COLLECTION ESCORTE. La journaliste (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. La journaliste (2/2)
- Êtes-vous libre ?
Ces parts ces trois mots, que je prends conscience de ce que je viens d’accepter pour pouvoir écrire 1 000 lignes sur la prostitution dans les bars à putes de Bruxelles.
Il faut dire que mon enquête dans le bar de Gloria, femme brune d’une quarantaine d'années a mal débuté, ses filles semblant ne pas avoir confiance en moi.
C’est, pour donner suite à une boutade de Gloria, mais surtout une réflexion sur ma vie sexuelle que je lui propose de faire une passe avec un de ses clients.
La plupart des semaines dernières, je suis allée dans des boîtes où je me suis déchirée et au matin à mon réveil, quelquefois, le mec qui était à mes côtés m’était parfait inconnu.
Je n’hésite pas à les jeter, ils ont fait leur travail de sexe sur pattes et satisfait ma libido.
- Box 3, Jennifer, tu verras, monsieur Adam est très gentil et surtout très doux.
Monsieur Adam, n’oubliez pas le petit cadeau pour mon amie.
- Merci Gloria, j’espère qu’elle sera aussi douée que toi, dommage que tu refuses de monter avec nous.
Sans vous faire injure mademoiselle, votre patronne était la reine des fellations.
À ses débuts, du temps de Marcel, il fermait le bar et nous l’offrait alors que nous étions une douzaine.
- Puis-je vous poser une question ?
Je vais peut-être faire la pute, mais tout en restant professionnelle du journalisme.
- Oui !
- Il y a longtemps que vous venez voir des filles.
- Bonne question Jennifer, Gloria vient de vous appeler ainsi, depuis ma première poussée d’acné, je vais les voir.
J’en ai 55, faites les comptes, à deux fois par mois !
- Et toujours des filles que vous payez !
- J’ai rapidement fait le calcul, quand nous serons passés dans le box à l’étage, je te dirais bye-bye, le tout pour quelques billets.
Alors que si je m’étais marié, je serais obligé de t’entretenir, dilapidant plus d’argent, ça coûte chère ces petites bêtes là.
Assez parler, tu es partante.
- Vas-y Jennifer, tu seras dans la liste que monsieur Adam tient à jour avec tous les noms de ses conquêtes.
Quelques lignes de plus pour mon article, petit à petit, je vois dans quelle direction, je vais pouvoir l’orienter.
Il va sans dire que le moment présent que je vis avec le regard sur mes fesses du client qui monte derrière moi fera partie de mon article.
Dans mes mille lignes se sera Léontine qui m’aura rapporté cette sensation qu’elle doit avoir du moins la première fois.
- Je comprends que tu apprends sur le vif comment une fille travaille.
Tu dois m’emmener dans ce petit coin, tu me sors la queue, regarde, je bande déjà en regardant ton petit cul lorsque tu montais l’escalier.
J’avais anticipé ce que je ressentais, je suis vraiment faite pour être journaliste.
J’allais me tromper, j’allais dire « pour être pute. »Chaque fois que je couche comme on dit, jamais au grand jamais, je me suis posé la question si la queue du garçon avait été passée à la brosse à récurer.
J’ai appris depuis longtemps que les maladies transmissibles c’est en enfilant des perles que nous les attrapons.
La boîte de capotes qui m’est fournie et que je place sur le garçon, la capote non pas la boîte, avec dextérité me permet d’être prête à me faire mettre.
J’emploie ces mots extrêmes « se faire mettre » car ces ce que je ressens.
J’aime les préliminaires, mes seins pour commencer.
J’adore qu’un garçon les malaxe, les lèches allant même jusqu’à les mordent.
Non, excessif, j’ai horreur de souffrir, les mordiller.
Sucer longtemps mes piercings.
Oui, j’ai des piercings, ce qui est antinomique avec la douleur, c’est vrai quand je les ai fait percer en sortie d'une soirée plus qu'arrosée, je me suis réveillée avec mes seins percés.
- Tu es percé, tu es la première fille qui me présente ce genre de bijoux au bout des seins.
Pourquoi n’en as-tu pas sur le clitoris ?
- Si tu savais comment je me suis fait poser ceux-là, tu serais surpris, peut-être qu’un jour étant dans le même état que ce jour-là j’irais me faire percer la chatte.
Mais vois avant de me prendre, j’ai une chatte concave avec des lèvres vaginales très courtes, il faudrait percer dans la masse et je craindrais de souffrir, mais je vais y penser.
Où va me conduire ce papier, la verge s’approche et entre en moi ?
- Oh ! Oh ! Oh.
Ça se fait, je suis une pute quand mon client décharge.
Il est temps, les filles vont plus vite par passe que moi, mais j’écris mon texte dans ma tête en même temps que je jouis.
