COLLECTION ESCORTE. La fille de la pute (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. La fille de la pute (1/1)
J’avais huit ans quant à l’école, ils ont commencé.
- La fille de la pute.
La fille de la pute.
C’est la fille de la pute.
J’ai ignoré ce que ça voulait dire et surtout j’ai fini par m’habituer.
Dès que les instituteurs tournaient le dos leur chanson recommençait.
Au collège, j’avais douze ans quand ce mot qui faisait partie de moi a eu toute sa signification.
- Véro, tu es comme ta mère tu suces des bites, tiens, j’ai cinq euros.
Un prof est intervenu car sans savoir pourquoi j’ai sauté à la gorge de ce salopard.
Maman m’élevait seule me donnant une parfaite éducation.
Elle travaillait dans un bar et rentrait tard le soir.
J’avais dix ans quand certains jours dans la journée quand l’école était fermée ou pendant le week-end elle me disait de rejoindre ma chambre et de mettre mon casque pour écouter les musiques qu’elle m’achetait pour les passer dans mon lecteur de CD.
Maman m’avait habitué à écouter du rock surtout Johnny qui avait la particularité de chanter très fort.
J’avais dix ans où j’ai compris pourquoi cette musique m’emplissant la tête.
Mon lecteur de CD est tombé en panne et j’ai entendu comme des cris venant de la chambre de maman.
L’homme qu’elle recevait venait de jouir et quelques minutes après je l’ai vu sortir de la chambre rhabillé.
Mais avant que la porte soit fermée, j’ai vu maman sur son lit les jambes écartées se passant un mouchoir entre ses cuisses.
À l’école la fille de la pute ça me laissait froide bien qu’à cet âge j’ignorais toujours ce qu’était une pute.
J’avais douze ans quand l’idée m’est venue de regarder dans le dictionnaire.
Maman recevait régulièrement et ses cris comme ceux que j’ai appris qu'ils étaient ses clients, je les entendais car je lui faisais croire que je m’isolais avec mon casque.
Ça peut paraître bizarre, mais chaque fois que maman poussait des cris, j’étais contente pour elle car après lorsqu’elle quittait sa chambre revêtue de son éternel peignoir bleu elle était guillerette.
Plus j’entendais sonner à la porte ou plus le soir je l’entendais rentrer de son bar accompagner et plus nous nous faisions des repas dans de bons restaurants.
Dans le dictionnaire à pute, put, ils avaient oublié ce mot.
J’ignorais que c’est à prostituer, pro que j’aurais dû regarder.
Où péripatéticienne, pér et non pas pe que j’aurais eu la réponse.
Je suis devenue femme quand mes règles sont venues ainsi qu’une belle poitrine comme maman qui a 32 ans était encore fort appétissante.
J’avais dix-sept ans quand Jules est devenu mon julot.
Sexuellement parlant car ça faisait deux ans que pute je savais enfin ce que c’était.
C’était donc vrai les enfants puis les ados disaient ce qui était vrai, ma mère se prostituait et était donc une pute faisant de moi la fille de la pute.
Jules m’a coincé un soir de bal, j’avais mis ma plus belle robe et mes plus beaux sous-vêtements.
Peine perdue, c’est le long d’un peuplier qu’il m’a coincé arrachant ma culotte et me pénétrant avant que j’aie eu le temps de comprendre qu’en plus de mes règles ma défloraison me faisait définitivement femme.
On est resté trois mois ensemble, il était là car je baisais alors que les rares filles se disant mes amies se réservaient pour l’homme de leur vie.
À croire quand me faisant pénétrer je préparais mon avenir.
C’est quelques mois après mes dix-huit ans que maman est tombée malade.
Elle a fait une grosse bronchite au point de l’hospitaliser.
Je venais d’avoir mon bac et je pensais aller en fac, maman voulait que je fasse des études pour avoir un bagage.
