COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (1/3)
- Bonjour mademoiselle, vous êtes fort jolie, dites-moi, vous avez bien 18 ans, je ne voudrais pas avoir des problèmes avec la maréchaussée !
- Oui, sur le site d’escorte vous avez trouvé mon numéro de portable, ils n’acceptent que d’engager des filles majeures.
- Il y a longtemps que vous vous prostituez !
- On est là pour que vous me baisiez ou bien pour faire une partie de cartes.
Donnez-moi mon argent où je pars, j’ai autre chose à faire.
- 200, voilà les 200 € prévus, je t’en donne 100 de plus pour que vous répondiez à quelques questions.
- Vous êtes un de ces malades qui préfère parler que de baiser !
C’est bon pour trois questions je veux bien ces 100 €.
- Pourquoi tu te prostitues ?
- Pour payer mes études, une.
- Combien gagnes-tu par mois à te prostituer !
- C’est variable mais jamais moins de 2 400 €, deux.
- Tu te fais donc douze clients par mois.
- Mini mais ça peut aller jusqu’à 15, 3 000 €, trois.
- Non, ce n’était pas une question c’était une constatation.
- On avait dit trois questions, je vais dans la salle de bain pour me déshabiller, vous aimez que l’on vous suce !
- Voilà encore 100 €, d’autres questions.
De toute façon, je ne ferais pas l’amour avec toi.
- Vous avez peur que je ne fasse ça pas bien, ça fait six mois que je vois mes clients, dès la rentrée en fac de droit quand j’ai su que ma bourse ne m’était pas attribuée.
- Je comprends, six mois à douze clients minimums, ça fait 72 clients, ça commence à faire un chiffre, je crois que tu es la fille que je cherche.
- Vous voulez faire des choses spéciales, bondage, sodo, ça s’est compris dans les 200 mais si un client ne m’en parle pas, je ne m’en plains pas, ce n’est pas ça que j’aime quand je fais l’amour.
- Tu jouis avec tes clients.
- Ça m’arrive, mon sexe n’est pas une machine.
- Encore mieux, mais dis-moi, tu es blonde, naturelle ou teinte ?
- Naturelle, pourquoi, mais j’ai assez répondu à vos questions, on baise où je pars.
J’ai peut-être eu un autre appel depuis que je suis avec vous et le temps c’est de l’argent.
- J’ai compris que tu te prostitues pour payer tes études et que sinon tu serais resté une gentille petite blonde !
Naturelle.
- Vous insistez oui, je suis blonde naturelle, mais je suis rasée.
Si vous voulez, je me les laisse repousser et dans trois-quatre jours vous pourrez voir que je dis la vérité.
- Inutile pour ce que je veux te demander, un minimum de confiance sera nécessaire.
Depuis que tu tapines, tu t’es faite un peu plus de 14 000 €, je t’en donne 20 000 pour six mois avec un seul client !
Mon fils !
- Votre fils, est-il PD, vous voulez qu’il revienne chez les hétéros.
Ou encore, il est dans un fauteuil roulant et je devrais baiser avec un handicapé !
- Arrête de dire des conneries, je vois bien que tu te forces à passer pour une fille de mauvaise vie.
Je comprends que tu as voulu te sortir de la merde comme bon nombre d’étudiantes.
Mon fils est sain d’esprit et de corps, il est même beau gosse, il fait des études en fac à la Sorbonne.
Il a 22 ans, il veut devenir avocat.
Il a toujours bossé comme un dingue et n’a jamais pris un instant à lui.
Je te paye pour qu’avec les coordonnés que je vais te donner, tu t’arranges pour le rencontrer.
Après le nombre de clients que tu as eus, je pense que tu es capable de lui apprendre bien des choses en amour et en faire un homme qui saura satisfaire sa femme et me donner de beau petits enfants.
J’ai suivi ce parcours ce qui m’a bien réussi, à un détail près, le sexe !
J’ai un beau garçon donc je pense qu’à 45 ans je ne suis pas mal fichu, mais j’ai mis du temps à comprendre que les femmes de ma vie me quittaient car je baisais mal.
