COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (2/3)
Le premier client que je suis venue rencontrer dans son hôtel n’a pas voulu que je me dessape et que je devienne la pute quand j'avais intériorisé par manque d’argent pour mes études.
C’est dans la cage du commissariat près du bois de Boulogne où un garçon de rencontre me prenait mon pucelage dans sa voiture où j’ai atterri en même temps qu’un travelo qui me prenant pour une occasionnelle m’a donné l’adresse d’une agence d’escorte girl.
J’ai résisté longtemps mais le manque d’argent pour continuer mes études de droit, m’a obligé à m’inscrire dans cette agence de call-girl ayant un réseau Internet.
C’est étrange, j’ai passé presque une heure avec le père d’Antoine et pour qu’il finisse par le donner 5 000 € sans compter l’argent de la passe et celui des questions qu’il m’a posées sans savoir son nom.
06, j’ai son portable, mais je ne veux pas l’appeler avant d’avoir mis son fils dans mon lit lui prouvant que son argent était bien investi.
Au stade du PUC où je fais la première approche, jusqu’à cet après-midi à la Sorbonne où par chance nous suivons les mêmes cours de droit avec une année d’écart, je le retrouve.
Véronique, je lui donne mon nom.
- Moi, c’est Antoine, il est vrai qu’hier au pied de mon sautoir, j’ai manqué à tous mes devoirs en ne me présentant pas.
- Tu es encore là pour longtemps à la Sorbonne.
- Dernière année pour devenir avocat comme mon père, il est l’un des plus célèbres baveux du barreau parisien.
Tu sais ce que veut dire baveux !
- Première année en droit moi aussi, je veux devenir l’une des meilleures avocates de la place de Paris.
Ton père, comment s’appelle-t-il, je dois le connaître s’il est célèbre.
- Jean de Touraine, il s’appelle Jean de Touraine.
- Tu es le fils de Jean, je l’ai vu à la télé parler de sa dernière défense, il est comme toi, il est beau gosse pour son âge.
Je me rends compte que je valorise le père au profit du fils, il va croire que je ne lui plais pas et m’échapper.
- Mais toi tu as la beauté de ta jeunesse, lui il commence à faire vieux beau !
- Tu as raison, il faut toujours qu’il aille avec des filles de notre âge.
La dernière, une vraie pétasse, j’avais envie de la claquer.
- Elle était brune !
- Comment le sais-tu, tu la connais !
- On parle toujours des blondes comme moi, alors que ce sont les brunes qui sont connes comme des balais.
- J’aime ton humour, tu es libre à quelle heure, j’aimerais aller boire un verre avec toi.
Ça marche, je viens d’avancer d’un cran, il me faut jouer serré et les 20 000 € sont à moi, presque l’intégralité de la somme pour me permettre de finir mes études.
Je pourrais même éviter de faire la pute.
Mon portable sonne.
- Nathalie, vous êtes libre ce soir, j’ai vu votre profil sur Escorte.com et j’aimerais que l’on se rencontre.
Merde, j’ai oublié de me retirer du site Internet d’escorte, un client me relance au plus mauvais moment.
- Je m’excuse Tonton, je ne peux pas venir dîner chez vous ce soir, dit à tantine que je m’excuse, je dois travailler sur un devoir que je dois rendre demain.
Et je coupe, mettant même en veille.
- C’était mon oncle, je devais aller manger chez eux, il voulait m’annoncer quelque chose.
- Rappel et vas-y, nous déjeunerons ensemble demain soir.
- Hors de question, ce soir j’ai entraînement et après je suis libre.
- Moi non, je m’entraîne seulement deux fois par semaine, mais si tu le veux, j’irais courir avec toi, je délaisse trop le foncier.
- Ok.
Nouvelle étape avant de l’amener dans mon lit, nous entraîner ensemble, pourquoi pas le premier baiser dans les douches ?
C’est couillon, garçon, filles ces vestiaires ne sont pas faits pour le rapprochement des couples.
- Je suis éreinté, j’ai présumé de mes forces Véronique.
