COLLECTION ESCORTE. La journaliste (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. La journaliste (1/2)
- Jennifer, tu es la plus jeune journaliste de notre journal, je t’offre un voyage à Bruxelles, avec nuit payée.
- Que devrais-je vous ramener de cette ville, monsieur Antoine ?
- Tu te rendras dans un bar où des femmes travaillent et tu me rapporteras un papier sur les filles qui acceptent de vendre leur corps pour de l’argent.
J’ai eu une source m’ayant dit, qu’un projet de notre parlement envisagerait de mettre en place le système belge et de rouvrir les bordels en France.
- Pourquoi-moi !
- Je te l’ai dit, tu es la plus jeune de notre équipe et tu es une femme.
Je vois mal le gros Robert ou la vieille Marthe, malgré qu’elle ait le nom de celle qui les a fermés, faire un papier sur les avantages des boîtes à putes.
J’ai réservé l’hôtel, je n’ai pas lésiné, je t’ai pris un 2 étoiles, j’ai aussi pris contact avec Gloria, une femme qui tient l’un de ces bars et ou huit filles travaillent, elle t’attend demain à quinze heures à cette adresse.
Voici tous les renseignements ainsi que les billets allés et retour, pour le billet de retour, tu pourras toujours te le faire rembourser si tu décides de changer d’orientation professionnelle et que tu préfères les bites de ses clients à celle de ton fiancé.
- Foutez-vous de moi, je suis célibataire, je n’ai pas trop envie de traiter ce sujet, mais comme je suis contente de travailler dans ce journal, j’irais faire ce papier.
- Mille lignes, prends ton temps, la seule chose que je veux c’est de pouvoir le sortir.
Si le projet est débattu au parlement, j’aurais une longueur d’avance sur la concurrence.
Je pourrais mettre à la une, ton papier venant du vécu, bon voyage.
C’est ainsi que je prends le train pour Bruxelles.
Je rejoins l’hôtel où une chambre m’est réservée.
Hôtel minable comme il se doit.
Vivement demain matin que je reprenne mon train pour retrouver mon petit studio sous les toits de Paris.
Je l’ai trouvé à louer grâce au journal.
J’ai la vue sur le sacré cœur et pour rire, tous les dimanches matin, je le regarde en disant que je vais à la messe sans bouger de chez-moi, il va de soi.
Après, le dimanche matin, je fais mon jogging à dix heures pendant une heure dans les rues de Montmartre, ces rues montantes et descendantes me permettent de tenir la forme.
Quatorze heures cinquante, je suis devant le bar qui est fermé.
Monsieur Antoine le rédacteur en chef qui m’a embauché ce serait-il trompé sur ses renseignements ?
J’ai le numéro du bar dans mes documents, je sors mon portable et j’appelle.
- Oui, je suis Gloria, je vous attendais, ou êtes-vous ?
- Près de votre bar.
- Je vous vois, j’habite au deuxième étage, vous voyez la porte sur votre droite, vous entrez, montez, je vous attends.
Il fait beau en ce mois de juin, je suis en forme et je grimpe les deux étages en quelques secondes, mon entraînement montmartrois m’aidant.
- Bonjour, entre, je préfère que l’on se tutoie, j’ai l’habitude avec mes filles, nous avons quelques heures à passer ensemble.
Je pense que Nicolas t’as dit que je m’appelle Gloria.
- Oui, vous connaissez bien monsieur Nicolas, vous l’appelez par son prénom.
- C’est un copain d’enfance à Paris, car je suis née à Paris, sur les bords de seine.
Assieds-toi, le bar ouvre à seize heures, nous avons une heure pour faire connaissance.
De toute façon Léontine ouvre pour se préparer ainsi que mes autres filles.
Je les verrais mal arriver dans leur tenue de travail dans la rue, elles créeraient une émeute.
C’est mon premier contact avec Gloria, jolie brune d’une quarantaine d’années, je sors mon calepin pour commencer à prendre des notes.
- Gloria, merci pour le tutoiement, cela me met plus facilement à l’aise, car venir ici faire un reportage sur ton activité, j’étais un peu mal dans ma peau.
- Je te comprends, que devrais-je dire, moi issu d’une famille de bigotes quand je me suis retrouvée derrière le comptoir de ce bar au rez-de-chaussée à gérer mes filles.
- Comment cela a commencé ?
