COLLECTION ESCORTE. Putain (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Putain (1/1)
« Putain, » c’est le mot qui a marqué une grande partie de ma vie.
• Va voir ta « putain » espèce de salop, je t’ai tout donné, ma jeunesse, ma virginité pour que tu aies payé cette grosse pute.
C’est cette nuit-là que pour moi tout a basculé.
Quel âge avais-je, neuf ans, dix ans environ ?
Ce dont je me souviens c’est de la claque que j’ai prise, lorsque le lendemain j’ai posé la question de ce que j’avais entendu ce soir-là alors que mes géniteurs croyaient que je regardais un dessin animé.
« Putain », là je m’en souviens à quatorze ans quand Olivier que je croyais être mon copain, m’a envoyé à la figure.
• T’es bien comme ta « putain » de mère qui baise avec l’épicier lorsqu’il la livre tous les mardis.
Baptisé par la claque ramassée, quelques années plus top, j’ai fermé ma gueule, pardon ma grande bouche.
Je suis la fille de Jean et de Catherine, la famille la plus aisée de notre village.
Papa est pharmacien et maman sa préparatrice.
C’est vrai que les mardis, maman reste à la maison sous couvert d’avoir deux jours de congé comme les autres employés.
J’ai pisté l’arrivée de l’épicier le mardi suivant en séchant les cours.
J’étais caché dans la grange de notre vieille ferme que papa avait achetée et qu’il avait fait rénover grâce à l’héritage de mon grand-père, celui qui avait ouvert la pharmacie et dont avec maman, ils avaient pris la suite.
J’ai vu Charles arrivé dans sa camionnette.
Il a ouvert l’arrière et en a sorti un grand cagot.
Maman s’est approchée, Charles était gros et vieillissant, comment maman pouvait être la « putain » d’un tel homme ?
Pourtant, sortant recouvert d’un maillot de bain de la cuisine, se croyant seuls, ils se sont embrassés sur le seuil de la porte.
J’avais souvent vu les garçons et les filles s’embrasser, j’ai souvent vu, papa, le faire avec maman.
Je savais que s’embrasser sur la bouche, c’était s’aimer pour la vie.
Je sais quatorze ans, j’étais encore un peu nunuche, mais chacun avance au cours de sa sexualité à son rythme, moi j’étais bloqué sur le mot « putain ».
Je suis sortie de ma grange pour m’approcher de la fenêtre de la cuisine.
J’ai fait un bon de mille ans dans ma connaissance du sexe.
Le cagot était là sur une chaise, mais aussi maman couchée les seins sur la table, sa culotte au bas des pieds tendus à en craquer ayant les jambes écartées.
Charles avait sorti un drôle de machin qu’il enfonçait dans la foufoune de maman.
Il lui donnait de grands coups et j’entendais ses « hans, hans, hans, » à chaque coup qu’il lui assénait.
Du côté de maman, c’était, « encore, encore, « putain » que c’est bon, continu vieux salopard. »Ce qui m’a marqué hormis son machin dans ma maman, c’était les billets qui se trouvaient sur la table à côté de ce couple dépassant tout entendement pour une adolescente découvrant le sexe.
Comment Olivier avait su que ma maman était une « putain, » aujourd’hui je l’ignore encore et là où je suis, il est certain que de ma vie, je l’ignorerais ?
J’ai gardé ma découverte pour moi et l’étape de mes connaissances, c’est lors de ma quinzième année avec Serge dix-huit ans frère d’Olivier.
• Aller, couche avec moi, tu veux du fric, tient cent balles pour m’offrir ta chatte.
T’es bien une « putain » comme ta mère.
J’ai refusé, entre-temps, je savais plus de choses, j’avais appris à regarder Internet et le mot « putain » ainsi que le mot argent était lié.
Comme Olivier me l’avait dit, maman était une « putain » qui se faisait payer par l’épicier en course et en argent liquide comme je l’avais vu sur la table.