Elle se voyait bien la mère d’une avocate.
Je suis allée porter son certificat d’arrêt de travail auprès de son patron au bar.
- Véro, ta mère m’emmerde à cette période les mecs traînent tard et je vais manquer de serveuse.
- Je peux la remplacer.
À l’hôpital je quitte sa chambre à 17 heures.
J’aurais largement le temps de venir la remplacer.
Il suffit de me faire voir le travail.
Le soir même je passe l’uniforme du bar mettent en avant ma poitrine et mon cul par-derrière.
Toute la soirée je sers les tables.
Je prends des mains aux culs et surtout des mains sur mes seins car pour remercier les serveuses les clients mâles ou femelles nous glisses des billets le long de nos seins en profitant pour nous caresser.
Avant de fermer et redevenant Véro, je compte mes billets.
Je rends jalouses les autres filles, j’ai fait le double de pourboires qu’elles.
- Je t’attendais, je t’ai reconnu, tu es la fille de la pute.
Nous étions ensemble en CM2.
Même en sortant d’un bar louche ma condition de fille de la pute me rattrape.
- Tu es comme ta pute de mère, rapportes-tu du travail à la maison ?
- Combien ?
- Ta mère prenait 200 la passe, 500 la nuit bien entamé à l’heure qu’il est.
- C’est oui pour les heures supplémentaires si tu connais des clients de ma mère, dit leur que la fille de la pute devient une pute elle aussi.
Une seule différence 500 la passe et 1 000 la nuit.
- C’est cher, mais avec le cul que tu as dès que je dirais aux copains que la lanterne au-dessus de votre porte se rallume ils vont se précipiter.
Voilà, pourquoi faire des études pour trimer des heures entières alors qu’il suffit que j’écarte mes cuisses pour me remplir les poches.
Si un jour j’ai une fille, je lui dirai très tôt que sa mère est une péripatéticienne.
Si elle cherche dans le dico, d’un premier coup d’œil elle saura que c’est vrai quant à l’école on lui donnera son nom.
La fille de la pute.
- La fille de la pute.
La fille de la pute.
C’est la fille de la pute.
J’ai ignoré ce que ça voulait dire et surtout j’ai fini par m’habituer.
Dès que les instituteurs tournaient le dos leur chanson recommençait.
Au collège, j’avais douze ans quand ce mot qui faisait partie de moi a eu toute sa signification.
- Véro, tu es comme ta mère tu suces des bites, tiens, j’ai cinq euros.
Un prof est intervenu car sans savoir pourquoi j’ai sauté à la gorge de ce salopard.
Maman m’élevait seule me donnant une parfaite éducation.
Elle travaillait dans un bar et rentrait tard le soir.
J’avais dix ans quand certains jours dans la journée quand l’école était fermée ou pendant le week-end elle me disait de rejoindre ma chambre et de mettre mon casque pour écouter les musiques qu’elle m’achetait pour les passer dans mon lecteur de CD.
Maman m’avait habitué à écouter du rock surtout Johnny qui avait la particularité de chanter très fort.
J’avais dix ans où j’ai compris pourquoi cette musique m’emplissant la tête.
Mon lecteur de CD est tombé en panne et j’ai entendu comme des cris venant de la chambre de maman.
L’homme qu’elle recevait venait de jouir et quelques minutes après je l’ai vu sortir de la chambre rhabillé.
Mais avant que la porte soit fermée, j’ai vu maman sur son lit les jambes écartées se passant un mouchoir entre ses cuisses.
À l’école la fille de la pute ça me laissait froide bien qu’à cet âge j’ignorais toujours ce qu’était une pute.
J’avais douze ans quand l’idée m’est venue de regarder dans le dictionnaire.
Maman recevait régulièrement et ses cris comme ceux que j’ai appris qu'ils étaient ses clients, je les entendais car je lui faisais croire que je m’isolais avec mon casque.