Tu permets que je prenne des notes !
- Sans problème, j’avais dix-huit ans quand j’ai rencontré le beau Lucien.
Toutes mes copines le voulaient, je me suis précipitée et je l’ai emporté.
Il m’a dépucelé et a fini par me mettre sur le trottoir.
Je te passe tous les détails, mais un jour, il m’a vendu à un souteneur qui faisait travailler des filles en Belgique.
C’est à cause d’une de ses dettes de jeu que j’ai atterri à Bruxelles et que j’ai emménagé dans cet appartement.
Je descendais au bar tenu par Marcel le patron et mon nouveau souteneur.
Marcel était un homme bon, mais très strict sur le travail.
Je vivais comme sa régulière alors que les autres filles dans ce temps-là avaient toutes un mac qui les plaçait chez Marcel et qui touchait une part sur chacune de leurs passes.
Entre parenthèses, c’est toujours le cas avec mes huit filles, mais officiellement elles sont indépendantes avec un contrat de travail.
Tu rencontreras Olga, jeune femme d’origine russe, c’est son homme qui l’amène et qui vient la chercher tous les jours.
Je suppute qu’il l’a Mac, le beau Serge personne ne l’ayant jamais vu travaillé.
Je laisse courir comme dans la plupart des bars comme le mien.
La police ne nous embêtant pas grâce à ses bulletins de salaire que je lui fais tous les mois.
- Dis, tu parles de Mac, qu’est-ce que sait ?
- Je vois Antoine m’envoie une jeune femme manquant d’expérience, mais j’aime ça.
Un mac, est le raccourci de maquereau, proxénète, souteneur, homme qui fait se prostituer des filles et récupère leur argent.
- Merci, avec tous ces synonymes, je viens de gagner une ligne sur les 1 000 que je dois écrire.
- Le temps file vite quand on évoque des souvenirs, ce que je peux te dire, c’est que Marcel a fini par m’épouser.
Peut-être sentait-il sa fin prochaine.
Il partait souvent seul sur la Côte d’Azur où nous avions une villa au-dessus de Nice.
Il a été retrouvé mort dans notre piscine et comme il avait voulu que nous nous mariions sous le régime de la communauté, de pute, je suis devenue madame Gloria pour mes filles.
- Tu as eu des ennuis avec la police après sa mort, pardon, là, suis-je peux être indiscrète.
- Pas le moins du monde, il a été autopsié.
Le matin de sa mort, il a voulu plonger, hydrocution à cette heure, l’eau étant trop froide.
Et voilà comment de jeune fille de bonne famille parisienne, devenue une pute, je me suis retrouvée tenancière de bar à putes.
Nous éclatons de rire.
- Descendons, j’ai entendu une porte claquer, elles ont dû arriver.
Un escalier intérieur nous permet de rejoindre l’étage inférieur.
Elle me montre les box ou les filles montent les clients, tout est très propres, même si les lits sont recouverts par des matelas en matière comme du cuir facilement nettoyable.
Des piles de serviettes sont posées dans la petite salle d’eau attenant à chaque box.
Arrivé en bas, nous accédons dans le bar, les premiers clients viennent d’entrer.
- Bonjour patronne, qui est cette jolie femme, une nouvelle.
- Pas de méprise, c’est une journaliste française.
Elle vient dans notre bar pour faire un papier sur nos bars à filles en Belgique !
Je vous propose de répondre à ses questions, si elle vous interroge et que vous en êtes d’accord, vous me connaissez je n’impose jamais rien.
J’ai vu les filles se refermer, je savais que ce soir, je n’obtiendrais rien d’elles.
Je comprends pour une femme expliquer comment elle en est arrivée à vendre son corps, ce doit être difficile.
Toute la soirée, j’aide Gloria derrière le bar, j’arrive à parler à un client qui est avec son alliance au doigt.
- Voyez ma femme me refuse tout rapport depuis la naissance de notre fils, il y a deux ans.
Il me reste ce genre de bar pour avoir des rapports avec des femmes.
Pour ne rien gâcher les filles ici sont belles.
Certes Léontine est un peu enveloppée, mais cela a son charme, c’est une très bonne professionnelle.
Dite, et si vous montiez avec moi, vous me plaisez.
- Merci, mais je suis ici pour faire un papier pour mon journal pas pour vous satisfaire.
