COLLECTION ESCORTE. Ma prof de fac me met le pied à l’étrier (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Ma prof de fac me met le pied à l’étrier (2/2)
• Mademoiselle Caroline, je suis Christophe votre conseiller bancaire.
Pourrions-nous nous rencontrer j’ai des propositions à vous faire concernant votre compte en banque.
Ma banque, j’espère que cet afflux d’argent chaque mois alors qu’avant je jouais avec le découvert autorisé m’a fait repérer comme travailleuse du sexe.
• Vous avez beaucoup de liquidités sur votre compte qui dorme sans vous rapporter...
Ouf, le reste est très personnel pour la gestion de mon compte.
Ouf, Alex, c’est le nom sur son badge, beau gosse au préalable dans son costume trois-pièces, me fait gagner plus d’argent certes avec des risques.
• Il est midi, puis-je vous invité à déjeuner !
Le sexe, il y a celui qui paye, c’est celui avec lequel ma prof de fac m’a mis le pied à l’étrier.
Le sexe, celui qu’Alex me fait découvrir dans son appartement non loin de l’agence où il travaille.
J’ai dit avoir du mal à embrasser mes clients, mais lorsqu’il me propose de finir l’après-midi chez lui, étant libre après sa matinée de travail, je le suis sans problème.
Lorsque ses bras m’entourent, moi qui suce, et écarte mes cuisses sans me poser la moindre question sauf combien mon cul va me rapporter.
Depuis les quelques mois où j’ai accepté de gonfler mon compte en banque je jouis sans que cela me rapporte le moindre centime.
• Tu sembles assez experte, Caroline.
Merde, je l’ai trop bien baisé, il a dû repérer que je prends les initiatives comme je le fais souvent avec mes clients.
• Ou vas-tu ?
• Chez moi, me faire traiter de pute alors que j’ai eu peu d’amants, sauf celui qui m’a défloré et qui a su faire de moi la jeune femme que je suis, reconnais que c’est plutôt vexant.
• Revient vers moi, je m’excuse, loin de moi l’idée que tu puisses te prostituer, tu as trop de classe pour tomber aussi bas.
C’est à ce moment que mon portable de travail sonne.
• Oui, non, mais je vous rappelle.
Je coupe et je rejoins mon amant lui caressant sa queue pour dans un sens l’amadouer.
• C’est ma prof de fac, j’ai rendu une copie et elle aimerait en parler avec moi, elle la trouve très intéressante, mais elle souhaite que je l’améliore.
Savoir mentir, c’est un trait de mon travail de pute, que dire à un homme qui après vous avoir baisé vous déclare sa flamme et souhaite vous épouser.
J’ai baisé pour le plaisir, je le fais encore en faisant une fellation à Alex avant de remettre mes fringues seules dépenses que j’ai faite depuis que j’ai suivi madame Arlette, Aurora lorsqu’elle fait l’escorte.
• Demain 9 heures à l’embarquement, 10 000 € pour passer cinq jours avec une de tes collègues à la Réunion avec deux clients, es-tu intéressé ?
Je viens de quitter les bras de mon amant que je dirais de cœur lorsque je me présente à l’embarquement.
J’ai déjà une fois fait une partie à quatre avec une jeune femme noires.
Une Antillaise, ça fait partie du peu de femmes dont j’ai léché le clitoris pendant qu’uns des deux clients m’enculaient.
• Blanche, nous t’attendions, je te présente François et Albert, ce sont avec eux que nous partons pour cette île paradisiaque.
Aurora, ma prof, je m’attendais à tout sauf à bouffer la chatte de ma prof dès notre arrivée dans ce palace les pieds dans l’eau.
Chambres mitoyennes pour respecter les conventions, mais une porte entre les deux chambres cachant les frasques que nous pratiquons avec nos clients dès notre arrivée.
François et Albert font le séjour dans le cadre de leur travail, nous lézardons au bord de l’océan avec ma prof.
• Combien te rapportent ton voyage Caroline ?
• 10 000 €, je vais pouvoir acheter quelques actions.
• Moi, 20 000, mais c’est la dernière fois, j’ai démissionné de la fac et ce sont mes derniers clients.
J’ai racheté le domaine et je vais rejoindre mon père pour l’aider, maman est très malade.