- Petit joueur, si j’habitais plus près je te dirais de venir chez moi en tout bien tout honneur pour te masser.
À moins que nous allions chez toi, je te le répète, en tout bien tout honneur.
- Impossible, j’habite chez mon père, il a trouvé une nouvelle pétasse, ils roucoulent toute la soirée.
Je suis obligé de mettre des boules dans mes oreilles pour pouvoir travailler tellement j’ai l’impression qu’elle fait sans blanc pour qu’il croie qu’il la fait jouir.
Je lui proposerais bien d’aller à l’hôtel mais il serait capable une nouvelle fois de penser que je suis une pute se tapant un client.
Nous prenons un verre près du stade, je le vois téléphoner.
- Donne-moi ton numéro de portable, je t’appelle demain.
- Attends, je te note le tient sur ce dessous de verre de bière, j’ai vu tut à l’heure que ma batterie était presque vide.
Ouf, c’est dur d’être une pute essayant d’attraper son client, j’ai failli une nouvelle fois me faire prendre, c’est le téléphone que l’agence m’a fourni que j’ai avec moi.
Cinq minutes après, deux Uber arrivent l’un pour moi, l’autre pour lui, il discute avec le chauffeur j’en profite pour lui glisser mon adresse à deux pas de la Sorbonne.
Avant que nous ne démariions quand il enfile le casque pour la moto qui doit le ramener, j’entends qu’il habite danse 16ème.
Au matin, je me lève, il faut que ce soir je puisse téléphoner à Jean pour lui dire que son fils est passé par mon lit et qu’il prépare les 2 000 € prochaine étape qui doit régir notre rencontre.
J’ai un regret hier au soir, ne pas l’avoir embrassé, on ne sait pas son père dit qu’il n’est pas homo alors que peut-être il l’est.
C’est le midi à la cafétéria que nous nous retrouvons.
C’est bon d’avoir de l’argent, j’achète un portable avec un bon forfait avec lequel j’appelle Escorte.com pour arrêter ma participation.
- On s’embrasse, je suis heureuse de te voir, hier, j’ai regretté que l’on se sépare, me prendrais-tu pour une fille facile si ce soir je proposais de venir dîner ce soir.
- J’ai entendu l'adresse que tu as donnée au taxi hier, je serais là à 20 heures, ça te va !
- Sans problème.
- Je te ferais réviser tes cours, ce sera facile pour moi, je suis passé par là.
Comment le recevoir, déshabillé vaporeux que j’ai acheté pour lettre avec mes clients ?
À poil pour aller droit au but.
J’opte pour mon jean, chausson avec un débardeur montrant une partie des lobes de mes seins.
Provoqué par ma poitrine, en forme de poire avec de belles fraises les terminant.
Le reste de mon corps restant bien caché, j’espère que comme première leçon, le sujet sera comment déshabiller une femme et plus si affinités.
Il est à l’heure.
- Tient ça c’est pour toi et ça c’est pour le dessert.
- Il ne fallait pas, tu dois garder ton argent de poche pour des futilités.
Merci quand même pour la rose et aussi pour le gâteau.
- Une simple rose et deux éclaires au chocolat.
Au resto, j’ai vu que tu prenais un gâteau au chocolat, c’est mon parfum de gâteau préféré à moi aussi.
Quant à l’argent de poche, je l’entasse dans le tiroir de ma chambre, je ne sors jamais car je souhaite être meilleur avocat que mon père c’est pour ça que je travaille dur.
- Je te comprends, je n’ai pas cette chance, mes parents m’ont quitté.
- Tu as ton oncle, l’autre fois au téléphone.
- Je les vois deux trois fois par an, on ne peut pas dire que c’est une famille, surtout qu’ils m’ont téléphonée tout à l’heure qu’ils partent s’installer en Argentine.
Ma tante Odette qui ne peut avoir d’enfant a tout reporté sur les chevaux et ils partent là-bas pour en élever.
- Et toi vois-tu ta maman !