Nettoiement de la queue et retour au bar.
- Chérie, quand tu jouis fait le plus discrètement, nous avons tous entendu quand Adam t’a fait partir.
- Vous montez mademoiselle, patronne, je paye le double pour votre nouvelle fille.
Combien je fais de passe dans la soirée, je l’ignore, j’ai maintenant tout ce qu’il faut pour écrire mon article.
Je sais ce que vendre son corps veut dire, je vais écrire un texte au plus près de ce que les filles ressentent.
Comme je l’ai dit, c’est Léontine qui sera mentionnée et non Jennifer, la signatrice de l’article.
À la fermeture Gloria me fait monter chez elle.
- Enlève ce peignoir, je vais te faire couler un bain.
J’ai été tellement concentré à ressentir les choses que maintenant que c’est la fin, ma chatte me brûle d’avoir été tant pénétrée.
Quand j’entre dans l’eau chaude et les pétales de roses que ma nouvelle amie a jetés à la surface, me calme presque instantanément.
Elle prend la savonnette à la même senteur et la passe sur mes seins.
Comme toute femme, elle sait le plaisir que l’on ressent à se faire caresser à cet endroit.
Mes pointes bandes de plaisir surtout quand les ayant rincés elle se penche pour les prendre en bouche.
Elle joue avec mon piercing qui me donne des sensations plus fortes qu’avant que je les fasse poser.
Mon expérience avec les femmes est nulle, merci à mon rédacteur de m’avoir envoyé ici faire ce papier.
Des bites dans la chatte avec de beaux billets que m’a donnés Gloria comme à toutes les filles.
À la différence, c’est qu’elle ne m’a pas fait payer la partie qu'elle prend aux filles.
Je sais que cette expérience sera la seule alors comme elles ont une boîte pour mettre les pourboires, je les ai glissés à l’intérieur.
Ama m’a vu, j’ai fait un geste du doigt sur ma bouche, quand elles se la partageront, elles seront étonnées de la générosité de leurs clients.
Sa main quitte mes seins pour entrer dans l’eau.
Je suis assise de façon que sa main atteigne ma toison rousse.
J’ai l’impression que l’accumulation des bites en moi l’a ouverte à ne pas pouvoir se refermer.
- Uff !
- Je t’ai fait mal, ton clitoris a trop été agressé.
- Surement pas, quand tu l’as touché, il a réagi comme jamais.
Continue, j’ignorais qu’une main de fille était aussi divine.
- Lève-toi et écarte tes cuisses tu vas sentir la savonnette bien plantée en toi.
- Ah ! Ah ! Ah !
Je jouis une nouvelle fois, je serais orgueilleuse de dire que chaque client m’a fait partir, mais une chose est certaine, se prostituer volontairement sans la contrainte d’un mac permet de garder sa dignité de femme.
Le faire sous le joug d’un homme, je plains les filles qui subissent ce traitement.
Le bain fini elle me rince, me sèche méticuleusement au point que ma chatte se remet à mouiller.
C’est dans son lit que je deviens en une seule soirée, pute et gouine.
J’aime mettre ma langue dans sa chatte avant de nous terminer en frottant nos chattes l’une contre l’autre, clitoris contre clitoris.
Pour la première fois, je hurle de plaisir sous les caresses d’une femme.
Je viens de passer ma meilleure soirée de débauche.
Le lendemain, nous nous quittons avec regret.
Un dernier baiser nos langues ayant du mal à se séparer.
Je lui promets de revenir à mes prochaines vacances.
Je suis sûr que je tiendrais parole, même si je ne monterais pas les clients.
Je suis consciente que c’est autant de clients que les filles n’ont pas eu même si j’ai laissé l’argent gagné avec mes fesses.
Je rentre au journal.
- Bonjour Jennifer.
- Bonjour monsieur Antoine, voici vos mille lignes.
J’étais réticente, j’ai appris comment des filles gagnaient leur vie avec leur corps.
- Hélas, Jennifer, notre concurrent a sorti un article sur les bars à putes Suisses, je ne publierais pas, j’aurais l’impression de me raccrocher aux branches.
Je prends une décision qui va bouleverser ma vie.
- Gloria, crois-tu que tes filles verraient d’un mauvais œil que je reprenne ma place devant ton bar ?
- Aucun problème, Lana vient de nous quitter pour épouser son fiancé.
Elle tapinait pour qu’ils démarrent dans la vie de la meilleure des manières.
Pose ta valise dans ma chambre, tu viens de trouver un travail et un toit.
Je retrouve mon peignoir et mes sous-vêtements coquins.
- Jennifer, tu es revenue !
- Oui et chaque fois que ta femme te fera le dos tourné ma chatte sera à ta disposition.
Je monte mon premier client, Jennifer vient de remplacer Léontine quand il me regarde les fesses.