Voilà une enveloppe avec 5 000 €, une autre avec les endroits ou tu peux le rencontrer.
Son seul loisir c’est l’athlétisme qu’il pratique au Paris Université club.
- C’est d’accord, vous voulez qu’à la fin je l’épouse et que je devienne une épouse vertueuse.
C’est bien mon désir, ces années de prostitution seront enfouies au plus profond de moi, même si comme je vous l’ai dit, il m’arrive de prendre mon pied.
- L’épouser, surtout pas, je me vois mal embrasser mes petits-enfants sortis d’une chatte s’étant fait défoncer par une multitude de sexes.
Tu le séduis, tu couches avec pendant six mois et tu trouves un moyen de casser.
Je te donne 5 000 € aujourd’hui, 2 000 tous les deux mois et le solde quand tout sera terminé.
C’est le seul moment où tu prends un risque que je ne te paye pas, mais si tu as été performante, je te donnerais une petite prime supplémentaire.
- Donnez-moi ces enveloppes, je veux bien essayer, si je n’arrive pas à le séduire, je garde l’argent que vous me donné.
- Mignonne comme tu es si tu es une vraie blonde et je n’attendrais pas quatre jours pour en avoir la preuve, je suis sûr que tu réussiras.
Un jour nous parlions de sa maman qui a fui peu après sa naissance, il m’a dit qu’il préférait les blondes aux brunes.
Une dernière chose tient moi au courant de l’avancée de tes approches de mon fils.
Voici mon numéro.
C’est ainsi que j’ai quitté cet homme, c’était la première fois que je touchais autant d’argent sans avoir besoin de baiser.
J’ai un peu menti quand j’ai dit à ce père que j’avais une grande expérience.
Après avoir commencé mes études à Paris, malgré ma bourse, la vie étant chère, je cherchais du travail.
J’ai rencontré un garçon avec qui j’ai fait l’amour sur la banquette arrière de sa voiture près du bois de Boulogne.
Une pute travaillait non loin de nous, une patrouille de police est passée, elle a pu voir un mouvement dans notre voiture.
J’ai eu leur lampe torche dans les yeux au moment où ce garçon brisait mon hymen.
Conduite au poste avec l’autre fille qu’ils avaient aussi arrêtée, je me suis retrouvée dans la cage avec un travesti.
L’autre fille était un mec, un travelo comme il m’a dit.
Croyant lui aussi que j’avais levé un client, il m’a dit qu’une jeune femme comme moi ne devait pas prendre autant de risque.
Il m’a donné le nom de l’agence d’escorte ayant un site internet.
Je pouvais m’inscrire et en allant chez le client ou à l’hôtel comme avec le père d’Antoine, où chez lui, je prendrais des risques limités.
Après que la police m’est relâchée au petit matin, sans qu’aucune charge ne soit portée à mon casier je suis rentrée chez moi.
Antoine nom que je trouve dans l’enveloppe des renseignements qui vient de m’être donné.
Cet homme, c’était le premier à qui j’ai répondu au bout de six mois le manque d’argent se faisant sentir.
J’aurais dû être franche et refuser le contrat, mais après ces mois de réflexion, quand je suis allé à ce rendez-vous dans un hôtel près de la gare de Lyon, j’étais pute dans ma tête.
Faire six mois la salope que je suis loin d’être, dans les bras d’un beau garçon il doit y avoir plus dure et plus compliquée.
Par où attaquer pour le rencontrer.
J’ai toujours eu de la chance dans ma vie bien que j’aie perdu mes parents, mon père d’un cancer du poumon et ma mère après m’avoir mis au monde.
Fac de droit à la Sorbonne, le monde est petit ou est-ce le fruit d’une recherche du père d’Antoine ?
La différence c’est qu’il a un an de plus que moi et a un temps d’étude de plus.
Mais c’est au PUC que je décide d’attaquer, j’ai sa photo, il fait du saut à la perche.
Je m’y rends, je m’inscris jusqu’à la fin de l’année en athlétisme.
C’est dans le vestiaire des filles que je sympathise avec une autre de ces demoiselles et que j’apprends les jours et les heures des entraînements des perchistes.
