxi et je me suis fait conduire à saint Maur et je suis passée devant le garage de Paul.
J’espérais le voir, mais non j’emporte dans mes yeux l’endroit où j’aurais pu vivre si la vie avait été toute autre et mes choix différents.
Impossible de revenir en arrière.
• Ludivine, tu es folle, tu vas te geler les miches sur cette île, un jour tu nous diras pourquoi tu pars laissant tout derrière toi ?
Repas et boîte, j’ignore ce que je vais trouver là-bas.
• Permettez-moi mesdemoiselles de vous offrir un verre.
Nous sommes trois, ils sont trois et c’est chez Corinne que nous finissons la nuit.
Trois hommes, trois jeunes hommes en pleine forme qui nous baisent toutes les trois à tour de rôle, Corinne et moi en double, le dernier s’occupant de Marie.
Marie qui semble avoir franchi le pas avec les verges mâles.
Elle les suce comme une grande et se fait enfiler en levrette.
Je vois clairement la bite de Cyprien entrer dans son con alors que je suis près de sa chatte et l’ayant bien préparée avec ma langue, c’est moi qui empoigne le symbole phallique et qui la plante.
Je sens que l’on veut me prendre, j’écarte mes cuisses, une bite glisse dans ma fente très facilement terriblement je suis excitée.
Est-ce Paul qui nous a rejoints, j’aime à le penser.
Nuit torride, nuit de folie, nuit de séparation d’avec mes amies lorsque je vois mes billets d’avion sur mon buffet.
• Bonsoir, Ludivine, tu nous quittes dans deux jours, je vais te regretter.
Tu étais une de mes meilleures filles, certes, je sais ce qui s’est passé l’autre soir par Corinne que j’ai appelé pour qu’elle parte une semaine aux Baléares.
La conséquence est positive, Marie m’a appelé ce matin et si je te faisais voir sa fiche, j’ai pu ajouter homme « oui » en laissant les femmes « oui ».
Cette année c’est elle que je vais emmener à Courchevel, si tu étais restée parmi nous, ce serait toi que j’aurais emmené une nouvelle fois faire du ski.
Je finis la nuit à lécher et fister celle que j’appellerais toujours madame Claudette, celle pour qui et grâce à qui je me suis prostituée.
Que dire de Saint-Pierre-et-Miquelon, froid, froid, froid et toujours froid surtout que l’hiver arrive vite ?
Ça fait six mois que je suis sur cette île du bout du monde.
J’ai eu un amant, un pêcheur à la barbe fleurie, ils ont tous une barbe fleurie, certainement le froid sur les bateaux.
C’est dans un café de Saint Pierre que je l’ai rencontré.
Une nouvelle fois, j’avais un peu picolé et ce Viking roux une vraie force de la nature m’a proposé de sortir en mer avec son bateau pour aller voir les phoques sur la grande île de Miquelon.
Il devait sortir pour aller faire un essai de son moteur.
Avec ses jumelles, j’ai pu admirer la beauté de la nature de cette région et aussi la cabine où se trouvait une couchette.
Ça sentait le poisson, il m’a mangé le minou et alors qu’il me prenait en levrette, j’avais devant mes yeux une photo avec une jeune femme et un petit garçon.
J’ai apprécié la force qu’il a mise à me faire jouir.
Mais dès que nous avons été de retour, je lui ai demandé de m’oublier après qu’il m'a avoué que sa famille habitait à l’autre bout de l’île.
Un jour, je vais à la poste chercher un colis commandé chez une célèbre société de grande distribution, même ici au bout du monde.
Le colis est abîmé, et il faut que je fasse une déclaration.
Comment dire à cette grande femme brune que ce sont deux godes que j’ai commandés grâce à Internet que j’ai sur mon ordi fourni par l’administration ?
C’est elle qui me permet de rester zen, car elle a remis du collant sur l’ouverture montrant l’une des boîtes et son contenu.
Bien sûr, je refuse de faire une déclaration, mais le soir, c’est dans la discothèque de l’île que nous finissons la nuit après avoir dîné au restaurant.
Passé pour lesbienne aux yeux des habitants à la place de la femme prenant l’homme des habitantes, c’est ensemble que le soir nous faisons l’amour dans sa chambre.