J’ai conscience que le journalisme pour moi s’est terminé.
Ces parts ces trois mots, que je prends conscience de ce que je viens d’accepter pour pouvoir écrire 1 000 lignes sur la prostitution dans les bars à putes de Bruxelles.
Il faut dire que mon enquête dans le bar de Gloria, femme brune d’une quarantaine d'années a mal débuté, ses filles semblant ne pas avoir confiance en moi.
C’est, pour donner suite à une boutade de Gloria, mais surtout une réflexion sur ma vie sexuelle que je lui propose de faire une passe avec un de ses clients.
La plupart des semaines dernières, je suis allée dans des boîtes où je me suis déchirée et au matin à mon réveil, quelquefois, le mec qui était à mes côtés m’était parfait inconnu.
Je n’hésite pas à les jeter, ils ont fait leur travail de sexe sur pattes et satisfait ma libido.
- Box 3, Jennifer, tu verras, monsieur Adam est très gentil et surtout très doux.
Monsieur Adam, n’oubliez pas le petit cadeau pour mon amie.
- Merci Gloria, j’espère qu’elle sera aussi douée que toi, dommage que tu refuses de monter avec nous.
Sans vous faire injure mademoiselle, votre patronne était la reine des fellations.
À ses débuts, du temps de Marcel, il fermait le bar et nous l’offrait alors que nous étions une douzaine.
- Puis-je vous poser une question ?
Je vais peut-être faire la pute, mais tout en restant professionnelle du journalisme.
- Oui !
- Il y a longtemps que vous venez voir des filles.
- Bonne question Jennifer, Gloria vient de vous appeler ainsi, depuis ma première poussée d’acné, je vais les voir.
J’en ai 55, faites les comptes, à deux fois par mois !
- Et toujours des filles que vous payez !
- J’ai rapidement fait le calcul, quand nous serons passés dans le box à l’étage, je te dirais bye-bye, le tout pour quelques billets.
Alors que si je m’étais marié, je serais obligé de t’entretenir, dilapidant plus d’argent, ça coûte chère ces petites bêtes là.
Assez parler, tu es partante.
- Vas-y Jennifer, tu seras dans la liste que monsieur Adam tient à jour avec tous les noms de ses conquêtes.
Quelques lignes de plus pour mon article, petit à petit, je vois dans quelle direction, je vais pouvoir l’orienter.
Il va sans dire que le moment présent que je vis avec le regard sur mes fesses du client qui monte derrière moi fera partie de mon article.
Dans mes mille lignes se sera Léontine qui m’aura rapporté cette sensation qu’elle doit avoir du moins la première fois.
- Je comprends que tu apprends sur le vif comment une fille travaille.
Tu dois m’emmener dans ce petit coin, tu me sors la queue, regarde, je bande déjà en regardant ton petit cul lorsque tu montais l’escalier.
J’avais anticipé ce que je ressentais, je suis vraiment faite pour être journaliste.
J’allais me tromper, j’allais dire « pour être pute. »Chaque fois que je couche comme on dit, jamais au grand jamais, je me suis posé la question si la queue du garçon avait été passée à la brosse à récurer.
J’ai appris depuis longtemps que les maladies transmissibles c’est en enfilant des perles que nous les attrapons.
La boîte de capotes qui m’est fournie et que je place sur le garçon, la capote non pas la boîte, avec dextérité me permet d’être prête à me faire mettre.
J’emploie ces mots extrêmes « se faire mettre » car ces ce que je ressens.
J’aime les préliminaires, mes seins pour commencer.
J’adore qu’un garçon les malaxe, les lèches allant même jusqu’à les mordent.
Non, excessif, j’ai horreur de souffrir, les mordiller.
Sucer longtemps mes piercings.
Oui, j’ai des piercings, ce qui est antinomique avec la douleur, c’est vrai quand je les ai fait percer en sortie d'une soirée plus qu'arrosée, je me suis réveillée avec mes seins percés.
- Tu es percé, tu es la première fille qui me présente ce genre de bijoux au bout des seins.
Pourquoi n’en as-tu pas sur le clitoris ?
- Si tu savais comment je me suis fait poser ceux-là, tu serais surpris, peut-être qu’un jour étant dans le même état que ce jour-là j’irais me faire percer la chatte.
Mais vois avant de me prendre, j’ai une chatte concave avec des lèvres vaginales très courtes, il faudrait percer dans la masse et je craindrais de souffrir, mais je vais y penser.
Où va me conduire ce papier, la verge s’approche et entre en moi ?
- Oh ! Oh ! Oh.
Ça se fait, je suis une pute quand mon client décharge.
Il est temps, les filles vont plus vite par passe que moi, mais j’écris mon texte dans ma tête en même temps que je jouis.
