COLLECTION ESCORTE. L’engrenage (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. L’engrenage (1/1)
- Pour répondre à ta question, tu veux savoir comment j’ai pu la première fois accepter que mon client m’embrasse !
- Oui, ce doit être désagréable de sucer la langue, d’un mec inconnu beau ou laid.
- C’est vrai que la plupart des hommes qui ont les moyens de se payer les services d’une escorte de luxe, ont en moyenne la cinquantaine.
Ils sont souvent un peu dégarnis et ventripotents.
Mais que veux-tu ce sont eux qui ont assez de fric pour se payer nos services.
Ils ont souvent des femmes du même âge, voire plus vieilles qui leur refusent de faire ce que nous acceptons de faire avec eux.
Plusieurs épousent un carnet de chèques qui leur a permis de monter leur boîte.
Ils profitent du fric qu’ils gagnent personnellement pour se taper de jolies filles comme nous pour une soirée ou au mieux un week-end.
Comment peut-on embrasser de tels hommes, je vais te le dire, certes comme toi la première fois, je me posais des questions de ce genre ?
Nous sommes déjà sorties ensemble depuis que tu es venue à Paris continuer tes études de stylistes.
- Oui, souvent je le reconnais.
- Je t’ai vu partir avec des garçons, certains pour un simple plan cul d’un soir.
Celui avec qui tu es resté le plus longtemps c’était pendant 12 jours avant que tu le jettes comme une vieille chaussette.
- Il m’énervait, il était toujours collé à moi.
- C’est ce qui m’a motivé de devenir escorte, tu te fais payer, tu baises et après chacun rentres chez soi.
Où sommes-nous ici, dans une petite chambre minable sous une soupente que tu dois payer une fortune.
Si tu acceptes les clients que nous pouvons te présenter, dans deux mois tu t’installes dans un plus grand et après trois déménagements, tu as ton propre appartement mini quatre pièces dans un des beaux quartiers de Paris.
Alors comment peux-tu faire, pour voir si tu peux faire comme moi ?
Je suis Coralie la blonde et Sylvie la brune, c’est elle qui m’a appris qu’elle vend ses charmes au début pour se payer ses études et maintenant simplement pour le pognon que cela lui rapporte.
Je voyais qu’elle semblait à l'aise financièrement alors que sa famille était pauvre comme la mienne.
- Vous auriez du feu !
Sylvie m’a donné deux ou trois conseils, que je mets en pratique le soir même.
En premier, repérer un bar où les hommes sont nombreux et un hôtel ouvert 24 heures sur 24 à proximité.
Pour commencer, porter une tenue provocante avec un beau maquillage, mais sans trop si l’homme veut un coup d’un soir, sans payer, il évitera de te demander du feu.
Je suis son conseil et je sors le petit briquet de mon petit baise en ville ou je l'avais placé.
L’approche faite, l’homme choisi se présente, « Alfred, représentant de commerce. »
Tu t’en fiches, tu sais que c’est faux, tu ignores pourquoi tu es là et il se fiche que tu lui dises que tu es une honorable jeune femme fiancée au prince Albert en séminaire et qui s’ennuyait dans sa chambre.
Solitude de l’un, solitude de l’autre, tu le suis dans une chambre, soit de son hôtel, soit dans celui que tu as repéré.
Bien sûr tu es son invité, hors de question que cette soirée, d’initiation au baiser d’un inconnu te coûte le moindre centime.
Dans cette chambre, tu te laisses embrasser, avec la langue.
Pourtant tu avais entendu que les putes offraient leurs avantages, mais sans la bouche.
Ça, c’était dans les temps passés, une escorte des temps modernes et une fille de joie, la différence est énorme.
Les putes du passé travaillaient généralement pour un mac et c’était lui qui avait la primeur de sa bouche.
C’était là le paradoxe, leurs clients se masturbaient à l’intérieur de leur bouche quand elle leur faisait des fellations, mais pas question de se laisser embrasser.
J’ai tout bien fait comme elle me l’a conseillé, il est vrai que si j’avais choisi au lieu de m’assoir près de celui que j’ai appelé Alfred, le beau brun seul aurait été mon choix.
Embrassé, sucé, il m’a sauté et dans la nuit, je suis rentrée dans ma soupente.
14 heures, on frappe à ma porte.
- Alors ?
C’est Sylvie, elle m’avait promis de passer voir si j’étais arrivé à me faire sauter par un inconnu en l’embrassant.