Au fil de l’expérience de ma vie, j’ai pu comprendre qu’ils étaient amants malgré l’incongruité des deux personnages, maman joie femme et l’autre frère de Quasimodo sans la bosse.
L’argent, c’était celui qu’elle avait préparé pour payer le cagot de victuaille.
Dix-septième année, remise des prix par monsieur le maire, au lycée de notre ville à la très bonne élève que j’étais.
Il a trouvé le moyen de m’entraîner dans le bureau du proviseur.
Sans avoir encore pratiquée, j’étais parfaitement au courant de ce qui allait m’arriver.
• 500 balles et je couche avec toi.
• 500 pour ce prix-là, je peux me faire 3 filles de ce lycée, chez nous les salopes, ça pullule.
• Oui, mais pour ce prix-là, t’a beau être vieux, comme l’amant de maman, tu auras mon pucelage.
• Tu te fiches de ma gueule, tu m’as suivi jusqu’ici sans sourciller et tu me dis que tu es vierge.
• Évite d’être grossier vieux con, ta 500 met les sur le bureau, baise-moi et si ta queue ressort sans la moindre trace de sang, tu m’auras sauté à l’œil, tu récupéreras ton fric.
Les 500, ils ont fini dans la poche de mon jean alors que mon cul reposait sur le bureau.
Il a commencé par me sucer la chatte, mon clito que j’avais découvert entre-temps s’en est trouvé exacerbé, j’ai joui sous sa langue avant d’avoir légèrement mal lorsqu’il m’a dépucelé.
Combien de fois, je lui ai piqué 500 plaques, chaque fois qu’il avait envie de la « putain » que j’étais devenu.
Deux jours plus tard avant la fin des cours, je me suis retrouvée au bureau du proviseur prise par la prof de math à sucer Serge contre les 100 bâtons qu’il m’avait promis une première fois.
Le proviseur, c’est là où j’avais été dépucelé qu’il a payé comme le maire pour me sauter, lui c’était comme j’avais vu maman faire la « putain » mes seins sur le bureau et mon cul en l’air.
La deuxième fois où il m’a convoqué pour parler de mon avenir, j’ai réussi à le faire monter à 1 000 francs lorsqu’il m’a proposé de m’enculer.
En quelques mois, la plupart des maris de notre village se sont payé la parfaite « putain » que j’étais devenue.
C’est papa qui a su que je me prostituais, bien qu’il me donne largement d’argent de poche, avec un des personnages de notre ville, que j’aurais dû ignorer.
Le curé, il a déboulé avec sa 4l des années cinquante, sous couvert de venir voir mes parents alors qu’il savait que mes parents étaient à la pharmacie.
• C’est ça que tu veux, vieux salopard, tu veux te faire la « putain » du village.
Il était en train de m’enculer les pièces de 1 et 2 € certainement tombé du tronc à la vierge de l’église avec seulement 246 francs.
Moi aussi je voulais les oeuvres de la paroisse lorsque la porte s’est ouverte et que papa est entré.
J’ai récupéré tout ce que j’avais gagné avec la presque totalité des hommes jeunes ou vieux de chez moi.
C’est même le curé qui m’a conduit à la gare pour que je prenne le train, direction Paris.
Paris à la dimension de la « putain » qui s’est vendue pendant plusieurs années le temps de ses études supérieures de mathématiques.
Je sais, ce simple mot « putain » entendu un soir aura bouleversé ma vie et je le pense aussi celle de mes parents.
Avant de partir, j’ai dévoilé à mon père qu’il était cocu avec sa « putain » de femme, lui-même se sautant des « putains » au dire de maman.
Je lui ai ajouté que ça m’avait valu une baffe, dont je me souviendrais toute ma vie et qui m’avait permis d’en devenir une.
À Paris, je suis rapidement montée dans l’échelle de la prostitution.