Ça peut paraître bizarre, mais chaque fois que maman poussait des cris, j’étais contente pour elle car après lorsqu’elle quittait sa chambre revêtue de son éternel peignoir bleu elle était guillerette.
Plus j’entendais sonner à la porte ou plus le soir je l’entendais rentrer de son bar accompagner et plus nous nous faisions des repas dans de bons restaurants.
Dans le dictionnaire à pute, put, ils avaient oublié ce mot.
J’ignorais que c’est à prostituer, pro que j’aurais dû regarder.
Où péripatéticienne, pér et non pas pe que j’aurais eu la réponse.
Je suis devenue femme quand mes règles sont venues ainsi qu’une belle poitrine comme maman qui a 32 ans était encore fort appétissante.
J’avais dix-sept ans quand Jules est devenu mon julot.
Sexuellement parlant car ça faisait deux ans que pute je savais enfin ce que c’était.
C’était donc vrai les enfants puis les ados disaient ce qui était vrai, ma mère se prostituait et était donc une pute faisant de moi la fille de la pute.
Jules m’a coincé un soir de bal, j’avais mis ma plus belle robe et mes plus beaux sous-vêtements.
Peine perdue, c’est le long d’un peuplier qu’il m’a coincé arrachant ma culotte et me pénétrant avant que j’aie eu le temps de comprendre qu’en plus de mes règles ma défloraison me faisait définitivement femme.
On est resté trois mois ensemble, il était là car je baisais alors que les rares filles se disant mes amies se réservaient pour l’homme de leur vie.
À croire quand me faisant pénétrer je préparais mon avenir.
C’est quelques mois après mes dix-huit ans que maman est tombée malade.
Elle a fait une grosse bronchite au point de l’hospitaliser.
Je venais d’avoir mon bac et je pensais aller en fac, maman voulait que je fasse des études pour avoir un bagage.
Elle se voyait bien la mère d’une avocate.
Je suis allée porter son certificat d’arrêt de travail auprès de son patron au bar.
- Véro, ta mère m’emmerde à cette période les mecs traînent tard et je vais manquer de serveuse.
- Je peux la remplacer.
À l’hôpital je quitte sa chambre à 17 heures.
J’aurais largement le temps de venir la remplacer.
Il suffit de me faire voir le travail.
Le soir même je passe l’uniforme du bar mettent en avant ma poitrine et mon cul par-derrière.
Toute la soirée je sers les tables.
Je prends des mains aux culs et surtout des mains sur mes seins car pour remercier les serveuses les clients mâles ou femelles nous glisses des billets le long de nos seins en profitant pour nous caresser.
Avant de fermer et redevenant Véro, je compte mes billets.
Je rends jalouses les autres filles, j’ai fait le double de pourboires qu’elles.
- Je t’attendais, je t’ai reconnu, tu es la fille de la pute.
Nous étions ensemble en CM2.
Même en sortant d’un bar louche ma condition de fille de la pute me rattrape.
- Tu es comme ta pute de mère, rapportes-tu du travail à la maison ?
- Combien ?
- Ta mère prenait 200 la passe, 500 la nuit bien entamé à l’heure qu’il est.
- C’est oui pour les heures supplémentaires si tu connais des clients de ma mère, dit leur que la fille de la pute devient une pute elle aussi.
Une seule différence 500 la passe et 1 000 la nuit.
- C’est cher, mais avec le cul que tu as dès que je dirais aux copains que la lanterne au-dessus de votre porte se rallume ils vont se précipiter.
Voilà, pourquoi faire des études pour trimer des heures entières alors qu’il suffit que j’écarte mes cuisses pour me remplir les poches.
Si un jour j’ai une fille, je lui dirai très tôt que sa mère est une péripatéticienne.
Si elle cherche dans le dico, d’un premier coup d’œil elle saura que c’est vrai quant à l’école on lui donnera son nom.
La fille de la pute.
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