- Tu avais raison, je suis allée au bar club près du canal saint Martin et près de l’hôtel du même nom.
J’avais le choix entre deux tabourets, je me suis assise près du plus vieux des deux.
- Aurais-tu choisi l’autre si tu avais eu le choix, je suppose ?
- Oui, bien sûr il avait une cigarette en main.
- Il t’a demandé du feu et a ri car il était interdit de fumer.
Ça lui a permis d’engager la conversation.
- Tu y étais !
- Non, j’étais moi aussi un peu plus loin au Novotel, mais mon client avait payé ma prestation à Josy qui avait tout contrôlé.
Tu me dis qu’il avait des cigarettes et lorsqu’il t’a embrassé le goût du tabac froid dans sa bouche était dégueu.
- Une nouvelle fois, non, mais c’est souvent comme cela, moi j’étais payé, toi tu as subi ça pour pas un rond.
- Josy peut s’occuper de moi !
Je lui ai dit que j’avais une amie qui galérait seule à Paris, mignonne, bien foutue, elle est prête à te rencontrer et si ça match entre vous, elle veut te prendre sous sa coupe.
C’est elle qui encaisse, le client pouvant même la payer en carte bleue et c’est elle qui gère notre site internet, elle retient 30 % de nos gains !
- 30 %, c’est beaucoup.
- Rends-toi compte du travail que ça représente alors que nous pouvons profiter et des billets de ces hommes et de temps en temps de bon repas dans de très bons restaurants.
L’été dernier, j’ai été invité par un client attitré, trois semaines en Corse à bronzer et à baiser avec un autre couple de ses amis.
Trois semaines à me faire sauter alors qu’il adorait regarder.
Il l’avait proposé à sa femme refusant l’échangisme.
J’ignore si c’est vrai, il me dit mettre de l’argent de côté sans que sa femme le remarque pour que nous allions dans les Caraïbes pour Noël.
- Présente-moi à Josy !
Josy m’appelle.
- Coralie, ce soir 21 heures, restaurant sur les champs Élisée, tu demanderas monsieur Claude, tu verras c’est un bel homme et un client qui est toujours délicat avec les filles que je lui ai présenté.
Pour un premier, tu verras ce sera simple, il a un fantasme que tu auras facile à réaliser, tu dois mettre un string, ça fait partie du fantasme.
Je suis à l’heure mon premier client me reçoit à sa table.
J’ai mis une robe moulante, entre parenthèses, il va falloir que j’étoffe ma garde-robe car dans le taxi qui m’amenait à lui, j’ai pris conscience que si nous avons une deuxième rencontre il faudra que j’aie une autre tenue.
Repas fin, j’apprends à connaître les bonnes tables parisiennes et comme me l’avait dit Josy, client simple à satisfaire.
Après le repas, nous montons dans sa chambre, je m’attendais à ce qu’il m’entreprenne dans l’ascenseur, mais non, rien.
Entrés dans la chambre, il s’assied sur une chaise.
Il me félicite pour ma tenue, soulève ma jupe et m’arrache mon string, qu’il porte à ses narines.
Je vois la bosse de son pantalon se développer.
Je veux lui sortir sa bite, mais d’un geste de la main, il m’en empêche, je comprends que son fantasme est ailleurs.
Il sort lui-même sa verge sans protection autre que son pantalon.
Il regarde ma chatte blonde, me fait l’enjamber et me plante directement.
Au début, je pense que cette copulation sera rapide, mais j’arrive à avoir mal à l’entrecuisse tellement cela fait un certain temps qu’il m’enfile.
Je panique quand je sens l’orgasme monter en moi.
Nous jouissons simultanément.
De tous les amants avec qui j’avais été, comme je l’ai dit, souvent pour un coup d’un soir, dans ma mémoire, je m’éclate comme jamais.
- Sylvie, tu te rends compte, j’ai joui sous les coups de boutoir de mon client !
Mon amie se met à rire.
- C’est parfait, si tu t’éclates avec tous tes clients.
La pute qui baise sans plaisir, c’était dans les temps anciens.
Baise-les, prends leur fric et saute les encore.
Tu te rends compte de la différence entre le gars que je t’ai demandé de rencontrer sans réfléchir et celui qui t’a payé.
Avec le premier tu as eu du plaisir gratuit, hier tu as eu du plaisir tarifé.