- Jennifer, j’ai entendu ce que le client vient de te proposer, si tu veux que les filles te parlent, c’est en montant dans les chambres que tu comprendras les problèmes de notre profession.
Je suis sûr qu’elles viendront d’elle-même te parler après.
Je ne suis plus pucelle, j’ai eu quelques amants aussi bien chez ma mère en province mais aussi depuis que je suis à Paris.
J’ai couché avec des hommes dès le premier soir, pour exemple celui qui m’a fait marrer dans une discothèque samedi dernier, j’ai fini la nuit dans son lit.
Au matin, comme chaque fois, je me suis simplement rendu compte, que seule sa queue m’intéressait, comme chaque fois, je l’ai jeté comme un Kleenex.
Ici, les filles en font de même à la différence, sait qu’elles touchent du pognon.
Je prends une décision, j’en parle à Gloria, elle aurait pu éclater de rire, ce n’est pas le cas.
- Léontine, prends ma place, je monte chez moi avec Jennifer.
Nous faisons le chemin inverse.
À l’étage, Ama une jolie noire sort d’un box avec son client, je me retrouve dans la chambre de ma nouvelle amie.
- Enlève tes affaires, passe ça, soutien-gorge, string avec porte-jarretelle et bas, le tout d’un rouge vif, bien sûr les talons hauts, tu vas faire baver mes clients.
Tiens, tu me donnes envie de t’embrasser, il faut du courage pour faire ce que tu vas faire pour enrichir ton papier dans ton journal.
- J’ai déjà une ligne sur les souteneurs, en plus, j’ai le titre, « Immersions dans le monde de la prostitution réglementée. »- Ajoute en Belgique, si ton papier sort en France, tes lecteurs ne comprendraient pas, c’est interdit chez nous.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre et pour la première fois de ma vie, j’embrasse une fille sur la bouche, je suis troublée.
Mais Gloria me fait redescendre les marches m’ayant mis sur le dos le peignoir de la maison que toutes les filles portent quand elles sont avec les clients au bar.
- Mince, si j’ai bien compris ton nom, tu t’appelles Jennifer, tu vas monter des clients en vue de ton papier, respect, quand nous aurons cinq minutes, je te parlerais de notre travail.
Léontine est la première à vouloir me parler, Gloria avait raison, être à leur niveau, va me permettre de boucler mon article.
- Vous êtes libre…
- Que devrais-je vous ramener de cette ville, monsieur Antoine ?
- Tu te rendras dans un bar où des femmes travaillent et tu me rapporteras un papier sur les filles qui acceptent de vendre leur corps pour de l’argent.
J’ai eu une source m’ayant dit, qu’un projet de notre parlement envisagerait de mettre en place le système belge et de rouvrir les bordels en France.
- Pourquoi-moi !
- Je te l’ai dit, tu es la plus jeune de notre équipe et tu es une femme.
Je vois mal le gros Robert ou la vieille Marthe, malgré qu’elle ait le nom de celle qui les a fermés, faire un papier sur les avantages des boîtes à putes.
J’ai réservé l’hôtel, je n’ai pas lésiné, je t’ai pris un 2 étoiles, j’ai aussi pris contact avec Gloria, une femme qui tient l’un de ces bars et ou huit filles travaillent, elle t’attend demain à quinze heures à cette adresse.
Voici tous les renseignements ainsi que les billets allés et retour, pour le billet de retour, tu pourras toujours te le faire rembourser si tu décides de changer d’orientation professionnelle et que tu préfères les bites de ses clients à celle de ton fiancé.
- Foutez-vous de moi, je suis célibataire, je n’ai pas trop envie de traiter ce sujet, mais comme je suis contente de travailler dans ce journal, j’irais faire ce papier.
- Mille lignes, prends ton temps, la seule chose que je veux c’est de pouvoir le sortir.
Si le projet est débattu au parlement, j’aurais une longueur d’avance sur la concurrence.
Je pourrais mettre à la une, ton papier venant du vécu, bon voyage.
C’est ainsi que je prends le train pour Bruxelles.
Je rejoins l’hôtel où une chambre m’est réservée.
Hôtel minable comme il se doit.
Vivement demain matin que je reprenne mon train pour retrouver mon petit studio sous les toits de Paris.
Je l’ai trouvé à louer grâce au journal.
J’ai la vue sur le sacré cœur et pour rire, tous les dimanches matin, je le regarde en disant que je vais à la messe sans bouger de chez-moi, il va de soi.