Bien sûr il doit être là le lendemain, moi aussi.
Je cours, je m’arrête, aucun problème c’est lui très ressemblant avec sa photo.
Je suis allée chez Décathlon acheter une tenue de joggeuse avec des chaussures les plus chères du moment.
Running à 250 € orange de chez le spécialiste à la virgule, pour que l’on me voit bien sur la piste.
Je cours, il saute, je repasse, il saute.
Je commence à ne plus sentir mes jambes, même si cela va me faire du bien.
J’avais perdu l’habitude de faire du sport, je m’arrête à la tombée des perches.
Je fais des étirements, jusqu’à ce qu’il me regarde.
- Ça semble difficile comme sport.
- Pardon !
Je suis à quelques mètres de lui, avec sa perche, ce n’est pas facile de venir jusqu’à moi.
Je saute par-dessus la barrière retombant mal sur ma cheville.
- Attention vous allez vous faire mal.
Le coup de la fille qui se tord la cheville peut lui paraître suspect comment entrer en matière.
- C’est bon, j’ai vu pire, je vous disais que ça semble dur comme sport.
- C’est de la technique et surtout ne pas avoir d’appréhension, quand on saute, on risque la chute à côté du sautoir comme vous au-dessus de cette barrière entourant la piste.
- C’est drôle, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part !
- Non, je vous aurais remarqué.
Je juge que pour un premier contact, je suis restée assez longtemps.
Je décide de reprendre ma course jusqu’au vestiaire, je connais deux endroits ou je vais pouvoir le retrouver.
Ici quand je le veux et dès que j’aurais repéré les amphis où il va à ses cours à la Sorbonne.
- Coucou, le monde est petit, je comprends que vous semblier m’avoir déjà vu, je suis en étude de droit et vous.
- Ce n’est pas vrai, c’est sûr, j’ai dû vous croiser et mon œil a dû être attiré par le beau garçon que vous êtes.
- Véronique et toi.
J’aurais dû dire Nathalie, mon nom d’escorte sur le site et pour son père.
C’est trop tard, je viens de lui donner mon vrai nom…
- Oui, sur le site d’escorte vous avez trouvé mon numéro de portable, ils n’acceptent que d’engager des filles majeures.
- Il y a longtemps que vous vous prostituez !
- On est là pour que vous me baisiez ou bien pour faire une partie de cartes.
Donnez-moi mon argent où je pars, j’ai autre chose à faire.
- 200, voilà les 200 € prévus, je t’en donne 100 de plus pour que vous répondiez à quelques questions.
- Vous êtes un de ces malades qui préfère parler que de baiser !
C’est bon pour trois questions je veux bien ces 100 €.
- Pourquoi tu te prostitues ?
- Pour payer mes études, une.
- Combien gagnes-tu par mois à te prostituer !
- C’est variable mais jamais moins de 2 400 €, deux.
- Tu te fais donc douze clients par mois.
- Mini mais ça peut aller jusqu’à 15, 3 000 €, trois.
- Non, ce n’était pas une question c’était une constatation.
- On avait dit trois questions, je vais dans la salle de bain pour me déshabiller, vous aimez que l’on vous suce !
- Voilà encore 100 €, d’autres questions.
De toute façon, je ne ferais pas l’amour avec toi.
- Vous avez peur que je ne fasse ça pas bien, ça fait six mois que je vois mes clients, dès la rentrée en fac de droit quand j’ai su que ma bourse ne m’était pas attribuée.
- Je comprends, six mois à douze clients minimums, ça fait 72 clients, ça commence à faire un chiffre, je crois que tu es la fille que je cherche.
- Vous voulez faire des choses spéciales, bondage, sodo, ça s’est compris dans les 200 mais si un client ne m’en parle pas, je ne m’en plains pas, ce n’est pas ça que j’aime quand je fais l’amour.
- Tu jouis avec tes clients.
- Ça m’arrive, mon sexe n’est pas une machine.
- Encore mieux, mais dis-moi, tu es blonde, naturelle ou teinte ?