- Pendant les vacances, quand elle a quitté papa, elle a rencontré un allemand et vit avec à Berlin.
- Ils ont des enfants.
- Hélas non, j’aurais bien aimé qu’il est une fille, j’aurais eu une sœur mais hélas, je suis seul.
- Tu étais seul, maintenant nous sommes deux et je crois être une fille, assois-toi, je vais te servir une boisson tonic, j’en bois dans le cadre de mon entraînement.
Il s’assied, il porte sur lui des vêtements que j’espère me payer quand je l’aurais largué et que je me ferais mes premiers vrais clients.
Je pense pute car le garçon est attachant et je pourrais vite tomber amoureuse or je n’ai pas été payé pour ça.
Je sens qu’il faut que je provoque quelque chose, c’est moi la pro.
Si je ne prends pas l’initiative on enfilera encore des perles pendant des jours.
Je m’approche de lui et je m’assois carrément sur ses genoux.
Son bras m’entoure et viens se poser sur mon sein.
Sa main me brûle.
- Antoine, j’ai quelque chose à te dire, avant que l’on s’embrasse.
Tu vas être déçu, j’ai eu une aventure avec un garçon dans sa voiture et il m’a pris ma virginité.
Il éclate de rire, me laissant pantoise.
- Virginité, qu’est-ce que cela veut dire à notre époque, certes, je dois te dire qu’à l’opposé je suis vierge.
Ce n’est pas parce que je suis impuissant, mais je t’ai dit que j’ai privilégié la lutte avec mon père à mes besoins sexuels.
Il m’arrive fréquemment de me masturber, je dois dire que depuis que nous nous sommes rencontrés, je le fais en pensant à toi.
Je lui parle les yeux dans les yeux, nos bouches pour la première fois se trouvent.
Il est un garçon normal, je vais pouvoir gagner les 5 000 € qui sont dans le premier tiroir de ma commode avec sa photo et ses coordonnés m’ayant permis de le rencontrer au stade.
Dans moins de deux mois, Jean son avocat de père me donnera mes 2 000 € supplémentaires si je sais le faire s’intéresser à mon corps.
- Mais dit donc, tu bandes…
C’est dans la cage du commissariat près du bois de Boulogne où un garçon de rencontre me prenait mon pucelage dans sa voiture où j’ai atterri en même temps qu’un travelo qui me prenant pour une occasionnelle m’a donné l’adresse d’une agence d’escorte girl.
J’ai résisté longtemps mais le manque d’argent pour continuer mes études de droit, m’a obligé à m’inscrire dans cette agence de call-girl ayant un réseau Internet.
C’est étrange, j’ai passé presque une heure avec le père d’Antoine et pour qu’il finisse par le donner 5 000 € sans compter l’argent de la passe et celui des questions qu’il m’a posées sans savoir son nom.
06, j’ai son portable, mais je ne veux pas l’appeler avant d’avoir mis son fils dans mon lit lui prouvant que son argent était bien investi.
Au stade du PUC où je fais la première approche, jusqu’à cet après-midi à la Sorbonne où par chance nous suivons les mêmes cours de droit avec une année d’écart, je le retrouve.
Véronique, je lui donne mon nom.
- Moi, c’est Antoine, il est vrai qu’hier au pied de mon sautoir, j’ai manqué à tous mes devoirs en ne me présentant pas.
- Tu es encore là pour longtemps à la Sorbonne.
- Dernière année pour devenir avocat comme mon père, il est l’un des plus célèbres baveux du barreau parisien.
Tu sais ce que veut dire baveux !
- Première année en droit moi aussi, je veux devenir l’une des meilleures avocates de la place de Paris.
Ton père, comment s’appelle-t-il, je dois le connaître s’il est célèbre.
- Jean de Touraine, il s’appelle Jean de Touraine.
- Tu es le fils de Jean, je l’ai vu à la télé parler de sa dernière défense, il est comme toi, il est beau gosse pour son âge.
Je me rends compte que je valorise le père au profit du fils, il va croire que je ne lui plais pas et m’échapper.