Après, le dimanche matin, je fais mon jogging à dix heures pendant une heure dans les rues de Montmartre, ces rues montantes et descendantes me permettent de tenir la forme.
Quatorze heures cinquante, je suis devant le bar qui est fermé.
Monsieur Antoine le rédacteur en chef qui m’a embauché ce serait-il trompé sur ses renseignements ?
J’ai le numéro du bar dans mes documents, je sors mon portable et j’appelle.
- Oui, je suis Gloria, je vous attendais, ou êtes-vous ?
- Près de votre bar.
- Je vous vois, j’habite au deuxième étage, vous voyez la porte sur votre droite, vous entrez, montez, je vous attends.
Il fait beau en ce mois de juin, je suis en forme et je grimpe les deux étages en quelques secondes, mon entraînement montmartrois m’aidant.
- Bonjour, entre, je préfère que l’on se tutoie, j’ai l’habitude avec mes filles, nous avons quelques heures à passer ensemble.
Je pense que Nicolas t’as dit que je m’appelle Gloria.
- Oui, vous connaissez bien monsieur Nicolas, vous l’appelez par son prénom.
- C’est un copain d’enfance à Paris, car je suis née à Paris, sur les bords de seine.
Assieds-toi, le bar ouvre à seize heures, nous avons une heure pour faire connaissance.
De toute façon Léontine ouvre pour se préparer ainsi que mes autres filles.
Je les verrais mal arriver dans leur tenue de travail dans la rue, elles créeraient une émeute.
C’est mon premier contact avec Gloria, jolie brune d’une quarantaine d’années, je sors mon calepin pour commencer à prendre des notes.
- Gloria, merci pour le tutoiement, cela me met plus facilement à l’aise, car venir ici faire un reportage sur ton activité, j’étais un peu mal dans ma peau.
- Je te comprends, que devrais-je dire, moi issu d’une famille de bigotes quand je me suis retrouvée derrière le comptoir de ce bar au rez-de-chaussée à gérer mes filles.
- Comment cela a commencé ?
Tu permets que je prenne des notes !
- Sans problème, j’avais dix-huit ans quand j’ai rencontré le beau Lucien.
Toutes mes copines le voulaient, je me suis précipitée et je l’ai emporté.
Il m’a dépucelé et a fini par me mettre sur le trottoir.
Je te passe tous les détails, mais un jour, il m’a vendu à un souteneur qui faisait travailler des filles en Belgique.
C’est à cause d’une de ses dettes de jeu que j’ai atterri à Bruxelles et que j’ai emménagé dans cet appartement.
Je descendais au bar tenu par Marcel le patron et mon nouveau souteneur.
Marcel était un homme bon, mais très strict sur le travail.
Je vivais comme sa régulière alors que les autres filles dans ce temps-là avaient toutes un mac qui les plaçait chez Marcel et qui touchait une part sur chacune de leurs passes.
Entre parenthèses, c’est toujours le cas avec mes huit filles, mais officiellement elles sont indépendantes avec un contrat de travail.
Tu rencontreras Olga, jeune femme d’origine russe, c’est son homme qui l’amène et qui vient la chercher tous les jours.
Je suppute qu’il l’a Mac, le beau Serge personne ne l’ayant jamais vu travaillé.
Je laisse courir comme dans la plupart des bars comme le mien.
La police ne nous embêtant pas grâce à ses bulletins de salaire que je lui fais tous les mois.
- Dis, tu parles de Mac, qu’est-ce que sait ?
- Je vois Antoine m’envoie une jeune femme manquant d’expérience, mais j’aime ça.
Un mac, est le raccourci de maquereau, proxénète, souteneur, homme qui fait se prostituer des filles et récupère leur argent.
- Merci, avec tous ces synonymes, je viens de gagner une ligne sur les 1 000 que je dois écrire.
- Le temps file vite quand on évoque des souvenirs, ce que je peux te dire, c’est que Marcel a fini par m’épouser.
Peut-être sentait-il sa fin prochaine.
Il partait souvent seul sur la Côte d’Azur où nous avions une villa au-dessus de Nice.
Il a été retrouvé mort dans notre piscine et comme il avait voulu que nous nous mariions sous le régime de la communauté, de pute, je suis devenue madame Gloria pour mes filles.