Ce voyage, c’est le dernier comme escorte, dan,s mon pays, je vais redevenir la jeune femme que j’étais lorsque je suis montée à Paris.
Voilà, ce voyage semble le passage de témoin entre moi et mon prof.
Les clients importants, je les récupère à partir de ce jour.
Arlette me manque rapidement bien que nous gardions des liens.
Je dois la revoir dès que les grandes vacances seront là, elle veut me faire découvrir son pays.
Bien sûr, j’ai une liaison gratuite avec Alex, qui a fini de me poser des questions sur mes absences fréquences au gré des coups de fil de Georgette me proposant des clients.
New York en fait partie, c’est très drôle, le client que je chaperonne travail dans le même domaine que les études que je fais.
J’assiste à une réunion avec l’un de ses interlocuteurs et je suis à deux doigts au lieu de faire la gourde utile ce que je dois faire dans ce genre de situation et dire à Benoît qu’il est en train de se faire avoir.
Belle et tais-toi, écartent tes cuisses si ton client veut de partager avec le sien, le chiffre que Georgette m’a annoncé pour ce voyage de trois jours, comprenant ce genre de situation.
Vient le temps de mes examens de fin d’étude, reçu avec les honneurs du jury.
Même si ce sont souvent dans des hôtels ou des avions que j’ai travaillé mes cours, je suis reçu dans la recherche en géologie.
Je vais en Espagne pour mes vacances avant de répondre à la sollicitation d’une grande entreprise française.
Je vais avoir mon bureau à la Défense dans ce tour très connu dans mon pays.
Il va sans le dire que je rends mon compte à Georgette, la prostitution pour moi c’est terminé.
Je retrouve Arlette, en parfaite femme d’affaires dans les agrumes.
Hélas, elle a perdu sa mère il y a six mois et c’est un homme d’une soixantaine d’années qu’elle me présente.
J’ai quitté Alex le temps de ces vacances, maintenant que je redeviens une jeune femme honorable.
Nous allons certainement envisager de faire loyer en commun, bien que je sois propriétaire de mon appartement, investir dans la pierre à Paris, c’est la tendance du moment.
Fernando a un veuvage qui lui pèse après ces six mois, comme je l’ai fait voir.
Je suis bonne fille et pendant mon séjour je soulage le père de mon amie tout en faisant de même avec sa fille la nuit venue.
L’âge de cet homme, sans problème, je me suis habituée lorsque je touchais mes émoluments, la plupart avaient un âge approchant le sien.
La chose positive avec Fernando c’est sa bite, l’une des plus grosses que j’ai pu voir tout au long de ma carrière d’escorte.
La Maria, mère d’Arlette, a dû prendre bien du plaisir tout au long de sa vie avec un tel engin, surtout que Fernando s’est très bien s’en servir tout au long de mon séjour.
Viens le temps de rencontrer mon patron, dans cette tour infernale de la Défense.
Mon patron, pas celui tout en haut de la pyramide hiérarchique et de la tour, il le sera peut-être un jour, mais le chef du secteur dans la recherche de nouveaux gisements où je vais évoluer .
• Mademoiselle Caroline, savez-vous pourquoi je vous ai choisi pour assurer ce poste à haute responsabilité ?
• Pour ma réussite à mes examens et l’assurance que vous aurez une collaboratrice sachant mettre en valeur les atouts de notre société.
• Vous avez en partie raison, vos notes sont aussi bonnes que celles d’autres postulants.
Vous avez un atout de plus, sans que vous le sachiez, je vous connaissais déjà.
Vous vous souvenez d’un voyage à New York, il y a quelques mois !
Je suis à deux doigts de dire non, mais mon instinct me dit qu’il y a anguille sous roche.
• Oui, je m’en souviens.
• Dans notre métier, se servir d’escorte pour amadouer le client se fait très souvent, j’emploie des escortes dans ce genre de situation.
J’avais pour habitude de prendre Aurora, pour ces missions, j’ignore ce qu’elle faisait en dehors de se prostituer et je m’en fiche royalement.
Étant indisponible à la date où j’avais besoin d’elle, le contact avec qui je faisais affaire m’a proposé de prendre une certaine demoiselle s’épelant Blanche.
Elle a rendu une copie parfaite.
J’ai compris, au sein des administrations il y a des promotions canapé, mon futur patron tour son fauteuil sur le côté.