- Naturelle, pourquoi, mais j’ai assez répondu à vos questions, on baise où je pars.
J’ai peut-être eu un autre appel depuis que je suis avec vous et le temps c’est de l’argent.
- J’ai compris que tu te prostitues pour payer tes études et que sinon tu serais resté une gentille petite blonde !
Naturelle.
- Vous insistez oui, je suis blonde naturelle, mais je suis rasée.
Si vous voulez, je me les laisse repousser et dans trois-quatre jours vous pourrez voir que je dis la vérité.
- Inutile pour ce que je veux te demander, un minimum de confiance sera nécessaire.
Depuis que tu tapines, tu t’es faite un peu plus de 14 000 €, je t’en donne 20 000 pour six mois avec un seul client !
Mon fils !
- Votre fils, est-il PD, vous voulez qu’il revienne chez les hétéros.
Ou encore, il est dans un fauteuil roulant et je devrais baiser avec un handicapé !
- Arrête de dire des conneries, je vois bien que tu te forces à passer pour une fille de mauvaise vie.
Je comprends que tu as voulu te sortir de la merde comme bon nombre d’étudiantes.
Mon fils est sain d’esprit et de corps, il est même beau gosse, il fait des études en fac à la Sorbonne.
Il a 22 ans, il veut devenir avocat.
Il a toujours bossé comme un dingue et n’a jamais pris un instant à lui.
Je te paye pour qu’avec les coordonnés que je vais te donner, tu t’arranges pour le rencontrer.
Après le nombre de clients que tu as eus, je pense que tu es capable de lui apprendre bien des choses en amour et en faire un homme qui saura satisfaire sa femme et me donner de beau petits enfants.
J’ai suivi ce parcours ce qui m’a bien réussi, à un détail près, le sexe !
J’ai un beau garçon donc je pense qu’à 45 ans je ne suis pas mal fichu, mais j’ai mis du temps à comprendre que les femmes de ma vie me quittaient car je baisais mal.
Voilà une enveloppe avec 5 000 €, une autre avec les endroits ou tu peux le rencontrer.
Son seul loisir c’est l’athlétisme qu’il pratique au Paris Université club.
- C’est d’accord, vous voulez qu’à la fin je l’épouse et que je devienne une épouse vertueuse.
C’est bien mon désir, ces années de prostitution seront enfouies au plus profond de moi, même si comme je vous l’ai dit, il m’arrive de prendre mon pied.
- L’épouser, surtout pas, je me vois mal embrasser mes petits-enfants sortis d’une chatte s’étant fait défoncer par une multitude de sexes.
Tu le séduis, tu couches avec pendant six mois et tu trouves un moyen de casser.
Je te donne 5 000 € aujourd’hui, 2 000 tous les deux mois et le solde quand tout sera terminé.
C’est le seul moment où tu prends un risque que je ne te paye pas, mais si tu as été performante, je te donnerais une petite prime supplémentaire.
- Donnez-moi ces enveloppes, je veux bien essayer, si je n’arrive pas à le séduire, je garde l’argent que vous me donné.
- Mignonne comme tu es si tu es une vraie blonde et je n’attendrais pas quatre jours pour en avoir la preuve, je suis sûr que tu réussiras.
Un jour nous parlions de sa maman qui a fui peu après sa naissance, il m’a dit qu’il préférait les blondes aux brunes.
Une dernière chose tient moi au courant de l’avancée de tes approches de mon fils.
Voici mon numéro.
C’est ainsi que j’ai quitté cet homme, c’était la première fois que je touchais autant d’argent sans avoir besoin de baiser.
J’ai un peu menti quand j’ai dit à ce père que j’avais une grande expérience.
Après avoir commencé mes études à Paris, malgré ma bourse, la vie étant chère, je cherchais du travail.
J’ai rencontré un garçon avec qui j’ai fait l’amour sur la banquette arrière de sa voiture près du bois de Boulogne.
Une pute travaillait non loin de nous, une patrouille de police est passée, elle a pu voir un mouvement dans notre voiture.
J’ai eu leur lampe torche dans les yeux au moment où ce garçon brisait mon hymen.