Être pute a un avantage, je sais comment satisfaire une autre femme.
Il va de soi que j'étais celle que j’ai été, seul le plaisir de Ninette m’importe et j’y arrive en même temps qu’elle m’apporte le mien.
Je vais régulièrement sur le site d’un garage de grosses voitures allemande.
J’ai du vague à l’âme, que se serait-il passé si lorsque j’ai suivi Corinne, j’étais restée la jeune fille sage alors que j’ai fini par me vendre.
Je regarde le garage et son propriétaire, mais il est trop tard.
Je vais sur mon compte en banque et je vois qu’il se bonifie.
Car ici, à part les sorties au bar et dans la discothèque, seule de grandes balades face à la mer, noir en contradiction avec le vert émeraude de celle de la Jamaïque.
Je suis chez moi, on sonne à ma porte, je vais ouvrir, la jeune fille devant moi me dit quelque chose sans que je puisse trouver qui elle est.
• Madame Ludivine, je suis Clarisse, la fille de Paul, mon père m’a dit qu’il vous avait rencontré pendant ses vacances à la Jamaïque.
Depuis,il est tout changé, il est taciturne, j’ai réussi à ce qu’il me dise qu’il vous avait proposé de vous épouser et que vous auriez refusé.
Nous revenons des USA où j’ai subi pendant quelques semaines un traitement expérimental qui m’a guéri.
• Es-tu venue seule dans un avion ?
Quel âge as-tu Clarisse ?
• 14 ans, je vais bientôt en avoir 15, non, papa est resté à l’auberge où nous avons pris des chambres.
Il m’a dit qu’il vous avait fait une proposition pour que vous vous occupiez de mes études.
Je suis passée en 6e avec ma maladie, j’ai eu beaucoup de temps pour étudier et j’ai fait 6 et 5 dans la même année avant de partir aux USA.
Si je continue mon programme, je vais pouvoir passer mon Bac l’an prochain à 16 ans.
• Entre tu vas prendre froid, veux-tu du café, c’est vrai, tu es un peu jeune pour en boire, j’ai du thé.
• Oui, je veux bien une tasse, vous êtes venue vous réfugier ici, vous aussi ce qu’il y a eu entre vous, semble vous avoir fait fuir pour accepter de vivre dans un tel réfrigérateur...
C’est ce que j’ai dit lorsque j’ai quitté Paul, mon client m’ayant emmené en Jamaïque initialement pour 30 000 € la quinzaine.
Tout ce qui aurait dû être un moment de rêve même pour cet argent, je dois me vendre est devenu un calvaire jusqu’à la dernière nuit.
Un calvaire, c’est un peu fort, car refusant de me vendre au père de Clarisse l’une de mes élèves, j’ai passé mon temps à me faire bronzer et donner le change de la jeune épouse un peu coincée.
Coucher avec des hommes pour leur soutirer leur argent, c’était devenu facile, mais rester dormir auprès d’un bel homme a été un véritable supplice, ma chatte ayant tendance à me chatouiller tellement elle avait faim de bites.
J’aurais pu me rabattre sur certains clients comme celui du premier jour alors que j’attendais Paul ayant du retard et arrivé le lendemain.
Mais cet homme est reparti le lendemain et j’ai promis à Paul d’éviter de le faire passer pour le cocu de service pendant cette quinzaine.
C’est le dernier jour, comme je l’ai dit, la dernière nuit qu’ayant fait amende honorable à son comportement, nous avons fait l’amour jusqu’au matin.
Malgré qu’il sache maintenant que je me prostitue, me tenant dans ses bras, il me propose de devenir la préceptrice de sa fille qui regrette de m’avoir quittée en cours d’année suite à une maladie orpheline.
Voyant ma réticence surtout avec ce qu’il m’offre comme salaire, il va même jusqu’à me promettre de m’épouser.
C’est dans l’avion que je lui donne ma réponse, immanquablement connaissant la vie de couple avec comme exemple mes parents, je sais qu’un jour ou l’autre il me traitera de « vieille pute » ou de « espèce de pute. »Je serais incapable de le supporter et c’est pour cela que rentre chez moi, je dors 24 heures ayant vieilli de 6 heures, le temps du retour, lié au décalage horaire.