- Mais toi tu as la beauté de ta jeunesse, lui il commence à faire vieux beau !
- Tu as raison, il faut toujours qu’il aille avec des filles de notre âge.
La dernière, une vraie pétasse, j’avais envie de la claquer.
- Elle était brune !
- Comment le sais-tu, tu la connais !
- On parle toujours des blondes comme moi, alors que ce sont les brunes qui sont connes comme des balais.
- J’aime ton humour, tu es libre à quelle heure, j’aimerais aller boire un verre avec toi.
Ça marche, je viens d’avancer d’un cran, il me faut jouer serré et les 20 000 € sont à moi, presque l’intégralité de la somme pour me permettre de finir mes études.
Je pourrais même éviter de faire la pute.
Mon portable sonne.
- Nathalie, vous êtes libre ce soir, j’ai vu votre profil sur Escorte.com et j’aimerais que l’on se rencontre.
Merde, j’ai oublié de me retirer du site Internet d’escorte, un client me relance au plus mauvais moment.
- Je m’excuse Tonton, je ne peux pas venir dîner chez vous ce soir, dit à tantine que je m’excuse, je dois travailler sur un devoir que je dois rendre demain.
Et je coupe, mettant même en veille.
- C’était mon oncle, je devais aller manger chez eux, il voulait m’annoncer quelque chose.
- Rappel et vas-y, nous déjeunerons ensemble demain soir.
- Hors de question, ce soir j’ai entraînement et après je suis libre.
- Moi non, je m’entraîne seulement deux fois par semaine, mais si tu le veux, j’irais courir avec toi, je délaisse trop le foncier.
- Ok.
Nouvelle étape avant de l’amener dans mon lit, nous entraîner ensemble, pourquoi pas le premier baiser dans les douches ?
C’est couillon, garçon, filles ces vestiaires ne sont pas faits pour le rapprochement des couples.
- Je suis éreinté, j’ai présumé de mes forces Véronique.
- Petit joueur, si j’habitais plus près je te dirais de venir chez moi en tout bien tout honneur pour te masser.
À moins que nous allions chez toi, je te le répète, en tout bien tout honneur.
- Impossible, j’habite chez mon père, il a trouvé une nouvelle pétasse, ils roucoulent toute la soirée.
Je suis obligé de mettre des boules dans mes oreilles pour pouvoir travailler tellement j’ai l’impression qu’elle fait sans blanc pour qu’il croie qu’il la fait jouir.
Je lui proposerais bien d’aller à l’hôtel mais il serait capable une nouvelle fois de penser que je suis une pute se tapant un client.
Nous prenons un verre près du stade, je le vois téléphoner.
- Donne-moi ton numéro de portable, je t’appelle demain.
- Attends, je te note le tient sur ce dessous de verre de bière, j’ai vu tut à l’heure que ma batterie était presque vide.
Ouf, c’est dur d’être une pute essayant d’attraper son client, j’ai failli une nouvelle fois me faire prendre, c’est le téléphone que l’agence m’a fourni que j’ai avec moi.
Cinq minutes après, deux Uber arrivent l’un pour moi, l’autre pour lui, il discute avec le chauffeur j’en profite pour lui glisser mon adresse à deux pas de la Sorbonne.
Avant que nous ne démariions quand il enfile le casque pour la moto qui doit le ramener, j’entends qu’il habite danse 16ème.
Au matin, je me lève, il faut que ce soir je puisse téléphoner à Jean pour lui dire que son fils est passé par mon lit et qu’il prépare les 2 000 € prochaine étape qui doit régir notre rencontre.
J’ai un regret hier au soir, ne pas l’avoir embrassé, on ne sait pas son père dit qu’il n’est pas homo alors que peut-être il l’est.
C’est le midi à la cafétéria que nous nous retrouvons.
C’est bon d’avoir de l’argent, j’achète un portable avec un bon forfait avec lequel j’appelle Escorte.com pour arrêter ma participation.