Conduite au poste avec l’autre fille qu’ils avaient aussi arrêtée, je me suis retrouvée dans la cage avec un travesti.
L’autre fille était un mec, un travelo comme il m’a dit.
Croyant lui aussi que j’avais levé un client, il m’a dit qu’une jeune femme comme moi ne devait pas prendre autant de risque.
Il m’a donné le nom de l’agence d’escorte ayant un site internet.
Je pouvais m’inscrire et en allant chez le client ou à l’hôtel comme avec le père d’Antoine, où chez lui, je prendrais des risques limités.
Après que la police m’est relâchée au petit matin, sans qu’aucune charge ne soit portée à mon casier je suis rentrée chez moi.
Antoine nom que je trouve dans l’enveloppe des renseignements qui vient de m’être donné.
Cet homme, c’était le premier à qui j’ai répondu au bout de six mois le manque d’argent se faisant sentir.
J’aurais dû être franche et refuser le contrat, mais après ces mois de réflexion, quand je suis allé à ce rendez-vous dans un hôtel près de la gare de Lyon, j’étais pute dans ma tête.
Faire six mois la salope que je suis loin d’être, dans les bras d’un beau garçon il doit y avoir plus dure et plus compliquée.
Par où attaquer pour le rencontrer.
J’ai toujours eu de la chance dans ma vie bien que j’aie perdu mes parents, mon père d’un cancer du poumon et ma mère après m’avoir mis au monde.
Fac de droit à la Sorbonne, le monde est petit ou est-ce le fruit d’une recherche du père d’Antoine ?
La différence c’est qu’il a un an de plus que moi et a un temps d’étude de plus.
Mais c’est au PUC que je décide d’attaquer, j’ai sa photo, il fait du saut à la perche.
Je m’y rends, je m’inscris jusqu’à la fin de l’année en athlétisme.
C’est dans le vestiaire des filles que je sympathise avec une autre de ces demoiselles et que j’apprends les jours et les heures des entraînements des perchistes.
Bien sûr il doit être là le lendemain, moi aussi.
Je cours, je m’arrête, aucun problème c’est lui très ressemblant avec sa photo.
Je suis allée chez Décathlon acheter une tenue de joggeuse avec des chaussures les plus chères du moment.
Running à 250 € orange de chez le spécialiste à la virgule, pour que l’on me voit bien sur la piste.
Je cours, il saute, je repasse, il saute.
Je commence à ne plus sentir mes jambes, même si cela va me faire du bien.
J’avais perdu l’habitude de faire du sport, je m’arrête à la tombée des perches.
Je fais des étirements, jusqu’à ce qu’il me regarde.
- Ça semble difficile comme sport.
- Pardon !
Je suis à quelques mètres de lui, avec sa perche, ce n’est pas facile de venir jusqu’à moi.
Je saute par-dessus la barrière retombant mal sur ma cheville.
- Attention vous allez vous faire mal.
Le coup de la fille qui se tord la cheville peut lui paraître suspect comment entrer en matière.
- C’est bon, j’ai vu pire, je vous disais que ça semble dur comme sport.
- C’est de la technique et surtout ne pas avoir d’appréhension, quand on saute, on risque la chute à côté du sautoir comme vous au-dessus de cette barrière entourant la piste.
- C’est drôle, j’ai l’impression de vous avoir déjà vu quelque part !
- Non, je vous aurais remarqué.
Je juge que pour un premier contact, je suis restée assez longtemps.
Je décide de reprendre ma course jusqu’au vestiaire, je connais deux endroits ou je vais pouvoir le retrouver.
Ici quand je le veux et dès que j’aurais repéré les amphis où il va à ses cours à la Sorbonne.
- Coucou, le monde est petit, je comprends que vous semblier m’avoir déjà vu, je suis en étude de droit et vous.
- Ce n’est pas vrai, c’est sûr, j’ai dû vous croiser et mon œil a dû être attiré par le beau garçon que vous êtes.
- Véronique et toi.
J’aurais dû dire Nathalie, mon nom d’escorte sur le site et pour son père.
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