- Tu as raison, c’est même moi qui lui ai pris la bouche et ce baiser a décuplé l’orgasme qui m’a traversé.
Ça fait deux ans, que Sylvie m’a présenté Josy et qu’elle a accepté de s’occuper de moi comme escorte.
Elle m’a fait un tas de photos avec son portable que vous pourrez retrouver sur le site « escorte-de-luxe »
Elle m’a cadré sans que l’on voie mon visage.
C’est vrai que même après deux ans quand je regarde, je suis belle et épanouie.
La photo que je préfère, c’est celle où j’ai mon chemisier ouvert et que je montre un sein en forme de poire.
Sylvie avait raison sur un point, mais se trompait sur un autre.
J’aime les hommes mûrs ceux qui payent le plus cher.
C’est en Jamaïque que je vais partir avec Claude, mon premier auquel j’ai appris à dépasser son fantasme.
Levrette et autres figures de style font partie de nos jeux.
Elle a tort sur un point, elle disait qu’elle continuait ses études, mais elle les a abandonnées comme moi.
J’ai préféré me coucher sur le dos ou comme je l’ai dit me faire sauter en levrette pour de grosses sommes d’argent que de faire des études de stylisme étant contraignantes.
Bien moins dure et plus rémunérateur.
Pour preuve, la première année j’ai emménagée dans le même immeuble où j’habitais dans trois pièces.
Cette année, j’attends la fin des travaux de construction de mon nouvel immeuble tout près de l’opéra.
Cinq pièces avec deux salles de bains.
Bon j’ai fait un petit emprunt, mais au banquier qui gère mon patrimoine et qui est lui-même l’un de mes clients.
En un mot, je suis une escorte, une pute, mais je suis comblée de faire le plus vieux métier du monde.
Sylvie dans tout ça, elle a quitté le métier, elle travaille auprès de son mari qui a une entreprise de maçonnerie à grande échelle dans la région parisienne.
C’est l’un de ceux qui payent le mieux et qui appellent Josy.
Un bon coup pour moi.
Chaque fois que Josy m’appelle pour rejoindre Gaëtan dans sa petite garçonnière, j’y vais sans le moindre scrupule.
Bref je suis une escorte comblée.
Il se peut que dans les semaines prochaines je revienne vous donner des nouvelles de ce que j’ai fait pendant ces deux années.
- Oui, ce doit être désagréable de sucer la langue, d’un mec inconnu beau ou laid.
- C’est vrai que la plupart des hommes qui ont les moyens de se payer les services d’une escorte de luxe, ont en moyenne la cinquantaine.
Ils sont souvent un peu dégarnis et ventripotents.
Mais que veux-tu ce sont eux qui ont assez de fric pour se payer nos services.
Ils ont souvent des femmes du même âge, voire plus vieilles qui leur refusent de faire ce que nous acceptons de faire avec eux.
Plusieurs épousent un carnet de chèques qui leur a permis de monter leur boîte.
Ils profitent du fric qu’ils gagnent personnellement pour se taper de jolies filles comme nous pour une soirée ou au mieux un week-end.
Comment peut-on embrasser de tels hommes, je vais te le dire, certes comme toi la première fois, je me posais des questions de ce genre ?
Nous sommes déjà sorties ensemble depuis que tu es venue à Paris continuer tes études de stylistes.
- Oui, souvent je le reconnais.
- Je t’ai vu partir avec des garçons, certains pour un simple plan cul d’un soir.
Celui avec qui tu es resté le plus longtemps c’était pendant 12 jours avant que tu le jettes comme une vieille chaussette.
- Il m’énervait, il était toujours collé à moi.
- C’est ce qui m’a motivé de devenir escorte, tu te fais payer, tu baises et après chacun rentres chez soi.
Où sommes-nous ici, dans une petite chambre minable sous une soupente que tu dois payer une fortune.
Si tu acceptes les clients que nous pouvons te présenter, dans deux mois tu t’installes dans un plus grand et après trois déménagements, tu as ton propre appartement mini quatre pièces dans un des beaux quartiers de Paris.
Alors comment peux-tu faire, pour voir si tu peux faire comme moi ?
Je suis Coralie la blonde et Sylvie la brune, c’est elle qui m’a appris qu’elle vend ses charmes au début pour se payer ses études et maintenant simplement pour le pognon que cela lui rapporte.
Je voyais qu’elle semblait à l'aise financièrement alors que sa famille était pauvre comme la mienne.