J’acceptais tout sans jamais rechigner à la tache.
Il faut dire que de baiser avec mes clients m’apportait une grande satisfaction.
Je leur prenais leur fric sans le moindre scrupule, mais avec moi ils en avaient pour leurs argents.
Une « putain » qui jouit sous les coups de bite de ces clients, ça semble rare.
Ce sont eux qui me le disaient chaque fois qu’ils revenaient m’offrir leur pognon.
Bien sûr, mes tarifs ont fini par être à la hauteur de mes prestations et mon compte en banque a été rapidement blindé.
J’ai eu des clients de tout niveau, des députés en manque de sexe les trois jours où ils étaient présents à Paris.
J’ai même eu un ministre, ais une seule fois, car il y a eu changement de majorité et il a retrouvé son poste de maire dans le centre de la France.
Et puis mon diplôme en poche, ayant depuis bien longtemps compris que le mot « putain » pouvait avoir plusieurs acceptions, j’ai décidé de changer de vie.
Qui mieux qu’une grande ville ou qu’une autre grande ville, pour redevenir la petite fille sage que j’étais avant de quitter mon dessin animé et entendre maman parler d’une grosse « putain » de papa.
Que dire de plus, avec mes références scolaires, mais loin de la prostitution, j’ai été embauché à la City de Londres ?
Mes études m’ayant permis de devenir bilingue ont permis mon adaptation facile dans cette ville.
Je fréquente un jeune homme, ayant des attaches avec la famille royale.
Mais à un rang tel, qu’il soit peu probable que l’on me voit lors d’une cérémonie et que dans mon village en France.
Sous mon grand chapeau au derby d’Epsom qui va reconnaitre la « putain » qui s’est fait tous les mâles en âge de baiser.
Avec l’argent que j’ai mis sur mon compte en banque, je viens de nous acheter un magnifique appartement sur la Tamise et la tour de Londres.
John, mon anglais peut se louer sans le savoir de baiser une « putain » française connaissant si bien le sexe qu’elle est sans tabou.
• Va voir ta « putain » espèce de salop, je t’ai tout donné, ma jeunesse, ma virginité pour que tu aies payé cette grosse pute.
C’est cette nuit-là que pour moi tout a basculé.
Quel âge avais-je, neuf ans, dix ans environ ?
Ce dont je me souviens c’est de la claque que j’ai prise, lorsque le lendemain j’ai posé la question de ce que j’avais entendu ce soir-là alors que mes géniteurs croyaient que je regardais un dessin animé.
« Putain », là je m’en souviens à quatorze ans quand Olivier que je croyais être mon copain, m’a envoyé à la figure.
• T’es bien comme ta « putain » de mère qui baise avec l’épicier lorsqu’il la livre tous les mardis.
Baptisé par la claque ramassée, quelques années plus top, j’ai fermé ma gueule, pardon ma grande bouche.
Je suis la fille de Jean et de Catherine, la famille la plus aisée de notre village.
Papa est pharmacien et maman sa préparatrice.
C’est vrai que les mardis, maman reste à la maison sous couvert d’avoir deux jours de congé comme les autres employés.
J’ai pisté l’arrivée de l’épicier le mardi suivant en séchant les cours.
J’étais caché dans la grange de notre vieille ferme que papa avait achetée et qu’il avait fait rénover grâce à l’héritage de mon grand-père, celui qui avait ouvert la pharmacie et dont avec maman, ils avaient pris la suite.
J’ai vu Charles arrivé dans sa camionnette.
Il a ouvert l’arrière et en a sorti un grand cagot.
Maman s’est approchée, Charles était gros et vieillissant, comment maman pouvait être la « putain » d’un tel homme ?
Pourtant, sortant recouvert d’un maillot de bain de la cuisine, se croyant seuls, ils se sont embrassés sur le seuil de la porte.
J’avais souvent vu les garçons et les filles s’embrasser, j’ai souvent vu, papa, le faire avec maman.