Je vais pour me lever, il veut que je le suce si je veux ce poste.
• Non, Caroline, je récupère simplement ceci, je suis marié et fidèle à ma femme.
Voici deux choses, les clefs d’un appartement dans l’une des tours d’habitation toute proche d’ici et sur ce papier la somme que vous recevrez tous les mois.
J’ai pour habitude de voir les fiches des futurs cadres de mon secteur.
J’avais un doute si vous étiez un sosie de cette Blanche.
J’ai appellé ma correspondante habituelle lui demandant Blanche pour une soirée, elle m’a dit que vous aviez abandonné le travail parallèle que vous faisiez.
L’appartement et le somme que je vous propose comprennent les petits services que je vous demanderais de faire avec certains de nos clients, acceptez le poste !
Je suis en ce moment en Guyane, je travaille sur des possibilités de forage en eau profonde non loin des côtes.
Je suis accompagnée d’un expert du ministère de l’écologie, je dois le faire signer l’autorisation de plusieurs carottages en vue d’une exploitation faisant rentrer la France des pays de l’OPEP.
Un homme la cinquantaine le crâne déjà presque chauve avec un peu d’embonpoint et une jeune femme bien foutue qui accepte un dernier verre dans sa chambre, rien de très bizarre.
En plus de mon cul, lui aussi sa femme refuse qu’il la sodomise et de retour à Paris mon chef de service est fière de moi, il vient de recevoir un appel du ministère, à nous l’exploitation.
Lorsque Alex me rejoint dans mon nouvel appartement, j’ai pris un joli coup de soleil.
Ça m’est déjà arrivé lors de notre voyage à la Réunion avec ma copine Arlette.
Il avait fallu que je lui mente comment j’avais pu être aussi rouge en plein hiver à Paris.
Une cabine UV défaillante m’a permis de sauver les apparences.
Là il savait que je partais en Guyane dans le cadre de mes fonctions dans ma nouvelle entreprise.
• Caroline, pouvez-vous venir me voir, j’ai besoin de vous pour une mission en Alaska.
Il est évident, la paye est plus que juteuse, mais il y a quelquefois une situation bien différente que celle de prendre un coup de soleil en Guyane.
J’ignore qui je vais amadouer, mais un rapprochement dans un lit me permettra de supporter le froid de cette mission.
Pourrions-nous nous rencontrer j’ai des propositions à vous faire concernant votre compte en banque.
Ma banque, j’espère que cet afflux d’argent chaque mois alors qu’avant je jouais avec le découvert autorisé m’a fait repérer comme travailleuse du sexe.
• Vous avez beaucoup de liquidités sur votre compte qui dorme sans vous rapporter...
Ouf, le reste est très personnel pour la gestion de mon compte.
Ouf, Alex, c’est le nom sur son badge, beau gosse au préalable dans son costume trois-pièces, me fait gagner plus d’argent certes avec des risques.
• Il est midi, puis-je vous invité à déjeuner !
Le sexe, il y a celui qui paye, c’est celui avec lequel ma prof de fac m’a mis le pied à l’étrier.
Le sexe, celui qu’Alex me fait découvrir dans son appartement non loin de l’agence où il travaille.
J’ai dit avoir du mal à embrasser mes clients, mais lorsqu’il me propose de finir l’après-midi chez lui, étant libre après sa matinée de travail, je le suis sans problème.
Lorsque ses bras m’entourent, moi qui suce, et écarte mes cuisses sans me poser la moindre question sauf combien mon cul va me rapporter.
Depuis les quelques mois où j’ai accepté de gonfler mon compte en banque je jouis sans que cela me rapporte le moindre centime.
• Tu sembles assez experte, Caroline.
Merde, je l’ai trop bien baisé, il a dû repérer que je prends les initiatives comme je le fais souvent avec mes clients.
• Ou vas-tu ?
• Chez moi, me faire traiter de pute alors que j’ai eu peu d’amants, sauf celui qui m’a défloré et qui a su faire de moi la jeune femme que je suis, reconnais que c’est plutôt vexant.
• Revient vers moi, je m’excuse, loin de moi l’idée que tu puisses te prostituer, tu as trop de classe pour tomber aussi bas.
C’est à ce moment que mon portable de travail sonne.
• Oui, non, mais je vous rappelle.
Je coupe et je rejoins mon amant lui caressant sa queue pour dans un sens l’amadouer.