Nettoiement de la queue et retour au bar.
- Chérie, quand tu jouis fait le plus discrètement, nous avons tous entendu quand Adam t’a fait partir.
- Vous montez mademoiselle, patronne, je paye le double pour votre nouvelle fille.
Combien je fais de passe dans la soirée, je l’ignore, j’ai maintenant tout ce qu’il faut pour écrire mon article.
Je sais ce que vendre son corps veut dire, je vais écrire un texte au plus près de ce que les filles ressentent.
Comme je l’ai dit, c’est Léontine qui sera mentionnée et non Jennifer, la signatrice de l’article.
À la fermeture Gloria me fait monter chez elle.
- Enlève ce peignoir, je vais te faire couler un bain.
J’ai été tellement concentré à ressentir les choses que maintenant que c’est la fin, ma chatte me brûle d’avoir été tant pénétrée.
Quand j’entre dans l’eau chaude et les pétales de roses que ma nouvelle amie a jetés à la surface, me calme presque instantanément.
Elle prend la savonnette à la même senteur et la passe sur mes seins.
Comme toute femme, elle sait le plaisir que l’on ressent à se faire caresser à cet endroit.
Mes pointes bandes de plaisir surtout quand les ayant rincés elle se penche pour les prendre en bouche.
Elle joue avec mon piercing qui me donne des sensations plus fortes qu’avant que je les fasse poser.
Mon expérience avec les femmes est nulle, merci à mon rédacteur de m’avoir envoyé ici faire ce papier.
Des bites dans la chatte avec de beaux billets que m’a donnés Gloria comme à toutes les filles.
À la différence, c’est qu’elle ne m’a pas fait payer la partie qu'elle prend aux filles.
Je sais que cette expérience sera la seule alors comme elles ont une boîte pour mettre les pourboires, je les ai glissés à l’intérieur.
Ama m’a vu, j’ai fait un geste du doigt sur ma bouche, quand elles se la partageront, elles seront étonnées de la générosité de leurs clients.
Sa main quitte mes seins pour entrer dans l’eau.
Je suis assise de façon que sa main atteigne ma toison rousse.
J’ai l’impression que l’accumulation des bites en moi l’a ouverte à ne pas pouvoir se refermer.
- Uff !
- Je t’ai fait mal, ton clitoris a trop été agressé.
- Surement pas, quand tu l’as touché, il a réagi comme jamais.
Continue, j’ignorais qu’une main de fille était aussi divine.
- Lève-toi et écarte tes cuisses tu vas sentir la savonnette bien plantée en toi.
- Ah ! Ah ! Ah !
Je jouis une nouvelle fois, je serais orgueilleuse de dire que chaque client m’a fait partir, mais une chose est certaine, se prostituer volontairement sans la contrainte d’un mac permet de garder sa dignité de femme.
Le faire sous le joug d’un homme, je plains les filles qui subissent ce traitement.
Le bain fini elle me rince, me sèche méticuleusement au point que ma chatte se remet à mouiller.
C’est dans son lit que je deviens en une seule soirée, pute et gouine.
J’aime mettre ma langue dans sa chatte avant de nous terminer en frottant nos chattes l’une contre l’autre, clitoris contre clitoris.
Pour la première fois, je hurle de plaisir sous les caresses d’une femme.
Je viens de passer ma meilleure soirée de débauche.
Le lendemain, nous nous quittons avec regret.
Un dernier baiser nos langues ayant du mal à se séparer.
Je lui promets de revenir à mes prochaines vacances.
Je suis sûr que je tiendrais parole, même si je ne monterais pas les clients.
Je suis consciente que c’est autant de clients que les filles n’ont pas eu même si j’ai laissé l’argent gagné avec mes fesses.
Je rentre au journal.
- Bonjour Jennifer.
- Bonjour monsieur Antoine, voici vos mille lignes.
J’étais réticente, j’ai appris comment des filles gagnaient leur vie avec leur corps.
- Hélas, Jennifer, notre concurrent a sorti un article sur les bars à putes Suisses, je ne publierais pas, j’aurais l’impression de me raccrocher aux branches.
Je prends une décision qui va bouleverser ma vie.
- Gloria, crois-tu que tes filles verraient d’un mauvais œil que je reprenne ma place devant ton bar ?
- Aucun problème, Lana vient de nous quitter pour épouser son fiancé.
Elle tapinait pour qu’ils démarrent dans la vie de la meilleure des manières.
Pose ta valise dans ma chambre, tu viens de trouver un travail et un toit.
Je retrouve mon peignoir et mes sous-vêtements coquins.
- Jennifer, tu es revenue !
- Oui et chaque fois que ta femme te fera le dos tourné ma chatte sera à ta disposition.
Je monte mon premier client, Jennifer vient de remplacer Léontine quand il me regarde les fesses.
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