Je savais que s’embrasser sur la bouche, c’était s’aimer pour la vie.
Je sais quatorze ans, j’étais encore un peu nunuche, mais chacun avance au cours de sa sexualité à son rythme, moi j’étais bloqué sur le mot « putain ».
Je suis sortie de ma grange pour m’approcher de la fenêtre de la cuisine.
J’ai fait un bon de mille ans dans ma connaissance du sexe.
Le cagot était là sur une chaise, mais aussi maman couchée les seins sur la table, sa culotte au bas des pieds tendus à en craquer ayant les jambes écartées.
Charles avait sorti un drôle de machin qu’il enfonçait dans la foufoune de maman.
Il lui donnait de grands coups et j’entendais ses « hans, hans, hans, » à chaque coup qu’il lui assénait.
Du côté de maman, c’était, « encore, encore, « putain » que c’est bon, continu vieux salopard. »Ce qui m’a marqué hormis son machin dans ma maman, c’était les billets qui se trouvaient sur la table à côté de ce couple dépassant tout entendement pour une adolescente découvrant le sexe.
Comment Olivier avait su que ma maman était une « putain, » aujourd’hui je l’ignore encore et là où je suis, il est certain que de ma vie, je l’ignorerais ?
J’ai gardé ma découverte pour moi et l’étape de mes connaissances, c’est lors de ma quinzième année avec Serge dix-huit ans frère d’Olivier.
• Aller, couche avec moi, tu veux du fric, tient cent balles pour m’offrir ta chatte.
T’es bien une « putain » comme ta mère.
J’ai refusé, entre-temps, je savais plus de choses, j’avais appris à regarder Internet et le mot « putain » ainsi que le mot argent était lié.
Comme Olivier me l’avait dit, maman était une « putain » qui se faisait payer par l’épicier en course et en argent liquide comme je l’avais vu sur la table.
Au fil de l’expérience de ma vie, j’ai pu comprendre qu’ils étaient amants malgré l’incongruité des deux personnages, maman joie femme et l’autre frère de Quasimodo sans la bosse.
L’argent, c’était celui qu’elle avait préparé pour payer le cagot de victuaille.
Dix-septième année, remise des prix par monsieur le maire, au lycée de notre ville à la très bonne élève que j’étais.
Il a trouvé le moyen de m’entraîner dans le bureau du proviseur.
Sans avoir encore pratiquée, j’étais parfaitement au courant de ce qui allait m’arriver.
• 500 balles et je couche avec toi.
• 500 pour ce prix-là, je peux me faire 3 filles de ce lycée, chez nous les salopes, ça pullule.
• Oui, mais pour ce prix-là, t’a beau être vieux, comme l’amant de maman, tu auras mon pucelage.
• Tu te fiches de ma gueule, tu m’as suivi jusqu’ici sans sourciller et tu me dis que tu es vierge.
• Évite d’être grossier vieux con, ta 500 met les sur le bureau, baise-moi et si ta queue ressort sans la moindre trace de sang, tu m’auras sauté à l’œil, tu récupéreras ton fric.
Les 500, ils ont fini dans la poche de mon jean alors que mon cul reposait sur le bureau.
Il a commencé par me sucer la chatte, mon clito que j’avais découvert entre-temps s’en est trouvé exacerbé, j’ai joui sous sa langue avant d’avoir légèrement mal lorsqu’il m’a dépucelé.
Combien de fois, je lui ai piqué 500 plaques, chaque fois qu’il avait envie de la « putain » que j’étais devenu.
Deux jours plus tard avant la fin des cours, je me suis retrouvée au bureau du proviseur prise par la prof de math à sucer Serge contre les 100 bâtons qu’il m’avait promis une première fois.
Le proviseur, c’est là où j’avais été dépucelé qu’il a payé comme le maire pour me sauter, lui c’était comme j’avais vu maman faire la « putain » mes seins sur le bureau et mon cul en l’air.