• Bonjour madame, pouvez-vous me dire où se trouve le bureau des mutations pour une professeure des écoles ?
• Encore une, qui va nous demander de l’envoyer dans un lieu ensoleillé si possible hors de la métropole.
Bureau 24 au deuxième étage.
Cette femme a raison, je vais demander de partir loin de la métropole et ainsi couper tous les ponts avec madame Claudette et son organisation.
• Parce que vous croyez qu’il suffit de demander pour aller se faire bronzer à Tahiti, mademoiselle Ludivine, je vous inscris sur une liste d’attente, pour la Réunion, la Martinique ainsi que la Guadeloupe et même Tahiti.
J’oubliais Mayotte, mais même là, ça fera dix ans que vous serez retraitée avant que l’administration appelle pour cette mutation.
Je repars, je vais être obligé de continuer à la rentrée dans la même école avec le risque de replonger tellement la tentation sera grande de me refaire des clients.
Je suis à la porte, je sors et je vais pour refermer.
• Mademoiselle Ludivine revenez, j’aurais peut-être une proposition à vous faire.
Je reviens devant cette fonctionnaire de l’Éducation nationale.
• Saint-Pierre-et-Miquelon, connaissez-vous ?
• Je suis prof des écoles et je sais que ça se trouve près de Terre neuve et non loin du Canada.
• Oui, vous avez raison, j’aurais un poste de libre dans l’île de saint Pierre là où se trouve la plus grande concentration de Français.
Une place est libre à l’école primaire de l’île pour des CP, si vous la voulez, elle est à vous, vous y serez pour la rentrée de septembre.
Vous verrez, les gens sont un peu bourrus, mais quand on les connaît ils sont très sympathiques.
• Y êtes-vous allé ?
• Que Dieu m’en préserve, mais c’est marqué sur la fiche que nos services m’ont donnée.
Je quitte le ministère.
Quelques jours après mon voyage est près, ce soir je suis au restaurant avec Marie et Corinne.
Cette après-midi, j’ai pris un taxi et je me suis fait conduire à saint Maur et je suis passée devant le garage de Paul.
J’espérais le voir, mais non j’emporte dans mes yeux l’endroit où j’aurais pu vivre si la vie avait été toute autre et mes choix différents.
Impossible de revenir en arrière.
• Ludivine, tu es folle, tu vas te geler les miches sur cette île, un jour tu nous diras pourquoi tu pars laissant tout derrière toi ?
Repas et boîte, j’ignore ce que je vais trouver là-bas.
• Permettez-moi mesdemoiselles de vous offrir un verre.
Nous sommes trois, ils sont trois et c’est chez Corinne que nous finissons la nuit.
Trois hommes, trois jeunes hommes en pleine forme qui nous baisent toutes les trois à tour de rôle, Corinne et moi en double, le dernier s’occupant de Marie.
Marie qui semble avoir franchi le pas avec les verges mâles.
Elle les suce comme une grande et se fait enfiler en levrette.
Je vois clairement la bite de Cyprien entrer dans son con alors que je suis près de sa chatte et l’ayant bien préparée avec ma langue, c’est moi qui empoigne le symbole phallique et qui la plante.
Je sens que l’on veut me prendre, j’écarte mes cuisses, une bite glisse dans ma fente très facilement terriblement je suis excitée.
Est-ce Paul qui nous a rejoints, j’aime à le penser.
Nuit torride, nuit de folie, nuit de séparation d’avec mes amies lorsque je vois mes billets d’avion sur mon buffet.
• Bonsoir, Ludivine, tu nous quittes dans deux jours, je vais te regretter.
Tu étais une de mes meilleures filles, certes, je sais ce qui s’est passé l’autre soir par Corinne que j’ai appelé pour qu’elle parte une semaine aux Baléares.
La conséquence est positive, Marie m’a appelé ce matin et si je te faisais voir sa fiche, j’ai pu ajouter homme « oui » en laissant les femmes « oui ».
Cette année c’est elle que je vais emmener à Courchevel, si tu étais restée parmi nous, ce serait toi que j’aurais emmené une nouvelle fois faire du ski.
Je finis la nuit à lécher et fister celle que j’appellerais toujours madame Claudette, celle pour qui et grâce à qui je me suis prostituée.