- Tu as eu des ennuis avec la police après sa mort, pardon, là, suis-je peux être indiscrète.
- Pas le moins du monde, il a été autopsié.
Le matin de sa mort, il a voulu plonger, hydrocution à cette heure, l’eau étant trop froide.
Et voilà comment de jeune fille de bonne famille parisienne, devenue une pute, je me suis retrouvée tenancière de bar à putes.
Nous éclatons de rire.
- Descendons, j’ai entendu une porte claquer, elles ont dû arriver.
Un escalier intérieur nous permet de rejoindre l’étage inférieur.
Elle me montre les box ou les filles montent les clients, tout est très propres, même si les lits sont recouverts par des matelas en matière comme du cuir facilement nettoyable.
Des piles de serviettes sont posées dans la petite salle d’eau attenant à chaque box.
Arrivé en bas, nous accédons dans le bar, les premiers clients viennent d’entrer.
- Bonjour patronne, qui est cette jolie femme, une nouvelle.
- Pas de méprise, c’est une journaliste française.
Elle vient dans notre bar pour faire un papier sur nos bars à filles en Belgique !
Je vous propose de répondre à ses questions, si elle vous interroge et que vous en êtes d’accord, vous me connaissez je n’impose jamais rien.
J’ai vu les filles se refermer, je savais que ce soir, je n’obtiendrais rien d’elles.
Je comprends pour une femme expliquer comment elle en est arrivée à vendre son corps, ce doit être difficile.
Toute la soirée, j’aide Gloria derrière le bar, j’arrive à parler à un client qui est avec son alliance au doigt.
- Voyez ma femme me refuse tout rapport depuis la naissance de notre fils, il y a deux ans.
Il me reste ce genre de bar pour avoir des rapports avec des femmes.
Pour ne rien gâcher les filles ici sont belles.
Certes Léontine est un peu enveloppée, mais cela a son charme, c’est une très bonne professionnelle.
Dite, et si vous montiez avec moi, vous me plaisez.
- Merci, mais je suis ici pour faire un papier pour mon journal pas pour vous satisfaire.
- Jennifer, j’ai entendu ce que le client vient de te proposer, si tu veux que les filles te parlent, c’est en montant dans les chambres que tu comprendras les problèmes de notre profession.
Je suis sûr qu’elles viendront d’elle-même te parler après.
Je ne suis plus pucelle, j’ai eu quelques amants aussi bien chez ma mère en province mais aussi depuis que je suis à Paris.
J’ai couché avec des hommes dès le premier soir, pour exemple celui qui m’a fait marrer dans une discothèque samedi dernier, j’ai fini la nuit dans son lit.
Au matin, comme chaque fois, je me suis simplement rendu compte, que seule sa queue m’intéressait, comme chaque fois, je l’ai jeté comme un Kleenex.
Ici, les filles en font de même à la différence, sait qu’elles touchent du pognon.
Je prends une décision, j’en parle à Gloria, elle aurait pu éclater de rire, ce n’est pas le cas.
- Léontine, prends ma place, je monte chez moi avec Jennifer.
Nous faisons le chemin inverse.
À l’étage, Ama une jolie noire sort d’un box avec son client, je me retrouve dans la chambre de ma nouvelle amie.
- Enlève tes affaires, passe ça, soutien-gorge, string avec porte-jarretelle et bas, le tout d’un rouge vif, bien sûr les talons hauts, tu vas faire baver mes clients.
Tiens, tu me donnes envie de t’embrasser, il faut du courage pour faire ce que tu vas faire pour enrichir ton papier dans ton journal.
- J’ai déjà une ligne sur les souteneurs, en plus, j’ai le titre, « Immersions dans le monde de la prostitution réglementée. »- Ajoute en Belgique, si ton papier sort en France, tes lecteurs ne comprendraient pas, c’est interdit chez nous.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre et pour la première fois de ma vie, j’embrasse une fille sur la bouche, je suis troublée.
Mais Gloria me fait redescendre les marches m’ayant mis sur le dos le peignoir de la maison que toutes les filles portent quand elles sont avec les clients au bar.
- Mince, si j’ai bien compris ton nom, tu t’appelles Jennifer, tu vas monter des clients en vue de ton papier, respect, quand nous aurons cinq minutes, je te parlerais de notre travail.
Léontine est la première à vouloir me parler, Gloria avait raison, être à leur niveau, va me permettre de boucler mon article.
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