• C’est ma prof de fac, j’ai rendu une copie et elle aimerait en parler avec moi, elle la trouve très intéressante, mais elle souhaite que je l’améliore.
Savoir mentir, c’est un trait de mon travail de pute, que dire à un homme qui après vous avoir baisé vous déclare sa flamme et souhaite vous épouser.
J’ai baisé pour le plaisir, je le fais encore en faisant une fellation à Alex avant de remettre mes fringues seules dépenses que j’ai faite depuis que j’ai suivi madame Arlette, Aurora lorsqu’elle fait l’escorte.
• Demain 9 heures à l’embarquement, 10 000 € pour passer cinq jours avec une de tes collègues à la Réunion avec deux clients, es-tu intéressé ?
Je viens de quitter les bras de mon amant que je dirais de cœur lorsque je me présente à l’embarquement.
J’ai déjà une fois fait une partie à quatre avec une jeune femme noires.
Une Antillaise, ça fait partie du peu de femmes dont j’ai léché le clitoris pendant qu’uns des deux clients m’enculaient.
• Blanche, nous t’attendions, je te présente François et Albert, ce sont avec eux que nous partons pour cette île paradisiaque.
Aurora, ma prof, je m’attendais à tout sauf à bouffer la chatte de ma prof dès notre arrivée dans ce palace les pieds dans l’eau.
Chambres mitoyennes pour respecter les conventions, mais une porte entre les deux chambres cachant les frasques que nous pratiquons avec nos clients dès notre arrivée.
François et Albert font le séjour dans le cadre de leur travail, nous lézardons au bord de l’océan avec ma prof.
• Combien te rapportent ton voyage Caroline ?
• 10 000 €, je vais pouvoir acheter quelques actions.
• Moi, 20 000, mais c’est la dernière fois, j’ai démissionné de la fac et ce sont mes derniers clients.
J’ai racheté le domaine et je vais rejoindre mon père pour l’aider, maman est très malade.
Ce voyage, c’est le dernier comme escorte, dan,s mon pays, je vais redevenir la jeune femme que j’étais lorsque je suis montée à Paris.
Voilà, ce voyage semble le passage de témoin entre moi et mon prof.
Les clients importants, je les récupère à partir de ce jour.
Arlette me manque rapidement bien que nous gardions des liens.
Je dois la revoir dès que les grandes vacances seront là, elle veut me faire découvrir son pays.
Bien sûr, j’ai une liaison gratuite avec Alex, qui a fini de me poser des questions sur mes absences fréquences au gré des coups de fil de Georgette me proposant des clients.
New York en fait partie, c’est très drôle, le client que je chaperonne travail dans le même domaine que les études que je fais.
J’assiste à une réunion avec l’un de ses interlocuteurs et je suis à deux doigts au lieu de faire la gourde utile ce que je dois faire dans ce genre de situation et dire à Benoît qu’il est en train de se faire avoir.
Belle et tais-toi, écartent tes cuisses si ton client veut de partager avec le sien, le chiffre que Georgette m’a annoncé pour ce voyage de trois jours, comprenant ce genre de situation.
Vient le temps de mes examens de fin d’étude, reçu avec les honneurs du jury.
Même si ce sont souvent dans des hôtels ou des avions que j’ai travaillé mes cours, je suis reçu dans la recherche en géologie.
Je vais en Espagne pour mes vacances avant de répondre à la sollicitation d’une grande entreprise française.
Je vais avoir mon bureau à la Défense dans ce tour très connu dans mon pays.
Il va sans le dire que je rends mon compte à Georgette, la prostitution pour moi c’est terminé.
Je retrouve Arlette, en parfaite femme d’affaires dans les agrumes.
Hélas, elle a perdu sa mère il y a six mois et c’est un homme d’une soixantaine d’années qu’elle me présente.
J’ai quitté Alex le temps de ces vacances, maintenant que je redeviens une jeune femme honorable.
Nous allons certainement envisager de faire loyer en commun, bien que je sois propriétaire de mon appartement, investir dans la pierre à Paris, c’est la tendance du moment.
Fernando a un veuvage qui lui pèse après ces six mois, comme je l’ai fait voir.
Je suis bonne fille et pendant mon séjour je soulage le père de mon amie tout en faisant de même avec sa fille la nuit venue.