- Vous auriez du feu !
Sylvie m’a donné deux ou trois conseils, que je mets en pratique le soir même.
En premier, repérer un bar où les hommes sont nombreux et un hôtel ouvert 24 heures sur 24 à proximité.
Pour commencer, porter une tenue provocante avec un beau maquillage, mais sans trop si l’homme veut un coup d’un soir, sans payer, il évitera de te demander du feu.
Je suis son conseil et je sors le petit briquet de mon petit baise en ville ou je l'avais placé.
L’approche faite, l’homme choisi se présente, « Alfred, représentant de commerce. »
Tu t’en fiches, tu sais que c’est faux, tu ignores pourquoi tu es là et il se fiche que tu lui dises que tu es une honorable jeune femme fiancée au prince Albert en séminaire et qui s’ennuyait dans sa chambre.
Solitude de l’un, solitude de l’autre, tu le suis dans une chambre, soit de son hôtel, soit dans celui que tu as repéré.
Bien sûr tu es son invité, hors de question que cette soirée, d’initiation au baiser d’un inconnu te coûte le moindre centime.
Dans cette chambre, tu te laisses embrasser, avec la langue.
Pourtant tu avais entendu que les putes offraient leurs avantages, mais sans la bouche.
Ça, c’était dans les temps passés, une escorte des temps modernes et une fille de joie, la différence est énorme.
Les putes du passé travaillaient généralement pour un mac et c’était lui qui avait la primeur de sa bouche.
C’était là le paradoxe, leurs clients se masturbaient à l’intérieur de leur bouche quand elle leur faisait des fellations, mais pas question de se laisser embrasser.
J’ai tout bien fait comme elle me l’a conseillé, il est vrai que si j’avais choisi au lieu de m’assoir près de celui que j’ai appelé Alfred, le beau brun seul aurait été mon choix.
Embrassé, sucé, il m’a sauté et dans la nuit, je suis rentrée dans ma soupente.
14 heures, on frappe à ma porte.
- Alors ?
C’est Sylvie, elle m’avait promis de passer voir si j’étais arrivé à me faire sauter par un inconnu en l’embrassant.
- Tu avais raison, je suis allée au bar club près du canal saint Martin et près de l’hôtel du même nom.
J’avais le choix entre deux tabourets, je me suis assise près du plus vieux des deux.
- Aurais-tu choisi l’autre si tu avais eu le choix, je suppose ?
- Oui, bien sûr il avait une cigarette en main.
- Il t’a demandé du feu et a ri car il était interdit de fumer.
Ça lui a permis d’engager la conversation.
- Tu y étais !
- Non, j’étais moi aussi un peu plus loin au Novotel, mais mon client avait payé ma prestation à Josy qui avait tout contrôlé.
Tu me dis qu’il avait des cigarettes et lorsqu’il t’a embrassé le goût du tabac froid dans sa bouche était dégueu.
- Une nouvelle fois, non, mais c’est souvent comme cela, moi j’étais payé, toi tu as subi ça pour pas un rond.
- Josy peut s’occuper de moi !
Je lui ai dit que j’avais une amie qui galérait seule à Paris, mignonne, bien foutue, elle est prête à te rencontrer et si ça match entre vous, elle veut te prendre sous sa coupe.
C’est elle qui encaisse, le client pouvant même la payer en carte bleue et c’est elle qui gère notre site internet, elle retient 30 % de nos gains !
- 30 %, c’est beaucoup.
- Rends-toi compte du travail que ça représente alors que nous pouvons profiter et des billets de ces hommes et de temps en temps de bon repas dans de très bons restaurants.
L’été dernier, j’ai été invité par un client attitré, trois semaines en Corse à bronzer et à baiser avec un autre couple de ses amis.
Trois semaines à me faire sauter alors qu’il adorait regarder.
Il l’avait proposé à sa femme refusant l’échangisme.
J’ignore si c’est vrai, il me dit mettre de l’argent de côté sans que sa femme le remarque pour que nous allions dans les Caraïbes pour Noël.
- Présente-moi à Josy !
Josy m’appelle.
- Coralie, ce soir 21 heures, restaurant sur les champs Élisée, tu demanderas monsieur Claude, tu verras c’est un bel homme et un client qui est toujours délicat avec les filles que je lui ai présenté.
Pour un premier, tu verras ce sera simple, il a un fantasme que tu auras facile à réaliser, tu dois mettre un string, ça fait partie du fantasme.