La deuxième fois où il m’a convoqué pour parler de mon avenir, j’ai réussi à le faire monter à 1 000 francs lorsqu’il m’a proposé de m’enculer.
En quelques mois, la plupart des maris de notre village se sont payé la parfaite « putain » que j’étais devenue.
C’est papa qui a su que je me prostituais, bien qu’il me donne largement d’argent de poche, avec un des personnages de notre ville, que j’aurais dû ignorer.
Le curé, il a déboulé avec sa 4l des années cinquante, sous couvert de venir voir mes parents alors qu’il savait que mes parents étaient à la pharmacie.
• C’est ça que tu veux, vieux salopard, tu veux te faire la « putain » du village.
Il était en train de m’enculer les pièces de 1 et 2 € certainement tombé du tronc à la vierge de l’église avec seulement 246 francs.
Moi aussi je voulais les oeuvres de la paroisse lorsque la porte s’est ouverte et que papa est entré.
J’ai récupéré tout ce que j’avais gagné avec la presque totalité des hommes jeunes ou vieux de chez moi.
C’est même le curé qui m’a conduit à la gare pour que je prenne le train, direction Paris.
Paris à la dimension de la « putain » qui s’est vendue pendant plusieurs années le temps de ses études supérieures de mathématiques.
Je sais, ce simple mot « putain » entendu un soir aura bouleversé ma vie et je le pense aussi celle de mes parents.
Avant de partir, j’ai dévoilé à mon père qu’il était cocu avec sa « putain » de femme, lui-même se sautant des « putains » au dire de maman.
Je lui ai ajouté que ça m’avait valu une baffe, dont je me souviendrais toute ma vie et qui m’avait permis d’en devenir une.
À Paris, je suis rapidement montée dans l’échelle de la prostitution.
J’acceptais tout sans jamais rechigner à la tache.
Il faut dire que de baiser avec mes clients m’apportait une grande satisfaction.
Je leur prenais leur fric sans le moindre scrupule, mais avec moi ils en avaient pour leurs argents.
Une « putain » qui jouit sous les coups de bite de ces clients, ça semble rare.
Ce sont eux qui me le disaient chaque fois qu’ils revenaient m’offrir leur pognon.
Bien sûr, mes tarifs ont fini par être à la hauteur de mes prestations et mon compte en banque a été rapidement blindé.
J’ai eu des clients de tout niveau, des députés en manque de sexe les trois jours où ils étaient présents à Paris.
J’ai même eu un ministre, ais une seule fois, car il y a eu changement de majorité et il a retrouvé son poste de maire dans le centre de la France.
Et puis mon diplôme en poche, ayant depuis bien longtemps compris que le mot « putain » pouvait avoir plusieurs acceptions, j’ai décidé de changer de vie.
Qui mieux qu’une grande ville ou qu’une autre grande ville, pour redevenir la petite fille sage que j’étais avant de quitter mon dessin animé et entendre maman parler d’une grosse « putain » de papa.
Que dire de plus, avec mes références scolaires, mais loin de la prostitution, j’ai été embauché à la City de Londres ?
Mes études m’ayant permis de devenir bilingue ont permis mon adaptation facile dans cette ville.
Je fréquente un jeune homme, ayant des attaches avec la famille royale.
Mais à un rang tel, qu’il soit peu probable que l’on me voit lors d’une cérémonie et que dans mon village en France.
Sous mon grand chapeau au derby d’Epsom qui va reconnaitre la « putain » qui s’est fait tous les mâles en âge de baiser.
Avec l’argent que j’ai mis sur mon compte en banque, je viens de nous acheter un magnifique appartement sur la Tamise et la tour de Londres.
John, mon anglais peut se louer sans le savoir de baiser une « putain » française connaissant si bien le sexe qu’elle est sans tabou.
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