Que dire de Saint-Pierre-et-Miquelon, froid, froid, froid et toujours froid surtout que l’hiver arrive vite ?
Ça fait six mois que je suis sur cette île du bout du monde.
J’ai eu un amant, un pêcheur à la barbe fleurie, ils ont tous une barbe fleurie, certainement le froid sur les bateaux.
C’est dans un café de Saint Pierre que je l’ai rencontré.
Une nouvelle fois, j’avais un peu picolé et ce Viking roux une vraie force de la nature m’a proposé de sortir en mer avec son bateau pour aller voir les phoques sur la grande île de Miquelon.
Il devait sortir pour aller faire un essai de son moteur.
Avec ses jumelles, j’ai pu admirer la beauté de la nature de cette région et aussi la cabine où se trouvait une couchette.
Ça sentait le poisson, il m’a mangé le minou et alors qu’il me prenait en levrette, j’avais devant mes yeux une photo avec une jeune femme et un petit garçon.
J’ai apprécié la force qu’il a mise à me faire jouir.
Mais dès que nous avons été de retour, je lui ai demandé de m’oublier après qu’il m'a avoué que sa famille habitait à l’autre bout de l’île.
Un jour, je vais à la poste chercher un colis commandé chez une célèbre société de grande distribution, même ici au bout du monde.
Le colis est abîmé, et il faut que je fasse une déclaration.
Comment dire à cette grande femme brune que ce sont deux godes que j’ai commandés grâce à Internet que j’ai sur mon ordi fourni par l’administration ?
C’est elle qui me permet de rester zen, car elle a remis du collant sur l’ouverture montrant l’une des boîtes et son contenu.
Bien sûr, je refuse de faire une déclaration, mais le soir, c’est dans la discothèque de l’île que nous finissons la nuit après avoir dîné au restaurant.
Passé pour lesbienne aux yeux des habitants à la place de la femme prenant l’homme des habitantes, c’est ensemble que le soir nous faisons l’amour dans sa chambre.
Être pute a un avantage, je sais comment satisfaire une autre femme.
Il va de soi que j'étais celle que j’ai été, seul le plaisir de Ninette m’importe et j’y arrive en même temps qu’elle m’apporte le mien.
Je vais régulièrement sur le site d’un garage de grosses voitures allemande.
J’ai du vague à l’âme, que se serait-il passé si lorsque j’ai suivi Corinne, j’étais restée la jeune fille sage alors que j’ai fini par me vendre.
Je regarde le garage et son propriétaire, mais il est trop tard.
Je vais sur mon compte en banque et je vois qu’il se bonifie.
Car ici, à part les sorties au bar et dans la discothèque, seule de grandes balades face à la mer, noir en contradiction avec le vert émeraude de celle de la Jamaïque.
Je suis chez moi, on sonne à ma porte, je vais ouvrir, la jeune fille devant moi me dit quelque chose sans que je puisse trouver qui elle est.
• Madame Ludivine, je suis Clarisse, la fille de Paul, mon père m’a dit qu’il vous avait rencontré pendant ses vacances à la Jamaïque.
Depuis,il est tout changé, il est taciturne, j’ai réussi à ce qu’il me dise qu’il vous avait proposé de vous épouser et que vous auriez refusé.
Nous revenons des USA où j’ai subi pendant quelques semaines un traitement expérimental qui m’a guéri.
• Es-tu venue seule dans un avion ?
Quel âge as-tu Clarisse ?
• 14 ans, je vais bientôt en avoir 15, non, papa est resté à l’auberge où nous avons pris des chambres.
Il m’a dit qu’il vous avait fait une proposition pour que vous vous occupiez de mes études.
Je suis passée en 6e avec ma maladie, j’ai eu beaucoup de temps pour étudier et j’ai fait 6 et 5 dans la même année avant de partir aux USA.
Si je continue mon programme, je vais pouvoir passer mon Bac l’an prochain à 16 ans.
• Entre tu vas prendre froid, veux-tu du café, c’est vrai, tu es un peu jeune pour en boire, j’ai du thé.
• Oui, je veux bien une tasse, vous êtes venue vous réfugier ici, vous aussi ce qu’il y a eu entre vous, semble vous avoir fait fuir pour accepter de vivre dans un tel réfrigérateur...
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