Je suis à l’heure mon premier client me reçoit à sa table.
J’ai mis une robe moulante, entre parenthèses, il va falloir que j’étoffe ma garde-robe car dans le taxi qui m’amenait à lui, j’ai pris conscience que si nous avons une deuxième rencontre il faudra que j’aie une autre tenue.
Repas fin, j’apprends à connaître les bonnes tables parisiennes et comme me l’avait dit Josy, client simple à satisfaire.
Après le repas, nous montons dans sa chambre, je m’attendais à ce qu’il m’entreprenne dans l’ascenseur, mais non, rien.
Entrés dans la chambre, il s’assied sur une chaise.
Il me félicite pour ma tenue, soulève ma jupe et m’arrache mon string, qu’il porte à ses narines.
Je vois la bosse de son pantalon se développer.
Je veux lui sortir sa bite, mais d’un geste de la main, il m’en empêche, je comprends que son fantasme est ailleurs.
Il sort lui-même sa verge sans protection autre que son pantalon.
Il regarde ma chatte blonde, me fait l’enjamber et me plante directement.
Au début, je pense que cette copulation sera rapide, mais j’arrive à avoir mal à l’entrecuisse tellement cela fait un certain temps qu’il m’enfile.
Je panique quand je sens l’orgasme monter en moi.
Nous jouissons simultanément.
De tous les amants avec qui j’avais été, comme je l’ai dit, souvent pour un coup d’un soir, dans ma mémoire, je m’éclate comme jamais.
- Sylvie, tu te rends compte, j’ai joui sous les coups de boutoir de mon client !
Mon amie se met à rire.
- C’est parfait, si tu t’éclates avec tous tes clients.
La pute qui baise sans plaisir, c’était dans les temps anciens.
Baise-les, prends leur fric et saute les encore.
Tu te rends compte de la différence entre le gars que je t’ai demandé de rencontrer sans réfléchir et celui qui t’a payé.
Avec le premier tu as eu du plaisir gratuit, hier tu as eu du plaisir tarifé.
- Tu as raison, c’est même moi qui lui ai pris la bouche et ce baiser a décuplé l’orgasme qui m’a traversé.
Ça fait deux ans, que Sylvie m’a présenté Josy et qu’elle a accepté de s’occuper de moi comme escorte.
Elle m’a fait un tas de photos avec son portable que vous pourrez retrouver sur le site « escorte-de-luxe »
Elle m’a cadré sans que l’on voie mon visage.
C’est vrai que même après deux ans quand je regarde, je suis belle et épanouie.
La photo que je préfère, c’est celle où j’ai mon chemisier ouvert et que je montre un sein en forme de poire.
Sylvie avait raison sur un point, mais se trompait sur un autre.
J’aime les hommes mûrs ceux qui payent le plus cher.
C’est en Jamaïque que je vais partir avec Claude, mon premier auquel j’ai appris à dépasser son fantasme.
Levrette et autres figures de style font partie de nos jeux.
Elle a tort sur un point, elle disait qu’elle continuait ses études, mais elle les a abandonnées comme moi.
J’ai préféré me coucher sur le dos ou comme je l’ai dit me faire sauter en levrette pour de grosses sommes d’argent que de faire des études de stylisme étant contraignantes.
Bien moins dure et plus rémunérateur.
Pour preuve, la première année j’ai emménagée dans le même immeuble où j’habitais dans trois pièces.
Cette année, j’attends la fin des travaux de construction de mon nouvel immeuble tout près de l’opéra.
Cinq pièces avec deux salles de bains.
Bon j’ai fait un petit emprunt, mais au banquier qui gère mon patrimoine et qui est lui-même l’un de mes clients.
En un mot, je suis une escorte, une pute, mais je suis comblée de faire le plus vieux métier du monde.
Sylvie dans tout ça, elle a quitté le métier, elle travaille auprès de son mari qui a une entreprise de maçonnerie à grande échelle dans la région parisienne.
C’est l’un de ceux qui payent le mieux et qui appellent Josy.
Un bon coup pour moi.
Chaque fois que Josy m’appelle pour rejoindre Gaëtan dans sa petite garçonnière, j’y vais sans le moindre scrupule.
Bref je suis une escorte comblée.
Il se peut que dans les semaines prochaines je revienne vous donner des nouvelles de ce que j’ai fait pendant ces deux années.
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