L’âge de cet homme, sans problème, je me suis habituée lorsque je touchais mes émoluments, la plupart avaient un âge approchant le sien.
La chose positive avec Fernando c’est sa bite, l’une des plus grosses que j’ai pu voir tout au long de ma carrière d’escorte.
La Maria, mère d’Arlette, a dû prendre bien du plaisir tout au long de sa vie avec un tel engin, surtout que Fernando s’est très bien s’en servir tout au long de mon séjour.
Viens le temps de rencontrer mon patron, dans cette tour infernale de la Défense.
Mon patron, pas celui tout en haut de la pyramide hiérarchique et de la tour, il le sera peut-être un jour, mais le chef du secteur dans la recherche de nouveaux gisements où je vais évoluer .
• Mademoiselle Caroline, savez-vous pourquoi je vous ai choisi pour assurer ce poste à haute responsabilité ?
• Pour ma réussite à mes examens et l’assurance que vous aurez une collaboratrice sachant mettre en valeur les atouts de notre société.
• Vous avez en partie raison, vos notes sont aussi bonnes que celles d’autres postulants.
Vous avez un atout de plus, sans que vous le sachiez, je vous connaissais déjà.
Vous vous souvenez d’un voyage à New York, il y a quelques mois !
Je suis à deux doigts de dire non, mais mon instinct me dit qu’il y a anguille sous roche.
• Oui, je m’en souviens.
• Dans notre métier, se servir d’escorte pour amadouer le client se fait très souvent, j’emploie des escortes dans ce genre de situation.
J’avais pour habitude de prendre Aurora, pour ces missions, j’ignore ce qu’elle faisait en dehors de se prostituer et je m’en fiche royalement.
Étant indisponible à la date où j’avais besoin d’elle, le contact avec qui je faisais affaire m’a proposé de prendre une certaine demoiselle s’épelant Blanche.
Elle a rendu une copie parfaite.
J’ai compris, au sein des administrations il y a des promotions canapé, mon futur patron tour son fauteuil sur le côté.
Je vais pour me lever, il veut que je le suce si je veux ce poste.
• Non, Caroline, je récupère simplement ceci, je suis marié et fidèle à ma femme.
Voici deux choses, les clefs d’un appartement dans l’une des tours d’habitation toute proche d’ici et sur ce papier la somme que vous recevrez tous les mois.
J’ai pour habitude de voir les fiches des futurs cadres de mon secteur.
J’avais un doute si vous étiez un sosie de cette Blanche.
J’ai appellé ma correspondante habituelle lui demandant Blanche pour une soirée, elle m’a dit que vous aviez abandonné le travail parallèle que vous faisiez.
L’appartement et le somme que je vous propose comprennent les petits services que je vous demanderais de faire avec certains de nos clients, acceptez le poste !
Je suis en ce moment en Guyane, je travaille sur des possibilités de forage en eau profonde non loin des côtes.
Je suis accompagnée d’un expert du ministère de l’écologie, je dois le faire signer l’autorisation de plusieurs carottages en vue d’une exploitation faisant rentrer la France des pays de l’OPEP.
Un homme la cinquantaine le crâne déjà presque chauve avec un peu d’embonpoint et une jeune femme bien foutue qui accepte un dernier verre dans sa chambre, rien de très bizarre.
En plus de mon cul, lui aussi sa femme refuse qu’il la sodomise et de retour à Paris mon chef de service est fière de moi, il vient de recevoir un appel du ministère, à nous l’exploitation.
Lorsque Alex me rejoint dans mon nouvel appartement, j’ai pris un joli coup de soleil.
Ça m’est déjà arrivé lors de notre voyage à la Réunion avec ma copine Arlette.
Il avait fallu que je lui mente comment j’avais pu être aussi rouge en plein hiver à Paris.
Une cabine UV défaillante m’a permis de sauver les apparences.
Là il savait que je partais en Guyane dans le cadre de mes fonctions dans ma nouvelle entreprise.
• Caroline, pouvez-vous venir me voir, j’ai besoin de vous pour une mission en Alaska.
Il est évident, la paye est plus que juteuse, mais il y a quelquefois une situation bien différente que celle de prendre un coup de soleil en Guyane.
J’ignore qui je vais amadouer, mais un rapprochement dans un lit me permettra de supporter le froid de cette mission.
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