- On s’embrasse, je suis heureuse de te voir, hier, j’ai regretté que l’on se sépare, me prendrais-tu pour une fille facile si ce soir je proposais de venir dîner ce soir.
- J’ai entendu l'adresse que tu as donnée au taxi hier, je serais là à 20 heures, ça te va !
- Sans problème.
- Je te ferais réviser tes cours, ce sera facile pour moi, je suis passé par là.
Comment le recevoir, déshabillé vaporeux que j’ai acheté pour lettre avec mes clients ?
À poil pour aller droit au but.
J’opte pour mon jean, chausson avec un débardeur montrant une partie des lobes de mes seins.
Provoqué par ma poitrine, en forme de poire avec de belles fraises les terminant.
Le reste de mon corps restant bien caché, j’espère que comme première leçon, le sujet sera comment déshabiller une femme et plus si affinités.
Il est à l’heure.
- Tient ça c’est pour toi et ça c’est pour le dessert.
- Il ne fallait pas, tu dois garder ton argent de poche pour des futilités.
Merci quand même pour la rose et aussi pour le gâteau.
- Une simple rose et deux éclaires au chocolat.
Au resto, j’ai vu que tu prenais un gâteau au chocolat, c’est mon parfum de gâteau préféré à moi aussi.
Quant à l’argent de poche, je l’entasse dans le tiroir de ma chambre, je ne sors jamais car je souhaite être meilleur avocat que mon père c’est pour ça que je travaille dur.
- Je te comprends, je n’ai pas cette chance, mes parents m’ont quitté.
- Tu as ton oncle, l’autre fois au téléphone.
- Je les vois deux trois fois par an, on ne peut pas dire que c’est une famille, surtout qu’ils m’ont téléphonée tout à l’heure qu’ils partent s’installer en Argentine.
Ma tante Odette qui ne peut avoir d’enfant a tout reporté sur les chevaux et ils partent là-bas pour en élever.
- Et toi vois-tu ta maman !
- Pendant les vacances, quand elle a quitté papa, elle a rencontré un allemand et vit avec à Berlin.
- Ils ont des enfants.
- Hélas non, j’aurais bien aimé qu’il est une fille, j’aurais eu une sœur mais hélas, je suis seul.
- Tu étais seul, maintenant nous sommes deux et je crois être une fille, assois-toi, je vais te servir une boisson tonic, j’en bois dans le cadre de mon entraînement.
Il s’assied, il porte sur lui des vêtements que j’espère me payer quand je l’aurais largué et que je me ferais mes premiers vrais clients.
Je pense pute car le garçon est attachant et je pourrais vite tomber amoureuse or je n’ai pas été payé pour ça.
Je sens qu’il faut que je provoque quelque chose, c’est moi la pro.
Si je ne prends pas l’initiative on enfilera encore des perles pendant des jours.
Je m’approche de lui et je m’assois carrément sur ses genoux.
Son bras m’entoure et viens se poser sur mon sein.
Sa main me brûle.
- Antoine, j’ai quelque chose à te dire, avant que l’on s’embrasse.
Tu vas être déçu, j’ai eu une aventure avec un garçon dans sa voiture et il m’a pris ma virginité.
Il éclate de rire, me laissant pantoise.
- Virginité, qu’est-ce que cela veut dire à notre époque, certes, je dois te dire qu’à l’opposé je suis vierge.
Ce n’est pas parce que je suis impuissant, mais je t’ai dit que j’ai privilégié la lutte avec mon père à mes besoins sexuels.
Il m’arrive fréquemment de me masturber, je dois dire que depuis que nous nous sommes rencontrés, je le fais en pensant à toi.
Je lui parle les yeux dans les yeux, nos bouches pour la première fois se trouvent.
Il est un garçon normal, je vais pouvoir gagner les 5 000 € qui sont dans le premier tiroir de ma commode avec sa photo et ses coordonnés m’ayant permis de le rencontrer au stade.
Dans moins de deux mois, Jean son avocat de père me donnera mes 2 000 € supplémentaires si je sais le faire s’intéresser à mon corps.
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